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Ce soir ? (Mel)

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Ok donc ce n’était probablement pas la peine de ressasser mentalement la dizaine de bonnes raisons de ne pas le refaire, parce que visiblement, lorsqu’on ne se trouvait qu’à quelques centimètres l’un de l’autre, que son parfum l’embaumait et m’enivrait tout entier, l’effet était immédiat : il n’y avait plus aucune résolution qui tenait. Mais heureusement, la brune était plus sage que moi, feignant de ne pas comprendre l’allusion contenue dans ma réponse, elle répliqua n’avoir rien d’autre pour moi en stock. Tournant ensuite sa tête dans ma direction, ses prunelles s’accrochèrent une nouvelle fois aux miennes, l’espace d’un instant. Mon visage se rapprocha lentement du sien mais elle se redressa brusquement, se plaignant de la chaleur, alors même qu’elle avait quelques secondes avant la tête dans le frigo. Je me relevai donc également pour me trouver à sa hauteur et taquin je lui répliquai : « Je te proposerais bien une sortie baignade pour te rafraichir si tu veux… »  Elle avait beau m’éloigner, ignorer mes allusions, je ne faisais qu’en rajouter. Et je tentais une nouvelle fois ma chance, me rapprochant, réduisant doucement la distance entre nous, mes doigts venant se poser délicatement sous son menton…
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Pourquoi faisait elle l'innocente ? Pour se faire désirer ? Elle n'en savait rien ? Voulait elle tenter d'empêcher cette chose de se reproduire ? Cette fusion et cette complicité qu'il y avait entre eux ? Elle n'en savait rien mais elle se rendait bien compte que Denys en savait plus sur elle que n'importe qui et qu'elle appréciait vraiment ce garçon.... C'était surement ce qui la faisait flipper, ce qui la faisait fuir alors qu'elle mourrait d'envie de fondre sur ses lèvres. Lorsqu'elle se leva, il en fit de même et lui proposa la baignade pour la rafraichir. Elle sourit et répondit, alors que la main du jeune homme venait relever son menton pour relever sa tête et que les yeux de la jeune femme puisse se perdre à nouveau dans ceux de son beau capitaine. « Avec toi la baignade fait monter la température... plutôt que la faire descendre... » Et le fait qu'il se rapproche un peu plus de sa bouche jouait dans le même sens que la baignade. « Den'... » Sa bouche n'était maintenant qu'à quelques centimètres de la sienne et elle prit son courage à deux mains, balayant d'un revers de main l'ensemble de ses questions. La première fois elle l'avait laissé venir, cette fois c'était elle. Elle déposa ses lèvres humides sur celle du jeune homme, bien décidée à ne pas les décoller, attendant une réaction de sa part, ne sachant pas s'il allait la refroidir de manière plus radical que le frigo.
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J’avais lancé cette nouvelle allusion plutôt équivoque, se référant à notre toute première rencontre et à la bataille d’eau à laquelle on s’était adonné et dont on savait tous les deux l’issue… D’ailleurs, elle répliqua avec justesse que la baignade avec moi n’avait rien de rafraichissant et faisait plutôt grimper la température… Mes doigts sous son menton, lui faisant relever le visage vers moi alors que je réduisais peu à peu la distance entre nous. Elle souffla le diminutif de mon prénom, comme pour me dissuader de poursuivre, de m’approcher davantage, pourtant, je ne m’écartais pas, parce que c’était trop tard, j’avais trop envie de goûter de nouveau ses lèvres. Alors si elle ne le voulait pas, elle allait devoir me repousser plus fermement qu’avec un –Den’- peu convaincant… Et elle n’en fit rien d’ailleurs, elle ne me repoussa absolument pas, ce fut même tout le contraire. Sa bouche épousa la mienne, me surprenant quelque peu. Une fraction de seconde, où immobile, le souffle coupé, je n’osais pas bouger de peur de la voir changer d’avis. Puis en sentant toujours ses lèvres sur les miennes, je retrouvais l’usage de mes gestes. Mes mains glissèrent sur ses hanches pour l’attirer un peu plus contre moi, répondant à son baiser avec une envie non dissimulée. C’était le dessert que je voulais : les lèvres sucrées de la demoiselle et ce baiser chargé de saveurs…
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Bien sûr que susurrer son diminutif ne l'avait pas fait repartir en arrière et maintenant qu'il était si près, il était impossible pour la jolie brune de résister et ne pas se saisir du fruit de la tentation. Ses lèvres kidnappèrent les siennes et les mains du beau capitaine vinrent s'ancrer sur ses hanches alors que la main de Mel passait dans son cou, se plaçant derrière sa nuque pour donner plus d'intensité à leur baiser. Allait elle savoir s'arrêter ? Pas sûr. Mais finalement leurs lèvres parvinrent tout de même à se décoller un moment et elle ne manqua pas de lui souffler, un peu comme une réprimande : « Vous êtes trop gourmand Monsieur Zacharias, vous avez choisi le meilleur dessert de la carte ! » Elle ne lui laisse pas le temps de répondre et son sourire s'efface pour venir retrouver sa bouche, ses lèvres bien rosies par le baiser précédent, ses lèvres qui donnent envie qu'on les bouffe sans retenue. Après un peu d'hésitation, c'est finalement la langue de la jeune femme qui tente ensuite une approche, venant sans mal trouver celle de son partenaire pour un baiser plus passionné, plus fougueux pendant lequel la jeune femme s'autorise à fermer un instant les yeux et à profiter. Satané coup de coeur, parce que oui c'est bien ce qu'elle avait sinon elle ne le sentirait pas s'emballer dans sa poitrine comme ça à cause de la proximité.
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Un baiser en guise de dessert, c’était tout ce que je voulais… Enfin non pas tout, parce que le goût sucré de ses lèvres contre les miennes avait le don d’ouvrir mon appétit à bien plus… Le temps de reprendre nos souffles, et Mel, fidèle à elle même, réussit à m’amuser de ses mots. Souriant lorsqu’elle soulignait ma gourmandise, je n’eus pas le temps de répliquer parce que la seconde suivante, nos bouches s’unissaient à nouveau. Un baiser plus fiévreux déjà, plus appuyé, puisque nos langues se trouvaient et jouaient l’une contre l’autre… Mes paupières fermées, mes mains resserrèrent un peu plus sa taille, comme si j'avais peur de la sentir filer entre mes doigts et s'échapper. Quelque part dans ma tête, une petite voix me soufflait de tout stopper, que c’était dans un mur que je fonçais une fois encore, essayant de tirer fièrement la leçon de mes échecs cuisants récents mais c’était impossible de l’écouter, de refreiner mon envie, mon désir, que le contact de la demoiselle contre moi, de son corps se pressant contre le mien, ne faisait qu’accroitre un peu plus à chaque seconde. Je crois que j’aimais bien trop ce qui était en train de se produire pour réfléchir avec sagesse. « Je pense que le dessert peut être encore meilleur… » répliquai-je finalement en reprenant mon souffle avant de fondre de nouveau sur ses lèvres. Mes mains glissèrent alors sous ses cuisses, soulevant sa robe au passage, pour la décoller du sol, la portant ainsi, direction sa chambre sans rompre notre baiser…
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Le baiser de la brunette était plus fiévreux alors que c'était elle qui, quelques minutes auparavant soulignait la gourmandise du jeune grec. Elle allait se perdre, elle le savait et pourtant quand il s'approchait un peu trop près d'elle, elle ne pouvait s'empêcher de baisser les armes et se laisser porter par le moment. Il était l'une de ses faiblesses et elle espérait qu'il n'allait pas le comprendre de suite, qu'il n'allait pas se jouer de ça parce que sinon... La demoiselle qui ne baisse d'ordinaire jamais sa garde allait encore moins la baisser. Une fois en quatre ans, c'est peu, mais ça suffirait à la dégouter jusqu'à la fin de sa vie surement. Les mots de Denys lui firent comprendre qu'il ne s'arrêterait pas là et ses gestes s'allièrent à ses paroles. Doucement ses mains glissèrent le long de ses cuisses et sa robe remonta légèrement lorsqu'il la décolla du sol et qu'elle enroula ses jambes autour de sa taille. Tous les cottages devant être faits de la même manière, il n'eut pas de mal à trouver la chambre et à peine quelques minutes après avoir échangé ce premier baiser de la soirée, la demoiselle se retrouvait allongée sur son lit, le capitaine au dessus d'elle qui n'avait pas l'air de vouloir s'enfuir tout de suite. Quand sa bouche s'aventura dans son cou, elle lui souffla dans un murmure à l'oreille : « Interdiction de te vanter de ton rencard réussit. » Rencard, ce mot évité toute la soirée qui pourtant collait assez à ce qu'ils avaient partagé et qu'il semblait tous les deux vouloirs éviter, enfin surtout elle. Ses mains s'aventurèrent sur les boutons de la chemise du jeune homme et comme pour le faire languir, elle s'enquit de les détacher un par un, dévoilant son torse musclé petit à petit, le frôlant à chaque manipulation d'un nouveau bouton mais ne déposant pas ses mains dessus directement... Pas de suite, enfin juste le temps qu'elle parviendrait à tenir... Et ce ne fut pas très long puisque lorsqu'elle eut terminé sa petite affaire, elle les glissa sur la peau de son grec préféré pour venir les loger dans le creux de ses reins afin de sentir sa chaleur corporelle, une fois collé à elle.
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 L’avantage d’avoir moi même loué un cottage c’était que j’en connaissais la disposition par cœur. Et c’est avec cette bonne connaissance des lieux que je pus la soulever et la conduire jusqu’à la chambre, tout ça sans rompre le délicieux et fiévreux dessert qu’elle m’avait offert, dessert que je savais pouvoir être encore meilleur. Elle l’avait dit non ? J’étais trop gourmand. J’allongeai doucement et délicatement la brune sur le matelas de sa chambre et elle en profite pour me souffler une règle : l’interdiction de me vanter de ce rencard réussi. « Un rencard manqué, un rencard réussi… Ca s’équilibre comme ça. » rigolai-je avant de laisser glisser mes lèvres au creux de son cou, inspirant son parfum avec envie… L’excitation décupla lorsqu’elle glissa doucement ses mains sur les boutons de ma chemise. Et  à mon tour de souffler une règle, de m’amuser à lui rappeler nos discussions de la soirée : « Interdiction d’abîmer mon unique chemise… » Et elle appliqua au pied de la lettre mon avertissement. Doucement, tout doucement, trop doucement, elle les ouvrit un à un, jouant à frôler ma peau, à en électriser chaque centimètre carré, à provoquer des frissons à chaque frôlement… « Mel… » soufflai-je alors, comme pour la réprimander de jouer ainsi avec moi et la pousser à ne finalement pas se montrer si minutieuse avec mon vêtement. Et c’est avec un large sourire que je sentis ses mains glisser complètement contre ma peau, nos corps se plaquant un peu plus l’un contre celui de l’autre alors que je fondais à nouveau sur ses lèvres avec envie. Ma main glissa le long de sa cuisse, relevant sa robe… « Ok, c’est pire que les couverts du restau ce truc, il faut un manuel : comment on l’enlève ? » finissais-je par souffler après quelques minutes de débâcle avec le tissu. Finalement ça avait plus simple dans l’eau, quand chacun de nous avait du se déshabiller lors du jeu et que je n’avais eu qu’à lui retirer son soutien gorge.
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Elle lui fait une petite grimace quand il lui parle du rencard raté alors qu'il n'y en a pas eu... Elle a annulé, un petit peu au dernier moment mais elle a prévenu quand même... Et puis ce n'était que partie remise, aujourd'hui, ils avaient mis les petits plats dans les grands et tout roulait comme sur des roulettes. En effet, après un bon repas sans payer accompagné de confidences, ils étaient déjà dans la chambre de la demoiselle. Plutôt rapide non ? Comme à leur ordinaire ! « Je prends soin de ta chemise ne t'en fais pas... » Et elle mettait à exécution sa remontrance en allant tout doucement. Aurait elle fait de même s'il ne lui avait pas dit de faire attention ? Bien sûr que oui, elle voulait le faire languir alors que la première fois avait été assez rapide. Cette fois elle voulait en profiter et le faire profiter, qu'ils profitent ensemble en fait, tous les deux, l'un contre l'autre. Lorsqu'il souffla son prénom et l'embrassa dans le coup, elle mordilla le lob de son oreille alors que le dernier bouton de la chemise cessait de lui résister. « Chut... » Pas de ronchonnage possible et il le comprit alors que les mains de la brunette glissait sur sa peau, dans le bas de son dos pour le sentir un peu plus proche d'elle. Lorsqu'il butta pour défaire sa robe, elle rigola et prit son visage dans ses mains pour l'embrasser langoureusement avant de lever un bras. « La fermeture est là ! » Et elle allait bien le laisser faire parce qu'en dessous de sa robe, à part un bas, elle n'avait rien alors il fallait bien qu'il ait un peu de matière à enlever. Après avoir déboutonné sa chemise, elle la fit glisser le long de ses bras et pour le déconcentrer alors qu'il s'aferait sur la fermeture elle embrassa son cou descendant jusqu'à son épaule pour revenir doucement devant embrasser son torse.
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 Si le frôlement de ses doigts contre ma peau avait le don de me rendre fou. Et je m’en voulais presque d’avoir joué les taquins, de ne pas lui avoir plutôt souffler la règle d’arracher ma chemise et de la maltraiter. Mais le jeu en valait la chandelle, et son petit numéro avec mon vêtement faisait clairement grimper la pression dans mon boxer, tout comme ses dents qui mordillaient mon oreille… Mes mains à moi, partirent en guerre contre cette robe récalcitrante, surement moins minutieuse et plus empressée que la demoiselle, rendu fiévreux par ses baisers et son petit jeu. Elle m’embrassa avant de localiser la fermeture de sa tenue… Mes doigts foncèrent donc pour la déziper, un peu troublé, clairement troublé même par ma chemise qu’elle faisait tomber sur mes épaules puis mes bras avant de venir y poser ses lèvres, glissant ensuite sur mon torse. Un frisson me parcourut. Je tirai ensuite sur la petite robe, libérant d’abord sa poitrine, sourire sur le visage de découvrir qu’elle ne portait pas de soutien gorge… Tirant toujours un peu plus sur l’habit, c’est sa petite culotte que je dévoilais ensuite ainsi. « Je croyais que tu n’en portais jamais sous tes robes… Serais-tu une menteuse Meleya Emerson ? » la taquinai-je alors avec un sourire ravi par la vue de sa somptueuse poitrine malgré tout.
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Un frisson la secoua légèrement lorsque sa robe descendit d'un cran, collant sa peau à celle du jeune homme, le tissu comme seule barrière n'étant plus là. Denys ne s'arrêta pas à libérer simplement sa poitrine et se débarrassa complètement de sa robe, constatant qu'elle avait bien mis un bas de sous-vêtement malgré ce qu'elle avait pu lui dire quelques dizaines de minutes auparavant au restaurant. « Ca dépend des fois ! » un sourire s'étira sur ses lèvres alors que ses mains revenaient encadrer le visage du bel Apollon pour l'embrasser, ne se lassant jamais de ses lèvres puis elle se recula légèrement, laissant quelques milimètres entre leurs deux visages pour lui dire : « C'est pour que t'aies envie de vérifier à chaque fois. » Non stop Mel, ce n'est pas le blanc qui la fait trop parler mais simplement son envie irrépressible de lui, son coup de coeur qui ne diminue pas malheureusement pour elle. Quand va t elle réussir à lui trouver un défaut ? Sans rien lui dire, elle glisse ses mains le long de sa ceinture pour la défaire et défaire en même temps son pantalon, encore une fois, elle est plus rapide dévêtue que lui. Lorsque son bas glisse jusqu'à ses chevilles et qu'il revient coller son bassin au sien, elle ne peut que sentir l'envie pressant qu'il a, une envie qu'elle peut bien plus facilement planquer mais qui n'est pas moins forte. Incorrigible qu'elle est, quand son coeur bat un peu trop vite, elle ne contrôle plus rien mais pour une fois, ça lui plait de ne rien contrôler, parce que comme elle a l'impression que c'est un coureur de jupon, il doit savoir s'y prendre avoir les femmes et elle n'a aucune honte à s'abandonner à ses mains, expertes ou non...
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