Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKENYA ♥ Il est cool même si il refuse de croire que je suis le Messie [#123] - Page 7
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KENYA ♥ Il est cool même si il refuse de croire que je suis le Messie [#123]

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J'avais besoin de savoir tout ce qui concernait la santé de mon époux. Je ne voulais plus être dans l'ombre. Je ne voulais plus qu'il me cache ses rendez-vous, les améliorations mais surtout les dégradations de son état de santé. Il n'était pas le seul à souffrir de sa maladie. Certes, je n'étais pas celle qui souffrait physiquement, mais moralement, j'en souffrais tout autant. J'ai choisis cet homme pour partager le reste de ma vie et je veux qu'il partage le reste de ma vie. Je ne veux pas, un jour, apprendre qu'il va de plus en plus mal par un coup de fil, urgent, comme aujourd'hui. Savait-il à quel point cela pouvait me stresser ? J'attrapais donc le téléphone de Kenny pour regarder ses rendez-vous, il ne disait rien. De toute manière, protestation ou pas, je l'aurai fait. Okay, je vais passer des coups de fils dis-je en me décalant aussi, de mon propre chef pour le laisser partir. Je regardais les numéros de téléphone, trouvant rapidement celui du neurologue. Oui, j'allais prévoir un rendez vous prochainement et avec moi. J'irai avec lui, à tout ses rendez vous médical dorénavant, je ne voulais pas qu'il m'éjecte de cette partie de sa vie, comme il avait pu le faire par le passé. Oui oui Jeudi c'est parfait, par contre, je préférerais à 18h dis-je en calquant mes horaires. Kenny viendrait me chercher sur le campus et nous partirons directement.
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Elle prenait mes rendez-vous comme le ferait une mère, quand je partais vers les toilettes, mes yeux se tournaient vers elle. Son visage était décidé, rien ne la ferait reculé pas même mes protestations, ni mes râlements, rien alors je m'enfonçais dans ma peine seul. En haut, Manuela rangeait la salle de bain, elle me regardait quelques secondes avec un sourire des plus tendres, elle me rappelait quelqu'un vraiment, c'est ça que j'avais besoin, qu'on me dise que tout irait bien ou qu'on me fasse ce genre de sourire réconfortant. "Vous dérangez pas." Dis-je en partant de la salle de bain pour aller chez Alessia. Anya calait son rendez-vous. Jeudi 18h, je n'avais pas envie. Je voulais pas qu'elle vienne parce que j'avais mes habitudes et je gérais déjà assez mal mon stresse pour en plus rajouter celui d'Anya. "Salut toi." Dis-je en souriant. Alessia ouvrait les yeux, j'étais là depuis plusieurs minutes désormais, mon cœur s'était calmé en la voyant. "Comment va la princesse?" Je la prenais dans mes bras, elle était chaude c'était normal, la fièvre disparaitrait dans quelques heures comme la fatigue. "Ah mademoiselle me laisse un cadeau." Je rigolais doucement, elle se réveillait juste parce qu'elle avait fait dans sa couche et je m'y pliais, je la changeais. Elle s'endormait sur place pratiquement, elle en pouvait plus alors dix minutes plus tard je redescendais pour rejoindre Anastasiya.
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Pour le coup, je ne demandais pas son avis à Kenny, quand bien même il était le premier concerné. Vous me direz que mon comportement est castrateur, directif mais si il ne prenait pas ses responsabilités, n'allant pas à ses rendez vous j'allais le faire à sa place quand bien même la peur m'envahissait aussi. Il était pareil, lorsque j'étais enceinte, m'obligeant à prendre des vitamines, à manger ce qu'il me préparait, venant avec moi à toutes mes consultations. Certes, une grossesse ça se partage à deux, mais il s'était introduit dans ma sphère également et j'allais le faire aujourd'hui, complètement cette fois ci. Je raccrochais avec le neurologue qui était soit-disant passant, satisfait que je prenne les choses en main. Kenny redescendait dix minutes plus tard. J'étais toujours sur le canapé, avec son téléphone et son agenda pour marquer le rendez vous, faisant de même dans le mien.Bébé, on a rendez vous chez le neurologue jeudi à 18heures, tu viendras me prendre sur le campus, devant l'amphi et on partira direct, je finis à 17h30, je pense que c'est bon, avec la circulation et tout le tralala, puis après on pourra aller manger un morceau ou prendre sur la route si tu te sens pas, je vais demander à ta mère si elle peut garder Alessia dis-je en tapotant sur la place vide à côté de moi pour qu'il vienne s'y poser et une fois fait, je prenais son visage entre mes mains pour plonger mon regard dans le sien. Je suis là Kenny et t'inquiète pas, tu sais bien que si jamais il doit avoir un soucis je serais là, toujours, je te laisserai pas tomber pour ce genre de chose, tu le sais n'est ce pas ? j'avais peur qu'il est des doutes comme par le passé et je voulais lui faire comprendre qu'il avait pas de soucis à se faire me concernant.
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Elle se rendait pas compte de ce qu'elle faisait actuellement, je le prenais pas mal parce que je comprenais son inquiétude et que j'avais un comportement des plus douteux mais de l'autre coté elle aurait du me soutenir, me demander comment j'allais même si je ne répondais pas forcément au moins je voyais qu'elle était présente. Elle s'imposait totalement, même à la grossesse d'Anya je ne lui avais jamais réglé ses rendez-vous comme elle le faisait puis je voyais pas pourquoi j'y allais, j'allais bien mais encore une fois je ne disais rien, je voulais pas dire des choses que je ne pensais pas. Debout, je ne venais pas vers elle hochant la tête à ses paroles. "D'accord maman." Je levais les yeux au ciel, c'est vrai on dirait ma mère et encore elle était moins chiante mais le pire c'était ses paroles après, elle m'étouffait là, c'était trop. "Je sais." Je lui faisais un petit sourire avant de me décoller d'elle en entendant l'alerte de mon téléphone. Qui l'avait sorti de son mode vibreur? Je détestais l'entendre surtout quand je devais prendre mes médicaments, je voulais qu'Anya ne connaisse pas cette partie de ma vie. Attrapant mon téléphone, je coupais la sonnerie pour aller dans la cuisine ou je sortais une boite au fond du placard contenant mes cachets, silencieux, je prenais un verre d'eau pour les prendre. Trois petits comprimés de tailles différentes qui glissaient dans ma trachée. "Faut que j'aille faire les courses." Lâchais-je en espérant qu'elle cesse de me materner.
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Son " d'accord maman " ne me faisait pas sourire bien au contraire. Je grimaçais, fronçant le nez et les sourcils. Il ne comprenait décemment pas ma position à moi. Alors oui, peut être que je négligeai la sienne, mais merde, il ne me disait rien, j'apprenais qu'il n'allait pas à ses rendez vous, que son neurologue était obligé de prétextait une urgence pour l'avoir au bout du fil, il ne prenait pas soin de sa santé, de lui et c'est ce que je lui reprochais dans le fond. C'est pas drôle dis-je avant de souffler un peu, prenant son visage entre mes mains pour tenter de le réconforter, mais que voulez vous, je ne suis pas douée dans ce domaine. Suite à une petite sonnerie, il allait dans la cuisine, prendre ses médicaments, se cachant de moi, pour finalement prétextait devoir faire les courses. Je soupirais en le regardant, me levant pour ranger le désordre que nous avions mis dans le salon. J'avais besoin que les choses soient ordonnés pour ne pas péter un plomb, car c'était ce que j'allais faire en vue de son attitude. Va faire les courses Kenny, qu'est ce que tu veux que je te dise, si t'as besoin de fuir mais prend ton temps, par contre, je te demande juste de m'envoyer un message si tu compte pas rentrer dis-je en tapant sur un des coussins pour lui redonner sa forme. Comprend-t-il le mal qu'il me fait en agissant ainsi ? Je dois rester forte pour toute cette famille, pour lui, mais aussi pour Alessia, montrer que je n'ai pas peur, montrer que ça ne m'angoisse pas et prendre les choses en main mais merde, moi aussi j'ai peur, moi aussi j'ai envie de souffler, de prendre du temps pour moi ou juste fuir quelque fois, mais je le fais pas, parce qu'au fond, je sais qu'ils seraient perdus, je suis celle qui prend toute les décisions et Kenny lui même m'a dit un jour, qu'il voulait que je le fasse. Alors ce fardeau était sur mes épaules, que ça lui plaise ou non, il l'y avait posé. Je te trouve égoïste, tellement égoïste terminais-je par dire, sans le regarder avant qu'il ne passe sa porte, en mettant sa veste. J'espérais que ça le fasse réagir.
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Je levais les sourcils, je ne répondais pas, voilà c'était de ma faute maintenant. Elle se rendait compte qu'elle s'enfonçait ou non? Je la comprenais, je lui en voulais pas de faire tout ça, chacun exprimait son amour différemment et Anya bien le sien passait dans un moment ou elle voulait tout simplement tout contrôler. "J'ai jamais dis que je ne rentrerai pas." Fallait pas qu'elle me cherche parce que j'allais exploser pas de colère mais bien de tristesse, j'étais un déchet, je me considérais comme tel en tout cas et je persistais à penser qu'Anya ne méritait pas un homme malade, peut-être qu'à travers mes gestes je cherchais à la repousser sans m'en rendre compte. Je faisais le tour du comptoir alors qu'elle parlait encore, c'était le pompon. "Pardon?" dis-je en la regardant. "Je suis égoïste? En quoi je le suis-je peux savoir? Parce que je n'ai pas été à mes rendez-vous j'en ai raté que deux seulement, le premier c'est parce que j'avais pas envie je reconnais et le deuxième c'était pendant le spring break mais ce n'était en rien des contrôles juste pour savoir comment j'allais c'est tout. C'est fou quand même t'es pas ma mère, tu as pas à faire tout ça, organiser mes rendez-vous, venir avec moi limite m'accompagner par la main, j'ai pas 5 ans. Ton rôle c'est de m'épauler, oui c'est légitime que tu sois en colère mais tu te met deux secondes à ma place, tu crois pas que j'ai peur aussi? Tu crois pas que le matin je me pose des questions tous les matins à chaque fois que je me lève, que je regarde Alessia ou même toi. Alors tu as peur aussi je le sais, je le vois mais un moment donné regarde aussi tes agissements, regarde qui entretient le climat de peur ici." C'était elle, rien ne justifiait qu'elle vienne à tout mes rendez-vous de contrôle, rien j'allais bien mais elle me maternait confondant son rôle d'épouse et de mère d'Alessia, pas de moi. Je sais qu'elle allait encore plus crier, se défendre et j'en étais fatigué, je voulais pas laisser place à la discussion, j'avais enfin dis ce que je voulais depuis tout à l'heure après je m'y plierai aux nouvelles conditions, pour elle, par amour.
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Je venais de lancer des mots assassins. Kenny répliquait aussitôt. Je levais la tête pour l'écouter me dire que je n'étais pas sa mère, que je n'avais pas à faire ceci ou cela, que ce n'était pas mon rôle de l'accompagner à tout ses rendez vous. Je ne remplissais pas mon rôle d'épouse selon lui, parce que je ne l'épaulais pas assez. Je ne disais rien, je mordillais juste ma lèvre inférieur pour ne pas craquer. Je sais bien que lui aussi avait peur, je le reconnais, c'est normal, mais moi aussi j'ai peur et quand je sais qu'il fait pas les choses correctement, qu'il ne va pas à ses rendez vous que se soit des contrôle ou pas, ça me met en rogne. C'est important, c'est sa santé, c'est sa vie et ... c'est ma vie aussi. Qu'est ce que je ferais sans lui ? Sérieusement, je ne sais même pas si je serais capable de surmonter un éventuelle accident. Si jamais il ne devait plus être de ce monde, je ... je ne serais probablement plus de celui-ci. Peut être que physiquement si, mais physiologiquement je sais que je serais à ses côtés, morte. Cependant, se fut ses derniers mots qui venaient de m'achever. J'étais celle qui entretenait le climat de peur ici. Je baissais rapidement la tête, sentant mon palpitant presque au bord de mes lèvres, je triturais mes doigts, parce que je me sentais mal. Je ... Je je secouais la tête, ne trouvant pas mes mots, je ne pensais pas être ainsi avec lui, je ne pensais pas être celle qui le mettait dans cette état, juste parce que je m'inquiète, juste parce que je le veux à mes côtés le plus longtemps possible Je crois qu'on a sonné, je vais aller voir bien entendu, personne n'avait sonné, je prenais même mon sac pour aller dehors, presque en courant, parce que je sentais mes larmes rouler sur mes joues et que je ne voulais pas. Une fois dehors, la porte claqué, je me laissais tomber contre le mur à côté. Je regardais de l'autre côté, en tentant de reprendre le dessus tout en allumant une cigarette.
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Tout était sorti je me sentais mieux. Soulagé seulement Anya était déstabilisé? Je voyais bien qu'il y avait un souci, elle se triturait les doigts cherchait ses mots et partait. J'avais pas été trop fort, je sais qu'elle s'inquiétait mais elle me faisait peur, j'avais l'impression de mourir limite et même quand j'avais eu ma rechute l'année dernière elle n'avait pas été à tous mes rendez-vous alors pourquoi maintenant. Je prenais une aspiration, elle était partie, son sac avait disparu et je commençais à regretter un peu ce que j'avais dis si j'avais gardé tout pour moi on ne serait pas dans cette situation et d'un autre coté me faire insulter d'égoïste ne me plaisait pas. "Manuela vous pouvez garder la petite?" demandais-je en me penchant vers l'entrée de la porte de la buanderie. Elle hochait la tête, j'attrapais ma veste et ouvrait la porte, elle était assise. Je regardais Anya puis je faisais demi-tour à la maison pour prendre son manteau au cas où. "tu veux venir avec moi faire les courses, j'ai des chaussures à acheter." Une manière de dire que non je lui en voulais pas mais surtout de dire qu'on pouvait être ensemble, qu'on était encore vivant et qu'on pouvait se permettre de faire ce que l'on voulait. "Bébé." Elle fumait, je m'accroupissais devant elle. "Pousse toi un peu." Je me relevais pour me glisser finalement entre le mur et elle afin que son dos repose contre mon torse, mes bras s'enroulaient autour et je posais ma joue sur le sommet de son crâne silencieusement, depuis tout à l'heure j'avais juste eu besoin de ça.
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C'était dur de s'entendre dire que j'étais celle qui faisait régner un climat de peur sous notre propre maison. Je ne voulais pas lui faire peur, certes, j'étais inquiète mais je ne pouvais pas décemment le cacher. Il me connaissait si bien, que même si je tentais de le faire, il le saurait. Alors, j'étais partie, je sortais de la maison , il pleuvait dehors, mais j'étais à l'abris. Je me laissais tomber le long du mur, les coudes sur les genoux, le visage tourné vers le gazon qui buvait l'eau de pluie, tout en m'allumant une cigarette. Oui, bien sûr que je le prenais mal, bien sûr que ça m'avait touché ce qu'il venait de me dire. D'ailleurs, en parlant du loup, il ouvrait la porte puis repartais. Je ne fis même pas attention à son geste, surtout qu'il revenait rapidement. Je ne répondais pas à sa question, je n'avais pas vraiment envie d'y aller. Non. Je voulais rester seule. Même lorsqu'il m'interpellait, je ne tournais pas le regard dans le sien et finalement, il se glissait derrière moi. Je ne protestait pas, je le laissais faire sans répondre à aucun de ses geste. Je n'avais pas envie de parler, j'étais en train de fumer d'ailleurs et c'est la seule chose que j'avais envie de faire. Parler ? A quoi bon ... autant ne pas ajouter de la tension dans ce climat de peur. Sérieusement, à l'entendre dire ça, j'étais une dictatrice. J'avais juste voulu prendre ses rendez vous parce que monsieur ne prenait pas la peine d'y aller et s'il fallait que je supervise, je le ferais, c'est normal non ? Alors oui, selon moi, on est égoïste quand on ne prend pas soin de sa santé, alors que deux êtres dépendent de vous.
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Mes paroles avaient été pensés, oui Anya faisait tout pour me stresser, son visage, sa manière de prendre les commandes rapidement comme si les heures étaient comptées, j'avais besoin qu'on me laisse respirer, il n'y avait rien d'urgent, je prenais les médicaments, je prenais juste pas soin de venir aux rendez-vous de contrôle c'est tout y avait pas non plus de quoi fouetter un chat. Silencieuse, je la gardais contre moi, elle n'avait pas envie de discuter je pouvais le comprendre parfaitement et la pluie qui raisonnait sur le sol était le seul et unique bruit que l'on entendait. "Je t'aime." Murmurais-je doucement à son oreille. "Mais j'ai pas besoin d'une maman, j'ai besoin de toi Anya, juste toi qui crie parce que je fais les trucs pas bien mais pas toi qui est la constamment derrière moi à savoir si je vais bien à mes rendez-vous. J'ai fais deux erreurs, je le sais mais j'avais un peu peur qu'on m'annonce des mauvaises nouvelles bien que ce soit que des rendez-vous de contrôle de médicaments, je repoussais l'échéance c'est tout, je ne suis pas aussi fort que tu le crois." Je sais pas d’où elle sortait ça d'ailleurs, j'avais souvent l'impression de sombrer. Un baiser sur sa tête, mes yeux vers les siens, je resserrais mon étreinte. "J'ai jamais raté un IRM ou un scanner, tu le sais parfaitement tu viens tout le temps à ce genre de rendez-vous juste que là je sais pas, j'avais envie qu'on me laisse un peu respirer." Deux rendez-vous par mois toutes les deux semaines avec prise de sang bien ça m'usais totalement au bout d'un an, c'était pas une routine mais un calvaire et de l'autre je sais qu'elle voulait que je sois en bonne santé. "Viens faire les boutiques avec moi." Dis-je en souriant doucement. "Je te suivrais partout sans rechigner je te le promet ma puce."
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