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vivre vivante (navîn)

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judy serre les poings, elle étire ses jambes, sortant de son demi-sommeil pensif. pourquoi ? pourquoi y a t'il toujours des pourquoi. tout doit être expliqué, c'est affolant. judy se met sur le côté, face à navîn. elle croise son regard vert. il s'est adouci. ses yeux sont plus ronds, plus innocents. il n'analyse plus, il demande vraiment une réponse. « je ne sais pas. j'ai envie, c'est tout. » elle apprécie sa présence, son regard, ses lèvres, la douceur de ses mains, l'agencement des meubles, l'odeur des draps, les couleurs de ses fringues. c'est stupide, mais judy se sentait bien avec son chat noir. apaisée. et puis connement, elle se disait que le destin l'avait fait chat noir avec elle pour qu'ils se remarquent. car judy passait un peu trop de temps devant le telenovela en ce moment. chacun ses faiblesses. judy se rapproche de lui, elle passe le bout de ses doigts dans ses cheveux, puis sur sa joue. son index fait le tour de sa bouche. judy passe se mordille la lèvre, elle sourie doucement. douce, rassurante. elle sent la fatigue qui l'emporte un peu, ses yeux luttent. mais elle ne veut pas dormir, pas maintenant. elle a peur des lendemains sans saveurs. sa main vient attraper celle de navîn, encore. elle glisse ses doigts dans les siens. judy vient coller son front contre celui du brun, elle ferme les yeux. elle profite juste de ce petit moment de tendresse et d'intimité.
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Envie. C'est tout... cette réponse ne te satisfait absolument pas. Tu es quelqu'un qui a besoin de factuel, de logique, de choses concrètes sur lesquelles s'appuyer. Une raison est-elle concrète ? Pas vraiment, mais elle offre quelque chose de tangible, quelque chose sur quoi s'appuyer pour l'esprit contextuel et visuel qu'est le tien. Un petit frisson te prit quand elle passait ses doigts dans tes mèches courtes. Tendresse inattendue alors que tu pensais terminer seul chez toi ce soir. Tu fermais lentement tes yeux dans un petit soupir en te laissant juste aller à ta fatigue et à ce sentiment de bien-être que ces petits gestes faisaient naître chez toi. Tu avais franchement besoin de dormir. Les paupières de tes grandes billes refusaient de se relever. Et, comme dans un instinct incontrôlé, tu t'étais rapproché d'elle et avait lâché sa main pour l'entourer de ton bras. Un étreinte, rien de plus, juste... une étreinte, un peu de chaleur. Tentais-tu de faire fondre la glace ? Peut-être un peu... peut-être bien. Certainement. Sommeil... tu avais sommeil...
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judy sent le bras de navîn qui entoure sa taille. elle est dans un demi sommeil. elle pense à eux, à cette soirée, tout à rien, à maintenant et à plus tard. ça tambourine encore un peu dans sa tête. les basses profondes de la musique du bar résonnaient encore dans sa boite crânienne. des gens qui dansent. judy se rapproche, elle blottit son corps entier contre le sien, elle emmêle leurs jambes, glisse son visage dans le cou de son hôte/  elle recolle le peu de morceaux de puzzle qui lui reste de sa soirée mouvementée. elle revoit une dernière fois l'eau arc en ciel de la douche, les flaques d'eau sur le chemin, l'arbre qui danse. elle s’endort, rêve de vagues édulcorées. ses songes sont décousues, elle s'y perd, s'y retrouve. beaucoup plus tard elle ouvre un oeil, il fait jour. mal de crâne. elle se rendors presque aussitôt.

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Tu la sens bouger contre toi, se blottir un peu, se rapprocher et chercher ta chaleur. Tu la laisses faire dans un demi-sommeil avant de finalement totalement sombrer. Tu rêves toujours beaucoup quand tu dors, tu cherches à résoudre des problèmes rencontrés, tu revis des moments plus ou moins lointains de ta vie. Là, tu rêvais juste de ta discussion avec Judy, de ce qui t'avait plongé dans tes pensées un peu plus tôt. Tu cherchais ton fil rouge en dormant, tu en trouvais plusieurs, tous complètement discontinus. Etais-tu vraiment comme ça ? Complètement perdu et sans fil conducteur ? Pouvais-tu seulement en trouver un... ? Tu cauchemardais plus qu'autre chose en réalité. Ca ne t'étais pas forcément agréable. Ton sommeil était léger, et quand les premiers rayons du soleil vinrent te lécher le visage par ta fenêtre, tu grimaças pour ouvrir ensuite tes billes vertes. Pâteux, tu étais pâteux, engourdi, endormi. Tu te remettais un peu les idées en place et constata Judy contre toi. Instinctivement tu resserrais ton étreinte et laissais ton corps et ton esprit se réveiller tranquillement, murmurant alors un simple : "Bonjour..." Pour lui signifier ton réveil.
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on étreint judy. elle fronce les sourcils, s'étire sans ouvrir les yeux. et puis elle entend une voie. perplexité. ses neurones se connecte petit à petit dans sa boite crânienne. migraine. elle se retourne en marmomant des mots qui ne ressemblent à aucune langue connue. peut être celle du sommeil. elle est là, dos à lui. et d'un coup elle ouvre les yeux. de grands yeux, tous ronds, tous vert. trou noir. et puis, au terme de quelques secondes qui lui paraissent une éternité, des souvenirs naissent. le bar, la rue, l'odeur du bitume mouillée. elle baisse les yeux vers ses fringues. ce sont ceux..du chat noir. sa main vient frotté son visage. elle émerge doucement. sa tête s'engueule avec son estomac. son corps est monté à l'envers ce matin. elle se rappelle plus des détails judy. elle tente de reconstituer un puzzle. il lui manque la moitié des pièces. elle se retourne vers navîn, visiblement gênée. sourire penaud. « salut !...» elle ne sait pas avec quoi enchainer. elle commence à se dire qu'elle regrette de ne pas s'être réveillé alors qu'il dormait encore. elle aurait filer à l'anglaise. les excuses auraient été pour plus tard. « euh...t'as du café ? » judy boit jamais de café. elle aurait mieux fait de demander une aspirine.
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L'arbre se réveille à côté de toi. Après une soirée à se prendre des châtaignes chimiques et à finir comme un gland sur le trottoir. Tu l'observes bouger sans vraiment réagir. T'as déjà eu des lendemains difficiles où tu savais plus du tout ce que tu avais fait la veille. Où ton esprit luttait pour recoller les morceaux. Alors tu la laissais tranquillement faire. Gêne... Pourquoi elle était gênée ? T'étais trop dans le gaz pour analyser et trouver une réponse. Filer à l'anglaise... C'était sa pensée que tu pouvais pas capter. Mais si tu avais été capable de lire dans son esprit... Tu lui aurais certainement souhaité bon courage. Tu entendais tout, sentais tout. Donc... Tu aurais su qu'elle se serait barrée avec ton sommeil de merde. Peut-être que tu l'aurais retenue alors. Peut-être pas... Va savoir. Elle te pose une question alors, tu te mets sur le dos et te frottes les yeux en laissant ton cerveau te faire tout l'inventaire de ce que tu as dans les placards et de leur emplacement exact. Et bingo... Café. "Bouge pas." Tu bailles à t'en décrocher la mâchoire et t'étires un peu avant de te lever de ton lit pour aller faire ce fameux café. Tu fais chauffer de l'eau dans une casserole, prends ta petite cafetière façon Bodum et fout quelques cuillères de poudre marron dedans. T'aimes bien l'odeur, ça te fait du bien. Et pendant que ça chauffe tu pose deux tasses sur la table, deux couteaux, du pain de mie et le Saint Nutella. Tu te poses sur la chaise, souffles un coup et l'observe : "Doliprane ?"
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judy s'assoie en tailleur et hoche la tête. elle en avait bien besoin. son petit corps est engourdi, la chaleur des étreintes maladroites de la nuit lui manque. les souvenirs de la veille sont flous. elle se demande s'il se sont embrassé, un peu ou beaucoup. peut être pas du tout. elle se lève et viens s'asseoir à table. judy regarde le petit déjeuné devant elle. tout son être lui cri de décamper, de retourner dormir chez elle toute la journée. elle passe ses mains dans ses cheveux, commence a se masser le crâne. elle tousse. traîner la nuit sous la pluie en t shirt n'était pas une idée de génie. « merci de m'avoir ramener... » sourire désolé. « c'est gentil.. » judy étire ses bras vers le plafond, tente vainement de faire craquer son dos. la fatigue. la léthargie n'est plus très loin.
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Tu l'observes un peu, silencieusement. Elle doit certainement se demander ce qu'il s'est passé entre vous deux, toi tu sais... tu te souviens. Et un seul mot sert à définir cette nuit : rien. Juste une étreinte, un baiser maladroit sur le coin des lèvres. Tu te lèves et va dans ta salle de bain pour chercher une plaquette de paracétamol... pour finalement revenir et la mettre à table à la place de la demoiselle. Elle te remercie, tu ne sais pas quoi répondre à ce genre de trucs... tu n'as jamais vraiment su alors tu te contentes d'un vague sourire et de reposer tes fesses en face d'elle. Lentement, tu viens chercher une tranche de pain et commence à faire une tartine, tu bailles de nouveau et la pose devant Judy. L'eau bout, il est temps de faire ce fameux breuvage salvateur des lendemains de soirée : le café. Tu t'appliques, remplis la cafetière et l'amène à table avant d'appuyer lentement sur le petit bout rond pour tasser la poudre de café moulu. Tu remplis la tasse de l'endormie, puis la tienne avant de lâcher : "Il s'est rien passé." Au moins comme ça elle allait simplement arrêter de se torturer.
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judy regarde le monde avec des yeux d'enfants qui n'y comprend rien. elle prend la plaquette de médicaments dans la main, en sors un, tout doucement, au ralenti. judy est au ralenti ce matin. plus les minutes passent, plus elle regrette le réveil. elle aurait du s'enfermer sous la couette deux heures de plus. judy louche sur la tartine, marmonne un merci. elle baille, frotte ses yeux brillants. elle regarde sa tasse de remplir. judy s'empare de plusieurs sucres et les plonge dedans. ça cachera l'amertume, et ça réveillera son cerveau léthargique. il lâche qu'il ne s'est rien passé. judy remonte ses yeux interloqués sur lui. « oh.. d'accord. » elle remue son café à la cuillère. « je..t'ai raconté des trucs spéciaux ? enfin mon état, ça allait ? je..me souviens de pas grand chose. »
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Une gorgée dans l'espoir que la caféine vienne un peu contrebalancer ta courte nuit. Tu laisses le café descendre dans ta gorge et te fais une tartine à ton tour. Tu as toujours adoré cette saloperie chocolatée, la noisette et le chocolat... pour toi c'est un peu le mélange le plus parfait qu'il puisse y avoir sur cette planète. Alors t'en bouffes quitte à crever d'un cancer. Tu veux pas te priver toute ta vie... parce qu'elle sera courte, et que t'en as qu'une. Autant ne pas se torturer non ? Tu le faisais déjà assez par ailleurs. Elle te posait deux trois questions, comptant sur toi pour pouvoir reconstituer un peu le puzzle de sa soirée. Tu haussais les épaules et avalais ta bouchée avant de répondre : "Rien de spécial. On a refait le monde, les gens. Et on a fini par s'endormir." Tu baissais les yeux vite fait et faisais l'ellipse du passage où vous vous étiez rapprochés, parce que l'attachement te fait peur... et que malgré toi tu avais été attendri et en position de faiblesse devant elle. C'était ton plus grand démon, te briser encore en t'attachant encore.
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