Comme tous mec qui se respecte, je ne pense pas à l'après, je vis le moment présent, mais je ne me pose aucune question sur ce que sera notre relation dans le futur. A quoi bon, j'aime pas me poser des questions, ça complique toujours tout et bien souvent, ça vous met des bâtons dans les roues. Le regret ? C'est ce qu'il y'a de plus difficile sur cette terre. Le regret, ça vous démange, alors je préfère faire, ce que je veux, quand je veux. Les accidents c'est vite arrivé répondais-je à ce qu'elle venait de me dire. Je n'insinuai pas qu'elle allait le faire exprès, mais les accidents, c'est vite arrivé et je suis bien placé pour le savoir. Mon ex petit ami était tombé enceinte au début de notre relation, elle était allé avorter, parce que c'était mieux ainsi, mais nous n'avions pas voulu que a se fasse. Donc oui, les accidents, ça arrive. Une fois les choses bien entamée, Sally gémissait et ça me faisait sourire. Je n'étais pas aussi démonstratif, mes soupirs était plus discrets, je les étouffais contre son épaule, avant de la ramener contre moi, assise. Je la maintenais, je la faisais monter et redescendre d'une manière plus que dévorante. Mon souffle était court, ma respiration était haletante, j'avais du mal à respirer, mais je sentais que ça allait venir, même pour Sally. Son visage prenait une autre allure, se crispait sous le plaisir. Mes lèvres s'attaquaient à son cou, je la mordillais mais l'embrassait aussi tout en tirant sur ses cheveux, avant de laisser aller mes lèvres contre sa poitrine, que je tirais un peu avant d'atteindre le paroxysme peu de temps après Sally. Je me laissais tomber en arrière après avoir pousser un râlement de plaisir incontrôlé. Je fermais les yeux alors que mes mains étaient tout jours posé contre ses fesses. Je tentais de reprendre mon souffle quand je la faisais basculer sur le côté pour retirer, nouer et jeter le préservatif. Je revenais dans le lit en nous couvrant tous es deux. Les bras croisés derrière la tête, je ramenais Sally contre moi, j'étais pas un goujat. ça va ?
Un accident arrivait vite seulement j'étais très ponctuel sur ma pilule et j comptais avoir avoir un gosse avec le premier venu, je voulais être mère mais pas d'un mec qui ne prendrait pas ces responsabilités et là avec Gabriel c'était pas le candidat idéal au vu de notre relation mais là tout de suite ce n'était pas la question qu'il ce protège c'était bien au moins j'étais rassurée sur le fait qu'il ce protège avec toutes ces conquêtes même si sa pourrait paraitre blessant d'un autre côté. Pendant l'acte je laissais des soupires, des gémissements un peu plus prononcée aussi s'échapper d'entre mes lèvres, je ne savais pas faire exprès et puis quand je prenais mon pied impossible de me contrôler, j'essayais tout de même de me faire discrète parce qu'on était dans une chambre universitaire et je préférais être aussi discrète que Gaby. Je me laissais guider par lui en montant et redescendant contre lui et je ferma les yeux sous le plaisir qu'il me procurait, je sentais la fin toute proche et je laissa mes mains s'agripper à la peau de son dos et mes ongles rentré très légèrement dans sa chair, il tira sur mes cheveux et je lui offrais ma nuque puis mon buste et il prit son de mordre et d'embrasser ma nuque avant de finir sur ma poitrine. Le plaisir était doublé, j'aimais la façon dont il s'occupait de moi et là tout de suite impossible de tenir plus longtemps, je lâcha un petit grognement en le sentant ce lâcher et je relâcha la pression en me maintenant contre mes mains qui étaient contre son torse et quand il me fit basculer sur le côté je souris en détendant tout mon corps, je repris mon souffle alors qu'il allait jeter son préservatif et qu'il revienne, je lui fis une petite place avant qu'il me tire vers lui, je souris en posant mon visage contre son torse en allant caresser de ma main son torse, c'était pas une raison pour rester immobile et ne pas le toucher pas après avoir été aussi intime. "Après un tel moment oui... Et toi??"
Je m'étais levé pour jeter la protection avant de revenir dans le lit pour la rejoindre. Je passais mon bras dans son dos, caressant ce dernier de haut en bas. Je lui demandais si ça allait, si tout c'était bien passé. C'est vrai, on était passé à une étape supérieur, une étape qui ne faisait pas partie de notre relation au départ. Je vais terriblement mal lui dis-je en levant les mains au ciel avant de croiser mes bras contre ma tête. Je vais très bien Lily je suis un mec, c'est pas le genre de chose qui va me rendre mal, faut le dire. Mais j'avais peur qu'elle ait des état d'âme , qu'elle remette notre amitié en question. Je déposais un baiser contre son front avant de remonter les couvertures. ... peut être que tu veux que je dorme dans le canapé en fait .. bah oui, ce qu'elle veut je le sais pas, bien que je me doute, qu'elle voudrait que je reste avec elle.
Je ne savais pas ce qui changerait dans notre relation mais je savais que tout changerait sans compter qu'il était important pour moi peut être un peu trop mais j'avais peur qu'il agisse comme les autres mecs et qui s'éloigne de moi surtout le jour ou il ce mettrait en couple. Je restais près de lui en caressant son torse de mes doigts et à ces mots me me pinça les lèvres, bon d'accord c'était une blague et la suite me rassura mais j'avais peur qu'il ne dise pas la vérité. "Tu regrette pas??" Je le laissa recouvrir nos corps de la couverture et je redressa la tête pour poser mon menton sur son torse pour le regarder dans les yeux. "Non je préfère que tu reste avec moi, je ne veux pas que tu devienne le mec invisible ou distant parce qu'on à couché ensemble."
Est-ce que je regrette ce qu'il venait de se passer ? Non, pas pour l'instant en tout cas. Je sais pas de quoi demain sera fait mais pour l'instant je me sens bien. Je tourne mon visage vers elle en secouant la tête et en répondant juste un Nop à vrai dire j'étais un peu fatigué tout à coup, c'est pour ça que je ramène le drap sur nos deux corps. Un bras croisé derrière la tête et l'autre main dans le dos de Sally, je ferme un peu les yeux tout en l'écoutant parler. Tu te poses trop de question Sally, je vais pas devenir distant à cause de ce qu'il vient de se passer, ça nous appartient et on est grand, j'ai plus 15 ans et toi non plus dis-je en ouvrant doucement les yeux pour la regarder. Tu resteras toujours ma Sally je lui faisais un petit clin d'oeil en baillant un peu et maintenant j'ai une cruelle envie de dormir, je sais pas toi mais je suis mort et encore une fois je baillais en me tournant vers le coussin. T'as coloc risque pas de débarquer en pleine nuit ou au petit matin ?
Je ne pensais pas qu'un jour entre lui et moi il ce passe la moindre chose comme celle ci mais je ne regrettais pas parce que ce soir je m'étais senti bien et importante dans ces bras et cela m'avait changée mais j'avais peur que du côté à Gaby tout soit différent et qu'il finisse par regretter et s'éloigner de moi comme d'autres l'avait fait après avoir eu ce qu'il voulait. Je resta contre son torse que je caressais du bout des doigts et je l'écouta parler en souriant. "Oui je sais je pense que j'ai trop été déçue et j'avais peur de te perdre aussi." Je le regarda ouvrir ces petits yeux mais le pauvre était tellement fatigué que je m'en voulais de l'embêter avec mes questions. "Ne t'en fait pas dort tu en a besoin." Avec tout ce qu'il avait bu aussi sa devait l'avoir tuer, je me tourna pour attraper mon téléphone. "Je vais lui envoyer un sms donc t'inquiète plus et repose toi." J'envoyais un sms à ma colocataire pour qu'elle puisse ce trouver un autre endroit ou dormir pour ce soir et je déposa mon téléphone avant de lui déposer un baiser sur l'épaule et je caressa le long de son bras en fermant les yeux à mon tour.
J'étais rassuré que la colocataire de Sally ne rentre pas, je n'avais pas forcément envie de voir une inconnue à mon réveil. Généralement, je me réveille tard, je bouge, je me découvre, je fais ma vie en dormant quoi. Je fermais de nouveau les yeux, Sally me faisait des papouilles. C'était assez plaisant, je m'endormais rapidement même. C'était des gestes tendres, des gestes qu'elle m'avait déjà fait, mais c'était une tout autre situation... Au fond, je me demandais si ça signifiait toujours la même chose. Pour moi, c'était le cas. Sally resterait ma Sally, la Sally qu'elle est pour moi et j'espérais que se soit le cas pour elle aussi. C'est vers les alentours de 11h que je me réveillais. J'avais besoin de sommeil, comme toujours. Elle n'était plus dans le lit et c'est après voir ouvert les yeux que je les refermais pour me tourner dans le lit en m'étirant sauf que je tombais par terre. Merde, c'est pas mon lit. Je ramassais le drap au passage pour le remettre sur le lit, cherchant mon boxer des yeux. C'est une fois l'avoir trouvé que je l'enfilais. Mon ventre grogne, putain, j'ai la dalle et un mal de crâne aussi. Je descend les escaliers de la Cabot House, après avoir enfilé mes fringues. Je veux pas créer d'émeute (aa) Blondie ?!
J'étais le genre de femme tactile, que je sois avec mon petit copain, un ami ou un membre de ma famille j'étais comme ça, j'aimais être câliné et j'aimais câliné maintenant je savais où je devais en rester avec Gaby, je savais qu'elle genre de mec il était et ce qu'il recherchait mais je pense que je resterais assez perdue après ce qui venait de ce passer, je ne savais pas si c'était arriver juste comme ça pour savoir ce que sa donnerait, si sa allait ce reproduire, si on restait simplement ami et qu'on ferrait comme ci rien ne c'était passé et pour le moment je préférais ne plus y penser parce que sa m'empêchait de fermer l'oeil. Je m'étais réveillée vers les dix heures du matin et j'avais filer dans m douche histoire de me réveiller avant de revenir dans la chambre sans faire de bruit, j'avais enfiler une nuisette et un peignoir en soie pour le moment et le laisser dormir pendant que j'irais nous préparé un petit déjeuner, je ne savais pas encore si il partirait en douce ce matin ou quoi mais bon j'allais comme même préparé un petit quelque chose au cas où. J'étais dans la cuisine en train de faire du pain griller et faire couler du café avant de tartiner mon pain avec de la confiture quand j'entendis la voix de Gaby. "Je suis là."
Je venais à peine de me réveiller. J'étais encore dans le cirage complet. La tête dans le cul, le cul dans le brouillard Avant de sortir de la couverture, je regardais autour de moi, histoire de savoir si j'étais bien seul dans la pièce. Un regard à droite, un regard à gauche, je sortais à la vitesse de la lumière. Appelez moi flash gordon. Pas que j'étais pudique mais ... un peu. C'est après avoir enfilé mes vêtements que je descendais en bas, le pas lourd. J'appelais Sally, espérant qu'elle ne met pas laisser en plan, sauf que j'entendais des " Chuuuuuuut " sortir d'autre chambre. Merde, j'avais complètement zappé qu'on était dans une confrérie et qu'il y avait d'autre femme ici. Espérons juste qu'elle ne sont pas féministe, qu'elles ne m'attachent pas à une chaise et me torturent simplement parce que j'ai les bijoux de la couronne en bas. J'ai faillis me faire sauter au cou chuchotais-je en regardant l'escalier à nouveau, comme terrifier. Elles sont combien là-dedans ? Je dois craindre pour ma vie ou pas ? je m'installais à table, je prenais une tartine, sans vraiment de gêne. L'homme à faim. Bien dormi ? la question clichée des mecs. Je n'avais pas cessé de chuchoter, allez savoir pourquoi. Paranoïa , oui, bonjour, ici Gabriel.
Je n'étais pas encore habiller et j'avais prévu de lui faire un bon petit déjeuner surtout après un moment comme hier soir mais allait t-on reparler d'hier soir ou simplement éviter le sujet sa je n'en savais rien et j'allais le laisser commencer, il allait surement ce comporter comme.... comme Gaby en fait. Je l'entendis très rapidement et je lui fis comprendre que j'étais dans la cuisine en train de faire plusieurs tartines, quand je l'aperçus et que j'entendis sa remarque je souris. "Je ne pense pas que sa te dérangerait autant que ça." Je souris en allant prendre deux tasses, je lui en tendais une et en prit une pour moi pour ensuite servir le café tout chaud dans nos deux tasses. "Nombreuses mais non elles sont assez excessive quand elle voit un beau garçon mais elle ne mord pas, quoi que.." Je posa le sucre sur la table et les tartines avant d'en prendre une pour croquer dedans. "Oui plutôt bien, et toi??"
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Comme tous mec qui se respecte, je ne pense pas à l'après, je vis le moment présent, mais je ne me pose aucune question sur ce que sera notre relation dans le futur. A quoi bon, j'aime pas me poser des questions, ça complique toujours tout et bien souvent, ça vous met des bâtons dans les roues. Le regret ? C'est ce qu'il y'a de plus difficile sur cette terre. Le regret, ça vous démange, alors je préfère faire, ce que je veux, quand je veux. Les accidents c'est vite arrivé répondais-je à ce qu'elle venait de me dire. Je n'insinuai pas qu'elle allait le faire exprès, mais les accidents, c'est vite arrivé et je suis bien placé pour le savoir. Mon ex petit ami était tombé enceinte au début de notre relation, elle était allé avorter, parce que c'était mieux ainsi, mais nous n'avions pas voulu que a se fasse. Donc oui, les accidents, ça arrive. Une fois les choses bien entamée, Sally gémissait et ça me faisait sourire. Je n'étais pas aussi démonstratif, mes soupirs était plus discrets, je les étouffais contre son épaule, avant de la ramener contre moi, assise. Je la maintenais, je la faisais monter et redescendre d'une manière plus que dévorante. Mon souffle était court, ma respiration était haletante, j'avais du mal à respirer, mais je sentais que ça allait venir, même pour Sally. Son visage prenait une autre allure, se crispait sous le plaisir. Mes lèvres s'attaquaient à son cou, je la mordillais mais l'embrassait aussi tout en tirant sur ses cheveux, avant de laisser aller mes lèvres contre sa poitrine, que je tirais un peu avant d'atteindre le paroxysme peu de temps après Sally. Je me laissais tomber en arrière après avoir pousser un râlement de plaisir incontrôlé. Je fermais les yeux alors que mes mains étaient tout jours posé contre ses fesses. Je tentais de reprendre mon souffle quand je la faisais basculer sur le côté pour retirer, nouer et jeter le préservatif. Je revenais dans le lit en nous couvrant tous es deux. Les bras croisés derrière la tête, je ramenais Sally contre moi, j'étais pas un goujat. ça va ?
Avant de sortir de la couverture, je regardais autour de moi, histoire de savoir si j'étais bien seul dans la pièce. Un regard à droite, un regard à gauche, je sortais à la vitesse de la lumière. Appelez moi flash gordon. Pas que j'étais pudique mais ... un peu. C'est après avoir enfilé mes vêtements que je descendais en bas, le pas lourd. J'appelais Sally, espérant qu'elle ne met pas laisser en plan, sauf que j'entendais des " Chuuuuuuut " sortir d'autre chambre. Merde, j'avais complètement zappé qu'on était dans une confrérie et qu'il y avait d'autre femme ici. Espérons juste qu'elle ne sont pas féministe, qu'elles ne m'attachent pas à une chaise et me torturent simplement parce que j'ai les bijoux de la couronne en bas. J'ai faillis me faire sauter au cou chuchotais-je en regardant l'escalier à nouveau, comme terrifier. Elles sont combien là-dedans ? Je dois craindre pour ma vie ou pas ? je m'installais à table, je prenais une tartine, sans vraiment de gêne. L'homme à faim. Bien dormi ? la question clichée des mecs. Je n'avais pas cessé de chuchoter, allez savoir pourquoi. Paranoïa , oui, bonjour, ici Gabriel.