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only a masochist could love such a sadistic (carmingham)

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Grillée, grillée, grillée. Oui, j'étais grillée comme un vieux chamallows pour le coup ! Mais je ne me démontais pas. " Ouai mais qui te dit que chaque ami n'a pas son traitement particulier ? " Donc genre, toi je t'embrasse comme si ma survie en dépendait mais Dante c'est des bisous de princesse, Baptiste des bisous de CP et tout ce qui va avec. Oui, qui le dit ça ? Moi. Mais il n'en sait rien, j'ai envie de voir de quoi il est capable, ce qu'il veut vraiment faire parce que... J'en ai envie. Je crois que le voir - et l'entendre - s'énerver et devenir agressif à la simple évocation de mes potentiels amants me fait un truc. Je le regarde, le titillant, l'emmerdant bien comme il faut avec un léger sourire sur le visage. " Me manquer ? " Oui ça me manque, c'est le désert là haut, personne n'y touche, rien et je commence à sacrément déchanter. Un rien m'excite. Cette entrevue me rend toute chose, c'est pour dire. " N'abusons rien Cole. Tu n'es pas irremplaçable " Je ris légèrement, je lève les yeux au ciel. Irremplaçable, non, mais inégalable, ça oui. Il décalle ma main et je soupire légèrement. Sérieusement ? Oh. Oui. Pardon. Les fiançailles. Pas de folies à l'arrière de sa voiture. Je me perdais à croire qu'il n'avait donc pas joué avec son spaghetti avec une autre depuis un bon bout de temps. Pas moi ici. Donc personne. Oui, je voulais y croire, naïve et complètement idiote comme je pouvais l'être. Je croise les jambes et le regarde. " Je ferme les yeux pour me transporter ce jour là alors " Soufflais-je en fermant les yeux et imaginant la scène. Clay avec trois gosses. Un restaurant, une soirée au Royale. Oui, pas mal. Mais peut mieux faire. Je sens la voiture ralentir, la porte s'ouvre, un courant d'air me fait frissonner et je me tourne vers le jeune homme, mes yeux posés sur sa main, que je prends. Comme si nos doigts étaient glués l'un à l'autre, je ne bouge pas ma main de la sienne. Si quelqu'un nous aperçoit, dit quelque chose, je jouerais la cousine épleurée, celle qui va mal parce que l'homme qui l'intéresse ne peut lui offrir ce qu'elle souhaite. " Dernier étage ? Tu fais dans l'exhib maintenant ? " Riais-je légèrement avant que les portes de l'ascenseur s'ouvre sur une immense terrasse, vide vu l'heure qu'il était, avec une table et tout ce qu'il y a de plus mignons dans un coin. " Wow " Soufflais-je avec un léger sourire sur le visage. " On est déjà 2017 ? " Demandais-je en lui souriant légèrement, quittant sa main pour m'avancer vers la table. " Ah non, on a fait un petit retour en arrière " Je me tourne vers lui et souris légèrement. " Réfléchis déjà à comment te dépasser l'année prochaine " Lançais-je en lui adressant un clin d'oeil, attrapant ses mains quand il s'approche de moi et l'embrassant tendrement. Avec mon coeur. Je l'embrasse avec mon coeur et pas avec mon entre jambe, pour une fois.

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 Si de prime abord, ma jalousie avait été étouffée par ses précédents propos, c’est désormais de l’huile sur le feu que Kyla s’amusait à lancer. « Si le traitement particuliers des autres c’est de garder les mioches d’Andrew avec toi, ça me va. Je leur laisse ce traitement volontiers… » Je m’appliquais à ne pas m’énerver à nouveau. Le pacte avec Baptiste, Dubaï, mes nombreuses crises contre Dante. Elle avait suffisamment de démonstration de la jalousie que je tentais obstinément de nier… Et puis ça allait mener à quoi ? C’était quoi la solution ? Lui interdire de fréquenter d’autre garçon ? Alors que j’étais moi même fiancé à une autre ? Je pourrais presque croire que nos ébats lui manquaient en tout cas, lorsque ses doigts se perdirent un instant sur mon entrejambe. Mais elle me contredit, riant, soulignant que je n’étais pas irremplaçable et c’est avec un air vexé que je rétorquai : « Et bien remplace moi alors. » Mon petit égo sensible était touché. Mais ça ne m’empêchait pas de mettre à exécution mon plan. Remonter dans le temps, se transporter le jour de son anniversaire et lui offrir une soirée qui la ferait changer d’avis sur ce dernier point. Lorsqu’on arriva dans l’hôtel, mon choix d’étage l’interpella et elle s’en amusa jusqu’à ce que les portes s’ouvrent à nouveau. Le personnel avait été efficace, le cadre était parfait, la vue bluffante. Et l’endroit vide, rien qu’à nous. La surprise sembla à son goût et elle me conseilla déjà de penser à l’année suivante, la barre étant haute. Un petit rire s’échappa de mes lèvres, petit rire rapidement étouffé par les siennes puisqu’elle m’embrassa avec douceur. Lorsque nos bouches se séparèrent ensuite, ma main lâcha un instant la sienne pour venir caresser tendrement sa joue, mes prunelles plongées dans les siennes je lui soufflai : « Bon anniversaire Kyla… »
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Je le regarde et lève les yeux au ciel. Bien évidemment, ça l'arrange bien de ne pas garder les gosses d'Andrew. Mais bon, ces soirées ressemblaient bien à des soirées familiales voyez vous, avec le papa, la maman et les enfants. Ce qu'on aurait pu être si j'avais réellement été enceinte. Mais ce n'était pas le cas, malheureusement. Ou peut être devrais-je dire heureusement. Parce que tomber enceinte d'un homme que l'on aime pas est déjà une épreuve mais d'un homme fiancé qui allait se marier à la nana la plus ennuyeuse de la planète, c'était un niveau de connerie que je n'étais pas prête d'atteindre, pas même pour lui. " J'ai essayé ouai " Juste essayé. Comme en sport, j'ai tenté de marquer un essai mais il ne s'est jamais transformé. Bloqué sur cette tête de con que j'avais envie d'étriper autant que j'avais envie d'embrasser et plus encore... Ces sentiments contradictoires me tordaient le ventre, j'étais folle, complètement folle et dès que j'avais essayé de me l'enlever de la tête, il revenait au galop de plus belle, gagnant un peu plus de partie de mon âme. Je le regarde et souris légèrement. Si j'avais pu le détester après notre entrevue à la Eliot House, nos retrouvailles au restaurant avait été un vrai délice. Si le haïr à cause de ses conneries à Dubaï m'avait sembler la chose à faire, il se rattrapait plutôt bien. Cole était plutôt doué pour se rattraper, je devais bien l'admettre. Mes lèvres contre les siennes, mes mains dans les siennes, rien ni personne ne pouvait nous voir ici, nous faire reculer, rien. Et j'en avais assez de faire un pas en avant et trois en arrière. Même si je n'étais pas au bout de mes souvenirs. Son rire continuait de résonner dans mon corps, dans mon coeur et sa main sur ma joue était comme une plume qui caressait ma joue, d'une douceur extrême. J'étais hypnotisée par ses yeux, sa voix, ce doux accent anglais qui me faisait chavirer encore et encore... " Merci... " Soufflais-je avec un léger sourire sur les lèvres, ce sourire niais et qui en dit long sur mon état flagada. J'étais décontenancée. " Tu as donc une armée à ton service " Soufflais-je en tournant le visage pour regarder autour de moi. " Tu crois qu'on voit l'université d'ici ? " Lançais-je, en me dirigeant vers le bord du toit, ma main toujours ancrée dans la sienne, le tirant avec moi. Incapable de le lâcher. Maintenant que je l'avais retrouvé, que tout le monde aille crever, je le gardais pour moi. Pour le peu de temps qu'il pouvait m'accorder.
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 « Tu as essayé et… ? Verdict ? » Et puis c’était qui ce type, ces types peut être même, avec qui elle avait essayé ? Et me voilà, piqué, vexé, pire qu’un gamin… Je me répétais mentalement de ne pas la laisser gagner en titillant une fois encore ma jalousie, que je devais m’appliquer à jouer l’indifférent mais les talents pour simuler, visiblement, moi, je ne les avais pas… Et puis je me concentrais, chassant ces pensées, pour ne pas laisser la mauvaise humeur me gagner et gâcher ce moment. Parce qu’une fois sur la terrasse, l’ambiance changea. Plus de chauffeur, plus de regard ou d’oreille trainant… Juste nous deux et Boston illuminé qui s’étendait devant nous. La rapidité pour mettre en place le petit décor de la terrasse impressionna Kyla qui en conclut donc que j’avais une armée à ma disposition. « Une armée oui, et une limo qui remonte le temps ne l’oublie pas… Tu crois toujours pouvoir me remplacer facilement ? Parce que je trouve que ça fait de moi un ami précieux. » me vantai-je avec un petit rire alors qu’elle nous entrainait vers le bord. Je me plaçais derrière elle, mes bras venant l’entourer, approchant mon visage pour embrasser doucement son cou avant de me redresser pour profiter également de la vue. « De l’autre côté de Charles river, le cour d’eau que tu vois ici… » fis-je en relâchant un instant mon étreinte pour désigner de mon doigt la rivière. « Et bien là bas c’est Cambridge, et les bâtiments qu’on devine là bas ce sont ceux de la faculté… »
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Et plus j'ouvrais ma bouche pour tenter de le faire sortir de ses gonds, d'avoir des révélations qui me feront me dire que non, je ne suis pas folle et seule dans cette drôle de relations, et plus je me grillais. J'allais finir carbonisée à cette allure ! Qu'est-ce que j'étais pourrie dans ce jeu putain. " Et visiblement je suis avec toi. T'en conclues ce que tu veux " Soit pas grand chose quoi. Il ne pouvait même pas s'imaginer à quel point j'avais essayé de trouver un autre homme capable de me donner autant - voire plus - de plaisir que lui. Un homme qui m'arracherait un sourire rien qu'en croisant son regard. Bon, je n'avais pas vraiment cherché non plus, on ne va pas se voiler la face. Je n'avais pas envie de chercher et j'avais préféré me tourner vers une femme, vers Sage. Parce que dès que je perdais pied dans le pilotage de ma propre vie, je me tournais vers la facilité, vers le côté non contraignant d'une petite relation comme ça. Vers le côté totalement différent, aucune comparaison possible quoi... Je le regarde et souris légèrement. Oui, ça fait de lui un ami précieux mais bon... Niveau dîner dans un lieu 'atypique', grand jeu et tout ça, Dante aussi était fort. La demande pour le bal avait été une vraie mise en scène et lui, y avait pensé, il n'essayait pas de se racheter de ses oublis. " Oui, le genre d'ami que tu gardes sous le coude pour se sortir de la merde ... Ou pour impressionner quelqu'un " Je souris légèrement. Mais c'est lui que je veux impressionner, c'est de lui dont je veux retourner la cervelle, à qui je veux arracher des rires et des sourires. Et plus encore. Oh oui... Je le tire avec moi près du bord et soupire légèrement quand ses bras se glissent autour de moi, que son souffle caresse ma nuque, ma joue. Je l'écoute et regarde. " C'est loin quand même vu d'ici " Et la réalité se trouve là haut, pas ici, ce qui m'arrache une grimace. Je glisse mes mains sur ses bras et pose mes mains sur les siennes. " Ça fait du bien de s'éloigner de l'université et de toutes ces obligations universitaires, tu trouves pas ? " Lançais-je en contemplant les environs. C'était vraiment magnifique. Je n'avais jamais vu la ville de cette façon et pourtant j'y habitais depuis cinq longues années.
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 Elle ne le dira pas, non… Même si ses paroles le sous entendaient plus ou moins, elle n’avouerait pas clairement qu’elle n’était pas parvenu à me contenter, de la même manière que je me bornais à ne pas reconnaître explicitement ma jalousie. Alors je me contenterais de ce demi aveu, de ces quelques mots… Petit sourire au coin des lèvres. J’en concluais ce que je voulais. Ca suffit à regonfler un peu mon égo, surtout qu’une fois sur la terrasse, ma petite mise en scène improvisée en extrême vitesse sembla faire son effet. Je me vantais et me faisant un peu descendre de mon pied d’estale, Kyla affirma que j’avais un côté –pratique- En gros c’était ainsi que je pris ses mots, puisqu’elle soulignait mon utilité pour se sortir de galères ou pour impressionner le monde. Et je laissais finalement tomber le combat, elle ne le dira pas, qu’elle me trouve irremplaçable ou pas… Et puis j’avais juste envie de profiter, de la tenir dans mes bras qui s’enroulaient déjà autour d’elle devant cette vue sublime de la ville devant nous. Petit cour d’orientation express pour repérer un peu Boston, Cambridge, la fac… Toute petite là bas, sous nous… Si proche et si loin à la fois, une distance qui semblait faire du bien à la jeune femme. « On est bien ici c’est vrai… » Mes yeux n’étaient plus sur le panorama alors que je prononçais ces derniers mots. Alors oui, je me sentais bien mais cela n’avait rien à voir avec la vue, la hauteur, la fac… J’étais juste bien parce qu’elle était là.
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Je ne voulais plus me dévoiler, en aucun cas. J'en avais assez dis, assez montré lors de la soirée de donation. Ma détresse, ma peur de le voir filer, qu'il m'échappe et tout ce qui va avec... Et ça n'avait pas loupé, à mon grand regret. Alors maintenant, je ne donnais plus que le minimum syndical des informations sur ce que je ressens. Oui, j'aime être là avec lui, sur ce toit, seuls contre le reste du monde, libre de pouvoir l'embrasser, de pouvoir frissonner à chaque fois qu'il caresse ma peau et tout ce qui va avec... J'étais enfin libre, comme si j'avais laissé ma cage en bas, dans la limousine. Et c'était tellement agréable. Je profite de la vue, de ce contact, d'être dans ses bras. Parce que ça faisait une éternité que je ne m'étais pas retrouvée là, comme ça, tranquillement avec lui, loin des regards indiscrets des étudiants apeurés et tout ce qui va avec. Je souris quand il acquiesce qu'on est bien ici et ferme les yeux, restant quelques secondes comme ça, sans bouger, sans rien faire. Je pourrais m'y habituer. Mais est-ce que l'habitude ne me dégouterait pas de tout ça ? Je ne crois pas non... " Cole ? " Mes épaules s'affaissent. C'est plus fort que moi. " Ça avance comment tes plans pour annuler ton... union " Pas mariage. Ce mot m'arrache la gueule. Je me tourne dans ses bras, posant mes bras au niveau de sa taille et le regarde droit dans les yeux. " Tu sais que je vais... Je vais finir par la pousser dans le Charles River ? " Lançais-je en serrant les dents. " Je supporte pas qu'elle ait droit à tout ça n'importe quand " Laissais-je échapper entre mes dents serrées. Ne pas se dévoiler ? Ouai, c'était le plan initial mais je peux pas, je bouillonne et ça me rend malade à longueur de journée. " Tu réagirais comment si je venais à me marier avec.. Dante demain ? " Je connais l'animosité entre les deux hommes. " C'est mon anniversaire, tu dois tout faire pour me faire plaisir et faire de moi la princesse de la journée " Lançais-je avant qu'il s'écarte et objecte ou je ne sais quoi.
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 Alors que le moment était parfait, que j’espérais secrètement être un peu remonté dans son estime avec cette petite surprise, son ton changea alors qu’elle prononçait mon prénom. Mes sourcils se froncèrent un instant alors qu’elle laissait ensuite échapper sa question. Mes avancées quant à l’annulation de tout ce cirque. Une petite grimace se dessina sur mon visage. « Disons que ça ne dépend pas que de moi… » commençai-je à me justifier. Parce que oui, comme tous les plans à la Cole Wildingham, mon stratagème pour échapper à ce mariage arrangé n’avait rien de simple. Oui, j’avais espoir de réussir à ne pas me marier tout en empêchant également les noces de ma mère avec Petrov. Projet ambitieux et complexe donc, qui reposait en grande partie sur le bon vouloir de Ludmila qui ne m’avait pas semblée très réceptive à mon idée. Un sourire étira malgré moi mes lèvres lorsque Kyla me confia ses envies de meurtre… « Elle n’est pas si horrible tu sais… » J’avais commencé à l’apprécier, avec ses histoires de famille tordues, presqu’autant que les miennes… Mais à la deuxième phrase de mon interlocutrice, j’objectai, mes mains glissant dans le bas de son dos, resserrant un peu mon emprise pour l’attirer un peu plus contre moi. « Elle n’a pas le droit à tout ça n’importe quand, arrête. Je l’ai jamais emmenée ici… » Ni sur ce toit, ni dans ma suite… Bon, il y avait bien ce pari avec Nina, ce défi de réussir à dépuceler Ombeline avant le mariage, mais ce n’était qu’un challenge de gosse, ça ne voulait rien dire. Kyla marqua néanmoins des points en me demandant quelle serait ma réaction si elle venait à se marier avec Dante. Je me crispais rien qu’à ces mots. Je m’apprêtais à m’énerver, à m’emporter mais la jeune femme enchaina en me rappelant quel jour on était, enfin quel jour nous étions censés être, et ce que cela impliquait. « Et qu’est-ce que tu veux que je fasse Kyla ? Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? Epouser Dante ? C’est ça ton fantasme ? » demandai-je sur un ton agressif.
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Je sais que je me lance sur une route périlleuse mais j'en ai besoin. Je veux savoir ce qu'il se passe, je veux savoir si je me bats contre moi même pour quelque chose ou pas. J'ai besoin de savoir... Je crois qu'aujourd'hui est le moment où je continue de me battre ou bien celui où je dépose définitivement les armes. Je suis bien trop embourbée dans cette dynamique et il va me falloir un temps fou pour m'en sortir mais qu'est-ce que j'y peux sérieusement ? Je soupire légèrement. Il n'est pas le seul, ça ne dépend pas que de lui, blablabla. Étonnement, sa réponse ne me satisfait pas. J'aimerais tellement qu'il me dise "ça y est Kyla, j'en ai fini avec ces conneries, je peux enfin passer du temps à apprendre à te connaître pour de bon". Mais non, visiblement, le timing n'est pas encore le bon. " J'ai jamais dis qu'elle était horrible. C'est juste que.. " Je déglutis. Elle est pas tombée sur le bon fiancé c'est tout, je dis ça pour elle voyons. Mon regard se perd dans le sien quand je me tourne et je le sens se crisper. Je le regarde et secoue légèrement la tête de droite à gauche. " Je parlais pas de ça idiot. Mais d'un moment de paix avec toi, d'un peu d'attention " Ils devaient s'arranger pour que leur union fonctionne non ? Puis je vais plus loin et je sais que je m'enfonce. Mais je veux lui faire comprendre l'effet que sa putain d'union à la con à sur moi. Et s'il venait à l'apprécier cette blondie ? Et s'il venait à coucher avec elle. Connaissant le phénomène, elle ne le quitterait jamais après lui avoir offert sa virginité. Je n'aurais jamais pensé quitter Royce et pourtant. Pif, paf, pouf, un coup de reins et adieu. " Tu crois franchement que me marier avec Dante est mon fantasme ? " Je ris légèrement. " Je veux déjà que tu commences par arrêter de t'énerver comme ça pour si peu " Je soupire. " Je vais jamais me marier avec Dante parce qu'il est déjà marié et que je n'en ai ni l'envie, ni l'obligation tu vois " Mes mains passent de derrière son dos à son torse puis ses joues. " Je veux juste savoir comment tu réagirais si demain j'arrivais et que je te disais que je suis mariée de force à... Dante, Baptiste, Royce ou même Tate " Tiens, ton grand ami. " Tu réagirais comment hein ? " Je m'approche de son visage et clos mes yeux quelques secondes. " Tu peux pas me dire que tu me souhaiterais tout le bonheur du monde, j'y crois pas une seule seconde " Lançais-je en mordant ma lèvre inférieure. Ma voix est douce, basse, invitant à la confession même si je me doute qu'avec Cole, je peux courir pour avoir quelque chose de ce genre. " Et toi, c'est quoi ton fantasme ? " Finis-je par demander le plus simplement du monde.
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 Pas la réponse qu’elle escomptait, ça se vit tout de suite à sa tête. Mais dans mon élan d’honnêteté, je n’avais pas eu le cœur à lui faire croire à l’annulation de mon mariage. Si tout fonctionnait selon mes plans, ça serait probablement le cas dans quelques temps, mais pour l’heure rien n’était sûr. Quand je défendis un peu Ombeline, Kyla rectifia ce qu’elle venait de dire, laissant sa phrase en suspend… Et même sans la fin, je compris : ce n’était pas contre Ombeline qu’elle en avait personnellement, s’il s’agissait d’une autre fille, ça serait probablement la même chose. Je déglutis alors que nos regards s’affrontaient un instant et que je tentais de me défendre d’avoir fait quoi que ce soit du genre avec ma fiancée, venir ici, passer un moment de ce style… « On a surtout eu beaucoup d’occasion de se prendre la tête pour le moment… » clarifiai-je, sait-on jamais que ça puisse la rassurer. Je ressentais juste un peu plus de sympathie pour Ombe depuis qu’elle m’avait parlé de ses problèmes familiaux ressemblant étrangement aux miens. Dans d’autres circonstances, on aurait pu être amis tous les deux, alliés même qui sait… Je perdis mon calme à l’évocation d’un mariage entre Kyla et son coloc. Comme toujours quand il s’agissait de la jeune femme, je ne gardais jamais bien longtemps le contrôle. Un soupire s’échappa de ses lèvres et elle reformula sa question : elle voulait juste que je me mette à sa place et que je lui dise comment moi je réagirais si elle se retrouvait mariée à un autre, Dante, Royce ou Tate, qu’importe en fait lequel de ces types. Je levais les yeux, mâchoire crispée, agacé déjà de la réponse que j’étais censé donner en toute franchise,  c’est à dire que je pêterais carrément un câble, et de ce que cela dévoilait un peu plus sur l’attachement que je ressentais pour elle.  Je ravalais mon honnêteté donc et je déviais vers le mensonge : « Bien sûr que si, je serais heureux pour toi. » démentis-je alors qu’elle, de son côté, s’approchait de moi en affirmant tout le contraire. Esprit de contradiction oblige, je ne réalisais même pas que rien que par défi, elle pouvait très bien mettre ses menaces à exécution et s’engager avec le premier venu. A sa question suivante, c’est sans sérieux que je fis en riant : « Mon fantasme ? C’est d’épouser Dante tout le monde le sait… » Avant d’arrêter de pouffer aussitôt  pour ne pas l’énerver. Ma main glissa sous son menton pour lui faire relever le visage vers moi et c’est sans rire, cette fois, que je repris : « Mon fantasme c’est de réaliser les tiens… »
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