Je m'amusais certes, mais je me faisais aussi plaisir. Sally était l'une de ces femmes qui vous fait tourner la tête tant sa beauté est pure, féline et divine. Ce soir, pour une fois, j'avais envie de me laisser aller dans ce jeu là. Je sais bien que c'était dangereux mais après tout ... nous étions adultes et j'avais bien remarqué que ça ne lui déplairait pas. Je ferme donc le rideau pour ensuite la savonner. Je laisse mes mains naviguer contre son corps, sa peau délicate et douce comme de la soie. Mes mains passent sur ses épaules, dans son dos, sur ses bras, son ventre, puis contre sa poitrine. Alors que j'allais m'amuser un peu avec jusqu'à ce que Sally n'entrelacent ses doigts aux miens. Je souriais à ce qu'elle disait. Je déposais mes lèvres contre son épaule, les faisant remonter contre son cou que je suçotais doucement. Et pourquoi ça c'est pas une bonne idée Sally ? Je poussais les mains de Sally entrelacer aux miennes pour qu'elle les pose sur son propre corps. Je les faisais descendre, un peu plus bas avant de m'arrêter devant son centre. T'es peut être pas faite pour ce jeu finalement je relâchais la pression que je mettais avec mon corps pour sortir la douche avec ce même sourire aux lèvres. La serviette devant moi, je l'enroulais autour de ma taille pour aller m'étaler sur le lit de Sally, les bras derrière la tête, finalement, elle n'était pas aussi forte qu'elle le disait. Elle n'y entrait pas complètement et cette pensée me faisais sourire pour la simple et bonne raison qu'elle se montrait toujours autant sûre d'elle et dévergondé, mais au fond, elle avait cette part de fragilité qui me plaisait.
Je n'étais pas amoureuse de Gabriel maintenant il me plaisait sans aucun doute et il faisait partie des gens dans ma vie que j'aimais vraiment beaucoup, j'aimais ce mec et je ne voulais le partagé avec personnes comme j'avais peur de devenir encore plus possessive si je me laissais trop aller et puis il avait but alors j'avais pas envie de l'entendre me dire qu'il regrettait et que c'était l'alcool qui l'avait faire des conneries, rien ne serait plus blessant que ce genre de remarque. J'étais donc dos à lui et je sentais ces mains glisser contre mon corps pour finir sur ma poitrine, j'en frissonnais et j'avais sentie ma poitrine ce dresser, j'avais donc attraper ces mains pour entremêler nos doigts et le stopper dans son élan mes ces lèvres prenait le relais, je les sentis sur mon épaules et sur mon cou qu'il suçotait et je me mordillait encore plus la lèvre inférieur en fermant les yeux sans répondre à sa remarque. Il fit descendre mes mains un peu plus bas sur mon corps et j'ouvrais les yeux en essayant de résister et avant de répondre à sa remarque. "Peut être parce que tu me plait un peu trop pour ce jeu là." En le sentant sortir de la douche je repris une respiration normal et je passais sous l'eau pour me rincer et passer ma te^te sous l'eau pour me calmer mes il m'avait bien chercher et il m'avait trouver, je ferma l'eau de ma main avant de sortir, je pris une serviette que j'enroulais autour de moi pour retourner dans la chambre, en le voyant installer sur le lit je lâcha un long soupir et je me dirigea vers lui pour grimper sur lui à califourchon pour me pencher et aller chercher ces lèvres pour partager un baiser fougueux, je laissa nos langues jouer ensemble par la même occasion avant de me reculer de quelques centimètres de ces lèvres et chuchoter. "Voilà pourquoi ce n'est pas une bonne idée."
Je lui plaisais un peu trop pour ce jeu là ? Je sais bien qu'il y avait une certaine attirance physique entre nous deux, bien que par moment, je ne voyais pas Sally comme une femme que je pourrais toucher. Juste parce que je ne voulais pas être l'un de ces hommes qui lui fait du mal ... sauf que ce soir j'en avais envie, puis c'était moi non ? Je ne lui ferais pas de mal ... elle ne tomberait pas amoureuse de moi. C'était cette tentation qui était présente depuis un certain temps qui ne ferait que s'extérioriser non ? A ses mots, je préférais tout de même sortir de la douche en me disant que notre petit jeu, je venais de le gagner. Je savais bien que je n'avais pas gagner la guerre, que la guerre serait surement l'expression de nos envies un jour ou l'autre. Installé sur son lit, j'attrapais un livre en attendant, un bras derrière la tête avant qu'elle ne revienne. Je relevais les yeux pour la regarder. Je sentais mon corps se réveiller clairement surtout lorsqu'elle se posait sur moi. Elle venait m'embrasser. Mes mains se posaient automatiquement dans son dos pour la plaquer d'autant plus. Je laissais ma langue jouer avec la sienne, je venais même à tirer sur sa lèvre inférieur. Moi je trouve que c'est une très bonne idée .. dis-je en plongeant mon regard dans le sien et que mes mains venaient enlever la serviette qu'elle avait enroulé autour d'elle. Je laissais mes mains remonter le long de son corps , profitant à nouveau pour gouter à la douceur de celle ci puis finalement, je l'amenais à moi pour l'embrasser encore une fois. Encore une fois j'avais envie de sentir ses lèvres pulpeuse se fondre sur les miennes.
Il était surement la tentation la plus dur pour moi, la seule tentation à laquelle je ne voulais pas céder parce qu'il était plus important pour moi que n'importe quel mec, j'avais besoin de Gabriel dans ma vie et jusque là j'avais impeccablement retenais cette tension sexuel envers lui, j'arrivais à être tactile avec lui sans pour autant lui sauter dessus mais il faut dire que ce soir il ne m'aidait ps du tout à garder tout ça en moi. Je ne pourrais pas tomber amoureuse de lui j'en étais persuadé mais j'avais peur parce que c'était un jeu trop dangereux, Gabriel était le genre d'homme trop parfait pour que je me laisse aller avec lui mais après l'épisode de la douche j'en avais clairement envie. Je venais le rejoindre dans la chambre et nos regards ce croisa avant que je grimpe sur lui pour aller l'embrasser et le fait qu'il prolonge ce baiser ne m'avait encore moins aider. "Tu ne m'aide pas du tout là.." Je sentis ces mains me retiré ma serviette alors que je laissais mon regard dans le sien, il était trop craquant je ne pourrais rien lui refuser et je prenais goûts au fait que ces mains ce promène sur ma peau. Mes lèvres fut encore prisonnière des siennes, je prolongea son baiser en laissant ma main glisser contre son son torse avant de remonter à sa nuque tandis que de l'autre je me tenais contre le matelas pour ne pas l'écraser mais très vite je ira sur sa serviette pour lui retirer, il m'avait trop tenter c'était trop tard pour faire marche arrière.
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Je m'amusais certes, mais je me faisais aussi plaisir. Sally était l'une de ces femmes qui vous fait tourner la tête tant sa beauté est pure, féline et divine. Ce soir, pour une fois, j'avais envie de me laisser aller dans ce jeu là. Je sais bien que c'était dangereux mais après tout ... nous étions adultes et j'avais bien remarqué que ça ne lui déplairait pas. Je ferme donc le rideau pour ensuite la savonner. Je laisse mes mains naviguer contre son corps, sa peau délicate et douce comme de la soie. Mes mains passent sur ses épaules, dans son dos, sur ses bras, son ventre, puis contre sa poitrine. Alors que j'allais m'amuser un peu avec jusqu'à ce que Sally n'entrelacent ses doigts aux miens. Je souriais à ce qu'elle disait. Je déposais mes lèvres contre son épaule, les faisant remonter contre son cou que je suçotais doucement. Et pourquoi ça c'est pas une bonne idée Sally ? Je poussais les mains de Sally entrelacer aux miennes pour qu'elle les pose sur son propre corps. Je les faisais descendre, un peu plus bas avant de m'arrêter devant son centre. T'es peut être pas faite pour ce jeu finalement je relâchais la pression que je mettais avec mon corps pour sortir la douche avec ce même sourire aux lèvres. La serviette devant moi, je l'enroulais autour de ma taille pour aller m'étaler sur le lit de Sally, les bras derrière la tête, finalement, elle n'était pas aussi forte qu'elle le disait. Elle n'y entrait pas complètement et cette pensée me faisais sourire pour la simple et bonne raison qu'elle se montrait toujours autant sûre d'elle et dévergondé, mais au fond, elle avait cette part de fragilité qui me plaisait.