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only a masochist could love such a sadistic (carmingham)

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" Et on les cherche encore, les moments pour se prendre la tête " Soufflais-je rapidement. Oui, littéralement, je lui posais des questions qui allaient nous mener à des crises, à des prises de tête, encore et toujours. Mais c'était peut être ça notre marque de fabrique non ? Pas très sain, un peu stressant et étouffant mais, avec lui, je me sentais vivante et ça, ça n'a pas de prix. Surtout après les semaines chaotiques que je viens de passer... Je me dévoilais un peu plus, me laissais littéralement aller à lui confier tout ce que je ne cessais d'enfouir en moi, comme pour lui dire de se lancer. Comme face à un enfant, c'était ma façon de lui dire qu'il pouvait sauter de la troisième marche des escaliers et que je serai là pour le rattraper, que je ne le laisserais pas tomber, face contre terre. Mais visiblement, il n'était pas là pour me rattraper et je laissais mon regard perdu dans le sien, complètement sidérée de l'entendre dire qu'il serait heureux pour moi, si je venais à me marier avec n'importe qui. Je ne bouge pas, je ne réponds rien parce que loin de moi l'envie de piquer une énième crise. Si 'est ce qu'il pense et bien... Soit. Je suis peut être seule dans ce duo, dans ce tandem que l'on tentait de faire avancer avec difficulté. C'était presque si nous avancions à reculons pour tout dire. Je l'écoute et arque un sourcil. " Oh, c'est donc ça... Vous vous tirez dans les pattes parce que votre amour est inavouable " Soufflais-je en levant les yeux au ciel. Idiot. Je ne lâche pas son regard et souris légèrement quand il glisse sa main sous mon menton et relève mon visage. Je l'écoute et mets quelques secondes à réaliser. " Embrasse moi " Soufflais-je en le défiant du regard. " Embrasse moi et fais moi l'amour ici, maintenant, tout de suite " Lançais-je sur un ton un peu plus froid, dur. Le grand air, la possibilité de se faire chopper par n'importe qui passant par là pour voir si tout allait bien et... ces caméras par ci par là. " Sinon, je vais devoir te bander les yeux et... " Et on verra. Mais avoir le dessus, qu'il fasse tout ce que je demande... Ça, c'était l'un de mes fantasmes, y a pas à dire.
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Peut être que c’était ça qui faisait le charme de notre relation, que c’était comme ça qu’on s’épanouissait, dans les disputes et dans les réconciliations qui suivaient… C’est d’ailleurs dans cet esprit de contradiction, en tête de cochon que j’étais, que je lui affirmais que je serais heureux pour elle si tant est qu’un jour elle m’annonçait ses noces… Mensonge effronté donc, yeux dans les yeux, petit air fier de celui qui ne lâchera rien sur le visage, alors même que toutes mes réactions jusqu’à présent étaient plutôt criantes d’une toute autre vérité : je la voulais elle, de manière exclusive, et je ne supportais pas de la voir avec n’importe qui d’autre. Pour cohabiter ou pour dîner même, alors imaginez un peu la crise si elle venait à épouser un autre homme… Je continuais sans sérieux, confiant mon fantasme sur son rital de coloc, petite note d’humour qui l’amusa autant que cela sembla la lasser. Ma réponse suivante, plus honnête lui tira un sourire. Nos regards s’affrontèrent et elle reprit la parole pour m’ordonner de l’embrasser. Mon visage commença à se pencher vers le sien quand elle ajouta une suite : l’embrasser et lui faire l’amour ici, tout de suite. Mes lèvres s’étirèrent alors dans un sourire. « Qui est-ce qui fait dans l'exhib maintenant ? » taquinai-je en reprenant ses propres mots lorsqu’on avait pris la direction du toit tout à l’heure. Cependant c’était clairement le genre de demande que je ne pouvais lui refuser, malgré tous les risques que cela comportait, et à fortiori  celui de se faire choper en plein acte. A croire qu’on aimait jouer avec le feu ici. Ma bouche s’empara de la sienne avec fièvre et je l’embrassais avec passion. Lorsque finalement, je m’écartais d’elle et qu’elle reprit la parole, un rire s’échappa de mes lèvres alors qu’elle menaçait de devoir occulter ma vue sinon… « Fais de moi ce que tu veux Kyla… Après tout c’est ton anniversaire. »
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Tout ce que je ressens à l'égard de Cole est aussi doux que détestable. Mes sentiments à son égard sont complètement opposés. J'ai envie de lui, d'être près de lui et je l'apprécie énormément. Mais quand rien ne va, j'ai envie de l'étriper, de le secouer et de le balancer par dessus bord. Chaud, froid, chaud, froid. J'étais complètement perdue à ses côtés. Et quand j'étais loin de lui, sans lui, c'était encore pire, c'est pour dire. Je soupire légèrement quand il commence ses allusions à Dante. J'en ai assez de ces deux gosses. Ils m'usent, me fatiguent et tout ce qui va avec. Ils sont sans cesse entrain de se tirer dans les pattes et ça me tue. Si seulement ils pouvaient s'apprécier. Mais ce serait trop facile et peut être que ça ne m'intéresserait pas, du coup. " Je suis assez contradictoire comme nana, t'avais jamais remarqué ? " Plus je lui disais de partir, de me laisser et plus j'avais envie de l'avoir près de moi, dans mes bras, contre mon corps et mes lèvres. Et ce baiser me retournait de l'intérieur. J'étais complètement folle. Je glissais mes mains sur sa nuque, dans ses cheveux, collant ma poitrine à son torse. Un sourire se dessine sur mon visage et je souris légèrement à ce qu'il me dit. " Tu sais pas dans quoi tu t'es engagé là " Soufflais-je alors que mon sourire s'agrandissait largement. " Ça va que demain on mange ensemble alors... " On va pouvoir s'épuiser mutuellement tous les deux. Je me penche sur lui et l'embrasse à nouveau. Ça m'avait tellement manqué. Et même si on passe pas mal de temps à se découvrir, j'aime encore plus ce genre de découverte. Mes doigts glissent sur lui et ouvre sa veste de costume. Cole est toujours en costume et j'aime ça. La chemise, même tarif. Je le regarde droit dans les yeux et passe mes mains sur sa peau, frissonnant légèrement. Mes doigts s'enfoncent dans sa peau et je soupire. " T'as ce qu'il faut ou il faut aller dans ta chambre ? " Moi j'ai rien sur moi parce que je n'avais pas dans l'intention de m'envoyer en l'air. Et même si ça va me faire bizarre, j'ai pas envie de stresser encore si j'ai un retard à un moment ou à un autre... Parce que, étonnement, je suis sûre à 99% que niveau MST ou IST, j'ai rien à craindre.
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J’aurais toutes les raisons du monde de ne pas vouloir me montrer, de ne pas vouloir me risquer à quoi que ce soit sur cette terrasse, là où les regards indiscrets pouvaient nous apercevoir et rapporter cette scène à Ombeline… Mais la blonde avait tendance à rapidement s’éclipser de mon esprit quand j’étais en présence de Kyla. Et c’est ainsi qu’une nouvelle fois, mes lèvres se perdirent sur les siennes, lui offrant le baiser qu’elle venait de me réclamer. Et ce n’était pas tout ce qu’elle voulait. Son ordre était clair et ma réponse l’était tout autant : tout ce qu’elle voulait. Anniversaire oblige, ce soir elle avait les commandes. Et bizarrement, moi le maniaque du contrôle et du pouvoir, j’étais pourtant excité à l’idée de lui laisser prendre les rennes. Son sourire et ses mots me confirmèrent que ce –cadeau d’anniversaire- était à son goût, et elle se voulut effrayante en me prévenant que je ne savais pas dans quoi je me lançais. Un sourire étira à mon tour mes lèvres : « Oh mais il me tarde de voir ça… » Ou de ne pas le voir d’ailleurs, puisqu’elle avait évoqué l’idée de me bander les yeux.  Nos bouches se retrouvèrent rapidement, nos langues s’entremêlant alors que ses doigts s’activaient sur ma veste puis ma chemise avant de venir au contact de ma peau, m’arrachant quelques frissons. Ca faisait bien trop longtemps et mon corps réagissait au quart de tour à chacune de ses caresses. Mes mains glissèrent dans son dos, appréciant la cambrure parfaite de ses reins… Sauf que le détail latex, qu’on avait eu bien trop tendance à oublier lors de nos précédentes étreintes, vint alors se poser. « Bien sûr que j’ai ce qu’il f… » Ma main était déjà partie tâtonner les poches de mon pantalon à la recherche de mon portefeuille, lieu de rangement de la fameuse capote de secours. Toujours avoir ce qu’il faut sur soit au cas où, c’était une bonne devise non ? Sauf que mes poches étaient vides. « Mon portefeuille est resté dans la limousine… » grognai-je...
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Aujourd'hui aurait du être une soirée comme les autres. Des délires entre copines, de l'alcool et un bon lit bien douillet. Et pourtant j'étais là, en haut du Mandarin à profiter de la vue. Oui, Cole était ma vue pour le moment et je me régalais de ce que j'étais entrain de voir, réellement. Je l'avais longuement imaginé depuis notre dernière entrevue à l'arrière de sa voiture après un petit passage à McDo. J'avais ris ce soir là. Et j'avais mangé, ce qui n'était pas du luxe ces dernières semaines. " J'espère que tu t'es bien reposé en ce début de semaine alors " Soufflais-je en commençant à le déshabiller, à l'effeuiller, à le faire réagir. J'étais incapable d'être seulement avec lui. Quoi que je fasse, c'était impossible. Je le désirais bien trop et dès que nos lèvres se rencontraient, que nos langues se touchaient, j'avais l'impression d'avoir trouvé la personne parfaite. Un mythe dit que lorsque l'on naît, notre âme se sépare en deux et qu'elle finissait par prendre forme humaine. Les âmes soeurs. Et je me demandais presque si ce n'était pas le cas de Cole à ce moment précis. En fait, je me pose la questions depuis quelques semaines déjà. Je me pose beaucoup de questions à son égard, je dois bien l'avouer. Ses mains quittent mon corps et quand je l'entends s'arrêter en pleine phrase, j'hausse un sourcil. Il a pas ce qu'il faut. Bon. Ok. " On peut toujours... rester là, profiter l'un de l'autre sans aller jusqu'au bout " Se frustrer bien comme il faut quoi. Ou filer dans sa chambre mais j'étais tellement bien ici... Mes mains glissant sur sa peau, mes lèvres embrassant ses lèvres, descendant sur sa nuque, le mordillant légèrement au passage.
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« Ne t’en fais pas pour ça… » Parce que je crois que même après dix nuits blanches je trouverais toujours un peu d’énergie pour ça, pour elle, pour nous… Surtout après tout ce temps de sevrage… J’étais en manque de son souffle, de son corps contre le mien, de ses caresses, et ses doigts qui s’activaient sur mes vêtements suffirent à réveiller la moindre parcelle de mon être. Nos bouches se trouvèrent rapidement, nos langues également et mes mains partirent à leur tour à la redécouverte de son corps, que je parcourais à travers le tissu de sa robe, descendant le long de son dos jusqu’à ce qu’elle me rappelle à l’ordre quant à un certain détail qui nous avait parfois fait défaut : préservatif. Avec une fausse alerte de grossesse il y avait quelques mois de cela, c’était le genre de chose qu’on ne pouvait se permettre d’oublier. Je tâtonnais mes poches, cherchant mon portefeuille, étant en effet toujours équipé… Sauf que l’objet en question avait du rester dans la voiture, de nombreux étages plus bas… Je savais au fond de moi qu’il faudrait que je redescende le chercher, qu’au pire il nous faudrait rejoindre ma chambre, mais dans l’état de raideur ans lequel ses simples caresses m’avaient mises, il allait me falloir plusieurs longues minutes pour me calmer avant d’être présentable pour redescendre, si tant est que j’arrivais à me calmer… Parce qu’avec ses lèvres qui se mirent à courir sur ma peau, voyageant de ma bouche vers mon cou, j’étais incapable de retrouver le contrôle. Alors la solution que laissa échapper la demoiselle, me parut la bonne et pour toute réponse, mes mains reprirent leur petit manège, glissant à nouveau dans le bas de son dos, caressant le rebondi de ses fesses avant de venir s’emparer du fermoir de sa robe pour l’ouvrir et la faire tomber au sol.
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Un léger sourire se dessine sur mon visage. Oh non, je ne m'en fais pas pour ça. J'ai croisé Cole à des moments différents de la journée, de la semaine et il était toujours très en forme pour toute sorte de chose. Il rechignait plus facilement pour manger des pâtes chinoises que pour s'envoyer en l'air. Normal me diriez-vous. Surtout pour un homme comme lui qui enchaîne les conquêtes et qui est habitué à la bouffe de luxe. C'est usant, fatiguant et tellement agréable d'être avec lui à ce moment même. Je tombe un peu plus entre les griffes du bel anglais mais je n'en peux plus. Comme une mouche coincée entre les toiles d'un belle araignée, j'arrête de me débattre. Je profite de ce moment tant qu'il est encore là parce qu'on ne sait jamais quand il va s'arrêter. C'est complètement fou mais c'est comme ça. Mes lèvres sur les siennes, mes mains sur son torse, je prends mes précautions avant de faire une connerie. Parce que lui comme moi, on sait très bien à quel point on peut être idiot l'un avec l'autre... Et même si je n'ai pas oublié ses mots, ce tas de cellules aurait été accepté par son père, je n'ai pas envie de stresser à nouveau et de mettre mon corps à rude épreuve une fois de plus. Alors il faudra se contenter d'autre chose, de tout sauf de l'acte en lui même. Une nouvelle expérience en soit. J'embrasse sa nuque, mord légèrement la fine peau de son cou et soupire alors que ma robe glisse le long de mon corps. Je bouge légèrement et donne un très légèrement coup de pieds dans ma robe histoire qu'elle bouge un peu. Aucune envie de marcher sur cette jolie robe. Même si le traitement que je viens de lui octroyer est loin d'être parfait. Mes mains glissent entre sa chemise et sa veste et je lui ôte rapidement. Un courant d'air et je frissonne, la poitrine à l'air. C'est à croire que je n'ai jamais de sous vêtements quand je le vois. Mes mains le touchent, le caressent du bout des doigts et j'échange nos places, le mettant dos au mur. Je pose sa veste sur la chaise pas très loin de nous et tire la seconde. " Monsieur Wildingham " Soufflais-je en lui tendant ma main pour le guider à la chaise et le laisser se mettre assis. Je me glisse rapidement sur lui, à califourchon, collant mon corps au sien et l'embrassant avec passion, avec fougue et envie. Je soupire contre ses lèvres et tends la main vers la table pour attraper une serviette blanche en tissu. " Pour avoir compromis mes plans ... " Je ris légèrement, tire le tissu sur ses extrémités et le pose sur ses yeux. Ça passe tout pile, un petit double noeud et il ne voit plus rien.
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 Sur le coup ça me parut simple comme choix : entre refermer ma chemise, essayer de calmer le montre réveillé dans mon boxer et redescendre chercher le précieux portefeuille, ou poursuivre ici ce petit jeu de baisers et caresses avec Kyla ici même, je ne me questionnais pas bien longtemps. Mes doigts s’activèrent et sa robe tomba alors rapidement au sol, comme pour marquer le choix finalement fait : on ne bougerait pas d’ici. Ce toit, ce cadre, l’éclairage tamisé des bougies, et ce fantasme qu’elle avait… Et puis surtout, j’avais une soif de son corps qui ne pouvait attendre plus longtemps pour être assouvi. Une légère brise balaya la terrasse et un frisson sembla parcourir ma partenaire. Je souris en voyant ses seins se dresser, sa merveilleuse poitrine qui m’avait particulièrement manqué depuis le chili… Mes doigts glissèrent alors jusqu’à son buste, caressant doucement ses mamelons réagissant au thermostat. « T’as froid on dirait… Je vais avoir besoin de te réchauffer. » me proposai-je aussitôt, prêt à l’enflammer malgré la fraicheur du soir . Mais c’est ensuite la brune qui prit les commandes, inversant nos places, me plaquant un instant au mur, me débarrassant à mon tour de quelques uns de mes vêtements. Torse nu, c’est mon tour d’avoir un frisson mais je ne saurais dire si c’était du à la température ambiante ou aux caresses habiles de la demoiselle. « Mademoiselle Carmichael… » répondis-je sur le même ton qu’elle alors qu’elle me guidait jusqu’à l’une des chaises en m’invitant à m’y asseoir. Je le fis docilement. Ce soir j’avais promis de lui laisser les commandes, et vu la tournure que prenaient les choses, je sentais que je n’allais absolument pas être déçu du traitement qu’elle me réservait. Kyla grimpa sur moi, venant m’embrasser avec passion. Mes mains glissèrent dans ses cheveux, comme pour l’attirer un peu plus  à moi, prolongeant son baiser avec envie alors que je sentais sa poitrine et tout son corps se presser contre le mien, augmentant un peu plus la bosse déjà proéminente sous mon pantalon. Elle stoppa un instant ce baiser pour s’emparer d’une serviette sur la table, serviette dont elle se servit pour recouvrir mes yeux. Un sourire amusé étira mes lèvres et je la laissais ainsi s’amuser à m’occulter la vue. « Tu sais que même si je ne te vois pas, je vais quand même avoir terriblement envie de toi hein ? » Qu’elle n’espère pas éteindre mon désir ainsi, c’était peine perdue. La preuve, mes doigts repartaient déjà à la conquête de son corps, glissant le long de son ventre pour venir jouer avec la dentelle de sa petite culotte, effleurant son intimité à travers le tissu du sous vêtement.
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Ses mains sur mon corps et je frissonne comme jamais. Je soupire légèrement et ferme les yeux quelques secondes. " Je crois aussi " Soufflais-je avant de l'embrasser et d'inverser nos positions. Je suis totalement accroc à lui et je ne cherche même plus à me dire l'inverse. Je cherche juste à limiter les effets destructeurs du jeune homme sur ma santé morale. Parce que je me connais, je ne suis pas toujours très raisonnée et raisonnable en matière de garçons. Surtout pas quand il s'agit de Cole. Je déteste une pauvre fille qui n'a rien demandé mais qui prend ma place sans soucis aucun. Ombeline ou une autre, ce serait le même tarif, pas de soucis à se faire là dessus. Enfin là, il n'y avait ni Ombeline, ni Delilah et ses remontrances et encore moins Dante et son avis désagréable sur le jeune homme. Il n'y avait que lui et moi, profitant l'un de l'autre. Ma peau fraiche contre la sienne, je soupire légèrement contre ses lèvres. Serviette autour des yeux, je le regarde et ris quelque peu. " Tu sais ce qu'on dit ? Quand on est privé d'un sens, les autres se décuplent pour compenser " Je souris largement, fière de moi et de l'effet que je lui prodiguais. Parce que oui, je sentais très bien son entre jambe bien gonflé déjà, surement à l'étroit sous ce pantalon et ce boxer. Je glisse mes mains pour déboutonner son pantalon et glisse ma main sur son boxer, le caressant. Un synchronisation parfaite puisqu'il joue avec moi aussi. Je suis déjà complètement folle et je sais pertinemment que je ne tiendrais pas comme ça, bien longtemps. Pas alors que je n'ai rien fait depuis ce qui me semble être la nuit des temps. Plus de deux mois déjà. " Un peu de gymnastique Monsieur Wildingham " Soufflais-je, gémissant contre ses lèvres alors que je me relève légèrement, faisant descendre son pantalon petit à petit.
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