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Secrets are poison (biki)

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Après toute la nuit à s'inquiéter comme une folle, Bambi se retrouvait face à une sorte de bout de bois. Froideur, distance... voilà ce qu'elle ressentait chez Ciarán, ou à chaque fois qu'il s'exprimait. Ce fut sans doute ce qui la poussa à quitter l'étreinte, qu'il ne lui rendait pas de toute façon, pour s'asseoir sur le lit en soupirant. Comment en étaient-ils arrivés là ? Que le beau brun soit en colère, troublé, voit son monde s'écrouler elle pouvait totalement le comprendre, mais pourquoi la repousser elle, qui n'avait rien fait ? Un sentiment d'injustice commença à lui laisser un goût amer dans la bouche lorsqu'il se décida enfin à lui dire qu'il n'était pas fâché. Tu aurais pu répondre à mon sms si tel était le cas... Pas un reproche, une simple constatation. Cela lui aurait évité de s'inquiéter comme une folle, à checker son portable toutes les trente secondes. Mais ça, l'italienne évita de le mentionner. De rien, j'avais peur de rien. Juste que si je t'avais fait la même chose tu aurais probablement hurlé et certainement pas dit qu'être dehors toute la nuit ce n'est rien. Mais si pour toi ce n'est rien, alors va bene.

@Ciarán S. Halstead
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Tu n'avais même pas eu le temps de sentir ton bras s'engourdir que déjà elle te quittait. Son soupir ne passait pas inaperçu. Etais-tu prêt à te lancer dans un nouveau périple ? Une nouvelle confrontation, une potentielle justification que tu étais incapable de donner ? Je l'ai vu que longtemps après. Seule justification qui n'était d'ailleurs pas un mensonge. Non tu n'avais nullement prêté attention à ton téléphone, trop occupé à songer, à te perdre dans les rues. D'ailleurs tu n'avais même pas vu le temps passer. Je peux me m'être à comparer aussi si tu veux mais si on commence, on en sortira pas indemnes.. A commencer par ce soir. C'était plus fort que toi, tu l'as mal vécu. L'inquiétude que tu avais pu ressentir elle l'avait paralysée, et elle t'avait presque dit ne pas avoir besoin de toi. La rue ça me connaît, la rue de nuit encore plus. C'est pas le genre de trucs pour lequel tu devrais t'inquiéter. Tu essayais, tu essayais d'aller dans son sens, de la rassurer et bizarrement ça venait de plus en plus dur.

@Bambi C. Corleonesi
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Bambi hocha la tête pour le texto. C'était peut-être ridicule mais elle avait eu besoin d'être rassurée. En revanche, sa phrase la piqua au vif car elle savait très bien où il voulait en venir. Elle leva les yeux au ciel avant de se tourner vers lui, le visage un brin fermé : je n'ai pas l'habitude que quelqu'un soit là pendant une crise. J'ai paniqué. Mais là, toi, tu me repousses carrément. Je ne crois pas avoir refusé de te toucher ou ne pas avoir essayé de te rassurer du tout... je voulais pas aller à l'hôpital c'était différent. Si un jour je suis obligée d'y aller, tu viendras et tu comprendras pourquoi j'ai agis comme ça... soupira-t-elle à nouveau, aucune colère dans la voix. Elle ne lui reprochait rien, elle expliquait les choses avant qu'ils ne se mettent à se sauter à la gorge. Tu t'inquiètes pour toi, je m'inquiète pour toi, je sais pas, ça me paraissait normal... enfin avant aujourd'hui... reprit-elle en frottant ses bras, complètement paumée.

@Ciarán S. Halstead
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Difficile de placer le curseur au bon endroit, hun ? Après tout, vous vous étiez habitués à être victimes de ce lien si fort et prenant qui s'était imposé à vous, et ce, à tel point que vous aviez tout fait vite. Du coup tu étais persuadé que si tu n'avais pas opté pour cette colocation ce moment aurait été moins compliqué à gérer. Peut-être qu'avant d'être son colocataire tu aurais dû laissé le temps à une meilleure adaptation. Vivre avec toi n'était pas simple. T'aimer ne l'était pas également. Que tu ne veuilles pas y aller c'est une chose, tu le reconnais toi-même, tu sais détecter tes besoins, et c'est tant mieux ! Te redressant à ton tour, tu finissais assis au bord du pied au sol. Mais me reprocher de te prendre en pitié, et te permettre de me rappeler que tu n'es pas en sucre... Non ! Tu m'as invité à t'aimer Bambi ! Putain je suis le gars qui s'en fait pour personne, je te retrouve en sang dans la salle de bain, sans même avoir pu soupçonner quoique ce soit, et en prime j'apprends que j'en suis en partie la cause ! A croire que tu réalisais tout ça en même temps que tu le disais. Tu ne t'étais pas rendu du compte mais sans savoir comment tu te retrouvais debout à la regarder. Tu n'étais pas énervé non plus, juste comme paumé face à une impasse.  Si je me retrouve incapable de te laisser seule malgré tout, c'est que je nous fais passer nous avant moi-même, et.. c'est que c'est plus fort que moi. Pendule remise à l'heure. Non tu n'étais pas en colère contre elle mais apparemment tu culpabilisais autant que tu découvrais que tu ne composais plus seul. Non pas par choix, mais par évidence, parce que c'était plus fort que toi. Normal ça l'est peut-être mais je suis pas sûr que l'un de nous soit vraiment doué pour l'accepter.. S'inquiéter vous saviez faire, mais apparemment vous ne saviez pas vraiment accepter que l'autre s'inquiète de trop.

@Bambi C. Corleonesi
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Bambi fut incapable de dégoiser le moindre mot tant elle ne s'était pas attendue à ce flot de paroles. Ciarán vidait son sac et loin de lui en vouloir, elle préférait mille fois ça que sa froideur ou sa distance. Au moins elle connaissait son état d'esprit, elle savait ce qu'il pensait. Je me suis excusée pour mes mots et je ne pensais pas que tu me prenais en pitié... tu me repoussais loin de toi et je ne savais pas quoi faire ! C'était con de ma part de réagir comme ça, mais qui n'a jamais réagit connement ? fit-elle en se levant à son tour, alors qu'il avait fini de s'exprimer et demeurait debout, droit comme un i. L'italienne lui fit face, s'apprêtant s'il le fallait à contrer chacun de ses arguments stupides car il en avait dit au moins deux ou trois dans son discours. Mais que tu puisses dire que tu es la cause de ma crise... ce n'est toi qui en est la cause Ciarán, c'est le fait de devoir garder un tel secret te concernent ! Je suis incapable de te mentir, c'est ça qui me détruit ! Je savais au fond de moi que ça te ferais du mal et ça m'a fait mal de te faire mal. Tu nous fait passer avant toi mais il en est de même pour moi... La brunette se rapprocha encore, déglutissant avec difficulté. Je m'inquiète trop pour toi, c'est ce que tu veux dire ? Difficile de ne pas l'être quand tu passes de très câlin à complètement distant avec moi... et je m'inquiète parce que je te sens mal et que j'en suis la cause parce que je t'ai donné la mauvaise nouvelle.

@Ciarán S. Halstead
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Elle s'est excusée, et tu lui avais assuré ne pas être énervé contre elle. Pourtant tu n'avais pas pu t'empêcher de la contredire quand elle te disait que le problème avait été l'hôpital et là d'un coup les vraies raisons s'exposaient. Elle avait raison qui n'a jamais agit ou réagit connement. Sûrement pas toi. C'était même quelque chose pour laquelle tu étais doué. Tu comprenais aisément ce qu'elle voulait et pourtant tu étais complètement révoltée qu'une telle confidence est pu reposer sur ces épaules à elle. C'était maladroit, et surtout très lâche à tes yeux. Patty te décevait, et ça c'était dur de l'assumer. Elle n'aurait jamais dû te faire porter un truc pareil. C'était un sacré fardeau. Tu ne voyais même pas Patty chercher Bambi pour lui dire ça mais à l'inverse tu ne doutais pas que la conversation l'avait amené à se libérer la conscience. Bambi était aimante, et digne de confiance. Mais tout de même, ça te révoltait, et puis surtout elle t'avait caché et c'était insurmontable pour toi. Tu dis n'importe quoi ! Bien sûr que tu t'en es pas la cause ! Si tu me l'avais caché, je te l'aurais pas pardonné. Elle me l'a caché et je lui pardonnerais pas. Ne jamais prendre de décision à chaud. Mais tu en voulais à Patty comme jamais, et personne ne pourrait comprendre ce que cette confidence représentait et surtout tout ce qu'elle remettait en question. Je suis pas distant, je veux pas l'être... je suis juste paumé. Qu'elle ait eu une aventure avec lui, ça remet tout en question.

@Bambi C. Corleonesi
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Bambi attendait avec stress que Ciarán reprenne la parole, afin qu'elle sache si ses propos arrivaient à l'atteindre ou si c'était peine perdue. Par chance, apparemment, il semblait d'accord avec le fait que ce secret était trop lourd à porter pour l'italienne et déjà, en soit, c'était un début. Je n'ai rien demandé. Je ne m'y attendais pas... et je ne savais pas quoi faire. Elle m'a laissé me démerder avec... Ce n'était pas le genre de la brunette de jeter la pierre à d'autres pour leurs erreurs mais étant donné l'effet boule de neige que cela avait créé en elle puis en son homme dès qu'il l'avait appris, la rancune pouvait très bien être de mise. Si quelque part j'en suis la cause parce que c'était moi le messager même si je n'ai jamais voulu l'être... et s'il t'étais arrive quelque chose pendant ta sortie je me le serais pas pardonné tu peux me croire... soupira-t-elle de plus belle, croisant ses bras pour les frotter à l'aide de ses mains, nerveusement. Tu ne veux pas l'être mais tu l'es Ciarán. D'habitude tu ne me lâches pas, là j'ai l'impression que j'ai chope la peste... peut être que j'espérais que tu te reposerais sur moi mais je suppose que je ne connais pas assez ta vie pour t'aider...

@Ciarán S. Halstead
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Il fallait le reconnaître Patty avait toujours été parfaite avec toi, et jamais tu n'avais mélangé ta vie amicale, sentimentale et autre avec ta vie avec Patty. C'était bête mais depuis neuf ans, elle avait été ton jardin secret. Qu'elle connaisse était une chose, qu'elle l'apprécie était parfait mais qu'elle se livre à elle comme ça, ça te dérangeait fortement et tu n'étais pas le seul apparemment. Je sais.. Tu voulais tellement qu'elle n'ait plus de doutes et qu'elle ne pense pas que tu lui en voulais. Apparemment tu étais trop perturbé en ton fort intérieur pour arriver à être rassurant. Tu n'étais toi-même plus rassuré du tout. Je te dis que non, si tu me l'avais caché, je t'aurais vite dit de faire une croix sur moi, sur nous et je suis sérieux. T'as bien fait de me le dire. Oui tu aurais été déçu, mais tu n'aurais surtout pas compris comment Patty pouvait passer avant toi pour Bambi. La confidence c'était une chose, mais quand elle te concernait comme ça elle était à éviter. En attendant tu ne te serais certainement pas pardonné si elle avait eu des complications en ton absence : raison pour laquelle tu n'avais pas voulu sortir avant qu'elle ne t'y pousse en te froissant mais tu voulais pas le dire de peur de donner l'impression de te plaindre encore une fois. Le cœur du problème n'était plus là. Laisse moi juste un peu de temps. As-tu dit en t'installant sur le lit à nouveau, et tendant la main vers elle, espérant qu'elle la saisirait.

@Bambi C. Corleonesi
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Bambi hocha finalement la tête. S'il fallait laisser du temps à Ciarán, l'italienne lui laisserait du temps, et pour le lui prouver, elle s'empara de la main qu'il venait de lui tendre, s'installant sur le lit à ses côtés. Elle déposa même un beusou sur sa joue pour lui faire comprendre que tout irait bien. On va s'en sortir amore mio... murmura-t-elle doucement. La patience de la brunette fut cependant rudement mise à l'épreuve les jours qui suivirent celui-ci. Ciarán rentrait au petit matin, après avoir été toute la nuit dehors, et ce sans pause. Chaque jour, c'était la même rengaine. Au début, Bambi tenta sincèrement de prendre sur elle, de lui laisser du temps, mais à chaque fois, l'inquiétude était de mise et elle peinait à fermer l’œil avant qu'il ne soit de retour, sain et sauf, à l'appartement. Lorsque sa patience fut aussi tendue que la corde d'un arc, elle décida purement et simplement de l'attendre en bossant ses cours. Lunettes sur le nez, elle n'eut de cesse de regarder sa montre jusqu'à ce qu'il pointe enfin son nez, alors que la lumière du jour perçait déjà à travers la pièce. L'italienne se leva et en l'approchant, fronça les sourcils. Pouah t'empeste ! T'étais où Ciarán ? Tu m'as demandée d'être patiente et crois-moi je fais tout pour l'être mais là t'es juste... un putain de courant d'air. On se voit plus ! Je pensais que tu avais surtout besoin de te défouler dehors mais apparemment tu fais la fête pendant que je poireaute, ça va pas si mal pour toi...

@Ciarán S. Halstead
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Cela faisait quelques soirées que tu ne passais pas à l’appartement. Entre tes routines, et ton humeur pas très joviale, tu avais de plus en plus de mal à faire face à Bambi. Alors chaque nuit, tu rentrais en espérant la trouver endormie. Tu avais tellement de mal à lui faire face, et tu craignais clairement qu’elle s’impatiente. La veille tu avais traîné sur le port avec Aaron, un ami très proche. Ce soir, tu avais prévu de bosser un peu en bibliothèque dans la soirée, sans trop le dire à Bambi, pour éviter qu’elle se joigne à toi. A l’évidence tu n’étais pas une compagnie plaisante ces temps-ci et tu ne l’assumais pas. Mais ta soirée a complètement basculée lorsque Patty essaya de te joindre avec un numéro qui n’était pas le sien. A force de te rappeler, il y a eu confrontation au téléphone, et éclaircissements.  Et après ça, tu n’as plus vraiment eu de contrôle sur ta nuit. Snfff.. As-tu laissé échapper en sentant tes vêtements. Tu ne sentais pas grand chose mais tu semblais vouloir aller dans son sens alors tu as dit. Ouais t'as raison.. je vais me doucher mais toi t’es belle avec des lunettes. La belle et la bête. C’est.. sexy. As-tu chuchoté comme pour qu'elle soit la seule à entendre. Euphorique ? Pas tellement. Juste à côté de tes pompes. Tous les reproches tu les avais pas entendu.

@Bambi C. Corleonesi
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