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Secrets are poison (biki)

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Je sais que tu avais besoin de ce temps et crois-moi si j'avais pu tenir plus je l'aurais fait mais je n'en pouvais plus de cette situation... j'avais peur que tu finisses par faire une connerie et te perdre définitivement... Autant dire ce qui était. Bambi savait être forte lorsqu'il le fallait, mais dès que Ciarán faisait partie du décor, sa force avait besoin d'une sorte de écho. D'où le fait qu'elle soit tant accro à leur petite bulle privilégiée, confortable, amoureuse. Enfin elle la retrouvait, ainsi lovée contre lui, à caresser son dos, à redécouvrir sa peau, à humer son odeur tout en écoutant les vibrations de sa voix se répercuter contre son propre corps. Ni moi ce que je ferais sans toi... je serais perdue fit-elle en se baissant pour déposer un petit beusou contre son nez, reprenant ses habitudes de cajoleuse devant l'éternel. Et ça aussi, ça lui avait manqué follement, tout comme le fait de prendre soin de lui. Quelques frissons firent leur apparition alors que leurs doigts jouaient ensemble, et que son homme se laissait aller à une confession. Une confession qui la poussa à porter la main de Ciarán à ses lèvres en premier lieu. C'est normal... tu as cru que neuf ans de ta vie étaient régis par une vérité et tu apprends qu'en fait tu manquais d'une information capitale. Ce n'est pas n'importe qui qui t'a menti... tu n'es pas seul Ciarán je comprends ce que veulent dirent les mots mensonges et trahisons tu sais. Laisse-moi prendre ta peine... te soulager...

@Ciarán S. Halstead
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Tu te rendais bien compte que tu lui en avais fait voir de toute les couleurs. C'était pire que ce que tu pensais, mais têtu que tu étais, tu étais aussi persuadé que ça aurait été pire si tu lui avais imposé ta mauvaise humeur, tes dérives. Pourtant tu étais conscient que sans elle, tu finirais irrattrapable. Tu es un électron libre depuis toujours, et depuis Bambi l'électron que tu étais, finissait aspirée par une force que tu n'aurais soupçonnée jusque là. Sa voix t'apaisait, et tu étais bien crevé. En attendant tu t'es légèrement redressé pour la regarder un instant. Y'a rien qui soulagera ça, je t'assure, c'est dans mon ADN. Prenant place à ses côtés tu passais ton bras à sa taille, nichant tes lèvres au creux de son épaule. Sa peau douce, son parfum confortant, sa présence.. c'était tout ce qui te restait. J'ai vécu chez Russel trois à peu près, jusqu'à son décès. Entre son décès et ma rencontre avec elle, j'ai eu cinq à six années de galère.. de grosses galères. Elle aurait dû se manifester avant ou ne jamais le faire. Russel avait été le père de ta génitrice, la femme qui t'a porté autrement dit ta mère. Tu avais du mal avec ce terme et ce n'était pas pour rien. Difficile de le réaliser mais ta belle italienne faisait certainement connaissance avec toi à ce moment précis, du moins à certaines nuances.

@Bambi C. Corleonesi

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Bambi veillait sur Ciarán comme sur la prunelle de ses yeux. Elle le cajolait de plus en plus au fil des minutes, retrouvant avec plaisir leur bulle unique. A aucun moment elle ne l'aurait incité à se confier et pourtant elle l'espérait, car cela voudrait dire non seulement qu'il s'ouvrait à elle mais également que le silence dans lequel il s'était muré ces derniers temps s'effritait peu à peu. Dans ton ADN ? Je ne peux vraiment rien faire pour d'apaiser petit coeur ? Même brièvement, même juste pour ce soir. L'italienne le vit subitement la regarder et la confession qu'elle recueillit lui fit ouvrir de grands yeux étonnés. Tu veux dire qu'elle t'a laissé six ans tout seul ?! Bambi déglutit avec difficulté alors qu'elle passait déjà sa main contre la joue de son homme. Un réflexe. Peut être parce qu'elle avait besoin de ce contact après tant de jours à sentir une solitude insupportable l'entourer. Oh la putana... lâcha-t-elle subitement. Ça me touche que tu me fasses confiance amore mio... tu es chez toi ici tu le sais hein ?

@Ciarán S. Halstead
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Oui tu finissais par le croire. Tu n'avais pas de parents, ton père n'avait jamais été un homme, et ta mère avait perdu la tête beaucoup trop jeune. Résultat par on ne savait quel miracle ton grand-père t'a pris sous son aile pendant trois/quatre ans avant de décéder. Après ça tu avais le tour des foyers, des familles d’accueil, jusqu'à rencontrer Patty a tes seize ans. Mais jamais tu n'avais pensé que les dés avait été pipé. Alors sa question tu as simplement répondu en le pensant. Je suis bien là. Oui, tu l'étais, avec elle, contre elle. Elle n'avait pas besoin d'en faire plus, tu étais bien. Le reste c'était à toi de le gérer avec le temps. A l'insulte prononcé par Bambi tu étais spontanément venu déposé ton pouce à ses lèvres, comme pour la faire taire, mais amusé tout de même. Shht.. C'est plus compliqué que ça. Je ne la connaissais pas, mais elle savait que j'existais. Caressant les lèvres de Bambi comme tu aimais le faire, tu semblais presque espérer que ça calmerait cet élan de rage qui s'était épris d'elle. Et moi je suis content que tu n'aies pas hésité avant de m'en parler.

@Bambi C. Corleonesi
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Je suis contente que ce soit le cas... Même si dernièrement Bambi en avait douté, car son homme avait davantage ailleurs qu'ici. Mais le simple fait qu'il le dise suffisait à l'italienne pour le croire, elle n'avait pas besoin de plus, car elle savait que Ciarán ne disait jamais les choses par hasard. Pardon... j'ai pas à juger, ça t'appartient se ravisa-t-elle aussitôt alors qu'il venait de déposer son pouce à ses lèvres, pour calmer semble-t-il son élan l'italienne farouche. Cela avait marché à merveille car la brunette s'était aussitôt apaisée, déposant un petit beusou sur son pouce avant de le gratifier d'un sourire. Je n'aurais pas pu te le cacher, ce secret t'appartenait. Je n'étais... qu'extérieure. Puis je ne veux pas de mensonges entre nous. Bambi n'en voulait pas avant, cela ne commencerait certainement pas aujourd'hui. Tu as l'air épuisé mon amour. Tu peux dormir tranquille je ne bougerai d'un pouce. Demain je garderai mes lunettes sur le nez toute la journée si tu me trouves sexy avec...

@Ciarán S. Halstead
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Content tu l'étais aussi mais tu étais surtout rassuré. Du Bambi tout craché, elle prenait le temps de s'excuser après que tu l'ait taire avec ton pouce. Avait-elle à s'excuser ? Pas vraiment, à ton sens. Non, c'est juste que peut-être que si tu savais tout, tu penserais autrement. J'en sais rien. Oui et tu ne voulais pas y penser. Tu en avais assez parlé et tu savais que parler de ce genre de choses maintenant n'était peut-être pas la meilleure idée qui soit. C'était encore vif, et même si c'était ton histoire, tu n'avais pas assez de distance avec tout ça pour en parler. Ça me va. Pas de mensonges. As-tu repris pour la rassurer. Elle pouvait être sûre que tu ferais pareil avec elle maintenant. Tu étais pourtant le genre qui ne parlait pas beaucoup, elle le savait mais là tu signais sans aucun problème. T'es complètement déphasée en fait. Tu sais que je compte pas dormir jusqu'à demain ? J'en ai besoin, mais je me contenterai d'une ou deux heures. Tu devrais faire pareil. Oui il était pas loin de onze heures, et vous étiez épuisés autant l'un que l'autre. Glissant ta main sous son haut, tu caressais sa peau de ton pouce, geste qui berçait presque. Yeux clos tu as tout de même repris. C'est vrai que je te trouve sexy en lunettes. Souriant légèrement, tu semblais avoir complètement oublié ta confession d'il y a quelques heures. Tu t'étais presque étonné d'ailleurs en l'entendant.

@Bambi C. Corleonesi
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Quand bien même c'est pas mon genre de juger d'habitude... Surtout pas alors que Bambi avait fait des erreurs dans sa vie, comme tout le monde. Qui n'a jamais péché jette la première pierre comme dit l'autre. Mais elle ne poussait pas Ciarán à se confier davantage, c'était ce qu'il fallait retenir de ses propos, et marqua d'un sourire le fait qu'il accepte qu'aucun mensonge ne se glisse dans leur bulle. Autant dire que cela la rassurait grandement. Ah ouais déphasée c'est le mot... enfin tu parles à une insomniaque mais si j'ai dormi cinq heures entre deux petites crises cette semaine c'est le bout du monde, faut pas m'en vouloir. Bambi fermait d'ailleurs déjà les yeux, au comble de l'épuisement. Ses doigts parcoururent un moment la peau de son homme avant que sa respiration ne se fasse plus lente. Secrétaire coquine t'as dit... hey c'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde... murmura-t-elle avant de sombrer dans un profond sommeil. Combien de temps avait-elle dormi au moment où elle ouvrit les yeux ? Difficile à dire. Elle se sentait un peu lourde et toussa subitement. Merde. Son médoc, elle l'avait zappé la veille et aujourd'hui.

@Ciarán S. Halstead
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Ce n'était pas faux. Pire, Bambi avait su voir que Patty était une femme d'exception. Tu ne remettais pas ça en question d'ailleurs, mais l'inverse tu ne la comprenais pas et tu te sentais pantin, marionnette. Un peu comme si on s'était joué de toi. Elle t'avait confié avoir fait une deuxième crise, et ça te perturbait. Tu étais fautif ça ne faisait aucun doute. Tu as rouvert les yeux, alors qu'en plus elle te parlait de secrétaire coquine tout juste avant de s'endormir. Tu n'avais aucun souvenir d'avoir dit un truc pareil, pourtant tu le pensais, c'est dire. Elle s'est endormie dans la foulée et tu l'as suivie gardant ton bras à sa taille, ta main contre sa peau si bien qu'au réveil dans les coups de treize heures trente, tu n'avais su comment te libérer sans la réveiller. Bonne idée ou non, une fois éveillé tu as pris  mille milligrammes de paracétamol, tu t'es habillé, et tu as quitté l'appartement discrètement pour aller vous récupérer de quoi déjeuner, priant le ciel pour revenir avant qu'elle ne s'éveille.

@Bambi C. Corleonesi
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Sauf que voilà. Alors que Bambi s'éveillait en toussant, la chaleur qui avait été présente durant toute la durée de son sommeil ou presque avait disparue. Elle tâtonna quelques instants à la recherche de Ciarán dans le lit, puis ouvrit les yeux en découvrant qu'il l'avait déjà quitté. Petit cœur ? appela-t-elle une première fois avant de se heurter à un silence de plomb. Le même ne l'ayant pas quittée d'une semelle pendant ces derniers jours et semaines, et qu'elle exécrait au delà des mots maintenant. Ni une ni deux, encore en sous vêtements, elle sortit de son lit en trombes, toussant tout ce qu'elle savait pour regarder chaque recoin de l'appartement... vide. Elle s'emparait tout juste de son portable, furieuse, au moment où la porte s'ouvrait et où elle put le fusiller du regard, laissant pleinement le voisin l'admirer en petite tenue quelques instants. Bordel de merde Ciarán, t'as attendu que je m'assoupisse pour te barrer encore ! C'était quoi cette fois ?! Si je peux même plus dormir sans craindre que tu ne me fasses faux bond c'est pas vrai, j'vais t'attacher ma parole ! s'exclama-t-elle, furieuse, en toussant de plus belle.

@Ciarán S. Halstead
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A peine la porte ouverte que tu finissais victime d'une leçon, toi l'innocent pour cette fois. Refermant la porte rapidement en voyant qu'elle n'était pas prête d'arrêter sa tirade, tu n'étais même pas étonné de sa réaction bien que tu te sentais bête de penser que tu aurais pu la trouver encore endormie. Amusé par sa réaction tu essayais de ne pas sourire et tu t'es simplement approchée pour voler un baiser à ses lèvres. Bonjour à toi aussi, joli rayon de soleil. Un peu sarcastique. Mais tu n'allais pas lui faire une démonstration explicative non plus du pourquoi du comment. En attendant, paquet dans les mains tu t'aventurais vers la cuisine pour les y déposer tout en reprenant. T'auras fait plaisir au voisin l'espace de quelques secondes. Oui ce qui te plaisait pas vraiment, mais bon qu'importe, c'était toi qui était là avec elle. Je suis juste allé chercher de quoi déjeuner, relax. D'ailleurs déjeuner ou petit-déjeuner ? Toi, à bientôt quatorze heures tu optais pour un déjeuner tout préparé de chez le traiteur asiat' mais peut-être qu'elle préférait un jus d'orange et des tartines qui sait ! Tu tousses, tu devrais prendre ton medoc'. Double raison de passer à table. En attendant, pour la rassurer pleinement tu as fini par dire. Je t'ai dit que je n'sortirai pas, pourquoi tu te prends la tête. J'ai juste récupéré à manger.

@Bambi C. Corleonesi
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