Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOnly know you love her when you let her go ❤ PRIALYA - Page 4
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Only know you love her when you let her go ❤ PRIALYA

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Une fois notre petit toast porté, Priape bu un peu de sa bière sans se laisser décontenancer par ce qu'il se passait sous l'eau, tant mieux, puisque je n'avais pas franchement envie de me retrouver avec de la bière dans la figure si la surprise l'avait fait recracher. Alors que nous parlions des coutumes, de l'économie, de tout ce qui tournait autour de mon pays, le jeune homme était très attentif, trop attentif pour être honnête même. Ca cachait quelque chose. Il était bien trop concentré à ne pas se laisser déconcentrer et pourtant il était incapable de faire une phrase de plus de quelques mots. Quand il se redressa pour me parler de la Grèce, un petit sourire étira mes lèvres en le voyant bredouiller. C'était plutôt drôle de le voir perdre légèrement ses moyens mais ce n'était pas non plus ce que je voulais : je voulais qu'il craque, qu'il vienne vers moi et que sans aller à ce que nous ne devions faire que sur le sol américain, on partage plus qu'un court baiser interrompu par une justification bidon de l'un de nous deux. Oui oui, et l'un et l'autre, nous sommes les rois des excuses bidons, nous nous sommes bien trouvés sur ce point là. Je l'écoutais tout de même parler de la Grèce, de sa richesse comme de sa pauvreté, du fait que ça soit plutôt bien visible et séparé alors qu'ici tout est mélangé. « D'accord je vois ! Ici les riches et les pauvres vivent ensemble ! En fait quand ils construisent les immeubles, tu achètes la superficie que tu veux et ils te livrent un plateau, tu dois encore rajouté de l'argent pour monter les cloisons que tu veux, faire la décoration que tu veux... Enfin tout aménagé à l'intérieur... Du coup dans mon immeuble il va y avoir des appartements comme celui de mes parents et des autres bien plus petits et en bien moins bon état. » Forcément l'appartement de mes parents n'étaient pas des plus luxueux puisque mon père s'était barré quand j'avais treize ans et que les salaires réunis de ma mère, de mon frère et de moi lorsque j'avais travaillé temporairement n'avait suffit qu'à payer les charges et faire l'entretien minimum, mais bien entretenu et rafraichi ce serait un appartement qui vaudrait une bonne somme ici. J'étais assez fière de moi, assez fière de tenir cette discussion malgré tout le coeur que je mettais à le déconcentrer. « Je vois rapidement qui s'est mais je crois que je ne lui ai jamais parlé ! Elle est grecque aussi ? » Je ne peux pas connaitre toute la confrérie, même en étant la présidente, mais savoir que Priape la connait et qu'ils viennent peut être du même endroit est intéressant, je pourrais en savoir plus qu'il ne veut bien me le dire sur lui. « Ah oui et tu faisais quoi en Grèce alors pour faire succomber tes nombreuses conquêtes à ton charme ? » Lui dis je alors que mon verre revenait à mes lèvres pour boire un peu de limonade. Je voulais bien une petite démonstration de ses talents, une petite démonstration de sa manière de procéder quand on n'a pas le plaisir d'avoir un bain de ce genre sous la main pour passer un agréable moment.
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 Les apparences étaient trompeuses, malgré l’air vivement concentré que j’affichais, je n’étais pas fichu d’aligner trois mots quand elle me questionna, mais je retrouvais vite ma contenance, histoire qu’elle ne jubile pas trop longtemps de l’effet indéniable qu’elle me faisait. Donc me reprenant, j’évoquais la fracture entre deux mondes, le luxe et la pauvreté, les riches et le reste de la population, ce contraste étant encore plus marqué encore aujourd’hui avec la crise, même si depuis les hôtel trois étoiles, les touristes qui arpentaient mon pays et ses îles de rêves ne réalisaient probablement pas tout ce qui s’y jouait. Talya m’expliqua que les choses étaient moins flagrantes ici, pas de séparation, plus de mélange malgré l’hétérogénéité, m’expliquant comment fonctionner le développement immobilier et comment donc dans un même bâtiment, des familles de différents milieux sociaux pouvaient se retrouver voisines. « Ouais bah l’appart de tes parents, faudra peut être souffler à ton père de refaire la salle de bain… » Enfin, ce ne serait surement pas moi qui me risquerais à le faire –Hey, monsieur Blackburn, j’ai presque violé votre fille sous la douche et on a trouvé que ça serait drôlement plus pratique de monter une douche à l’italienne à la place…- Bref, plus sérieusement, son père avait les moyens alors il pourrait bien investir un peu dans cet appart, même si désormais il ne servait plus que de pied à terre lorsqu’ils retournaient dans leur ville d’origine. « Mais sinon, je vois ce que tu veux dire. Et je trouve ça très bien… La mixité c’est ce qui manquait dans certains quartiers par chez moi… » Est-ce que ça aurait changé certains des mauvais choix que j’avais pu faire si mes voisins n’avaient pas été principalement des dealeurs ou des voyous ? Peut être… Mais j’avais eu aussi des amis plus fréquentables comme Sixtine que j’évoquais là. « Elle est d’athènes, on se connaît depuis qu’on est mômes, c’était un peu comme une deuxième petite sœur pour moi… » Même encore aujourd’hui, on aimait se confier l’un à l’autre. « Faudrait que je te la présente officiellement quand même… » J’allais dire –quand on sera rentrés- mais puisque j’étais censé ne pas le savoir, je n’ajoutai rien. Bref, je concluais que ce genre de moment était inédit, que ce n’était pas du tout les activités que j’avais pu avoir lorsque je vivais encore là bas, bien qu’il y avait surement des jacuzzi dans les hôtels luxueux pour touristes fortunés. Talya s’amusa alors à me questionner sur ma technique pour faire succomber les filles alors. « Je vais te montrer attends… » Je saisis doucement son pied, l’empêchant de poursuivre son petit manège. « Y’a pas qu’avec des jets et des remous qu’on peut réussir à se détendre tu sais… » Oui y’avait bien d’autres façon de se masser, et je n’avais pas eu besoin de jacuzzi ou autres pour faire tomber les résistances des jolies grecques à ma jeune époque. Mais pour commencer chastement, mes doigts commencèrent par masser délicatement la plante de son pied toujours prisonniers, remontant doucement le long de sa cheville ensuite.
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« Tu n'aimes pas la proximité que l'eau froide et l'étroiteté de la douche t'ont permis d'avoir avec moi hier ? » Je fais la fille surprise, étonnée, peut être même un peu vexée par cet aveu même si je sais qu'il ne pense pas du tout à cela. « Mon père n'a pas remis les pieds dans cet appartement ni même dans ce pays depuis mes treize ans alors je doute qu'il en ait quelque chose à faire... Mais promis je lui en toucherai deux mots pour que notre futur confort soit amélioré. » A mon tour j'allais dire que ça serait mieux qu'il refasse un peu l'appartement et notamment la salle de bains pour nos futures vacances en famille, mais j'étais celle qui avait instauré la règle de ' faire semblant qu'il ne sait pas encore que je rentre avec lui demain ' alors le minimum c'était que je m'y tienne, même si je m'en mordais surement autant les doigts que lui avec sa règle du sol américain. M'enfin, j'étais quand même concentré sur notre conversation, autant que je pouvais l'être, alors tout ce qui pouvait me traverser l'esprit passait rapidement au second plan quand mon attention se reportait sur lui. « Comme on se ressemble sur pas mal de points, je suppose que tu appartenais à la classe plutôt basse ? » Oui parce que mes valeurs se rapprochaient de celles de gens qui ont galéré dans leur vie, qui connaissent la valeur de l'argent et n'en envoie pas par la fenêtre gratuitement. Mes parents faisaient peut être parti de la haute ici, ils étaient propriétaires d'un appartement assez grand pour les prix qui sont pratiqués dans l'immobilier, mais quand mon père nous a quitté, je suis redescendue en bas de l'échelle n'ayant pour confort que cet appartement qu'il a eu la bonté de nous laisser. Quand j'ai déménagé avec mon mari, je me suis contentée de plus petit, on s'est contenté de ce qui nous suffirait et ce qu'on pourrait payer avec nos revenus. Du coup, voilà, je sais ce que c'est que de galérer. « Ca me ferait plaisir de l'entendre me raconter des anecdotes sur ton enfance oui ! » Je lui fais un clin d'oeil plein d'envie... Envie d'en savoir encore plus mais aussi envie de lui... Surtout quand je viens à sentir sa main se refermer sur mon pied sans que rien ne parasse sur son visage. Ok il est aussi fort que moi à ce petit jeu. Quand il dit qu'il allait me montrer, je sentis la chaleur monter jusqu'à mon visage, si je n'étais pas encore rouge écarlate avant cela, maintenant ce doit être le cas. En outre, si lui a réussi à être impassible à part quelques bafouillements moi je suis complètement incapable de dire le moindre mot quand il commence à me masser le pied puis qu'il remonte jusqu'à ma cheville... Doucement, sensuellement, délicatement. Sa main continua sa remontée jusqu'à arrivée à ma cuisse et reprenant un minimum de contenance je finis par lui dire : « Vous trichez Monsieur Zacharias... Vous employez des méthodes de relaxation qui ne sont pas ... » Pas légale ? Non impossible de dire cela. « Pas répertoriées... » Oui non là il m'avait perdu. Je me mordis la langue avant de reprendre : « Je ne suis pas sûre non plus que la règle du ' on fait comme si on ne savait pas ' est répertoriée... Du coup je crois qu'on peut... L'oublier ? » Profiter de lui et moi, d'un tête à tête en amoureux ce soir, ça faisait rêver quand même depuis le temps que je l'attendais !
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« J’ai pas dit que ça m’avait pas plu… » répondis-je alors, tout en me faisant la réflexion qu’elle était forte de remettre cette scène sur le tapis, précisant maintenant, alors que je galérais déjà à me contenir. « Je me dis juste que pour le bain des petites ça serait beaucoup plus simple dans la salle d’eau plutôt que dans la cuisine. » Ca éviterait un quart d’heure de serpillage en tout cas. Oui voilà, penser pratico-pratique, ça allait calmer mes ardeurs, plutôt que de revivre mentalement le moment où je m’étais emparé de sa bouche, ou son corps moulé dans ses habits trempés s’était collé au mien, lorsque j’avais été à deux doigts de la déshabiller… Non, penser à autre chose c'était mieux. Et parler de monsieur Blackburn, ça avait le chic pour faire redescendre la pression. Talya allait suggérer à son père l’idée de quelques travaux. Bon, c’était surtout et avant tout pour les filles, parce que je n’étais pas quelqu’un d’exigeant. J’avais appris à me contenter de ce que j’avais, c’était aussi pour ça que ma chambre à la confrérie, la salle de bain commune qui allait avec, la cuisine que l’on partageait tous là bas, ça n’avait rien d’une contrainte pour moi. C’était déjà bien plus luxueux que l’appartement athénien dans lequel on s’entassait quand j’étais môme. « Je bois de la bière, on dit que c’est le champagne des pauvres non ? » fis-je en levant un instant ma bouteille pour en reprendre une petite gorgée, en guise de réponse à sa question sur mon milieu social d’origine. « Disons qu’il y avait mon père qui trimait, ma mère qui nous élevait, on était cinq, ma sœur était malade… Donc un salaire pour tout ce petit monde, ça pesait pas bien lourd… » Et pourtant quand je parlais de cette époque, quand ma petite soeur était toujours là, mon ton prenait toujours cette teinte nostalgique inqualifiable. Parce que depuis la famille avait clairement été brisée en éclat, et c’était dans de tels moments qu’on réalisait que la véritable richesse ce n’était pas l’argent. Une famille unie valait bien plus chère qu’un foyer riche mais qui se déchirait. Nous, nous n’avions plus ni la cohésion, ni l’argent, même si à force de travail, mon statut d’étudiant méritant et boursier ainsi que ma paie d’interne m’apportaient un petit pécule non négligeable. Peut être que c’était mon manque d’habitude à posséder de l’argent qui me rendait d’ailleurs si propice à le dépenser bêtement… « On va devenir médecin toi et moi, je trouve que c’est une belle vengeance non ? » Si on parvenait à terminer nos études, on aurait une jolie situation, une bonne place, un travail assuré. Et ça serait la preuve que même en partant d’en bas, on parvenait à se faire sa place en bossant. Quand je parlais ensuite de Sixtine, Talya s’amusait d’avance des anecdotes qu’elle pourrait entendre à mon sujet… « J’ai le droit d’avoir peur là ? » Je n’avais pas été un enfant de cœur par le passé alors… Ca, elle s’en doutait surement, et si elle ne l’avait pas encore compris, je m’adonnais à une petite démo de ma technique de masseur pour les faire succomber. Saisissant d’abord sagement son pied, le massant doucement, remontant lentement au niveau de sa cheville, son mollet, m’attardant sur son genou pour arriver finalement à sa cuisse dans un massage qui n’avait plus grand chose de chaste pour le coup… Talya sembla retrouver ses mots pour me stopper, brandissant le fait que je trichais, que ma méthode de relaxation n’était pas répertoriée. « Tu voulais savoir alors je te montre… » répondis-je innocemment avec un petit sourire. Finalement, la demoiselle conclut que la règle imposée de faire comme si elle ne m’avait pas annoncé son futur retour n’était pas non plus répertoriée, qu’on devrait l’oublier aussi. « Ca me va… » Mon sourire s’élargit, alors que mes doigts reprirent un instant leur danse le long de sa cuisse. « Dis moi tout ce que tu vas avoir envie de faire une fois que t’auras retrouvé le sol américain ? » Ouais, et peut être qu’on pourrait même prendre un peu d’avance sur toutes ces choses là, abroger aussi cette règle ci, puisque désormais c’était certain qu’elle rentrait…
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« Il est vrai qu'il serait plus confortable que la pièce soit plus grande... Puis rien n'empêche les rapprochements ! » Quand on veut on peut il n'y a pas besoin d'attendre que les occasions se présentent, on peut les créer. Avec ma maladresse, il faut aussi dire que les opportunités se présentent souvent, même dans une grande douche j'aurais toujours besoin de Priape pour me rattraper ! Vraiment il faudrait que j'en parle à mon père, pour y vivre ou pour y passer des vacances, ces petits travaux ne seraient pas de trop. Enfin, encore fallait il qu'il rentre de son séminaire ou plutôt de ses séminaires. Il n'avait été que très peu présent à Cambridge depuis début décembre, ça ne me dérangeait pas, mais avec le cancer de ma mère, je ne le trouvais vraiment pas fin... C'était mon père, j'allais toujours de déception en déception avec lui alors après avoir découvert qu'il avait eu une idylle avec la mère d'Andrea pendant des années, je me demandais bien ce qu'il allait pouvoir me sortir cette fois. « Tu bois de la bière parce que tu aimes la bière ! » Et son compte est dans le rouge parce qu'il préfère profiter de la vie que de faire des économies comme les petites souris et se retrouver enterré dans un cercueil en or. C'est la vie qui l'a fait devenir comme ça, j'espère juste qu'il saura faire moins folie si on vient à former un vrai couple, enfin avec l'économie de chauffage qu'on va faire à l'appartement il aura peut être de quoi dépenser un peu. Mon petit sourire s'effaça quand Priape évoqua son passé suite à ma question, sa soeur, son ton nostalgique... Je comprenais que ce n'était pas forcément des souvenirs agréables à remuer. « Je suis désolée d'avoir demandé ça Priape... » Je ne voulais pas le rendre nostalgique et encore moins triste ! « On aura eu notre belle revanche sur la vie oui ! » Et au moins on ne devra pas notre diplôme à l'argent de nos parents bien que mon père soit un médecin influent de l'hôpital de Cambridge et reconnu dans le monde entier. J'étais surement un peu favorisé par cela dans mon contact avec mes collègues mais je prenais un malin plaisir à faire mentir les gens qui pensent que je réussis juste grâce à lui, je réussis parce que j'aime ce que je fais et que je réussis ce que je fais, pas pour une autre raison. « Si tu soudoies Sixtine je pense qu'il n'y a pas à avoir peur, mais j'aimerai connaitre tous tes petits secrets alors si tu pouvais éviter de le faire ça serait mieux... » Il connait presque tout de moi alors oui je veux savoir ce qu'il a vécu parce qu'il reste quand même très mystérieux sur tout ce qui tourne autour de son enfance. Les grandes lignes me convenaient avant, mais ça c'était avant, maintenant je veux les détails, c'est le renouveau, les exigences changent, comme les règles. Je n'ai aucune envie qu'il continue de faire comme s'il ne savait pas, tournant sans cesse autour du pot. Alors quand j'abroge ma règle d'il y a quelques minutes, il ne se fait pas prier pour l'accepter. Sa main remonte encore plus et je mordille ma lèvre inférieure alors qu'il se rapproche. Toujours aussi angéliquement je viens à lui dire : « Une fois sur le sol américain... Je veux... Défaire mes valises... Aller voir ma mère avec les filles... Et pour le reste je crois qu'il faut me montrer l'exemple... J'avais un invité plutôt inspiré hier mais il a pris la fuite... J'aimerai être rassurée sur le fait qu'il ne refera pas cela... » Les doubles sens de ma phrase étaient voulus. Je voulais que ce soit lui qui craque et me dévore autrement que des yeux, mais je voulais aussi qu'il me rassure sur ses intentions, qu'il ne les changerait pas une fois rentré, qu'il se laisserait toujours aller à ses pulsions, à ses envies, à ses sentiments tout simplement.
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« Rien n’empêche les rapprochements en effet… » Enfin rien, à part nous mêmes et nos excuses, nos principes, nos règles… Notre trouille aussi surement. Au final, je devinais plutôt bien qu’elle flippait un peu, vu comment notre dernier rapprochement au summer camp c’était terminé… J’avais joué au con ce jour là, en baissant ma garde et en cédant à la tentation alors que j’étais loin d’être prêt à reprendre notre histoire avec elle à l’époque. Bien sûr, aujourd’hui, c’était dans un tout autre état d’esprit que j’envisageais les choses. Mais elle n’était pas dans ma tête, alors elle était en droit de douter de mes intentions. On évoqua ensuite nos origines modestes, et rapidement, comme toujours lorsque je parlais d’Athènes et de ma famille, mon ton et mon regard s’éprirent de nostalgie, ce que mon interlocutrice nota aussitôt. « Hey, t’excuse pas, t’inquiètes… » la rassurai-je en essayant de retrouver vite mon sourire. Ouais pensons à notre revanche sur la vie, ça valait mieux. Je parlais un peu de Sixtine aussi, mon amie d’enfance également à Harvard et plus précisément membre de la DH. Talya envisageait même déjà de la questionner ce qui me fit manifester mes craintes. « De toute façon, Sixtine ne sait pas tout… » répliquai-je avec un petit air amusé, avant de reprendre plus sérieusement : « Et puis, si tu veux savoir quelque chose, c’est mieux si tu me demandes directement. » Elle avait appris pour Caly et moi via Jasper, appris pour Elia et moi par Théo, j’avais retenu la leçon et je préférais que les zones sombres de ma vie ne lui soient pas révélés par d’autres bouches que la mienne. C’était un nouveau départ, donc, une chance pour moi de ne pas reproduire mes erreurs. Puis c’est sur un tout autre versant que se poursuivit la discussion. Ma main parcourait sa jambe en un massage ressemblant de plus en plus à une caresse. Me stoppant au niveau de ses cuisses, m’approchant d’elle un peu plus, je lui demandai ce qu’elle ferait une fois rentrée : défaire ses valise, aller voir sa mère avec les filles, et pour le reste elle ne se mouillait pas vraiment, réclamant un exemple avec son petit air angélique, comme si elle était trop innocente pour envisager la suite. Elle parla d’un invité inspiré qui avait pris la fuite. « C’est un crétin ton invité… » soufflai-je en souriant et en baissant les yeux. Je relevai la tête ensuite pour plonger mon regard dans le sien en reprenant la parole : « Et bien moi, une fois sur le sol américain, j’aimerais défaire... » Pas ma valise, parce que pour ma part je n’avais qu’un pauvre sac. Non, ce n’était pas pour cela que je m’amusais à reprendre ses mots. Je continuais ma phrase tout en laissant glisser mes mains sur son corps, remontant jusqu’à son cou, mes doigts s’amusant avec la ficelle de son maillot de bain. « …défaire chaque attache de tes vêtements… » Je m’avançai un peu plus, approchant mon visage du sien, ma bouche à quelques centimètres de son oreille, je lui soufflai la suite de mes plans pour notre retour : « …Embrasser chaque partie de ton corps… » Pour finalement avouer ce dont je mourrais d’envie : « Et te faire l’amour toute la nuit… » Je fondais finalement sur sa bouche, mes lèvres se posant sur les siennes avec passion, incapable de me dominer plus longtemps.
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Rien ne les empêche à par nous, enfin ça c'était hier puisqu'il me semble qu'aujourd'hui les choses ont changé ou vont changer... Je ne pense pas réussir à me retenir et le repousser encore très longtemps, et je sais que même si lui le fait, sa résistance tomber rapidement, en insistant un tout petit peu. Enfin pour le moment son ton nostalgique quand il parle de son passé et de sa famille n'offre pas du tout un contexte propice à un rapprochement. Mais bien vite on parle de Sixtine et des petits secrets qu'elle pourrait me révéler et le ton se détend. Je suis aussi agréablement surprise quand il me dit que je peux aussi lui demander. Je fixe alors mon regard dans le sien pour lui dire : « J'aimerai bien que toi tu te confies à moi sans que j'ai besoin de demander... Que tu me racontes et que je n'ai pas besoin de te tirer les vers du nez ou le faire à Sixtine... » Clairement, j'ai détesté me retrouvé face à une réalité que je ne connaissais pas quand Théo m'a dit que Priape et Elia avaient couché ensemble et il en a été de même quand Jasper m'a révélé que Calypso avait été une histoire importante pour Priape. La preuve, ça m'avait fait peur et de là tout était parti en live. « J'ai pas envie qu'on connaisse à nouveau de crise Elia ou Calypso tu vois... » Je voulais qu'il voit que je comprenais ce qu'il voulait dire, que je comprenais là où il voulait en venir vraiment et que je ferais tout pour empêcher ça. Alors oui, je lui réclamerai les informations s'il ne les donnait pas, il pouvait compter sur moi. D'ailleurs je comptais bien lui soutirer certaines informations maintenant... Des informations sur ses intentions quant à moi, à mon corps... Tout ce genre de choses quoi. Le jeune homme s'approcha de moi et à son tour, il lista ce qu'il avait envie de faire en imageant chacun de ses mots. Sa main remonta dans mon dos alors qu'il voulait défaire mon haut de maillot de bain, sa bouche se rapprocha encore quand il parla d'embrasser chaque partie de mon corps et quand il avoua clairement avoir envie d'unir nos deux corps ses lèvres vinrent trouver les miennes sans plus aucune retenue. C'était un baiser plein d'amour, de passion de fougue, la fougue de deux personnes qui se laissent enfin aller à leurs sentiments, leurs envies. Mes lèvres dévorent celles de Priape et ma bouche s'entrouvre légèrement pour que ma langue aille à la rencontre de la sienne alors que mes mains se glissent dans son cou, dans ses cheveux, de partout pour intensifier notre baiser, pour le rapprocher de moi, pour m'accrocher à lui afin d'être sûre qu'il ne parte pas, qu'il ne parte plus. Quand notre baiser s’apaise un peu et que mes lèvres se décollent des siennes pour quelques secondes je lui souffle : « T'as le droit de me faire l'amour toute la nuit que si tu ne pars pas après, que si tu restes avec moi, près de moi Priape... » Mes craintes, toujours mes craintes, j'ai peur, peur qu'il s'en aille encore et que je retombe tout en bas, encore. « Je ne te fais pas de chantage mais je veux pas rentrer pour qu'on puisse faire l'amour une fois sur le sol américain et te voir ensuite partir voir ailleurs... » Mes lèvres se déposent sur les siennes doucement. « Je veux reprendre à zéro mais avoir une vraie chance de le faire, j'ai peur que tu changes d'avis une fois rentré, t'es revenu vers moi si vite, comme ça, d'un coup... » Qu'il m'explique son revirement, son déclic je ne sais quoi. Je ne lui fais pas des reproches, je réclame juste des explications pour pouvoir m'abandonner complètement.
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J’avais surement encore beaucoup de choses à révéler sur moi à Talya, à commencer par mon passé, qui n’avait rien de glorieux, et qui n’était clairement pas ce que j’aimais étaler sur la table quand je me dévoilais à quelqu’un. Alors oui, je lui avais affirmé qu’elle pouvait me demander ce qu’elle voulait, préférant qu’elle découvre ces choses sur moi par moi plutôt que par quelqu’un d’autre, même si Sixtine était quelqu’un en qui j’avais une grande confiance. Sauf que Talya m’invitait carrément à me livrer de moi même, sans que je n’aie besoin de me prêter au jeu d’un interrogatoire avec elle. « Je vais essayer de faire un effort alors… » Et quand elle évoqua le crise Elia ou Caly, je me corrigeai : « Je vais faire un effort… » Parce que clairement, c’était ces deux –crises- ou plutôt mes omissions à raconter certaines choses qui avaient un peu déclenché la cascades d’évènements qui nous avaient ensuite séparés. Alors si on pouvait éviter un remake de tout ça, j’étais plutôt pour… Sauf que avec mon passif chargé, c’était dur de savoir par quoi commencer, surtout que pour le moment, je préférais lui confier tout autre chose… Mes projets pour mon retour, tout ce que j’allais avoir envie de lui faire une fois le sol américain retrouvé, aveux ponctués de gestes qui trahissaient le désir furieux de ne pas attendre l’atterrissage… Ce fut d’ailleurs par un baiser enflammé que je terminais ma phrase. Un baiser que la jeune femme prolongea avec la même fièvre que moi, nos langues jouant l’une contre l’autre, nos corps se plaquant un peu plus. Ce ne fut finalement que pour reprendre notre souffle que nos lèvres se décollèrent. Moment que choisit Talya pour me souffler que j’aurais le droit de mettre mon projet à exécution, ajoutant une condition : si je ne partais pas après, si je restais avec elle… « J’irai nul part Talya. » assurai-je mes yeux plantés dans les siens. Je sentais là, le spectre du summer camp au dessus de nos têtes. Je pinçais mes lèvres un instant, ajoutant une touche d’humour, pour ne pas laisser ce souvenir, cette déception que je lui avais infligé à l’époque, entacher l’instant que l’on était en train de partager. « Tu peux même m’attacher au lit si jamais tu veux t’en assurer… » Et j’essayai de m’emparer à nouveau de ses lèvres après ça, sauf que son visage marqua un imperceptible recul pour pouvoir échapper au baiser et poursuivre les explications. Grr, elle me rendait dingue… Mais je patientais, restant sagement à quelques centimètres de sa bouche. Elle affirmait que ce n’était en aucun cas du chantage, mais qu’elle ne voulait pas qu’on couche ensemble une fois pour qu’ensuite je m’en aille à nouveau. Summer camp again. Là pour le coup, je comprenais comme c’était chiant de se voir marteler ses erreurs à tout bout de champ. « Ecoute Talya, je crois que je m’excuserais jamais assez pour ça, pour cet été… C’était complètement naz de ma part, j’aurais du me maitriser, ne pas te traiter comme un vulgaire plan cul, une nana d’un soir qui ne signifie rien, parce que clairement ça signifiait tout. Ca voulait déjà dire beaucoup je pense, c’était juste que j’étais pas prêt à me l’avouer… » Les sentiments avaient toujours été là, même si j’avais mis mes œillères pour faire abstraction et m’obstiner à ne pas les voir. « Mais si on reprend à zéro maintenant, c’est pour toi mais pour moi aussi. On efface tes erreurs ET les miennes, alors il faut que tu me fasses confiance. » Parce que moi, ça me coutait aussi beaucoup. Faire confiance. Savoir qu’elle allait toujours trainer avec Maxime, Joa, ou encore Matthéo… J’étais pas tout à fait sûr d’en être capable mais j’allais essayer, j’allais essayer vraiment de pas péter un boulon dès qu’un de ces types l’approcheraient. Alors oui, de son côté aussi, il allait falloir qu’elle accepte de me faire confiance.
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Il allait tenter de faire un effort, enfin non il allait faire un effort tout court et j'espérai en fait que bientôt il n'aurait plus besoin d'en faire et se confierait à moi de la même manière qu'il me dira bonjour le matin. Bien sûr, on avait encore un petit peu de marge à parcourir pour que cela se passe ainsi mais avec toute la bonne volonté qu'on avait et l'un et l'autre, j'étais sûre qu'on pouvait tendre à cet idéal de communication entre nous. Enfin ça s'était si on prenait le temps de parler parce que si nos deux esprits avaient pris le temps de se retrouver et d'échanger depuis hier, nos deux corps qui eux ne s'étaient pas approchés depuis des semaines, des mois même ne demandaient que ça. Mais c'était sans compter mes doutes, mes craintes et tous les manques de confiance que je pouvais avoir. J'avais perdu confiance en moi, confiance en ce que je pourrais mériter, ce que je pourrais avoir et j'avais bien du mal à croire que Priape ne s'évaporerait pas dans la nature une fois qu'on serait à Cambridge. Alors encore une fois je mettais ça sur le tapis et je compris dans la voix de l'homme que j'avais en face de moi, qu'il ne comptait pas partir, qu'il ne comptait pas me laisser à nouveau, qu'il était sûr de cette nouvelle chance, ce départ à zéro qu'il voulait me redonner et que je n'avais qu'à saisir l'occasion et ne pas la laisser passer. Je sentis une petite pointe d'agacement dans sa voix et même si je culpabilisai un peu de gâcher un si beau moment à cause de mes doutes, j'étais satisfaite de voir qu'il pouvait aussi se retrouver à ma place et comprendre ce que j'avais pu vivre pendant des semaines. Enfin j'en avais tout de même rajouté à mon malheur en m'accrochant à lui alors que ses paroles ne m'avaient donné aucun espoir que seuls ses gestes l'avaient trahis. « Ok ok, je suis désolée. On efface mes erreurs et mes doutes... » Il n'a pas fait d'erreur, il ne m'avait rien promis cette nuit là, c'est moi qui me suis encore une fois imaginée des choses, qui ait pensé plus loin que je n'aurais dû. Ma main qui se glisse dans sa nuque rapproche son visage et je reviens l'embrasser plus fermement, plus rassurée que jamais même si seul le temps nous dirait de ce qu'il adviendrait réellement de cette nouvelle chance. Je garderai surement une petite voix en moi qui me dirait de faire attention au début comme il sera toujours méfiant lorsque je serais en compagnie d'un homme avec qui il s'est passé des choses. C'est normal. Comme je serai normalement jalouse de Brynn ou d'Aby si elle revenait. Mes lèvres ne quittaient plus les siennes et ce contact ne faisait que décupler mon envie de transgresser les règles, la règle du sol américain en particulier mais clairement ça ne nous ressemblerait pas de faire ça ici. Priape Zacharias et Talya Blackburn deux dunsters respectables qui s'envoient en l'air dans un jacuzzi ? Impossible... Ou peut être pas, je n'en savais rien, sous ses baisers et ses mains qui parcouraient mon corps, j'étais vraiment incapable de réfléchir à quoi que ce soit, à contrôler quoi que ce soit. Je me laissais simplement porter et je le laissais décider.
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J’avais envie d’elle clairement… Le jacuzzi, son petit maillot qui laissait se dévoiler en grande partie son corps, ce baiser qu’on venait d’échanger, l’évocation de tout ce que j’allais lui faire une fois arriver à Boston… Sauf qu’elle avait aussi besoin d’être réassurée, et c’est surement avec un certain agacement que j’avais souligné que ses erreurs comme les miennes devaient être effacées. C’était donnant-donnant. Et oui, je m’en voulais terriblement pour le summer camp, je m’en voulais de ne pas avoir su résister, de ne pas avoir assumé ensuite, parce que ça l’avait blessée, je pouvais le voir encore aujourd’hui. C’était aussi pour cela que je comprenais ses doutes. Mais le meilleur moyen de les effacer serait pour elle de m’accorder sa confiance. Et que je m’en montre à la hauteur bien sur. Et après cette mise au point nécessaire, notre baiser reprit là où on l’avait laissé. Les mains de Talya dans ma nuque m’arrachèrent un frisson alors que nos lèvres se retrouver, plus avides, plus appuyées, encore. Mes mains glissèrent dans son dos, remontant en une lente caresse jusqu’au fermoir de son maillot de bain avec l’envie irrésistible de lui retirer… Mes lèvres quittèrent les siennes un instant pour lui avouer entre deux baisers. « Je ne… » Un baiser sur sa joue. « …vais jamais… » Un baiser dans son cou. « …tenir. » Un baiser au creux de son épaule. Voilà, j’étais plus qu’à l’étroit dans mon boxeur de bain, et toutes les pensées impures du matin occupaient de nouveau mon esprit. Sauf qu’il y avait la règle du sol américain, règle fictive et juste inventée dans l’idée de la faire rentrer. Une règle que l’on pouvait bien abolir aussi non ? Sauf que je ne voulais pas forcer la jeune femme. On venait à peine de se retrouver, et au vue de notre passif, elle était aussi en droit de me freiner et de ne pas vouloir se donner trop vite à moi alors je lui murmurai à l’oreille : « Je crois qu’il va falloir que je retourne vers un tour dans le bassin glacé là… »
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