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Only know you love her when you let her go ❤ PRIALYA

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Quand Matthéo n'est pas loin dans les esprits est ce qu'on a vraiment besoin du bassin d'eau froide pour garder sa résistance ? A première vue, non. En effet, Priape a toujours ma révélation dans la tête et elle ne manque pas de ressurgir dès qu'il y a un moment de vide. Je suis désolée que ça gâche cette instant mais d'un autre côté j'aime ça. Au moins, on peut en parler tout de suite, mettre les choses au clair, ne pas les laisser mariner, ne pas faire comme la première fois et ruminer les choses avant d'en parler, trop tard. Je crois que s'il n'avait pas remis cela sur le tapis, je l'aurais fait, pour me soulager mais aussi parce que j'avais bien senti que ma manière d'abréger la conversation en allant me jeter dans le bain d'eau froide ne l'avait pas satisfait. Pourquoi est ce qu'on s'était embrassé ? Pourquoi est ce que je l'avais laissé faire ? Bonne question. « Pfff... J'en sais rien. Si je ne pouvais pas t'avoir, si ça n'accrochait pas avec les deux autres, Matthéo était peut être celui qu'il fallait et que je refusais de voir... Mais quand on est amoureuse de quelqu'un d'autre le mec a beau être n'importe qui, un ami, un inconnu, un ami trop proche avec qui on a déjà fait une connerie, ça ne fonctionne pas. » Et dans un sens je crois que si j'étais restée là et que je n'avais pas suivi Matthéo c'était pour ne pas lui donner de faux espoirs. Clairement je n'avais aucune envie de lui en faire voir une nouvelle fois de toutes les couleurs, je n'avais aucune envie de encore une fois le mêler à tous mes déboires amoureux... Mais en même temps ce n'est pas comme si je lui avais demandé avant de monter dans l'avion pourquoi il venait alors qu'il savait très bien que la première place serait toujours occupée par Priape. « Tu lui demanderas toi même un récapitulatif de ses capacités puisque vous êtes devenus meilleurs amis en mon absence hein ! » La réponse était évidente à sortir de ma bouche, je voyais tellement Priape comme un dieu selon l'avis de tous mes amis. Puis les doutes de Priape revinrent, il avoua avoir l'impression qu'on se dirigeait tout droit à nouveau dans le mur. Je m'approchais de lui et je déposais ma main sur l'une de ses jambes qui était là. « On n'ira pas une nouvelle fois à la catastrophe parce qu'on communique et parce que c'est très clair dans ma tête... » Je n'ai pas envie de lui dire la chose maintenant mais je me rends bien compte qu'il a besoin d'être rassuré non pas sur mes sentiments pour lui mais sur le cantonnement de ceux que j'ai pour Matthéo, ceux qui ne sont véritablement qu'amicaux. « Je voulais attendre le dessert pour qu'on fasse la fête en rentrant mais si tu insistes. » Un sourire timide tenta de s'incruster sur mon visage et ma main alla chercher la sienne, beaucoup de gestes de tendresse envers lui, il allait falloir qu'il s'y mette aussi parce que j'allais commencer à douter qu'il veuille entre de sa remise à zéro. « Je rentre avec toi demain... Je te suis que tu me mènes à Cambridge où il y a Matthéo ou n'importe où, où il n'y est pas... Je ne rentre pas pour lui, je rentre pour toi, pour être avec toi Priape. »
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 Mettre tout à plat une bonne fois pour toute. J’étais ok. Je m’assis, Talya face à moi, et je l’écoutais. C’était la chaleur, la bière ou bien le sujet qu’on abordait qui rendait l’ambiance étouffante. Je l’interrogeai sur le pourquoi de ces baisers, et mon interlocutrice ne sut pas les expliquer autrement que par le fait que j’étais en couple avec quelqu’un d’autre, que ça n’avait pas marché avec ces deux conquêtes, que donc elle s’était dit pourquoi pas Matthéo. Mais ça n’avait pas fonctionné, et il était rentré sans elle, elle était restée là. Je lâchai un commentaire sur les compétences médiocres du garçon en terme de baiser, sauf que Talya me répondit avec le même ton plus léger que je pouvais toujours le lui demander vu ma nouvelle amitié avec le mather. « Meilleur ami, meilleur ami… C’est vite dit… » Ouais, l’imaginer posant ses lèvres sur celles de Talya ça avait le don de me faire passer tout élan de sympathie pour le brun. « Je m’imaginais en train de le noyer dans le bassin tout à l’heure, c’est pour te dire… » avouai-je avec un petit sourire sadique. Mais au final, cet instant où l’on s’expliquait, ce n’était pas plus mal. Cette discussion, cet aveu de Talya, l’occasion de mettre carte sur table. Je reconnus d’ailleurs : « J’ai un peu fait n’importe quoi aussi depuis qu’on n’est plus ensemble… » Je ne me lançais pas dans des aveux précis, parce que de mes soirées beuveries en passant à mes séances de dragues foireuses, j’avais fait pas mal d’erreurs aussi, même si je m’étais assagi une fois que j’étais avec Brynn. Pour finir, j’avais exprimé ma peur de voir l’histoire se répéter. Talya m’assura qu’on communiquait et répéta encore que c’était clair dans sa tête. Et comme à mon visage, elle devait voir que de mon côté c’était toujours aussi flou, elle reprit la parole. Elle avait quelque chose à me dire, elle comptait attendre le dîner et le moment du dessert, mais finalement elle allait me le dire maintenant. Je me redressai un peu plus, l’observant alors qu’elle avouait son intention de rentrer avec moi demain. Mon visage se décrispa sur le champ. Mes lèvres s’étirèrent en un large sourire alors que ma main attrapait la sienne, tirant doucement dessus pour l’attirer vers moi. « Viens là… » Approchant mon visage du sien, mon front se colla au sien un instant, mon regard plongea dans le sien : « Merci Talya. » De revoir sa décision. De rentrer avec moi. De me le dire maintenant. De me donner cette réassurance que j’attendais. « Merci vraiment. » Mon sourire ne quittait plus mes lèvres, et je repris la parole : « On est obligé d'aller sauter dans la flotte gelée tout de suite ? » Petit joueur ouais, mais là pour le coup, j'avais plus envie de fondre sur ses lèvres que de me plonger dans une glacière géante.
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L'aveu des baisers qu'il y avait eu entre Matthéo et moi avait causé un moment de froid entre nous mais bizarrement Priape avait commencé à rire un peu de cela, à en parler avec cette pointe d'ironie la situation s'était détendue. « Je savais bien que t'avais des envies sanguinaires... Je vais faire attention à te garder toujours dans mon champ de vision maintenant des fois que tu voudrais te débarrasser de moi et rentrer avec les filles. » Je savais bien qu'il n'était pas venu que pour Mila et qu'il ne ferait pas le fier s'il rentrait qu'avec les deux petites en avouant qu'il s'était débarrassé de moi à ma mère, mais c'était une nouvelle fois plus facile de parler en s'amusant des choses et en racontant des bêtises qu'en étant sérieux. C'était peut être notre nouveau mode de communication et tant qu'il y avait de la communication j'étais rassurée. « Le peu que j'ai vu ou que tu m'as dit m'a suffit pour faire des conneries et m'enfoncer un peu plus, alors on va oublier ça, je ne veux pas les détails. » Je baissai les yeux, non je ne voulais pas savoir combien de filles il avait dragué, combien de filles il avait embrassé et encore moins combien de fois il avait couché avec Brynn. Ca vraiment pas. Déjà rien que d'y penser mes sourcils se froncèrent légèrement. Je comprenais ce qu'il éprouvait à l'égard de Maxime, Joachim ou Matthéo, je ne pouvais pas le nier même si avec les deux premiers il n'y avait jamais eu de sentiments. Matthéo il y en avait eu, j'avais été paumée, mais maintenant tout était clair et net dans ma tête. Priape avait besoin que je mette des mots sur la clareté des choses puisque pour lui s'était vraiment flou. Je lui avouais que je comptais vraiment rentrer avec lui demain, que j'aurais aimé lui dire plus tard mais que devant sa mine déconfite je n'avais pas franchement pu tenir plus longtemps. Sa réaction fut immédiate, il m'attira près de lui pour coller mon front au sien me remerciant. Je le fis taire en me rapprochant un peu plus, venant limite me mettre sur ses genoux pour déposer mes lèvres sur les siennes, entourant son visage de mes deux mains pour un vrai baiser, pas un baiser volé, pas un baiser d'adieu, rien de tout cela, un vrai baiser avec tout l'amour que j'ai pour lui. Quand je décroche mes lèvres des siennes il me demande si nous sommes obligés d'aller sauter dans l'eau froide tout de suite. Je rigole et je lui réponds aussi vite : « Je te jure que oui, parce qu'entre le sauna et toi près de moi, ou moi près de toi, on a tous les deux besoins d'un bain bien froid. Aller viens ! » Je me relève directement pour ne pas lui laisser le temps de protester et je le tire par la main pour qu'il me suive. Je me plante devant la porte sans l'ouvrir. « Attention si tu me fais faux bond et que je saute toute seule, je me vengerai ! » Genre tu peux prendre l'avion tout seul demain... Petite blague puisque je sauterai bien sur dans l'avion d'après mais je suis un chameau quand je veux. J'ouvre la porte et on arrive rapidement au bord du bassin : « Un... Deux... » Et paf, je n'attends pas le trois pour le pousser dans l'eau et suivre en sautant derrière. Bordel que c'est froid. J'ai du mal à respirer à cause de la différence de température du coup je me rapproche de l'échelle pour pouvoir sortir. Quelle idée j'ai eu moi de vouloir faire le bonhomme.
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« Ouais fais attention, et pense aux seringues que j’ai dans ma valise… » répondis-je avec un ton faussement menaçant, entrant dans son jeu du psychopathe sanguinaire. N’empêche que sa plaisanterie laissait encore planer un peu le doute sur son retour. Je ne me doutais pas encore qu'elle avait déjà pris sa décision. Les aveux étaient clôturés, que ce soit sur ses baisers avec Matthéo, ou l’évocation de mes innombrables erreurs depuis mon célibat retrouvé, Talya ne voulait pas davantage de détails là dessus. Elle baissa les yeux et je me pinçais un instant les lèvres en l’observant, en réalisant ce que je lui avais fait endurer ces derniers mois, ces dix longs mois à me voir faire n’importe quoi, à souffler le chaud le froid avec elle, à m’accrocher à d’autres… « Je suis désolé. » Je lui devais bien ça quand même, de petites excuses pour du gros n’importe quoi. Et puis lorsqu’elle m’annonça qu’elle voulait rentrer avec moi le lendemain, le flou dans ma tête se dissipa un peu. Mon visage s’illumina d’un large sourire alors que je l’attirai à moi en m’emparant doucement de sa main, rapprochant mon visage du sien jusqu’à ce que nos fronts se rencontrent, la remerciant. Talya se rapprocha encore plus, venant poser ses lèvres sur les miennes. Mes mains glissèrent le long de son dos, effectuant une légère pression pour la plaquer un peu plus contre moi, savourant avec délice ce baiser qui avait presque des parfums de bière. Non, je n’avais aucune envie d’aller me cailler les miches dans l’eau… En fait, ce baiser m’évoquait bien d’autres projets… Sauf que la demoiselle insistait : on avait tous les deux besoin d’un bain froid. Et pas le temps de protester ou même ronchonner, elle m’entrainait, tirant ma main. Avant d’ouvrir la porte pour sortir, elle me prévint néanmoins, optant pour les menaces de vengeance… J’avais presqu’envie de lui faire faux bond juste pour voir ça. J'essayais de ne pas montrer mon envie de me dégonfler, prenant un petit air angélique. « Non mais comment tu m’imagines tout de suite… C’est pas mon genre. » Sauf qu’elle dut lire dans mes pensées, et une fois devant le bassin, alors que je n’avais aucune intention de sauter, au décompte du deux, ses mains me poussèrent dans l’eau. Le choc fut direct. Je sentis ma peau et mes muscles se contracter sous l’effet du froid. Je fis quelques mouvements de nage pour remonter à la surface. « Tu ne perds rien pour attendre Talya… » Et en la voyant qui filait déjà en commençant à sortir du bassin, je crawlais pour la rejoindre au niveau de l’échelle, arrivant juste au moment où son petit cul sortait de l’eau. Profitant de la jolie vue qu'elle m'offrait, je ne pus m'empêche de sortir ma main de l'eau, allant alors claquer doucement son postérieur. « Désolé c’était trop tentant… » La fessée dont on avait parlé la veille. « Et je confirme que tes fesses n’ont rien de flasque… » fis-je avant de grimper à sa suite à l’échelle pour m’extirper de l’eau, tout grelottant.
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« Tu vas bientôt me dire que t'as rejoint la mafia ? Allez avoue que tu t'es fait embrigadé et que ma mère a connaissance de tes nouveaux talents c'est pour ça qu'elle t'a envoyé ici ! » Ses envies de meurtre sur Matthéo, ses menaces pour me ramener contre mon gré... J'allais peut être me poser des questions et comme Royce, prendre la poudre d'escampette devant tant de violence concentrée dans le corps d'un homme d'apparence si gentil. Après le rire, le moment était aux excuses, celles de Priape. Je ne sus vraiment que répondre, mes excuses et ma peine n'avaient pas suffit à effacer la tromperie, je pense que tout ce qu'il avait pu faire en me gardant non loin de lui pour autant, en me sachant toujours folle amoureuse et triste de le voir m'ignorer, je l'oublierai avec le temps et avec les moments qu'on allait pouvoir passer ensemble maintenant parce que oui j'allais rentrer, j'allais être près de lui, je voulais être avec lui et en rentrant j'allais bien m'assurer qu'il ne me fasse pas faux bond et qu'il continue sur sa volonté de vouloir tout reprendre de zéro. Notre baiser en disait long, si je m'étais écoutée je serais restée là sur ses genoux à m'abandonner complètement à lui, contre lui et ce n'est pas le chauffeur de taxi qui aurait eu du souci à se faire pour sa banquette mais bien le propriétaire de cet établissement qui aurait vu des actes pas très catholiques pratiqués ici... Ca devait arriver plus souvent qu'on ne le pense. Je l'attirai vers le bassin d'eau froid et je le poussai dedans le sentant se défiler comme une vache au milieu d'un petit couloir. Je sautai derrière lui mais le choc thermique me fit légèrement suffoquer, rien de grave mais j'avais besoin de sortir de là avant que mon coeur s'arrête. Priape jura légèrement puis s'approcha et sa main vint s'écraser sur ma fesse qui était ferme selon lui. J'éclatai de rire comme une gamine en venant tenter de me réchauffer sous l'eau tiède de la douche. Le regardant de biais je lui dis : « Tu vois que l'eau froide ça a du bon... Hier elle était flasque, aujourd'hui elles ne le sont plus ! » Comme si en une journée cela avait pu changer... Non c'était juste que la vision que j'avais de mon corps dépendait un peu trop de la manière dont l'homme que j'aime le voyait. Complètement accro et dépendante vous dites ? Oui mais je ne veux pas trop qu'il le voit. C'est peut être déjà raté. Bref je m'en fichai, je m'avançai vers lui jusqu'à ce qu'il se retrouve adossé au mur carrelé puis me mettant sur la pointe des pieds pour être à sa hauteur je lui dis : « Je voulais attendre le dessert parce que c'était plaisant de te voir faire tout ce que tu pouvais pour me faire rentrer... si t'as envie de continuer à faire comme si tu ne savais pas tu peux... » Je glissai mes mains autour de son cou collant mon corps au sien pour l'embrasser une nouvelle fois avec fougue, mais je ne lui laissai pas trop le temps de s'habituer à ce contact me reculant et lui disant avec un sourire, un doigt levé comme une maman qui gronde son enfant : « Un peu de tenue Monsieur Zacharias, nous devons attendre mon retour sur le sol américain ! Et puis le jacuzzi nous attend ! » Hum le jacuzzi... Pas sûr que ce soit la meilleure idée pour rester sages mais je m'en fichais. « C'est la porte au fond là bas, vas y je te rejoins ! » Je le laissai y aller, je pris la bière posée sur une table, je me servis un grand verre de limonade mise aussi à notre disposition et je pris un petit bol de crevette, j'amenai le tout dans la petite pièce où se trouvait le bain à remouds espérant trouver un petit endroit pour caler ça et qu'on puisse en profitant agréablement.
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« Parce qu’il va me falloir l’aide de la mafia pour te faire rentrer ? » rigolai-je alors. « J’utiliserai pas la force… » Juste le chantage avec ma règle du sol américain. C’était déjà bien assez. Sauf que finalement j’allais regretter d’avoir décréter cette règle. Car Talya venait de m’annoncer qu’elle voulait rentrer le lendemain, donc plus besoin de mafia, plus besoin de cette règle non plus. Surtout que son baiser qui scella l’annonce de son retour avait tout pour m’enflammer. Le bain froid, un peu forcé, me remit les idées en place finalement et je vins ensuite me coller à Talya sous la douche tiède, après une fessée bien trop tentante. « Elles n’ont jamais été flasques… » protestai-je avant de laisser balader mes yeux un instant sur ses courbes. « Quoique… Attends… Laisse moi revérifier, viens par là… » Je l’attirai à nouveau vers moi, mes mains glissant pour la chatouiller et tenter une nouvelle fois d’aller caresser ses jolies fesses sauf que la jeune femme s’avança finalement pour me coincer contre le mur de la douche, me proposant de continuer à jouer celui qui ne savait pas qu’elle allait rentrer. « Ok, je ne sais rien alors, je ne vois pas de quoi tu parles d’ailleurs… » Je ne pus m’empêcher de sourire malgré tout, puisqu’au fond de moi je savais la bonne nouvelle, sourire qui s’élargit en sentant ses mains passer autour de mon cou. Son corps se plaqua contre le mien, proximité qui avait le don magique d’effacer très vite les effets négatifs de l’eau gelée. Mon pouls s’accéléra mais au moment où mes lèvres se faisaient plus pressantes sur les siennes, mes mains glissant le long de son dos, Talya se déroba de mon emprise, se reculant, sa bouche quittant la mienne. Et voilà que ma propre règle se retournait contre moi. « C’est pas du jeu… » Maintenant que j’étais censé jouer celui qui ne savait pas qu’elle rentrerait, je ne pouvais plus déroger à la règle. Le jacuzzi nous attendait… Espérons que les bulles réussirait à me détendre. La jeune femme m’indiqua la porte pour m’y rendre et j’arrivais alors devant le bain bouillonnant. Un pied dans le bassin et c’est avec soulagement que je sentis que la température de l’eau était vraiment agréable ce coup ci. Mon autre cheville alla rejoindre la première parmi les bulles et je descendis pour m’asseoir ensuite complètement dans le fameux bain à remous. Talya me rejoignit peu de temps après, crevette et bières en main. « C’est parfait… J’aurais du venir là direct en sortant de l’avion, c’est magique pour les courbatures. » confiai-je avec un sourire béat alors que les jets massaient précisément mon dos aux endroits endoloris par mon voyage de la veille.
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Maintenant qu'il savait qu'il avait gagné, Priape avait envie de se laisser aller et ça faisait du bien. Ses baisers, ses caresses, sa manière de redécouvrir mon corps et de m'aider à accepter les changements dus à la grossesse, c'était juste à m'en faire perdre la tête. Mais j'avais une autre idée tout de même. J'aimais le tenir en haleine, j'aimais le faire patienter et maintenant que je lui avais donné une partie de ce qu'il voulait, je comptais bien tenter d'avoir tous les atouts en main pour gagner la partie. Il savait que demain nous serions quatre à prendre l'avion et qu'en rentrant c'était donc une corvée de valise qui nous attendait, mais je m'en fichais et j'espérais que lui aussi. En effet, même s'il ne fallait pas beaucoup dormir pour être prêts pour l'avion demain, je le ferais, mais je ne comptais pas abréger notre soirée parce que si je brandissais sa règle idiote du sol américain maintenant c'était bien pour que la cocotte mijote gentiment sur le feu jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus tenir et explose... S'il pouvait attendre ce soir pour exploser et ne plus se retenir, ça serait super, en attendant j'allais prendre plaisir à le titiller, le faire flirter avec son envie parce qu'après tout, hier c'était lui qui s'était joué de moi en venant dans mon lit, en caressant ma cuisse mais en allant se coucher près de Mila après. Bref j'avais bien failli m'abandonner complètement à lui sous cette douche mais l'idée du jacuzzi avec la boisson et les crevettes était bien tentantes et elle m'aidait à remplacer l'idée bien plus tentante qui se profilait avec nos deux corps qui se retrouvaient après des mois de séparation. Non, il faudrait encore attendre. Le jeune homme prit la direction du bain à remouds en premier et je le rejoins rapidement. Un petit tablette était prévu sur un bord du jacuzzi pour déposer ce qu'on voulait, c'est là que je plaçais le petit plateau que j'avais ramené. Tout en entrant dans le jacuzzi je dis à Priape : « Ne me demande pas pourquoi ils servent ici de la bière et des crevettes pendant qu'on en profite, je n'en sais rien du tout... Sauf qu'à chaque fois que je suis venue c'était comme ça. » Je pris mon verre de limonage une fois installée confortablement en face de Priape dans le bain et je le levai : « On trinque à quoi ? » J'affichai un petit sourire sur mon visage, pendant qu'il réfléchissait, je reposai rapidement mon verre pour relever mes cheveux qui me gênaient à aller de partout et suivre le mouvement des bulles, mare de les avoir dans la figure. Je repris mon verre et j'espérai qu'on allait reprendre là où on en était. Sous l'eau c'était légèrement un tout autre manège. Mon pied venait de trouver sa jambe et je m'amusai à le laisser courir gentiment sur son mollet sans que ce petit jeu ne se voit sur mon visage toujours innocent.
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 Je n’étais pas le genre de garçon qui ne pensait qu’au sexe… Ou du moins, je n’étais plus ce genre de gars. Ce n’était donc pas le sexe, la frustration du manque qui me faisait être aussi réceptif, c’était bien parce qu’il s’agissait de Talya. Déjà hier, ça avait été un véritable travail sur moi pour ne pas laisser mon désir m’emporter, mais là aujourd’hui, alors que je savais désormais qu’elle serait de retour le lendemain avec moi, il n’y avait plus grand chose pour me freiner… Plus grand chose à part elle, qui s’amusait à utiliser les mêmes principes bidons que moi la veille. J’eus quelques minutes seul dans le jacuzzi pour me calmer, mais quelques minutes ce n’était rien, surtout quand elle réapparaissait devant moi en maillot de bain, superbe, souriante et irrésistible, déposant le plateau avant d’entrer lentement dans le bain pour me rejoindre.  Elle m’informa qu’elle n’avait aucune idée de la raison pour laquelle la tradition voulait que l’on mange des crevettes en buvant de la bière ici et j’haussais les épaules. « Il pouvait pas tomber mieux avec moi… » J’étais plus heureux devant une pinte que devant une coupe de champ'. Je saisis d’ailleurs ma  bière alors que Talya faisait de même avec sa limonade en me demandant quel toast on pouvait porter. J’aurais bien dit – à ton retour – mais puisqu’elle préférait que je joue encore les gars dans le doute, je me retins. « On a qu’à trinquer à cette superbe journée… Ca te va ? » Journée presque parfaite, si on omettait les quelques sujets de tensions qu’on avait eu tout à l’heure dans le sauna et qui au final, une fois mis à plat, s’étaient plutôt bien résolus. Ma bière entrechoqua son verre avant que je ne l’amène à mes lèvres. Sauf que ma dégustation fut interrompue quand je sentis quelque chose frôler mon mollet. Au milieu des bulles et avec le visage impassible de Talya, j’aurais presque pu ne pas réagir, si seulement tous mes sens n’avaient pas été en alerte, mon corps encore tout emprunt de ses précédents baisers. Elle jouait les innocentes, ne laissant rien paraître du petit manège qui se jouait sous l’eau et je devinais que trop bien le but de sa manœuvre. M’allumer pour mieux m’éteindre ensuite en me rappelant la stupide règle que je nous avais imposé hier, un peu comme sous la douche tout à l’heure avant de se rendre ici. C’était une petite vengeance surement. Mais comme j’étais joueur, je m’appliquais moi aussi à afficher une mine imperturbable, essayant de faire la conversation et de faire abstraction des frissons que le simple contact de son pied contre ma jambe avait le pouvoir de provoquer en moi. « Alors dis moi à part manger des crevettes dans votre bain et vous jetez dans l’eau glacée à poil, vous avez d’autres coutumes étranges ici en Ukraine ? »
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« Amateur de bière, je ne l'avais pas oublié non plus ! » La détente après un voyage en classe économique dans l'avion c'était bien mais lui faire plaisir avec une bonne bière, ce n'était pas comparable. Sauf que bon, la bière n'était peut être pas aussi bonne ici que je ne sais où puisque mon pays n'était pas le roi de la bière mais plutôt de la vodka comme Priape le savait déjà. Enfin bref, j'espérai quand même qu'il ne boirait plus une fois de retour sur le sol américain, fini le levé de coude, il n'avait plus de chagrin à noyer dans l'alcool. J'allais être là pour le soutenir s'il me laissait vraiment le faire, j'allais le soutenir comme je le pouvais et il n'aurait plus à noyer ses soucis ailleurs que dans mes bras. C'était mignon dit et pensé comme cela mais c'était vraiment ce dont j'avais envie, peut être une utopie mais avec la communication et les bonnes bases que nous avions établies, j'étais sûre qu'on pouvait y arriver. Je voulais prendre Priape au piège et qu'il trinque à mon retour, mais il ne sauta pas les deux pieds dans le plat, mince, il préféra trinquer à cette belle journée. Je levai mon verre pour qu'il aille choquer le sien en souriant. « Belle journée qui n'est pas terminée ! » Mais si elle continue comme ça et qu'elle ne fait que monter en intensité, elle se terminera en apothéose. J'ai hâte, hâte d'avancer, d'en prendre encore plein les yeux à ses côtés, de jouer avec lui. Cette remise à zéro était vraiment une bonne idée, c'est plaisant de se redécouvrir, de se taquiner ainsi comme des enfants. Moi je prenais un malin plaisir à en rajouter. Sous l'eau, je venais caresser son mollet de mon pied pendant qu'il me fixait et me demandait de manière impassible si nous avions d'autres coutumes bizarres ici. Je fis mine de réfléchir un instant et mon pied monta légèrement au niveau de sa cuisse avant de reporter mes yeux sur lui et de lui dire : « Autres coutumes bizarres je ne sais pas... Mais si tu vas dans des familles moins riches, enfin si ma mère n'avait pas eu mon père, on aurait vécu dans un tout petit appartement puisque les salaires sont très bas ici, un prof de français touche cent cinquante euros tu vois... Du coup les familles vivent dans des petits appartements et souvent les pièces pour recevoir des invités sont aussi des chambres. » J'avais dit cela le plus naturellement possible, toujours complètement détachée de ce que j'étais en train de lui faire subir. « Sinon... Ici on paye internet à une borne et si on ne paye pas avant la fin du mois c'est coupé automatiquement, c'est assez drôle. Enfin voilà... Il y a plein de choses qui sont naturelles pour moi comme je suis habituée à vivre ici mais que tu trouverais surement folles. » La pauvreté, la manière de vivre, les exigences des parents pour leurs enfants, les envies des enfants de quitter le pays, dans mon entourage ici, ça avait été assez récurent alors que nous étions pourtant de bonnes familles du pays. C'était un décalage complet avec l'Amérique mais je voulais savoir comment était la Grèce. « La Grèce se rapproche plus d'ici ou de ce qu'on connait à Cambridge ? »
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Installés dans le bain bouillonnant, nos boissons en main, on trinqua à cette journée, Talya ajoutant qu’elle n’était pas terminée. Je souris en choquant ma bière contre son verre, portant ensuite la boissons à mes lèvres. Même si les Ukrainiens restaient plus forts en terme de vodka, leurs bières n’étaient pas si mauvaises. Ma dégustation fut malgré tout troublée par le contact du pied de Talya que je sentis frôler mon mollet sous l’eau. Sauf que la demoiselle s’appliquait à afficher un visage innocent, faisant comme si de rien n’était… J’adoptais la même attitude, essayant de passer outre mon trouble, questionnant ma guide personnelle sur les autres coutumes locales. Impossible de masquer mon sourire alors qu’un frisson me parcourut lorsque son pied remonta un peu le long de ma jambe, arrivant au niveau de ma cuisse. Elle comptait monter jusqu’où comme ça ? Mais s’appliquant toujours dans l’exercice, elle me répondit avec sérieux, m’expliquant qu’ici, les familles de classes sociales moins élevées que la sienne, vivaient dans des petits appartements, m’informant même des salaires moyens locaux qui étaient bien moins enviables que ceux de notre pays d’adoption, outre atlantique. Mais j’avais bien du mal à me concentrer sur le fil de notre discussion sur l’aspect socio économique du pays, bien trop dissipé par la remontée progressive de son pied. « Oh oui oui je vois… » Je voyais rien du tout, sinon que j’allais finir par fondre sur elle pour lui arracher son maillot. Mais self contrôle oblige je redoublais de concentration pour essayer de me focaliser sur ses mots et non pas sur ses gestes. Sauf qu’elle m’interrogeait, et prendre l’air concentré n’allait pas suffire puisque je devais désormais parler. « Donc.. Hum… En Grèce, c’est… » bredouillai-je. J’essayais de me redresser un peu, pour tenter d’échapper à son pied baladeur, comme si ça pouvait m’aider à retrouver un peu de contenance. « T’as les deux versants. Les populations moins aisées vivent dans des appartements riquiqui dans des immeubles défraichis, et les plus aisées ont des villa à te couper le souffle. Y’a beaucoup d’insalubrité, de pauvreté, d’insécurité aussi… Et encore, ça doit être pire maintenant avec la crise...» Je venais d’un milieu plutôt pauvre, alors les quartiers défavorisés, les mauvaises fréquentations, les deals et la drogue, c’était aussi une partie de mon adolescence, une partie des souvenirs moins glorieux que je gardais de mon pays. « Mais si tu demandes à Sixtine, j’suis sur qu’elle te dira que c’est pas si dépaysant que ça. » Parce qu’elle, elle avait grandi dans une famille plutôt aisée, alors le décalage était bien moins frappant. D’ailleurs, je ne savais pas si j’avais déjà révélé à Talya que la brunette des dunsters étaient l’une de mes amies d’enfance. « Mais en tout cas, en Grèce, j’ai jamais pris de bain dans un jacuzzi avec une blonde sexy… » Ou de bain dans un jacuzzi tout court. J’avais plutôt d’autres activités bien moins luxueuses à l’époque…
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