KENYA ♥ Cause girl you're perfect You're always worth it

Elle ne me nourrissait pas mal, j'avais juste faim, je faisais du sport, les salades ou une escalope ne me suffisait pas, je reconnais que ce repas était plus conséquent, il me resterait sur l'estomac et ça m'allait parfaitement, au moins je ne me réveillerais pas la nuit. "Non vu que c'est moi qui ai fait à manger ce midi." J'avais décidé quoi mettre même si j'aurais bien mangé des pattes après le sport ou d'autres cochonneries, Anya changeait mon alimentation, elle m'obligeait pour ma santé et depuis que je l'avais fais bien je me sentais mieux, j'étais en forme le matin. Ma chemise ouverte, je sentais les yeux d'Anya sur moi seulement quand je l'ai tournais, je la voyais face à la télé, pourtant je jurais qu'elle avait fixé mon torse. Concentré, je mangeais encore entendant ses mots. "Non." Dis-je en mâchant. J'avalais ensuite tournant mes yeux vers elle pour la voir en soutien-gorge. "Bien reste comme ça si tu te sens…" J'avalais ma salive, yeux fixé sur sa poitrine. "Mieux… Ton… bien être passe avant." Dis-je en mâchant une frite. Les lakers marquaient, je tournais pas si vite la tête, perturbé, les yeux brillants, je souriais bêtement. "Puis si tu as froid ensuite…" Je retirais ma chemise, je suis sur qu'elle me provoquait. "Tu pourras enfiler ça à la place de ton débardeur." Joueur, je terminais mon premier sandwich ainsi que mes frittes.

Oui, donc finalement, c'est pas de ma faute, tu te nourris mal Kenny, mais qu'est ce que dirais ta mère dis-je en secouant la tête, je savais ce qu'allais dire sa mère. Elle allait dire " Tu nourris mal mon fils ". En effet, elle m'avait déjà parlé de ça, elle m'avais déjà fait se reproche. La télé allumé, Kenny défaisait sa chemise, bouton par bouton. Merde pourquoi il fait ça ? Un regard en coin, je longeais ce torse que j'aimais tant du regard, tellement que ma frite tomba sur mon haut pour me faire une grosse tâche. J'ai honte. Sérieusement, j'ai honte de me dire qu'à la seule vue du torse de mon mari, je suis capable de me tâcher, je suis capable d'être distraire à ce point. Rapidement, j'enlevais mon haut pour qu'il ne puisse pas voir qu'il était capable de me distraire à ce point, je prenais le prétexte de la chaleur. C'est vrai qu'ici, nous avions une cheminé, peut être bien pour le style puisqu'il y avait un chauffage central au sol. Le regard de Kenny se posait sur ma poitrine, lui, se fichait bien que je le vois ou non. Parce que clairement, je le voyais faire. Puis, vint le moment ou il enlevait carrément sa chemise. C'est gentil .. mais te sacrifie pas pour moi je t'en pris non, me montre pas tes biceps bien dessiné, tes épaules musclé, ton dos que j'aime tant. Je posais sa chemise sur ses épaules, faisait un noeud autour de son cou avec les manches. J'avais mon superman personnalisé à mes côté. Je terminais mes frites, en me levant un peu, mon short ouvert. J'allais prendre ma pilule avant de revenir devant Kenny, mangeant ma dernière frite. Tu m'expliques pourquoi on est en train de se mettre à poil l'un devant l'autre ? dis-je en riant à plein poumon, il avait ouvert sa chemise, j'avais enlevé mon haut -parce que j'avais une tâche rappelons-le- puis il avait retiré sa chemise complètement , j'avais ensuite ouvert mon short .... Je le regardai un instant, les mains contre mes hanches pour finalement me poser à ses côtés, je posais une de mes mains contre son torse, ses abdos, que je touchai de long en large en regardant mon geste puis finalement, sans lui demander la permission, cette fois-ci, je l'embrassais.

Il y avait cette manière d'être avec elle, celle que ma mère ne connaissait pas, cet esprit de sacrifice car oui pour moi je me sacrifiais souvent pour elle, pour son bonheur, pour la voir sourire, s'amuser, rire, la voir heureuse. La c'était juste ma chemise que je retirais, l'esprit de sacrifice n'y était pas je l'avoue, je le faisais juste pour l'embêter, la rendre vulnérable comme moi je l'étais quand je la contemplais. Elle était belle, divine dans son ensemble si simple. Aucunes dentelles juste du tissus et c'était ce qui me plaisait le plus clairement car mon imagination pouvait prendre place, divaguer, rêver. Je frissonnais délicatement même mes yeux posés sur la télé, mon esprit n'y était pas jusqu'à ce qu'elle noue ma chemise autour de mon cou. Je rigolais, je me prenais pour un super héros à ma manière. "Mais non j'y tiens tu sais..." Lâchais-je en retirant ma chemise. "Je veux pas que tu prennes froid, tu vas être toute malade après." Je souriais faussement je voulais juste l'embêter rien de plus j'étais pas débile je savais que moi aussi j'avais la capacité de la déstabiliser. Elle se levait je finissais mon repas tranquillement le dos appuyé contre le canapé, je regardais mon épouse partir puis revenir et comme si de rien était je faisais le mec concentre sur le match seulement j'entendais un bruit, mes yeux bifurquaient discrètement sur son short ouvert. Gloups. C'était chaud, elle se mettait presque nue sans gene, j'en revenais pas. Rieur, je l'étais davantage quand Anya se demandait pourquoi on faisait ça. "Je sais pas c'est toi tu te déshabilles moi... Je suis blanc comme neige." Je levais les mains en l'air en rigolant toujours, Anya contre moi désormais me touchait le torse et je me sentais un peu défaillir surtout qu'elle joignait rapidement ses lèvres dans cette histoire. Je perdais pieds, mes lèvres contre les siennes, je passais ma main derrière sa nuque, prolongeant notre tendre baiser ensemble jusqu'à en perdre haleine. Je lui en volais plusieurs avant de glisser mon bras derrière son dos pour qu'elle se blottisse contre moi.

C'est ... parce que j'ai chaud, c'est pas de ma faute dis-je en haussant une épaule. Ma peau était encore toute bronzé grâce à notre séjour au Brésil, la sienne aussi d'ailleurs. Beaux, riches, parfaits, intelligents ... merde on est le couple parfait. Puis finalement, je me posais à côté de mon mari, posant ma main contre son torse , le caressant de haut en bas pour finalement déposer mes lèvres contre les siennes. Il ne me repoussait pas, bien au contraire, il accentuait notre baiser. J'avais été comme un lion en cage, qui attendait depuis tout à l'heure et enfin, j'avais ce que je voulais. Ma main continuait de caresser son torse, ce torse que j'adulai, faut le dire et finalement après notre échange, il me ramenait contre lui. Je souriais en passant ma langue contre mes lèvres Ton sandwich à un goût bizarre dis-je en riant doucement alors que j'embrassais son torse. Je prenais une frite que je lui mettais devant la bouche, avant de la baisser sur son torse, lui laissant une trace de ketchup en riant. C'est fou à chaque fois qu'on mange Mcdo , on se met à faire une bataille de nourriture et alors que je me posais sur lui à califourchon, prête à la lui retirer, Jay arrivait en courant pour lécher le torse de son maître ... à ma place. Je levais mon regard vers Kenny, surprise avant d'éclater de rire. Ok, j'ai un concurrent maintenant

"Non il était bon." Je fronçais les sourcils, elle trouvait ça bizarre, moi non maintenant j'avais un peu peur qu'il soit avarié. "Tu crois que… Mais non il a été fait aujourd'hui." Je prenais un peu le papier pour voir l'allure de la sauce qui était resté sur le carton, rien à signaler, elle sentait bon, une bonne couleur. Je me remettais à ma place, Anya s'agitait en prenant une frite avec un bout de sauce, je la regardais faire, frissonnant à ce qu'elle pouvait me faire, c'était qu'une frite mais parce que c'était elle c'était ma femme, la femme que j'aimais. Les yeux pétillants, je posais mes mains sur sa taille alors qu'elle était à califourchon et là paff Jay grillait la politesse à mon épouse. Je rigolais, mort de rire, Jay restait assit sur le canapé en agitant la queue. J'en pouvais plus, j'avais ma tête sur son épaule, rieur encore et encore. "Une grosse concurrence." M'amusais-je à dire avant de passer mes mains dans ses cheveux blonds. "Mais tu remporteras toujours le match, t'es parfaite." Chuchotais-je tendrement. "Je vais prendre une douche avec toi. Go bébé !" Je l'agrippais, éteignais la télé en montant les marches en sa compagnie. Quelques minutes plus tard on allait au lit tous les deux, demain une énorme journée m'attendait tout comme Anya.

Le lendemain, je me réveillais le premier, je prenais un peu de son rouge à lèvre pour lui laisser un petit mot sur le miroir comme elle me le faisait. "Je t'aime. Bonne journée. ♥" écrivais-je avant de partir à l’hôpital pour mon scanner de contrôle puis ma séance de psy.