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(+ Caleb) il ne manquait plus que ça...

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C’est fou comme une simple visite à la banque peut virer au cauchemar complet. Thaïs, qui était simplement venue retirer un peu d’argent liquide, avait été prise en otage avec les employés de la banque et quelques civiles présents à ce moment là. Il n’avait pas fallut moins de dix heures, de nombreux échangés de vidéos passant à la télévision et autres négociations pour que Thaïs et les autres otages soient relâchés. Autant dire qu’elle était… livide. On l’avait menacée, lui avait hurlé après sans compter la peur qui n’avait pas cessé d’irradier l’intégralité de son corps… en bref, lorsqu’on l’installa sur une civière d’ambulance en position assise, Thaïs refusa tous les examens possibles et imaginables, y compris ceux pour la tension. « Je vous ai dit que j’allais bien, vous n’allez pas encore me le faire répéter, n’est-ce pas ? » répliqua-t-elle en soupirant. « Je veux juste rentrer chez moi… mettez-moi un pansement sur la plaie de mon cou et basta. »
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« Il faut que j’y aille ! LACHE MOI BORDEL DE MERDE ! » hurlais-je à l’intention de Nicolaï qui me ceinturait depuis bien cinq bonnes minutes. Depuis que j’avais vu le visage livide de ma femme aux prises d’un forcené qui détenait des otages dans une banque. Comment ? Pourquoi ? Je n’en avais aucune idée et je m’en foutais complétement, je voulais simplement voler à son secours. « Et tu vas faire quoi ? Entrer dans la banque et te prendre une balle entre les deux yeux ?! Tu restes là !! Tu n’es pas en état de conduire » répondit-il froidement mais je continuais de me débattre. « Je dois y aller !! C’EST MA FEMME PUTAIN » poursuivais-je avant qu’il ne plonge son regard dans le miens. « Tu te calmes et après, je t’affrète mon jet pour que tu y sois dans l’heure ! » me dit-il et je savais qu’il serait capable de me menotter à un meuble pour être sûr que je ne bougerai pas. C’est ainsi que commença la longue attente jusqu’à ce que les médias annoncent bientôt la fin du calvaire pour les otages. Dans la seconde suivante, j’étais en partance pour l’aéroport et deux heures plus tard, je courrais dans les rues de Cambridge car trop long d’attendre dans les embouteillages. « THAIS ! » m’écriais-je en la voyant au loin, assise dans l’ambulance.

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Thaïs dû se battre pendant de longues minutes auprès des toubibs pour qu’ils lui fichent la paix et se contentent de mettre un petit pansement dans son cou, mais ce fut une seconde bataille qu’elle dû mener pour qu’ils la laissent rentrer chez elle : la blondinette n’avait rien de précis, juste un coup de stress gigantesque et une envie de s’effondrer dans son lit son chien tout près d’elle pour seule présence ne pouvait être plus forte. Finalement, ce fut la voix inespérée et inattendue de Caleb qui la fit se redresser, repoussant brusquement l’énième tentative d’un toubib pour prendre sa tension. « Caleb ?! » s’exclama-t-elle non sans descendre aussitôt de l’ambulance, sans prendre conscience des remontrances de celui qui cherchait à l’examiner quelques secondes plus tôt. Elle se dirigea vers son cher et tendre en se laissant guider par sa voix qui l’avait précédemment appelée avant de le serrer dans ses bras comme si sa vie en dépendait non sans éclater en sanglots avec une force jamais atteinte. « J’ai eu la peur de ma vie… j’t’en prie me laisse pas toute seule, j’y arriverais pas… j’ai trop la trouille… » Cette fois-ci, plus la peine de jouer à la personne forte : elle tremblait comme une feuille en déversant toute la crainte éprouver durant ces heures d’enfer, aussi bien pour le bébé que pour elle. « Comment tu m’as retrouvée ? »
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Je crois que je n’avais jamais couru aussi vite de toute de ma vie si ce n’est ce jour funeste où je l’avais vu prête à sauter du pont. Aujourd’hui, les choses étaient différentes et encore une fois, j’avais l’impression que le destin s’acharnait à vouloir me la prendre mais je ne le laisserai pas faire sans me battre. Moi vivant, personne ne m’arracherait ma femme si bien que lorsqu’elle fut à portée, je la serrai dans mes bras comme si ma vie en dépendait, déposant une multitude de baisers sur son visage. « Plus jamais, je t’amène avec moi ! Je te laisse plus, je vais devenir dingue s’il t’arrive encore quelque chose » murmurais-je d’un ton fiévreux tant j’avais eu la peur de toute mon existence. Je déposais un doux baiser sur ses lèvres tremblantes avant de la blottir contre mon torse. « Je te retrouverai où que tu sois mais le fait que tu passes sur un JT national a bien aidé pour te localiser… Comment tu fais ? Tu es un aimant à problème… Etre ton garde du corps est un travail à temps plein, tu es au courant ? » tentais-je de plaisanter tandis que mon cœur ne cessait de battre la chamade.

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Thaïs écarquilla deux grands yeux surpris. « Tu m’emmènes avec toi ? » La blondinette osait à peine y croire tant il réalisait là une bonne dizaine de ses rêves les plus fous. Ne plus avoir à être loin de lui en se demandant s’il tenait le coup, s’il ne souffrait pas trop… elle devenait folle, et pourtant, l’irlandaise avait eu la volonté de ne jamais en dire mot. Il faut croire qu’elle possédait plus de force qu’elle ne le croyait, bien que celle-ci soit d’autant plus vive entre ses bras et sous ses baisers, qu’elle lui rendit avec la même force. « Je n’ai pas de garde du corps je te rappelle… et je ne sais pas comment je fais. Je retirais juste de l’argent à la banque, je ne faisais rien de stupide ou de dangereux, je crois juste que j’ai tout bêtement la poisse. » Thaïs laissait de longues larmes s’écouler contre ses joues, n’ayant plus la force de se retenir. « Quand tu n’es pas dans les parages, il m’arrive que des tuiles… j’ai peur pour le bébé. J’ai essayé de tenir le coup mais… pardon de ne pas réussir aussi bien que je l’aurais voulu. »
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« Oui » répondis-je aussitôt à sa question. Hors de question de la laisser derrière moi, pas en la sachant aussi choquée. Ce serait surhumain et je n’avais pas l’âme d’un tortionnaire. Je n’arrivais plus à me contenter des brèves heures que je glanais en lui rendant des visites surprises ou alors nos coups de téléphone chaque soir avant de nous endormir. J’avais de plus, j’avais de contact, de pouvoir l’aimer, la serrer dans mes bras, de lui parler, de rigoler avec elle. Bref, de vivre à ses côtés. « C’est bien pour ça que je postule au rôle de garde du corps. D’ailleurs, je me verrais bien dans cette profession, qu’est-ce que tu en penses ? » plaisantais-je pour lui faire oublier la peur mais ses lames me brisèrent le cœur. Aussi, je les essuyais avec tendresse d’un revers des pouces. « Hey… ça va aller, je ne suis pas mieux sans toi. Je n’y arrive pas. Je passe mon temps à m’énerver, à fracasser des punchingball rien que pour penser à autre chose… j’ai besoin de toi ! Viens avec moi à New York, tu as besoin de prendre l’air, de changer d’horizon et moi, j’ai simplement besoin de toi à mes côtés pour guérir »

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Thaïs n’arrivait pas à y croire. Rien qu’avec cette proposition, Caleb venait de rallumer une étincelle d’une brillance incomparable dans le fond des yeux d’un bleu puissant de la demoiselle. La jolie blonde avait besoin de lui pour vivre, car malgré toute la volonté du monde, elle n’était ni surhumaine ni une héroïne née. « Je remets volontiers ma vie entre tes mains mon ange… tu veux devenir garde du corps, sérieusement ? Moi je te verrais très bien dans le rôle mais… et tes études d’histoire de l’art ? » L’allemand s’était donné tant de mal à la tâche qu’il était presque dommage de les abandonner… mais peut-être avait-il besoin d’un nouveau but dans la vie. Quoi qu’il en soit, Thaïs le suivrait jusqu’au bout du monde, même sur cette idée, et elle le lui prouva en lui offrant un sourire sincère non sans caresser ses mains touchant actuellement ses joues humides. « Je te suis même au bout du monde chéri j’ai juste pensé que tu ne me le demanderais jamais ! Je crois qu’on est pas fait pour vivre séparément… » avoua-t-elle non sans l’embrasser avec une passion dévorante, preuve que son propre manque s’exprimait, bien qu’il ne soit pas du même ordre que celui de Caleb… il n’en demeurait pas moins puissant. « Je t’aime tellement si tu savais… »
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Ces derniers temps, je n’arrêtais pas de m’interroger sur mon avenir. J’aimais mes études, la danse etc. mais j’étais aussi un homme appréciant l’action, cette petite dose d’adrénaline qui faisait battre le cœur à cent à l’heure. « J’aime ce que je fais mais je ne sais pas si je suis fait pour une vie dans un musée… Tu me vois toi, derrière un bureau ? » répondis-je tout en sachant que je ne prendrais jamais de décision hâtive. Etre garde du corps, pompier, faire un métier qui sauvait des vies, pourquoi pas. J’avais toujours eu un instinct protecteur mais j’avais aussi pour habitude d’aller au fond des choses donc quoiqu’il en soit, je terminerai mes études. « Non, nous sommes comme ces oiseaux, tu sais, je crois que justement ça s’appelle des inséparables… Sans toi, je ne suis rien. Tu es ma moitié et encore une fois, j’ai bien cru que j’allais te perdre. Je vais finir par te mettre en haut d’une tour » plaisantais-je avant qu’elle ne m’embrasse avec une passion sans commune mesure. Dieu que j’aimais le goût de ses lèvres, au moins une addiction à laquelle, je ne voulais pas me soustraire. « Je t’aime aussi ! Viens… on passe à l’appart te chercher des affaires et après, on s’envole pour New York »

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« Je ne sais pas… sûrement que tu finirais par t’ennuyer ! » avoua-t-elle mais d’un autre côté, Thaïs ne voulait pas influencer cette décision qu’il ne pouvait que prendre seul. Surtout que garde du corps, c’est un emploi qui peut nécessiter des déplacements à l’étranger, et pour la vie de famille… cela risquait d’être complexe, si d’aventure la blondinette ne retrouvait pas la vue, bien que ce ne soit pas quelque chose qu’elle se souhaite. « Je ne suis pas sûre que même en haut d’une tour je n’aurais pas suffisamment la poisse pour qu’elle s’effondre ! Puis tu te vois escalader la tour comme dans Raiponce pour venir me rejoindre ? » le taquina-t-elle avant de passer un bras autour de sa taille et le suivre jusqu’à l’appartement, où elle se rua littéralement dans la chambre pour faire un sac. « Je suppose que je prends des culottes ? » ironisa-t-elle pour dédramatiser un brin la situation.
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« Oui, c’est ma crainte. L’Art a toujours été une passion mais je ne sais pas si je pourrais en faire un métier. Je me dis que plus le temps passe et plus j’ai besoin d’autres choses mais quoi, je l’ignore encore. Je ne dis pas que je vais devenir garde du corps, c’était plus une boutade liée à ta poisse légendaire mais oui, je réfléchis beaucoup » lui avouais-je avant de rigoler doucement quand elle me demanda si j’allais escalader la tour à la manière du héros dans ce conte pour enfant. « ça pourrait être une idée mais comme j’ai un peu la flemme, je pense que j’opterai pour installer un ascenseur » la taquinais-je tandis que nous étions sur le chemin du retour. Thaïs ne manqua pas d’ailleurs de lancer une boutade en arrivant sur cette histoire de culotte. « Libre à toi de savoir si tu veux te trimballer sans culotte devant une armada de domestiques et Nicolaï mais s’il s’en rend compte, il risque de te pourrir quelque chose de bien. Tu vois mon père ? C’est cent fois pire » grimaçais-je pour éviter de rire rien qu’à la pensée de ma femme se faisant sermonner comme une gamine impudique.
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