Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySecrets are poison (biki) - Page 6
-38%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip à 99,99€
99.99 € 159.99 €
Voir le deal


Secrets are poison (biki)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Moi j'ai un truc sur les épaules, toi t'es en boxer... fit-elle remarquer, juste comme ça, vu que leur conversation se résumait à ça pour le moment. Tu me parles à peine, c'est tout comme haussa-t-elle les épaules, fatiguée de cette situation. On l'aurait été à moins à sa place. Il ne répondit même pas à sa question sur ses sentiments, l'éludant, comme beaucoup d'autres. A la place, il avoua, et c'était toujours quelque chose, s'être pris la tête avec Patty hier soir. A nouveau, elle se mordilla la lèvre inférieure. Et j'imagine que c'était violent, que tu étais mal mais plutôt que de venir m'en parler, tu es allé t'éclater et te dézinguer le cerveau ailleurs... ce n'est pas un reproche, c'est une constatation. Dans ma tête on est censés être toi et moi contre le reste du monde et au lieu de ça, tu m'exclus, tu m'évites, tu ne me parles même plus ou quasiment. Tu souffres dans ton coin et tu ne me laisses même plus t'atteindre. J'ai l'impression que tu me punis exactement comme Patty... parce que ce soir, ça va être pareil, tu vas te barrer, tu vas errer je ne sais où, faire la fiesta peut-être, et moi bah... je vais rester transparente. Tu ne peux peut-être pas en parler mais avant même quand tu ne parlais pas au moins tu cherchais mon contact, tu me demandais un câlin... merde, je suis devenue si inutile que ça pour toi ? Tant pis, les larmes coulaient, elle les essuyait au fur et à mesure mais au moins, elle exprimait sa douleur.

@Ciarán S. Halstead
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
On s'en fout. Je suis là parce que t'es là et que je veux pas te voir fumer. On peut rentrer si tu veux. Oui c'était même préférable. Tu ne te sentais plus en position de lui interdire de fumer, ni même de lui imposer l'endroit de l'appartement dans lequel elle voulait être. Tu avais ruiné votre complicité si prenante après une saint-valentin parfaite. Tu l'avais contredit, lui donnant tort. Tu l'aimais toujours, c'était évident pour toi, mais ces paroles n'avaient pas suffit, tu le voyais bien. J'avais besoin d'un câlin hier soir. Oui enfin hier soir autant dire tôt ce matin. A certains moments vous vous perdiez. La communication était parfois difficile entre vous. Et là sa tirade te confrontait à ta manière de gérer les choses. Tu lui avais dit, tu ne seras bon qu'à la décevoir. C'est ce que tu faisais depuis des jours. Alors oui, hier soir tu avais juste espéré qu'elle devine ce besoin après tu lui aies demandé de dormir près de toi. Aucun de vous n'a fait le premier pas, et tu ne lui en voulais même pas de ne pas avoir su déceler ce besoin. J'ai toujours besoin de toi, j'ai toujours envie de toi mais.. Elle te manquait Bambi, mais tu t'en voulais de gérer certaines choses à ta manière. Tu n'étais pas très jovial en ce moment. Observant le silence quelques secondes tu as fini par dire. ... putain, je sais plus qui je suis. Riant nerveusement à cette réplique tu as fini par regagner la chambre, sachant pertinemment qu'elle te suivrait. Ironie du sort, tu te marrais presque en te demandait même si tu avais seulement su à une période de ta vie qui tu étais. C'est neuf années de ma vie qu'elle vient de ruiner en une confession.

@Bambi C. Corleonesi
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ben disons que... manquerait plus que tu chopes la crève... fit-elle en haussant les épaules. Bambi n'avait pas bougé d'un pouce pour autant. Elle attendait de voir si Ciarán allait bouger de lui-même, faire au moins une action qui soit autre chose que le fait de se barrer pendant des heures et ne revenir qu'au petit matin, le cerveau dézingué par la beuh, empestant comme il n'en pouvait plus. Mais une confession traversa ce nuage noir qui tournait autour d'eux. T'en avais besoin mais tu m'as pas serrée dans tes bras pour autant. Pourtant moi j'attendais que ça, un signe bordel. Tu crois que c'était à moi de te forcer, alors que tu fais que me repousser depuis des semaines Ciarán ? J'suis pas dans ta tête. Pourtant, avant, elle devinait aisément ses besoins en la matière. Mais plus maintenant, parce que son homme brouillait les pistes. Il le faisait même avec une telle aisance que c'en était effrayant. T'as toujours besoin et envie de moi mais tu me touches quand même pas et puis... avoir envie de quelqu'un ça veut pas dire qu'on l'aime encore. Le gros doute de l'italienne demeurait là. Non il ne la désirait pas puisqu'il ne l'embrassait même plus. Pour un peu, le goût de ses lèvres s'effaçait de sa mémoire. Mais elle le suivit de près jusqu'à la chambre, gardant une distance, les yeux toujours rougis par les larmes. Je sais que tout aurait été différent pour toi si elle t'avait dit la vérité et c'est dégueulasse de te faire subir ça Ciarán. Je rêverais de prendre ta peine pour la faire mienne, te soulager. Mais si tu veux savoir qui tu es... je n'ai pas toutes les réponses mais à mes yeux... tu es mon monde, mon homme, celui que j'aime déglutit-elle avec difficulté en voulant approcher pour finalement se rétracter. Et s'il la repoussait ?

@Ciarán S. Halstead
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La crève.. qui serait le dernier de tes soucis. Mais elle avait raison. Je t'ai demandé de dormir près de moi, c'était peut-être ça le signe. Nul reproche. Mais toi aussi tu émettais simplement une hypothèse. Pas sûr de toi. Pourtant tu n'avais énoncé cette requête que pour la sentir près de toi. Mais tu avais passé la nuit dehors, tu avais fumé et avais eu la lucidité de culpabiliser, et de te penser repoussant. T'as jamais été dans ma tête, mais tu sais souvent mieux que moi ce dont j'ai besoin et envie. T'as toujours été douée pour ça. Très tôt, dès les premiers soirs passés en tête à tête sans même être un couple pour autant. Elle avait toujours su se mettre en retrait, se la jouer taquine, te convaincre, prendre soin de toi. Secoué par sa remarque alors que vous rentriez dans la chambre, tu comptais récupérer un pantalon survet' mais tu finissais coupé dans ton élan. T'es sérieuse ? Tu doutes vraiment de ça ? Elle avait raison quand on sait que tu te lassais toujours quand il s'agissait des femmes. Encore une fois tu n'avais jamais tenu avec une femme sans rupture plus de trois semaines. Mais elle, c'était différent. C'était puissant, enivrant. T'as pas le droit de douter de ça. Je te l'ai dit, bien sûr que je t'aime, tellement que j'en ai mal Bambi parce qu'à chaque fois que j'ai le malheur d'avoir un pilier : il s'effondre. La preuve avec Patty. Au fond avais-tu peur de perdre Bambi aussi ? Peut-être. Tu espérais qu'elle s'accrocherait toujours à toi comme un joli koala. Jamais tu n'avais douté de la place de Patty dans ta vie, aujourd'hui tu devais revoir à la baisse. T'approchant d'elle tu as fini par dire. Ouais ton homme qui mérite pas le quart de ce que tu es.. pardonne moi. Ton front se colla au sien, avec toujours cette crainte qu'elle te repousse.

@Bambi C. Corleonesi
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Comme tu ne m'embrassais même plus dernièrement je ne pensais pas que tu voudrais autre chose que le simple fait de m'avoir à tes côtés. Je voulais pas te forcer. Une explication légitime pour le fait qu'elle n'ait pas initié de rapprochement alors qu'elle en crevait d'envie, et cela se lisait aisément sur le visage de Bambi actuellement. Me savoir loin de toi m'a fait perdre mon talent... Et là, c'était un reproche pour elle même. D'ordinaire l'italienne savait devancer les besoins de Ciarán mais là, son cerveau paraissait rester bloqué sur ses craintes, sa solitude, ses doutes. Doutes qui ne purent que s'exprimer une fois dans la chambre et qui trouvèrent enfin un écho chez son beau brun... un miracle. Mais moi je ne m'effondre pas et je ne t'ai pas menti. Je suis là, bien là pour toi... et bordel de chiotte j'avais surtout besoin d'entendre ça ! s'exclama-t-elle en prenant une grande inspiration, soulagée d'avoir entendu les sentiments de Ciarán faire écho aux siens à nouveau. Elle le regarda l'approcher, coller son front au sien et se mit à sourire en craquant complètement tout en le serrant aussi fort qu'elle le pût contre elle. Enfin mon homme est de retour... je t'en prie ne m'abandonne pas Ciarán. Je ne veux pas te perdre... je t'aiderai, je serai ton pilier, ton socle, repose toi sur moi mais je en supplie... ne me laisse plus. Bambi fit durer leur étreinte quelques instants avant de se mettre à caresser ses joues, souriant au milieu de ses larmes, pour mieux lier tendrement leurs lèvres dans un puissant baiser.

@Ciarán S. Halstead
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu as simplement fait un non de la tête. Comme souvent c'est d'un non de la tête que tu espérais pouvoir lui dire qu'elle était loin du compte. Lui donnais-tu assez pour qu'elle puisse s'en rendre compte d'elle-même ? Pas certain. Ta sale humeur, tes questionnements et angoisses vous avaient éloignés au point où tu aussi eu l'impression qu'elle te repousserait pour deux raisons principales : tes absences, parfois le simple fait que tu aies fumé plus qu'il n'en fallait et la déception que tu avais pu lui faire ressentir. Non, je crois pas. C'était comme le vélo ça ne s'oubliait pas. Tu avais besoin de ce talent chez Bambi, et tu savais que tu as été celui qui, malgré lui, avait fini par lui faire perdre confiance en elle. Plus fort que toi, tu as sourit en l'entendant se défouler, soulagée apparemment. Bordel de chiotte t'avait arraché un léger amusement que tu ne savais plus contrôler. Tu adorais quand elle était grossière. Tu venais de répondre à un de ses besoins sans trop t'en rendre compte, et tout semblait désamorcé. Je déteste quand tu pleures. Par ta faute en prime. Elle souriait en même temps et tu essuyais les larmes à ses joues pour ne garder que son sourire. Tu avais entendu ses promesses, ses ambitions et tu te savais chanceux d'être tombé sur elle. Tu ne voulais pas la perdre, c'était évident. Ses lèvres aux tiennes, tu avais presque cette sensation de première fois. C'était ce baiser qui fait mal tant que tu finissais par t'en vouloir d'avoir gâché ce temps.

@Bambi C. Corleonesi
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si quand même... Bambi avait l'impression d'avoir perdu son talent dans le sens où elle avait été bien incapable d'apaiser suffisamment Ciarán pour l'inciter à rester avec elle. A la place, il préférait de loin errer toute la nuit durant dehors, à faire on ne sait quoi, avec on ne sait qui... il y avait de quoi avoir des doutes sur le fameux talent de l'italienne, même si sa grossièreté parvint à amuser son homme apparemment. Il s'agissait là du premier sourire qu'il lui offrait depuis bien longtemps, et la donne ne put qu'émouvoir plus encore la brunette, déjà bien secouée. Elle tremblait d'ailleurs de cette émotion, dans les bras du beau brun, auxquels elle s'accrochait tel un petit koala. C'est rien ça... manque de sommeil, j'avais juste besoin de craquer un peu botta-t-elle en touche alors qu'il redevenait silencieux ou presque. Elle demeura un long moment son front contre le sien lorsque leur baiser prit fin, ne le quittant pas d'une semelle. Tu vas encore partir... c'est ça ? demanda-t-elle car après tout, il n'avait rien dit face à sa supplique. Rien. Pas même un mot.

@Ciarán S. Halstead
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Une fois de plus tu as fait un léger non de la tête. A défaut d'avoir le dernier mot, tu voulais le dernier avis. Tu savais que tu avais délaissée Bambi et non l'inverse. Tu le regrettais mais au fond ce qui te faisait le plus mal c'est que tu n'aurais jamais pu gérer la chose autrement. Si c'était à refaire, tu aurais peut-être pu voulu faire autrement mais tu en aurais été incapable. Ce qui touchait à ton vécu, ton passé, ton parcours, c'était souvent tellement intime que toi-même tu n'aimais pas trop y penser, trop y songer. J'ai besoin de dormir aussi. C'était une invitation à récupérer le sommeil qui vous manquait, ensemble, vous tenant chaud mutuellement. Front collé au sien à nouveau, ton regard observait ses lèvres, ses yeux, ses joues que tu caressais délicatement. Les mots te manquaient comme souvent. Non, je reste. Je reste là et je resterai ce soir. Tu pouvais le faire, tu allais le faire et surtout tu voulais le faire. Pour elle, pour vous, pour toi. Il devait être onze heures et tu voulais roupiller, calmer ce mal de crâne que tu avais. Lui retirant les lunettes qu'elle avait sur la tête, tu as finit par lui demander. Dors contre moi cette fois. As-tu dit comme pour remettre la balle au centre. Tu avais besoin de te reposer et tu la voulais tout contre toi. Tu as été explicite cette fois, et bizarrement tu doutais moins. Votre bulle te manquait.

@Bambi C. Corleonesi
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si Bambi n'avait guère dormi pendant toutes les absences répétées de Ciarán, elle ne pouvait qu'imaginer le manque de sommeil qu'il devait se trimballer tel un boulet à sa cheville. Je crois que c'est le cas de le dire... c'est un peu rendez-vous, vous êtes cernés nous deux ! plaisanta-t-elle d'une voix douce, sans s'écarter pour autant. D'abord, elle avait besoin que son homme réponde à sa question. Le voir encore partir ne serait-ce qu'une soirée, une nuit serait une déchirure et l'italienne ne donnerait pas cher de leur histoire s'il continuait à agir ainsi, même pas besoin. J'avais tellement besoin de t'entendre dire ça... je suis pas sûre que j'aurais pu rester une soirée de plus seule ici sans faire de crise ou péter un plomb. Il fallait qu'elle le confie. Pour le moment ses crises étaient passagères, pas vraiment graves et elle avait pu gérer seule, mais cela aurait pu être bien pire. Voilà pourquoi Bambi s'empara délicatement de la main de Ciarán pour l'inciter à se rendre sous les draps en sa compagnie, ne faisant pas la même erreur que la nuit dernière : elle le serra tout contre elle, caressant doucement son dos avant de déposer un beusou sur le sommet de son crâne. Tu m'as manqué amore mio...

@Ciarán S. Halstead
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Dire que tu avais aussi voulu garder Bambi à l'écart de tes déboires. Au lieu de ça, elle avait au moins autant manqué de sommeil que toi. Mais la savoir éveillée à l'appartement te semblait moins difficile que la laisser poser son regard sur toi quand tu étais complètement à côté de tes pompes. J'avais besoin de ce temps-là, je sais que c'était pas correct pour toi. Mais y'a certaines choses que je gère mal. Tu ne l'as pas géré de la meilleure des façons face à Bambi. Parce que si au fond ça n'impliquait que toi, tu n'aurais eu aucun remord. Si Bambi avait décidé de partir en cette période, tu l'aurais laissé faire, et ça aurait suffit à faire de toi un homme sans plus aucun intérêt. Te lovant contre elle sous les draps, tu as sourit à son aveu. Quand tu lui disais que tu ne méritais pas le quart de ce qu'elle était, c'était clairement pour ce genre de choses. Je sais pas ce que je ferai sans toi. Encore plus après cette période. Tu aurais sûrement chercher de l'affection futile, volatile avec des jeunes femmes les temps d'une nuit, tu aurais peut-être quitté Boston pour au moins quelques semaines. Toi, qui ne savais plus qui tu étais. Faisant jouer tes doigts avec les siens tu as fini par dire. Je l'ai écouté, et ça n'a rien arrangé. Je crois que c'est même pire.

@Bambi C. Corleonesi
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)