KENYA + Se dire qu'on est heureux, emmerder les envieux

Anastasiya avait souvent des paroles qui me dépassaient,, si moi j'étais très protecteur, ma femme était encore pire que moi. Son désir de bien faire pour notre puce était si grand que je ne pouvais pas m'empêcher d'être attendrit à de nombreuses reprises, d'ailleurs comment elle pouvait se dire qu'un lit fait sur mesure ou par un industriel définirait si on était de mauvais parents? Ça me dépassait complètement. "Anya tu t'inquiètes vraiment pour rien, ce qui fait de nous des bons parents ou non c'est par exemple vérifier la solidité du lit…" Là je le faisais en touchant les barrières de sécurité. "Ou encore choisir en fonction des gouts de notre puce, on est des bons parents." Je pense, j'espère parfois j'avais aussi des doutes ce qui me permettait de me remettre en question et de m'amélioré, j'aimais ça comme la peluche girafe qu'Anastasiya avait prise. Je lui arrachais carrément des mains pour la prendre dans mes bras et la serrer contre moi, je la voulais c'était définitif. "Ah." Je lui redonnais suite à ses explications, je me sentais enfantin mais bien amusé de la voir comme moi, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vu lâcher prise et laisser ses envies parler. "Super." Je la serrais contre moi, Anastasiya était comme je l'aimais, je me sentais tellement bien dans ce rôle protecteur, de chef de famille tout simplement. Là elle se confiait, j'étais pas du tout surpris des paroles mais plus de la démarche, je pensais qu'elle ne me dirait jamais dans un magasin qu'elle était heureuse, qu'elle ferait ce genre de geste en public même si avec le temps elle avait apprit à se libérer. "Tu es heureuse avec une girafe?" dis-je outré par cette révélation. "Ok je retiens." Je secouais la tête en me décollant d'elle tandis que la vendeuse arrivait vers nous. "On va prendre ce lit là." Je regardais Anya avec un petit sourire mais en levant le menton en l'air comme si je désapprouvais ce qu'elle m'avait dit puis je filais à la caisse pour refléter les papiers. "Non pas de livraison, on va le ramener maintenant, ah et on va prendre aussi…" Je tirais sur la girafe que mon épouse tenait fermement. "Ceci, son amant." Je rigolais un peu amusé, la vendeuse l'était tout autant alors j'attrapais la main d'Anya pour la prendre dans la mienne tandis que la vendeuse allait prendre un carton dans les stocks. Le lit était immense, il rentrait parfaitement dans notre voiture mais je vous dis pas le casse tête pour le monter une fois à la maison cependant j'étais persuadé qu'Alessia allait vouloir m'aider, Anya aussi surement de loin. "Ne porte rien, garde ton amant, je m'occupe du lit." Je le portais à bout de bras sans difficulté jusqu'au coffre, maintenant que j'avais vu notre fils je peux vous dire que j'allais encore plus prendre soin de ma femme.

HJ; oui j'avais dis que je faisais court oui

(Invité)