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vivre vivante (navîn)

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judy entoure sa tasse des deux mains pour réchauffer ses doigts froids. elle hausse un sourcil à la réponse de navîn et esquisse un sourire. « ha..cool ! » judy est étonnée d'elle même. pour une fois qu'elle ne finit pas à moitié nue à vomir au milieu du salon devant les yeux ébahi de son crush d'un soir. visiblement, sa nuit avait bien terminé, dans les bras chaud d'un gars qui lui préparait le petit déjeuner. petite victoire. judy bois une gorgée. elle grimace au gout amer qu'elle sent sur sa langue. elle prend sa tartine qu'elle plonge dans la café. « t'as quelque chose de prévu aujourd'hui ?.. » sous entendu 'je veux pas te déranger' sous sous entendu 'peut être qu'on pourrais passer la journée ensemble' sous sous sous entendu 'est ce que tu aurais envie de me connaitre' sous sous sous sous entendu 'peut être qu'on pourrais être ami'. ça fait beaucoup de sous entendu, même pour judy qui affiche un visage perplexe face à tant de de strates derrière une si simple simple phrase.
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A vrai dire on était samedi. Donc pas cours... donc tranquille. Tu avais simplement prévu tes occupations habituelles à savoir... lire des livres, aller sur tes forums de discussions pour pouvoir parler à des gens qui te ressemblent en ligne et te sentir un peu moins seul. Mais... à cet instant tu ne te sentais pas seul. Tu avais Judy, Judy qui te faisait clairement comprendre que finalement... ta compagnie n'était peut-être pas si désagréable. Tu sirotais ton café avant de hausse les épaules et de poser doucement ta tasse : "Non. Pas grand chose. En général, je reste enfermé chez moi. Donc... tu peux rester ou on peut faire un truc si tu veux." Et si elle t'aidait à te raccrocher au monde réel un peu ? Et si... elle te donnait un fil rouge. Ouh là... doucement Navîn, ne t'emballe pas trop mon grand. Ne rêve pas trop.
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judy mange lentement. elle n'a même pas faim judy, elle a l'estomac troué par l'alcool et la drogue. elle bois le café comme elle bois un médicament. elle en profite pour avaler son doliprane. elle écoute sa réponse d'une oreille distraite, occupée à analyser en combien de gorgée elle aura enfin fini la boisson noire. judy lève des yeux perplexe sur navîn. drole de programme pour un étudiant que de rester enfermé, alors qu'il pourrait profiter des derniers rayons de soleil avant l'hiver. « oh..ok cool ! » elle se lève, va attraper son téléphone. plus de batterie. dépitée, elle attrape la fin du spliff de la veille  dans le cendrier et le rallume. elle vient de rassoir, pose ses coudes sur la table et pose un regard insidieux sur navîn. « tu fais quoi tout seul enfermé le samedi ? tu décuves ? moi c'est souvent ça haha. » elle rit doucement, se moque d'elle même. judy s'est détendu, exit le malaise, l'enthousiasme est revenu malgré la gueule de bois. et son but est redevenu le même que la veille : le faire sourire. il est beau quand il sourit.
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Tu n'aimais pas la voir chercher la fin de ce joint que vous aviez tiré la veille hein ? Non tu n'aimais pas du tout. Tu avais senti ton émotivité et ton sang ne faire qu'un tour. Ne prêtant presque pas attention à ses paroles, tu l'avais attrapé, et l'avais noyé dans ce qu'il restait de café. C'était impulsif, c'était plus fort que toi. Si Judy voulait te voir sourire, toi tu voulais la voir arrêter de s'exploser la tête avec des cochonneries. Tu lâchas un soupir et ferma les yeux, tu ne savais pas trop quoi lui dire pour répondre aux questions que tu avais vaguement capté. Tu étais un peu gêné de tout ça, et te levais machinalement pour aller verser son café dans l'évier et balancer le spliff dans la poubelle. "En général... je lis. Un tas de trucs, un tas d'ouvrages. Et... je discute sur internet." Tu regardais le reste du café s'écouler dans l'évier. Tu avais préféré passer sous silence le fait que tu parlais à des gens aussi bizarres que toi, aussi mal que toi souvent.. et que ce que tu lisais était complètement perché pour la plupart des individus.
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judy elle était tranquille, en train de finir le spliff pour aider son corps et son esprit a supporter la descente des ecstasy. mais là, il lui arrache des doigts, comme si elle s'apprêtait à bouffer un champignon vénéneux. elle bloque quelques secondes, elle perd contenance. elle fronce les sourcils, elle ne comprend pas. judy n'écoute même pas sa réponse. elle s'enfonce dans le fond de sa chaise, croise les bras, serre les dents. regard noir. d'abord il y avait harley qui s'était rangé, et qui la regardait comme si elle était une gamine décérébré dès qu'elle osait craquer un joint. bordel, mais il y avait personne qui voulait bien la laisser vivre. elle se persuade que si son frère était encore là, ils fumeraient des spliff devant south park pour décuver de la soirée de la veille. fatigue, énervement. agacé, judy se lève. sans dire un mot, elle se déshabille, et renfile ses fringues encore humide. l'odeur de chien mouillé la dégoute, mais elle s'en branle. judy grince des dents. elle hais les gens qui se comporte comme 'un grand frère modèle'. elle lance, acerbe « j'me casse, la fumée dérange apparemment. » elle attache ses cheveux en un chignon approximatif. elle sent les larmes qui montent aux yeux. fatigue, énervement, tourment. judy enfile ses chaussures.
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Tu voulais la protéger rien de plus, tu voulais la protéger... parce qu'elle était pas comme tout le monde. Tu voulais la protéger... parce que c'était Judy. Alors tu fus légèrement, non... complètement désemparé quand elle s'était levé pour s'en aller, quand elle avait jeté tes fringues comme si elles avaient la peste. Rejet. Encore. Tu t'en voulais d'une part d'avoir fait ça, et de l'autre... tu te disais que tu avais fait ce qui t'étais venu d'instinct. Tu restais debout comme un con à la regarder faire avec tes grands yeux mais tu étais incapable de bouger. Tu aurais voulu la retenir... mais cet impression violente que tu avais eu d'être une gêne te laissais complètement paralysé. T'avais l'air bien con en caleçon et en t-shirt à regarder le sol comme ça. Obnubilé par ce sentiment et tes souvenirs douloureux. Vraiment bien con. Tu étais donc si nul que ça quand il s'agissait d'exprimer ton attachement ? Tes sentiments ? Apparemment oui.
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judy sers les dents plus fort. elle fais maladroitement ses lacets. ses fringues la collent, ses yeux piquent, son estomac brulent, sa tête tambourine. y'a rien qui va la dedans. elle se met à pleurer judy, de fatigue. elle essuie ses larmes de crocodile du revers de la main. elle jette un oeil à l'autre, qu'est là, figé, debout comme un con. elle a envie d'le pousser, de taper ses petits poings de colère sur son torse en gueulant milles insultes. judy elle a mal au coeur, elle se relève trop vite, y'a des papillons devant ses yeux, elle titube un peu. elle attrape son téléphone. elle le sert fort dans sa main, comme si ça pouvait le rallumer. mais de toute façon elle a personne à appeler judy. des potes fonsdé ou des potes anti-drogue. dans son état de post-défonce, elle ne voulait ni se perché la gueule jusqu'aux étoiles, ni se faire faire la moral. elle voulait juste une épaule pour chialer sa haine tranquille en fumant un petit peu pour mieux faire passer la douleur. elle demande pas grand chose judy. mais elle finira surement ce soir après une ou deux bouteilles de vin dans les bras d'un connard fini. judy croise les bras, elle tremble, fonce tête baissée vers la porte. elle tourne la clé en sanglotant. ses fringues mouillés lui donnent froid. dans sa tête c'est la panique. elle veux juste disparaitre.
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Alors c'était ça... Ça allait être ça ta journée. Seul encore. Au lieu de prendre soin d'elle. T'avais pas envie putain. Tu la fixais de tes grandes billes vertes, complètement affolées et désemparées. Tu n'étais pas foutu capable de te bouger le cul à cet instant pourtant ton cerveau te hurlait de le faire. Bouge. Bouge Navîn. BOUGE PUTAIN. Après cette sublime engueulade avec toi-même tu te décidais à avancer. Des grands pas, le bruit de la clé t'avait fait un électrochoc. Tu posais ta main sur la porte et regardais le sol, vertige. Il fallait que tu te remettes de tes émotions avant de parler. Calme, respire... Tout va bien. "T'en vas pas." Voilà. T'as fini par le sortir ? C'était si dur que ça ?
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sursaut. il a plaqué sa main sur la porte, l’empêchant d'ouvrir. perspective de fuite éteinte. panique dans les yeux de judy incompréhension. c'est beaucoup trop dur à vivre. a des électrochocs de haut en bas dans son corps, sa gorge est serré par les larmes, ses yeux brulent à cause de maquillage bon marché, dans son crâne ça tambourine. elle tremble judy, elle a le hurlement au bout de sa langue. elle croise les bras, appuie sur dos sur le mur et se laisse glisser. assise, recroqueviller, en boule. gamine enfermée qui sanglote, partagé entre l'envie de frapper l'homme qui la retiens dans cet enfer et de se lover dans ses bras. judy est totalement perdue, elle est juste mal. probablement la pire descente de sa vie. elle tente de reprendre ses esprits mais tout va encore trop vite là haut. elle reste blotti contre ses vieux démons, enroulé sur elle même. elle murmure entre deux sanglots « pourquoi tu veux pas que je parte ? » elle a trop froid, elle a trop mal la gamine. son coeur est serré par la honte et la haine. et même s'il n'aime pas les pourquoi, il devra bien avoir une raison pour la retenir la môme.
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Excellente question pas vrai ? Tu la regardais se recroqueviller comme ça avec une sévère envie de la tirer pour la remettre au chaud sous ta couette. Qu'elle ne bouge plus et qu'elle aille bien. Mais ça tu étais incapable de le verbaliser hein ? T'étais pas capable de lui dire que tu voulais juste la protéger et qu'elle soit bien, que si tu voulais qu'elle reste c'était pour ça. Tu n'arrivais jamais à dire ce genre de choses. Alors, tu avais posé tes mains sur ton visage en retenant un peu ta respiration, pour contenir l'angoisse. Pour contenir tes émotions. Tu finis par tourner les talons et ouvrir le tiroir de ta table de nuit pour en sortir un paquet de clopes. Tu l'allumes entre tes lèvres et la tends ensuite à Judy. Tu espères qu'elle va comprendre... tu croise les doigts. Puis, tu allais chercher ta couette pour lui poser dessus, l'enrouler un peu dedans et t'asseoir à côté d'elle en silence. T'étais un putain d'handicapé social, et des sentiments. Un cas Navîn. Un foutu cas.
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