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Only know you love her when you let her go ❤ PRIALYA

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« Priape dis moi que t'es prêt on va être en retard ! » Je sortis de ma chambre prête, pantalon noir légère imitation cuir assez serré, tee shirt blanc plutôt large et un petit peu décolté, veste noire, simple mais efficace, un petit sac à dos sur mon dos dans lequel j'ai des sous vêtements car j'ai mon maillot de bain sur moi, de quoi me laver, me brosser les cheveux, me maquiller et sentir bon, et une serviette bien sûr, je suis prête pour le sauna. Je suis surement un peu trop bien habillée pour quelqu'un qui va simplement passer du bon temps au sauna, mais je n'ai pas oublié que nous filons après au restaurant avec Priape, je n'ai pas oublié non plus qu'il n'a pas du prendre grand chose pour venir me voir alors je n'ai pas sorti la belle robe et tout ce qu'il va avec pour ne pas le gêner. Et puis on a dit remise à zéro non ? Alors si on remet les choses à zéro, je veux qu'il me voit comme je suis, sachant être classe mais pas trop, distinguée mais pas uppée, pas prout prout, pas hautaine, non c'est loin d'être moi tout ça. Je souris lorsqu'il se retrouve en face de moi, prêt lui aussi. Je file vers la mère de ma meilleure amie pour lui souffler quelques mots en ukrainien, une langue proche du russe mais qu'il est impossible de décoder au feeling comme un français peut comprendre quelques mots d'espagnol même s'il ne parle pas la langue. Elle me glisse à l'oreille des mots rassurant sur les petites et m'envoie tous ses encouragements pour que ma soirée se passe bien. Elle n'est pas bête, je le sais, elle voit bien que mes yeux pétillent malgré les cernes toujours présentes sous mes yeux, elle voit aussi que mon teint est moins blafard que la veille, parce que j'ai couru dans les plus beaux coins de la ville avec mes filles et avec lui, que l'air a ravivé le sang circulant dans mes pommettes et qu'il me donne aussi envie d'avoir meilleure mine. Bref, je ne peux lui mentir, elle sait très bien qu'on ne va pas diner entre amis, mais moi même je ne sais pas trop ce que va donner ce diner. J'enfile mes escarpins, heureusement qu'un taxi nous attend en bas, je emmitoufle dans mon gros blouson, je me mets même ma capuche entourée de fourure pour ne pas prendre froid avec mes cheveux mouillés. Clairement, j'ai les cheveux mouillés, j'ai tout juste rattrapé mon teint avec du far à joue pour ne pas que ce soit une catastrophe mais c'est bien tout, je n'en ai pas fait plus, c'est complètement inutile pour aller au sauna et que tout dégouline. Je prends mes sacs, j'embrasse Charlie et Mila en leur demandant d'être bien sage et je mets la main sur la poignée de la porte. Charlie court dans mes jambes et se met à pleurer, mon coeur se serre mais elle se calme un peu quand elle se retrouve dans les bras de la mère de ma meilleure amie. Elle sanglote encore quand je sors de l'appartement mais j'écoute les mots rassurants qu'elle reçoit de sa nourrice d'un soir : maman va revenir, elle sort avec un très beau jeune homme le Paprape si j'ai bien compris, il faut laisser maman faire cela pour que tu rentres auprès de mamie mon petit chat, tu reviendras me voir hein, mais votre place est avec mamie en Amérique. Je suis surprise par les mots que j'entends, je comprends à ce moment là qu'à tous les coups elle sait ce qu'il se passe depuis le début, qu'elle sait aussi que ma mère est malade et pourquoi Priape est là, ce qu'il se passe entre nous deux... En fait, je suis naïve de croire que ma mère et elle n'ont pas gardé contact. Les sanglots de la petite et mes pensées, tout ce qu'il se passe dans ma tête, le fait que tout s'emboite parfaitement maintenant, tout cela me fait rester sur le palier de la porte, figée, la porte fermée derrière moi et Priape à côté. Je cligne plusieurs fois des yeux pour retomber sur terre et je m'avance vers l'ascenseur pour l'appeler. « Elle disait à Charlie qu'on allait passer une belle soirée... On y va... » Mais bien sûr Talya, ça se voit comme le nez au milieu de la figure qu'elle ne disait pas cela mais après tout Priape ne comprend pas alors je peux bien lui dire ce que je veux plutôt que lui dire qu'il a gagné d'avance, que toutes les femmes qui m'ont vu grandir savent que je vais le suivre et rentrer. L'ascenseur arrive et on entre dedans, le taxi est au pied de l'immeuble, je lui donne l'adresse du spa, timing parfait.
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« Je suis prêt ! » annonçai-je d’une voix forte depuis la salle de bain avant d’ajouter sur un volume bien moins fort : « Enfin presque… » J’ajustai le col de ma chemise jetant un regard insatisfait à mon reflet. Je passai ma main sur mes joues fraichement rasées, pas convaincu de l’image que me renvoyait le miroir. Je m’étais habitué à ma petite barbe de trois jours, mais pour la soirée qui s’annonçait, je voulais faire peau neuve. Et disons que je voulais marquer le changement, en abandonnant mon look bucheron pour le moment. Ce soir, ce n’était pas un rencard, c’était un moment avec mon ex petite amie. Et pourtant avec tout ce qui s’était passé la veille, je me sentais presque comme à la veille d’un rendez vous galant. Le stress… Pourtant la journée avait été parfaite, à crapahuter partout dans la ville, avec nos deux louloutes en poussette, comme une vraie famille de touristes… Je soufflai une dernière fois avant de quitter la salle d’eau et de rejoindre Talya dans la salle. Mon visage se décrispa aussitôt en l’observant, parce qu’elle était radieuse, élégante, souriante… Je ne pus m’empêcher de lui souffler discrètement : « T’es canon… » Discrètement parce qu’on n’était pas seuls… Talya s’approcha d’ailleurs ensuite de la femme qui allait s’occuper des petites, elles échangèrent quelques mots dans leur langue natale pendant que j’embrassais les filles. Puis je saisis mon sac rempli des affaires pour le spa. Lorsqu’on se dirigea vers la porte, Charlie se manifesta, pleurant de voir sa maman s’éloigner. Sa nourrice d’un soir la prit dans ses bras pour la rassurer et on quitta l’appartement. Seulement Talya se stoppa sur le pallier. « Hey, ça va aller viens… » fis-je en attrapant tendrement sa main, n’imaginant pas les véritables paroles de l’Ukrainienne à l’intérieur de l’appartement. « T’as le droit d’avoir un peu de temps pour toi aussi… » la rassurai-je, en interprétant son silence comme un temps d’hésitation. « On essayera de ne pas rentrer trop tard si tu veux… » Je ne voulais pas renoncer à ce spa, ce restau, ce tête à tête, un moment pour nous. C’était l’occasion où jamais pour moi d’abattre mes dernières cartes pour la faire revenir auprès de moi, et à défaut si j’échouais, je voulais malgré tout profiter à fond de la jeune femme. Lorsqu’elle reprit la parole, m’informant que la maman de sa meilleure amie avait juste rassuré Charlie en lui disant qu’on allait passer une bonne soirée, j’eus un petit doute sur la véracité de cette information. Mais comme la conclusion de Talya c’était –viens on y va- moi, ça m’allait. On emprunta l’ascenseur, le taxi nous attendait. Je refermai instinctivement ma veste, piqué par le froid. « Vivement qu’on soit dans le sauna… Il caille quand même dans ton pays… » Il fallait dire que je n’avais pas pris le manteau adéquat. Une veste idéale pour Boston mais qui ne faisait pas le poids pour affronter le climat plus rude de Kiev. On prit place dans le véhicule qui nous déposa devant le bâtiment une dizaine de minutes plus tard. On se dirigea alors vers l’entrée, où quelques personnes faisaient la queue devant nous. Tout en patientant, je demandais à la jeune femme : « Alors tu nous recommandes de commencer par quoi ? Sauna, jaccuzzi ? » J’étais pas un grand habitué de ce genre d’endroit, mais après le voyage et les contractures que les sièges de l’avion m’avaient provoqués, et après une journée à marcher partout dans la capitale, le spa allait être plus que bienfaiteur. « Tu te fâcheras pas au fait mais... Je n'ai pas fait effacer mon tatouage LEEVY… » confiai-je avec un petit sourire coupable. Bon, elle l'avait peut être déjà remarqué hier, lorsque je m'étais retrouvé à deux reprises dans le plus simple appareil devant elle, mais je n'étais pas sûr que ses yeux se soient focalisés sur le tatouage ornant mon bras. « C'est une longue histoire… »
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Les pleurs de Charlie avait réveillé un peu plus mon âme de maman, celle que j'avais laissé en sursis pendant dix jours, abandonnant mes filles au meilleur des papas mais quand même. Sauf que ce n'était pas ça qui m'avait troublé. Ses pleurs avaient plutôt permis de réveillés les vraies intentions de ma mère, de notre nourrice d'un soir... Bref, je me sentais presque comme une petite gamine qui s'est faite prendre à son propre piège, qui a sauté les deux pieds joints dedans. Bizarrement, ça ne me dérange pas. Je m'en fous que ma mère et son amie se soient jouées de moi tant que je peux profiter de cette soirée avec Priape. « Je veux en profiter, avec toi. » J'attrape sa main rapidement et la serre dans la mienne avant de lui dire avec un petit peu de suspense : « Et si t'es sage, je te promets que je te dirais peut être entièrement ce qu'elle a dit à Charlie quand elle s'est mise à pleurer... Quelle histoire elle lui a raconté... » Encore une histoire, un remake de Tchoupi fait des bêtises, c'est plutôt : on fait tout pour que Tchoupi et sa chérie se retrouvent pour qu'ils rentrent ensemble sur le sol américain. Quelle bande de menteurs, de maniganceurs, rooh, je rêve. « Et puis, qu'on rentre tôt ou tard, les filles seront couchées. » Et j'aurais tout le temps pour admirer mes filles dans les jours qui viennent que je rentre avec Priape, ou que je ne le fasse pas. On prit place dans le taxi et il se dirigea vers le sauna. « Les américains ont le sang chaud, c'est pour ça qu'ils ont froid ici ! » Je rigole toute seule de ma bêtise, je le taquine sur ses élans d'hier mais ce n'est pas méchant, au contraire, si bien que je me reprends pour nuancer un peu mes propos : « Ou alors les femmes aiment le froid et ne demandent qu'à être réchauffées... Je crois que les théories existent, tu demanderas à ma mère ! » Ah les théories, les bêtises que l'on peut dire quand on se retrouve en tête à tête et qu'on se rend compte qu'en un instant tout peut basculer dans le bon comme dans le mauvais sens. Je n'ai envie à aucun faux pas, je veux que ce soit parfait, tout est tellement parfait depuis son arrivée alors si jamais ça ne l'est pas ce soir et qu'il repart demain seul sur une fausse note, je m'en voudrais encore plus et ça ne sera que plus dur. Arrivés au spa, il y avait un peu de monde mais rapidement je demandais à l'entrée le salon que j'avais réservé. Ici cela fonctionne comme ça, c'est comme des appartements, c'est privatif, personne ne se mélange, chacun a son petit coin. Je ferme la porte derrière nous une fois entrés dans notre espace. Il se compose d'un sauna, à côté il y a des douches tièdes et un bassin d'eau à zéro degré, d'un jacuzzi, d'un salon, je passe rapidement la tête dans l'encadrement de la porte et je souris en voyant les crevettes, la bière et des boissons non alcoolisées déjà là, quelle drôle de coutume, et bien sur d'un vestiaire dans lequel je pousse Priape avant de fermer la porter derrière nous. « Dis moi que tu as mis ton maillot de bain dessous ! » Je souris, moi c'est le cas c'est pour ça que je suis rentrée avec lui. « Sauna en premier et ton tatouage... Tu me feras penser qu'on prenne rendez vous pour finir de l'effacer en rentrant ? » Je lui ai promis de lui payer, je le voulais, alors je vais le faire. Mais en parlant vite, je me rends compte que je lui ai dit que j'irais avec lui. « Enfin, dans tous les cas que je rentre ou non, tu pourras l'effacer. » Je me rattrape comme je peux mais je sais que je ne suis pas vraiment douée pour cacher mon envie de rentrer avec lui et les filles, surtout après la journée que je viens de passer avec eux. « Aller viens, on va dans le sauna. » Je lui prends la main une fois qu'il est en maillot de bain et je l'entraine dans la pièce chaude versant l'eau parfumée à la lavande sur les pierres chaudes. Une fois la porte refermée derrière nous et moi installée au plus haut, là où il fait le plus chaud, assise tranquillement, je lui demande : « T'as quinze minutes pour me raconter la longue histoire... »
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 Je fus soulagé d’entendre Talya m’assurer qu’elle voulait profiter également. J’avais cru l’espace d’un instant, que la petite crise de larmes de Charlie allait la faire changer d’avis, pas qu’une nouvelle soirée à l’appartement me dérangerait, juste que le spa et le tête à tête me paraissait un plan encore meilleur… Sa main se serra dans la mienne alors qu’on s’éloignait et qu’elle me promettait de me traduire plus justement les paroles de la nourrice des filles. « Je me doutais bien que tu me disais pas tout… » Même si je ne parlais pas Ukrainien, j’avais lu sur le visage de la demoiselle qu’il s’était dit bien plus derrière la porte de l’appartement. « Bah je serai sage alors. » Pour pouvoir connaître cette histoire… Talya semblait remotiver finalement, et ma proposition de rentrer plus tôt fut balayée sur le champs. Quand je frissonnais en refermant mon manteau et en me plaignant des températures, je récoltais forcément une taquinerie de la jeune femme. « Hey ! » ronchonnai-je avant d’argumenter pour ma défense : « Quand une blonde sexy en T shirt mouillé ne vient pas se frotter contre moi dans la douche tout va très bien de ce côté là… » Ce n’était pas moi qui avais le sang chaud, c’était Talya qui savait parfaitement comment le faire bouillir voilà tout. La faute des autres, jamais la mienne. Et puis la deuxième théorie me plaisait mieux d’ailleurs, le fait que les femmes aimaient le froid juste pour pouvoir être réchauffées. « Je vois que t’as un super gilet pour te réchauffer c’est bien, tu vas en avoir besoin pour ton hiver ici… » A mon tour de la tacler un peu. Je préférerais nettement qu’elle n’en ait pas besoin, qu’elle se contente de rentrer, d’affronter l’hiver américain avec mes bras comme arme contre le froid… Mais puisqu’elle me taquinait, je pouvais m’y mettre aussi avec un petit sourire narquois. Finalement, une fois dans le spa, les hôtesses nous conduisirent à l’endroit qu’avait réservé la demoiselle. J’observais les yeux avec un petit sifflement impressionné. « Tu fais les choses en grand dis donc. Je vais peut être rester à Kiev en fait, ça a l’air chouette ici. » Mais pas le temps de contempler l’endroit car Talya me poussait déjà dans les vestiaires. Non, je n’avais pas mon maillot sur moi. Je dézippai mon sac et sortis le fameux vêtement que je secouais devant Talya en guise de réponses. « Allez retourne toi. Tu m’as déjà trop vu en tenue d’Adam hier… » rigolai-je en référence aux deux fois où je m’étais retrouvé tout nu devant elle. Je saisis la jeune femme par les épaules et la fit tourner sur elle même avant de commencer à retirer ce que j’avais sur moi alors qu’elle continuait en me parlant du tatouage. « En fait, je peux plus  vraiment l’effacer… » Longue histoire oui. Un pari avec Leevy qui je l’espérais n’allait pas froissé Talya qui profita quand même de l’évocation du détatouage pour me refaire savoir que son retour à mes côtés était encore incertain. Je me laissai ensuite entraîner jusqu’au sauna, pour un quart d’heure de chaleur et ma partenaire de spa me réclama alors la fameuse longue histoire. « En fait, c’est pas si long que ça… Mais, tu te fâches pas hein ? » Je savais pas pourquoi, j’appréhendais un peu la réaction de Talya. Pas comme un garçon redouterait la réaction de son ex, mais plutôt comme il redouterait celle de sa nana. Mon but n’était clairement pas de la rendre jalouse, mais étant donné la nature de mon lien avec Leevy, avant toutes les histoires avec Delilah, quand on ne se détestait pas et que c’était même plutôt tout le contraire et qu’on flirtait, je me disais que Talya n’allait peut être pas vraiment apprécier l’histoire. « J’ai parié avec Leevy qu’elle était pas cap de se faire tatouer mon prénom… Et le deal, c’était que de mon côté, je garde le sien sur mon bras. » Donc voilà, on n’efface plus, on attend de voir si la blondie était vraiment chiche de le faire.
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« J'ai l'avantage d'être sur mon terrain, dans mon pays, qui parle ma langue, laisse moi en profiter un peu. » Laisse moi savourer les choses que les gens mettent en place pour me voir retrouver le sourire, ça fait du bien même si venant de ma mère et la mère de ma meilleure amie qui m'a vu grandir, ça ne m'étonne pas, elles sont tellement aimantes qu'elles n'ont vraiment plus rien à prouver ces deux là. Dans le taxi je viens à taquiner un peu Priape qui n'a pas sa langue dans sa poche et qui ne se gêne pas pour me renvoyer mes petites vannes, j'aime le retrouver comme ça. C'est beaucoup plus plaisant il n'y a pas à dire. « Si un greco-américain n'avait pas tenté de se battre avec ma douche et ne m'avait pas aspergé alors que je lui venais gentiment en aide, je ne me serais jamais retrouvé les vêtements collés à la peau contre lui à moitié à poil ! » Je lui donnais un petit coup sur la jambe comme pour le punir de sa bêtise, puis je me rappelais qu'il y avait le chauffeur de taxi. Même s'il était concentré sur la route, il entendait tout ce qu'on était en train de dire. La honte. Je me penchais alors vers son oreille pour répondre à sa nouvelle pique à mon égard : « J'avais imaginé quelque chose de plus agréable pour me réchauffer pendant l'hiver. » A la base, cette déclaration n'avait rien de sensuelle, mais susurrée comme cela à son oreille pour ne pas que le chauffeur nous écoute, ça prenait une ampleur différente et ça me plaisait un petit peu. J'avais perdu de la confiance en moi à cause de l'histoire avec Priape mais à ses côtés, alors qu'il me mettait toujours sur une sorte de piedestal, je retrouvais un petit peu d'assurance et je ne manquais pas de répondre à sa technique de drague. Au spa, le jeune homme fut plutôt surprit par la manière dont les choses se déroulaient. « Tu sais je n'ai fait que réserver un salon ici, c'est le fonctionnement de l'établissement... » Ce n'est pas genre un truc spécial même si l'occasion est spéciale et que ça le dépayse. « Je me tourne, je me tourne, je ne voudrais pas encore faire des cauchemars ! » Dis je en rigolant toute seule face au mur alors que je me déshabillais à mon tour pour être en maillot de bain, deux pièces, j'aurais peut être dû opter pour le une pièce pour cacher les traces de la grossesse, de la vie en général quoi. Je m'installais dans le sauna et j'attendis l'histoire de Priape qui ne tarda pas. Il raconta tout et je ne pus rien dire. Je ne pouvais que garder le silence. Mes yeux se fermèrent, mon souffle se coupa après que j'ai pris une grande inspiration puis je finis par m'allonger, les mains sur la figure. Sérieusement elle avait fait ça ? Et qu'est ce qu'il se passait entre eux ? Je croyais qu'il ne pouvait pas se voir ? Clairement je ne m'attendais pas à cela, surtout pas après qu'elle m'ait dit qu'elle avait couché avec Matthéo. J'allais devoir faire avec elle écrit sur le corps du mec que j'aime ? Surement pas. Je finis par expirer bruyamment, mais je ne savais pas quoi dire pour autant, si je l'avais eu en face de moi je lui aurais surement arraché les cheveux, la tête, tout ce que j'aurais pu lui arracher avant qu'elle ne me mette dans le même état qu'elle avait mis l'amie de Priape. Il avait oublié ça ?
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« Je vais t’emmener en grèce la prochaine fois, tu feras moins la maline… » menaçai-je alors avec un petit rire… Enfin une menace, c’était un grand mot. Mais sérieusement, un voyage dans mon pays natal avec la blondinette ça aurait de quoi m’enchanter. Qu’à mon tour je lui fasse découvrir les lieux qui avaient bercés mon enfance, que je lui fasse découvrir ma culture, la gastronomie, les coutumes locales… Enfin, on en était au stade du nouveau départ en théorie… J’étais même pas certain qu’elle me suive demain jusqu’à Boston alors, réfrénons mon emballement… Sauf que le sujet suivant, à savoir notre batifolage et le fait que je l’avais littéralement dévorée de baisers enflammés sous la douche, cela n’avait rien pour me réfréner. Talya me renvoyait la faute, forcément, avant de baisser d’un ton pour me souffler à l’oreille qu’elle avait imaginer autre chose que son gilet pour se réchauffer… « Apparemment, on vient de me dire que les greco-américain avaient le sang chaud… Ca peut surement être un bon chauffage central. Mais je crois qu’il faut se rendre à Cambridge pour pouvoir en profiter… » lui répondis-je sur un ton chargé de sous entendus, sourire au coin des lèvres… Le chauffeur de taxi devait clairement se demander ce qu’on fabriquait. Je relevai les yeux vers le rétroviseur pour croiser son regard. « Je crois qu’il a peur pour sa banquette arrière là… » rigolai-je en reportant mon attention sur la demoiselle. Heureusement que le trajet touchait à sa fin, car effectivement, le chauffeur pouvait se faire du soucis pour son taxi. Les lieux du spa étaient impressionnants, ce côté privatif m’impressionnait, même si Talya m’expliquait que c’était le fonctionnement normal ici. Elle me charria dans les vestaires et je rétorquai avec un ton vexé : « Tu as pas eu l’air de te plaindre hier… » Bref je pensais m’en être bien sorti avec mon –c’est une longue histoire- mais le quart d’heure de sauna me laissait tout le temps de lui raconter cette fameuse explication. Je commençais donc à raconter, sauf que je vis aussitôt à son visage que ça n’allait pas. Ses traits se crispèrent, elle finit par s’allonger , recouvrant son visage de ses mains. « Talya… » Et voilà comment en deux minutes, je venais de plomber l’ambiance. « C’est un pari, c’est pour rire, ça veut rien dire… » tentai-je de me rattraper avant d’ajouter : « Et puis, tu disais que tu l’aimais bien mon tatouage… » Que quand elle le voyait, elle repensait au fait qu’à l’origine c’était Talya qui aurait du être inscrit là…
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« Si je passe tout l'hiver ici, j'aurais bien besoin d'aller me réchauffer chez les grecs ! » Je lui fais un clin d'oeil, il n'aime pas la fraicheur ici, moi je suis partante pour le suivre au bout du monde, enfin pour le coup juste dans son pays qui n'est pas si loin du mien... « Je te promets que je vais penser à l'option chauffage central à Cambridge, ça me coutera surement moins cher que le chauffage électrique de mon appartement. » Même si mon père s'est arrangé pour que je n'ai pas de loyer à payer et donc que je fais des économies, je ne suis pas contre le fait d'en faire encore. Qui voudrait bouder des économies ? Non plus sérieusement qui voudrait refuser la présence de Priape auprès de soi surtout quand c'est lui qui propose... Et oui, il s'invitait presque à s'installer chez moi alors qu'on n'en était qu'à notre rencontre, la remise à zéro, presque un premier rencard puisque ça en avait tout l'air. « Il ne devrait pas avoir peur, le chauffage greco-américain est de la dernière technologie, quand il chauffe trop il se régule tout seul en redescendant en température. » Priape était en fait la parfaite comparaison au sèche serviette que j'avais dans ma salle de bain à Cambridge. Cela me fit rire mais on finit par arriver devant le spa et le chauffeur fut soulagé. Je lui donnais même un peu plus que la course, lui demandant de revenir nous chercher vers 18h30 pour nous conduire au restaurant. S'il ne venait pas je comprendrais bien sur que mon explication sur la régulation automatique du chauffage n'avait pas fonctionné, n'avait pas suffit à le rassurer. Il y en avait un autre qui avait besoin de se rassurer, c'était Priape, surtout quand j'associais ses bijoux de famille à des cauchemars. « Je te taquine, mais je vais pas te dire que j'ai rêvé de ça toute la nuit, ça serait... Enfin t'as compris quoi ! » Je me retournais pile au moment où il venait de remonter le boxer qui lui servait de maillot de bain. Ouf. Une fois installés dans le sauna, j'eus le droit à l'histoire avec Leevy. J'aurais dû ne pas demander, ou je ne sais pas quoi. « C'était avant que Leevy n'accepte de se faire tatouer Priape sur la peau comme un truc réciproque entre vous, avant qu'elle ne couche avec Matthéo... Avant, quand tu la détestais tu vois... Qu'est ce qui a changé entre vous ? » J'avais dit cela calmement mais assez rapidement comme si j'allais manquer d'air si je ne me dépêchais pas. « Je te jure que je te le dessinerai à chaque fois qu'il y aura un risque que tu la croises, mais... » Mais je n'ai vraiment pas envie de voir le prénom de la blonde sur son bras alors que ça ne va pas entre nous, et même si ça allait entre elle et moi je ne voudrais plus de ça.
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« Je préfèrerais que tu n’aies pas besoin d’aller chez les grecs alors… » Parce que su c’était qu’à condition qu’elle passe tout l’hiver ici, non ça ne m’allait pas… Je la voulais avec moi dans l’avion demain, et à mesure que la journée avançait, la pression augmentait un peu plus de mon côté. Même si l’ambiance restait détendue, que l’on flirtait devant le chauffeur qui nous jetait quelques regards inquiets via son rétro. « Et en plus c’est plus efficace que le chauffage électrique je crois… » baratinai-je avec un grand sourire. Bref Talya tentait de rassurer notre conducteur, mais il avait l’air un peu perdu par notre conversation, et pas sûr qu’il comprenne grand chose à la métaphore entre la régulation du chauffage et ma capacité à me contrôler… Pourtant, une fois dans les vestiaires, alors que Talya me charriait, j’avais beaucoup plus de mal à me maitriser. Parce qu’elle avait eu beau brandir tous ses complexes devant moi la veille, Talya en maillot restait parfaite à mes yeux. Et ce n’était pas la petite marque blanche en bas de son ventre, cicatrice blanchie de sa césarienne, qui changerait grand chose. C’était la trace de sa maternité, le passage de Mila, alors je n’arriverais jamais à voir cela comme un défaut. Mais je n’eus pas vraiment le temps de laisser me balader mes yeux, car le sujet Leevy sembla jetait un froid malgré la chaleur intenable qu’il faisait dans le sauna. Elle resta d’abord silencieuse avant de laisser m’exprimer son avis sur un ton calme mais qui laissait bien entrevoir qu’elle n’approuvait pas, lâchant quelques infos qui n’étaient pas en ma possession au passage. « Avant qu’elle couche avec Matthéo ? Depuis quand elle… Oh et puis on s’en fiche… C’est un stupide pari, on aurait pas du le faire, encore plus si elle a effectivement un truc avec Matthéo… » La gueule que ferait le mather si il découvrait mon prénom tatoué quelque part sur le corps de la blonde. Sauf que je n’avais pas de nouvelles de Leevy, je ne savais même pas si elle l’avait fait ou non. « C’est rien, c’était pour rire… » Mais pour expliquer ce qui avait changé, comment on en était revenu à se charrier et à se lancer dans de tels paris, je racontai : « On s’est vu en néonat… Plusieurs fois. C’était l’occas de mettre les points sur le i. On s’est expliqué, elle allait pas bien à cause de Royce, alors je crois qu’on a su enterrer la hache de guerre pour retrouver notre complicité d’avant… » Leevy ne lui avait pas dit que l’on s’entendait mieux ? Que j’étais venu voir Oscar quand il était en couveuse ? Ma main alla chercher celle de Talya, pour la rassurer. « Tu sais ça veut rien dire… Je le ferais effacer si tu préfères. » Tant pis pour le pari… « Puis tu demanderas à Royce qu’il se fasse effacer le sien aussi. » Ouais ouais, parce que moi ça me plaisait pas trop non plus, le prénom de Talya sur le bras de l’ancien winthrop…
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« J'adorerai visiter ton pays, qu'importe les conditions Priape. Ca a été tellement bien de te faire découvrir mon pays, ma ville, l'endroit où j'ai grandi, tous les beaux endroits qu'il y a ici, la culture pendant ces deux derniers jours... » Ma tête se tourna vers la sienne avec le sourire, j'étais émue de dire cela et malgré mon sourire sur mes lèvres j'avais un peu de peine de me dire que cette petite parenthèse, notre parenthèse prendrait fin demain dans tous les cas. Lui et moi peut être pas, surement pas. Mais lui et moi ici, si, dans tous les cas ça ne serait pas pareil de l'autre côté de l'atlantique parce qu'ici il s'était lâché, il avait tout oublié, il n'avait pensé à rien, il s'était juste raccroché à l'idée de sa venue : me faire rentrer avec les filles. Toutes les choses parfaites ont une fin, ou alors toutes les choses parfaites peuvent ne plus le devenir en un rien de temps et c'est presque ce qui failli se passer quand, dans le sauna, il me dit qu'il ne pouvait plus effacer le tatouage maintenant. Même avec la chaleur, j'avais presque eu l'impression de prendre une douche froide. C'était la deuxième à cause de Leevy puisque ça m'avait fait un effet similaire quand elle m'avait avoué avoir couché avec Matthéo alors que Priape était avec Brynn, que c'était compliqué entre lui et moi parce qu'il cherchait notre relation dans ses souvenirs, une relation toujours pas revenue, des souvenirs qui ne reviendraient peut être jamais... Bref, c'était mieux de passer le sujet Matthéo. « Votre complicité d'avant c'était celle où tu la draguais et la trouvais canon ? » Parce que si le but était de me rassurer, c'était un petit peu loupé. « Je sais pas ce qu'il y a entre eux... Mais je t'ajoue que si je dois rentrer et te voir tous les jours en tant que chauffage central, je préfère que ça soit ma marque qui soit inscrite que la sienne. » La comparaison avec le radiateur, la marque et tout était bien plus simple à faire que de dire clairement que si on devait être ensemble, je n'avais pas du tout envie de voir le prénom de mon ancienne amie sur son bras. « Ce tatouage je m'y raccrochais pour qu'il fasse fuir les nanas qui t'approchaient... » Mais ça n'a pas marché avec Brynn. D'ailleurs pourquoi ? Pourquoi est ce qu'elle n'a pas pris ses jambes à son cou en le voyant ? « Leevy ne m'a rien dit, à croire qu'elle avait des idées derrières la tête.... Je ne suis pas la seule à avoir tourné la carte après avoir perdu la personne que j'aime il faut croire. » Après Royce la rupture avait été compliquée, on s'était rapprochées elle et moi alors pourquoi ne m'avait elle rien dit ? Je n'aimais pas du tout cela. « Je sacrifierai la peau de chacune de mes fesses pour vous la faire greffer à la place de la peau où il y a vos tatouages s'il le faut. » Je rigolai légèrement en regardant le plafond et j'exercai une petite pression sur la main de Priape qui vint se glisser dans la mienne pour me rassurer. Je me redressais, et je descendis d'un étage, il faisait trop chaud là haut. Je m'installai en position assise au même étage que Priape, à ses pieds là où il restait un peu de place. « Douche tiède ou bain glacé en sortant Monsieur Zacharias ? » Je préférai qu'on se reconcentre sur le moment parfait qu'on pouvait passer ensemble plutôt que se laisser avoir par les histoires de Cambridge, à peine rentrés qu'on était déjà poursuivi.
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« J’ai adoré ça aussi… Si ça ne marche pas pour toi la médecine, tu pourras te lancer comme guide touristique. » la complimentai-je avec un sourire mais en sentant la nostalgie qui s’emparait de sa voix, j’ajoutai : « On reviendra t’en fais pas… » On reviendra, ça voulait dire on partira demain tous les deux, et plus tard, pourquoi pas se refaire un voyage en Ukraine, ou en Grèce ou n’importe… Ca ressemblait à des projets ça… Oui un peu, un projet au gros conditionnel, puisque tout dépendait d’elle et de son retour à Cambridge. Même si l’espace d’un instant, dans le sauna, mon objectif se dissipa puisqu’en une révélation, j’avais réussi à plomber l’ambiance. « Je la draguais pas, pas vraiment… » rétorquai-je alors, que visiblement, mes tentatives pour réassurer Talya semblait tomber à plat. Pour Leevy et Matthéo, c’était une surprise. Talya ne savait pas vraiment ce qu’il y avait entre eux, et c’était un peu le dernier de mes soucis pour le coup, le seul truc c’était que je ne voulais pas que Leevy s’attire des problèmes avec le mather à cause de notre pari. Bref, Talya, m’avouait qu’elle n’avait pas envie de voir –sa marque- sur mon bras, si je venais jouer les chauffages central, façon très imagée de faire passer un message des plus clairs. « Talya tu sais bien que ça veut rien dire hein ? Tu sais que j’étais complètement ivre quand je me suis fait faire ça, que c’était pas le prénom que j’avais demandé? » Je le lui rappelais juste, histoire qu’elle se souvienne, qu’elle n’oublie pas que normalement c’était son prénom à elle qui aurait du être gravé dans ma peau à cet endroit. Talya finit par plaisanter, évoquant une greffe de peau des plus originales comme solution, je me détendis un peu, rigolant un instant avec elle : « Ca serait dommage d’abîmer cette zone là de ton corps… » Et mon regard dévia un instant sur son joli petit derrière, qui n’avait rien de flasque soit dit en passant, alors qu’elle descendait finalement pour se retrouver au même étage que moi, plus bas, et elle me demanda ce que je préférais pour la suite. « Si je réponds douche tiède tu vas me prendre pour un petit joueur ? »
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