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vivre vivante (navîn)

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il y a le goudron humide qui glisse sous les baskets de judy. judy aux pupilles dilatées qui taxe une cancéreuse aux gars qui flânent entre les bars. elle rit fort avec eux, sous le nuage de fumée qui s'envole vers le ciel plein d'étoiles. des étoiles qui s'éteignent face aux lumière ardentes de la ville, fatiguées de devoir trop briller pour être vu. judy reprend son chemin, judy saute dans les flaques, judy gueule sur les poteaux de stationnement. elle a laisser ses copains derrière, au bar, elle s'est échappé pour retrouver une copine qu'elle ne retrouvera pas ce soir. trop compliqué, trop bourrée, trop défoncée. un point c'est tout. elle marche adroitement sur les bandes blanches au milieu de la route déserte, à la façon d'un funambule. un funambule aux chaussures à bascules, qui tanguent dangereusement au dessus du vide imaginaire. elle abandonne sa carrière au cirque une centaine de mètres plus loin. elle s'assoie sur le bord du trottoir, puis s'allonge. elle bloque sa cigarette entre ses lèvres comme un cowboy, passe ses deux mains sous sa tête en guise d'oreiller. judy dévisage les feuilles de ce grand arbre au dessus de sa tête, qui lui fait des signes. « je comprend rien à ta langue l'arbre ! » son tee shirt boit l'eau du bitume mouillé, ses chaussures sont pleines d'eau. judy est un poisson des rues pluvieuses.
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Tu rentrais de soirée et déambulait dans les rues. Ca faisait un bail que tu n'étais pas sorti comme ça, alors quand on t'avait proposé, tu t'étais dit que ce serait un bon moyen de pouvoir te changer un peu de tes révisions et passe-temps habituels. Tu aurais suffisamment le temps de t'y replonger plus tard. Clope au bec, capuche de ton sweat sur la tête, tu cherchais à rentrer chez toi pour enfin t'écrouler dans ton lit. Tu étais putain de crevé, ça t'avait achevé tout ça... T'avais quasiment rien bu mais c'était plutôt la fatigue qui venait creuser ton visage. Pioncer... quel beau programme à envisager... Douche et dodo. Perfect. Ouais, vraiment parf... wut ? T'étais en train de rêver ou tu voyais bien quelqu'un allongé sur le sol là ? Elle avait fait un malaise ou quoi ? Tu approchais histoire de vérifier... et là tu reconnus Judy, complètement imbibée au sens propre comme au figuré... qui causait à un arbre. Tu lâchas un soupir, jeta ta clope sur le sol...Tu te mettais alors accroupi à côté d'elle et l'observais longuement. Il serait peut-être intelligent d'ôter ta capuche histoire qu'elle panique pas et voit que c'est toi... son porte poisse. "Je crois qu'il vient de t'insulter... si j'étais toi je me laisserais pas faire." On allait bien voir ce que ça allait donner non ? Au pire tu interviendrais. En attendant... tu étirais un petit sourire.
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une ombre approche. l'homme s’accroupit au dessus du cadavre de judy. judy qui écarquillent les yeux comme si avait vu un fantôme. c'est la faucheuse qui vient la chercher, c'est évident. tous ces signes, l'arbre, le cigarette, la pluie. une théorie du complot aussi bancale que son spectacle de funambule prend place sur les planches. tragédie. « je crois qu'il vient de t'insulter... si j'étais toi je me laisserais pas faire. » judy fait la grimace. la tête de gosse qui n'a rien compris. elle se redresse, son tee shirt colle à son dos, ses cheveux dégoulinent, son maquillage coule. la réflexion est longue, il se met à pleuvoir un peu plus fort, l'arbre sourit, l'homme souffle, le vent danse, et judy ne comprend toujours rien à sa vie. sa vision est flou, les ombres se confondent, les matières s'inversent. elle tend sa main froide vers la Mort, avoir le privilège de toucher sa peau. et navîn apparais sous la capuche de la faucheuse. judy rit, un peu, puis beaucoup, à gorge déployée. « j'ai cru que t'étais la Mort. » judy ne sait pas pourquoi ni comment elle est là, elle sait juste qu'elle est trempé. mais elle saute sur ses deux jambes, son pied droit glisse sur le bord du trottoir, elle chute. elle reste étalée par terre, face contre le bitume noire. elle a envie de rire et de pleurer, partagée entre la honte et la folie. finalement, en une demi seconde, elle oublie, s'accroupit « je suis trop..fatiguée. et toi ça va ? » elle tente de sauver la face, elle a grillé toutes ses chances. elle est a découvert complet devant quelqu'un qui l'intimide. mais judy a consommé trop de substances pour calculer qu'elle devrait fuir avant de ruiner son image ad vitam eternaem. les étoiles et la galaxies se foutent de sa gueule au dessus de sa tête. et elle continue de sourire, hébétée par alcool et ecstasy.
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Tu avais eu ce mouvement de recul quand elle avait cherché à te toucher. De un, tu savais pas trop où elle avait traîné alors tu le sentais pas trop qu'elle te couvre de divers micro-organismes. Et puis de deux bah... t'avais juste pas envie qu'on te touche. Tu riais un peu à sa réplique et secoua légèrement la tête. "Perdu. En revanche... ce que t'as pris pourrait bien l'être..." Quelle idée de se défoncer la tronche avec de la merde à ce point... sérieux elle tenait pas un minimum à la vie ? T'avais jamais compris cette tendance chez la plupart des étudiants. Toi ça te passait au-dessus... tu prenais plaisir à te cramer un joint de temps en temps mais ça s'arrêtait là. Alors retrouver quelqu'un dans un état pareil... te donnait à la fois envie de laisser la personne dans sa merde, mais aussi de l'aider. Pourquoi l'aider ? Parce que tu savais comment était le monde et les gens. Et à la voir galérer comme ça à se lever, puis retomber... se faire mal... tu savais qu'il suffisait qu'elle tombe sur un type malintentionné pour qu'elle finisse en victime de viol ou d'un agression quelconque. "T'es trop défoncée surtout... Tu fais pitié Judy." Alors que tu t'étais remis debout en même temps que sa tentative ratée, tu te baissais une nouvelle fois pour lui faire passer un bras autour de tes épaules et la soulever. "Je te ramène chez moi. Tu vas choper la mort..." Ou pire peut-être... Tu commençais à marcher lentement, te calant sur le rythme de la jeune femme. Heureusement vous étiez pas super loin de chez toi... le supplice serait pas de trop longue durée, que ce soit pour la pluie ou le fait de la porter.
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judy fait rouler ses yeux, ça lui donne le vertige. c'est plus la peine de compter sur ton oreille interne judy, elle est aussi flinguée que tout ton corps à cette heure là de la nuit. les gens manquent toujours de poésie. la drogue c'est mal. élever votre esprit bordel, judy a jamais compris pourquoi les gens avaient peur de tutoyer les étoiles, marcher sur le fil de la vie, voir de nouvelles couleurs. les distorsions du monde sont les plus belles choses à dessiner. elle écoute les réprimandes d'une oreille, la pluie qui tombe de l'autre. ses yeux se baladent partout autour d'elle, son regard caresse les bâtiments, les pierres, les arbres, les vagues du bitumes. judy murmure « je vais choper la mort, je vais choper la mort...» un sourire se dessine sur ses lèvres gercées par l'alcool. « mais c'est toi la mort, je vais te choper, on va chez toi, tout s'explique..» elle rit seule de sa blague foireuse, mais elle rit fort, car elle se trouve drôle. plus drôle que tout le monde sur cette terre. elle envisage une carrière d'humoriste et se ravise vite. elle essuie ses yeux qui coulent du revers de la main. le visage de judy est lumineux, ou illuminée. elle continue de rire devant les flaques d'eau, les bouches d'égouts, les feux rouges. « c'est loin ? » judy baille, judy boite, judy fatigue, judy regarde son sauveur. il y a de la pluie sur sa peau. « il pleut sur toi un peu. » c'est l’hôpital qui se fou de la charité. judy trempée jusqu’à l'os.
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Y a une autre façon de pouvoir apprécier les distorsions du monde... qu'en se défonçant la santé uniquement dans ce but. C'est quoi cette connerie d'élever son esprit avec des substances illicites ? Sérieux si t'avais entendu Judy te dire ça... elle se serait mangé une claque verbale monumentale. Si pour elle s'élever c'est plus être capable de réfléchir, finir comme une merde dans un caniveau à tenter de parler à un arbre... bah le monde était foutu. C'était plutôt ce que Navîn appelait : tenter de fuir la réalité à tout prix. Elle le faisait à merveille. Tu te considérais ni mieux, ni moins bien qu'elle. Tu voyais juste les choses d'une façon totalement différente. Fallait dire... que tu avais cette faculté de pouvoir distordre la réalité sans drogues... et tu savais pas si c'était vraiment un cadeau. Bref... Miss ecsta causait encore, tu la regardais du coin de l'oeil avant de rire un peu : "Vu ton état... t'irais pas bien loin. Aucun intérêt pour moi." Bon sang on aurait dit une gamine pressée d'arriver dans un parc d'attraction. Heureusement qu'il restait plus que quelques rues avant de finir au chaud. Tu ne répondais pas, et la regarda juste en souriant un peu quand elle parla de ces gouttes qui cherchaient à te rouler le long du nez et des joues. "T'es adorable avec tes euphémismes." Finalement... vous aviez fini par arriver devant chez toi. Tu sortais tes clefs comme tu pouvais en continuant de la tenir... et entrait dans le hall. Tu te posais dans l’ascenseur avec elle et attendait le troisième. Plus qu'un long couloir à se taper... et voilà tu étais devant la porte de ton studio.

C'était le dernier de l'étage, au final t'avais juste un voisin au dessus, en dessous et à côté. Mais c'était celui d'à côté de le plus pénible. Coup de bol... il était visiblement pas là ce soir. Tu ouvrais la porte et trainais Judy à l'intérieur. C'était pas bien grand, environ 30m². L'entrée munie d'un placard desservait la salle de bain derrière une porte simple, blanche, et une pièce carrée. Sur le mur de droite, tu avais ton lit deux places qui trônait et ta table de nuit. Le mur du fond était orné d'une fenêtre et d'une table avec deux chaises... tandis que le mur de gauche accueillait simplement ta petite cuisine. Tu installais Judy sur le lit avant de disparaître dans la salle de bain quelques secondes... tu revenais finalement avec deux serviettes dont une que tu tendais à la jeune femme : "Tu devrais prendre une douche, ça te ferait du bien."
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judy se laisse trimballer comme une poupée de chiffon. ses yeux fatigués se ferment à moitié. elle baille, boude, la gamine. elle a envie de se lover contre le brun, comme une enfant contre sa peluche. elle a froid un peu elle grelotte. mais elle suit le mouvement sagement, l'air béat et ébahi, le regard plein de paillettes et de couleurs nouvelles. t'es adorable qu'il a dit. t'es défoncé et conne, mais adorable, c'est un joli compliment. judy prend le compliment et le mets dans sa poche, comme un cadeau qu'elle veut garder précieusement.

vous êtes arrivés, il fait chaud, c'est doux comme chaleur, on se croirait sous la couette. elle fais la tête car elle dégouline. judy veux rien abimer, elle s'est bien trop amochée elle même cette nuit. elle attend, sagement, assise. ses yeux se baladent autour d'elle, du sol au plafond. il revient, judy fixe la serviette d'un oeil vide. elle souris, l'attrape, rigole -pour rien- et trottine jusqu'à la salle de bain en sifflotant d'un air joyeux. se déshabiller sans prendre la peine de fermer la porte, ne pas se prendre les pieds dans le tapis, grimper dans la douche, allumer l'eau : brulante. c'est comme des ailes d'anges qui recouvrent son dos gelé, ses membres raidies par la fatigue. elle soupire, ferme les yeux, des cascades de couleurs tombent d'un ciel bleu aux étoiles violettes qui brillent comme des saphyr, étrange. elle ouvre les yeux, l'eau est arc en ciel, c'est merveilleux. « navîn vient voir ! » bien évidemment, dans la dure réalité, il n'y a rien à voir. les mêmes couleurs, fidèle à leur ternitude maladive. le manque de contraste est affligeant.
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Tu la laissais faire sa vie dans son coin en écoutant d'une oreille que tout aille bien. Pas qu'elle se pète la tronche et s'éclate le crâne quelque part... ce serait la meilleure ça, de devoir la traîner à l'hôpital encore en prime. Tu te posais sur une chaise et enlever ton sweat trempé en grimaçant. Ca collait et c'était franchement désagréable. Tu détestais cette sensation sur ta peau. Un soupir... et tu laissais la boule de coton noire trempée tomber sur le sol dans un bruit fort peu glamour. Tu regardais par la fenêtre en restant pensif, passant une main dans tes cheveux avant de pousser un soupir. Toi aussi... tu aurais bien besoin d'une douche pour pouvoir te remettre de tes émotions et de ta soirée... avant de t'écrouler tout bonnement. Soudain... tu entends ton prénom qui résonne, tu sors du vague où tu te refaisais le film de ta sortie. Judy... elle avait un souci ? Peut-être. Tu passais une main sur son visage encore humide pour te diriger vers ta petite salle de bain. Et tout ce que tu vis... c'est Judy avec un air béat, à poil, sous l'eau chaude. Ton visage s'habilla alors d'un air blasé, tu t'appuyais sur l'encadrement de la porte en croisant les bras : "Et je suis censé voir quoi ? Ta raie du cul ?"
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elle pointe l'eau d'un doigt innocent. mais il fait crasher son vaisseau, il passe des étoiles à la terre à la vitesse de la lumière. pas le temps d'un souffle, violence de la réponse. déception. « t'es bête. l'eau était...laisse tombé. » elle en devient presque touchante avec ses rêves d'enfants. elle fait la moue, croise ses bras sur ses petits seins tout ronds. l'eau est redevenu translucide, morne, sans saveur. terni par la vie qui passe, un peu comme navîn. elle se décale de dix minuscules centimètre. l'eau continue de tomber sur sa tête, de brulé ses cheveux et sa peau. désinhibé par les substances, le peu de pudeur qui lui restait venait de s'évaporer dans la vapeur de la douche. « tu veux pas te doucher ? toi aussi tu es trempé. et froid. » elle attrape le shampoing, en verse trop sur sa main, et écrase le tout sur ses cheveux dreadés par la flemme quotidienne du brossage et la pluie pollué. ça mousse, ça bulle. l'air béa revient. celui qu'il doit détester. elle souffle sur les nuages dans ses mains. ils s'envolent. elle repasse sous la cascade. ça disparait dans le siphon, la mousse. elle ne sait même plus si navin est encore là ou pas, elle continue de danser la java dans sa tête pleine de visions miraculeuses. elle sors de la douche, s'enroule dans une serviette, dégouline sur le carrelage. ses yeux de pandas sont fermé, le mascara lui pique les pupilles. elle fait peine à voir la gamine. mais elle sourit encore. elle gueule dans le vide, sans savoir si navîn est là ou autre part « t'as des fringues pour moi hein dis ? »
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Tu haussais un sourcil en attendant la suite... quand elle sembla abandonner. Un soupir, c'est tout ce que tu produisis avant de lui répondre : "J'irai quand t'as fini. T'en fais pas pour moi." Tu l'observais se faire un shampoing... et laissais finalement tes yeux se perdre un peu dans le vague. Elle semblait tellement béate... est-ce que c'était bien la solution ? De se shooter pour en arriver à ce stade ? Est-ce que ça pourrait être ta solution aussi ? A faire taire toutes ces pensées et ta grisaille ? Nan. Nan, t'avais pas envie de tomber là-dedans. Absolument pas. Les joints... les joints étaient assez des saloperies comme ça, tu n'allais pas commencer autre chose. Tu n'allais pas trouver un substitut à ces sessions d'évasion que tu savais vivre sans ces conneries. Elle t'interpelle, tu relèves les yeux et te retournes sans rien dire. Tu vas chercher un jogging et un t-shirt dans ton armoire avant de lui ramener. "Enfile ça et va te pieuter, je te rejoins." Tu enlevais ton t-shirt et le laissais rejoindre les fringues de la miss au sol... avant de te retourner vers elle : "Tu comptes rester là à admirer le paysage ou... ?"
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