Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityonly a masochist could love such a sadistic (carmingham) - Page 2
Le Deal du moment : -50%
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer ...
Voir le deal
54.99 €
Le Deal du moment : -43%
-100€ Pack rééquipement Philips Hue ...
Voir le deal
129.99 €


only a masochist could love such a sadistic (carmingham)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
" Ah ouai je confirme, c'était du cent pour cent authentique, deux crétins pensant ne pas se faire voir " Lançais-je avec mon plus beau et large sourire. Ils avaient eu l'air vraiment mais alors vraiment con ! Monter sur ses grands chevaux et tout ce qui va avec, ce n'est vraiment pas top. Et moi, j'avais espéré que Cole soit là pour moi mais Athena m'avait dit qu'elle ne savait pas avec qui Tate avait rendez-vous, à la base. Je soupire légèrement. " Ouai tu devrais. Surtout pour avoir insinué que t'allais te taper Athena. Si vous étiez des mather, vous vous seriez tapés dessus, ça aurait pu être cool " Lançais-je avec un léger sourire sur le visage. Oui, rien que ça. Je crois que c'est peut être ça que j'attends, que Cole se batte pour moi mais je crois que je peux rêver pour que ça arrive. Il ne fallait pas que ça arrive, de toute manière, nous essayions d'être amis tous les deux. " Oui Clay, c'est un flic, je m'entoure bien que veux-tu " Et je ne préférais pas dire à Cole comment je me retrouvais à être amie avec un policier de la ville, vraiment pas. Je le regarde et lève les yeux au ciel. " Non c'est vrai. Mais tu vois, moi je sais que t'es né le 10 juillet parce qu'une amie sait quand son pote est né tu vois " Je souris largement. À vrai dire, j'avais un peu questionné Leevy lorsqu'elle était ivre morte l'autre fois au Chili et je m'en étais souvenue par je ne sais quel miracle. Je le regarde et soupire. " Il a peut être des goûts de chiottes mais il a pensé à moi, il était là quand Dante était entrain de s'envoyer en l'air à l'autre bout du continent et que je me suis retrouvée toute seule à garder trois enfants de moins de trois ans. Et il ne m'a pas laissé seule le jour de mon anniversaire alors tu vois, rien que pour ça... " J'avais toujours été très anniversaire parce que c'était le seul jour où toute la famille ne voyait pas que par Savannah ou Delilah. C'était littéralement le seul jour où Delilah et moi étions mises sur le même plan. " Après tout, t'as ton mariage à organiser, je comprends que l'anniversaire d'une amie ne soit pas important " Soufflais-je en tournant le dos et marchant un peu le long de la rue, m'éloignant de lui. " Et je te rappelle que tu me dois des explications. Tu me dois beaucoup de choses en fait " Lançais-je en riant, le regardant, à deux bon mètres de distance.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 « Hey ! » protestai-je sur un ton piqué au vif alors qu’elle s’amusait à décrire la situation à notre désavantage. Pour le coup, c’était sûr qu’on s’était plutôt bien ridiculisés Athéna et moi. Ca me fit penser à Tate, avec qui j’avais toujours entretenu de plutôt bonnes relations et qui devait avoir à l’heure d’aujourd’hui, une toute autre vision de moi. Kyla me confirma que je devrais parler à mon VP, surtout après mes insinuations plus que douteuses sur Athéna. « Je l’aime bien Athéna, elle est sympa en fait. » De la même trempe que moi, au final, qui l’aurait cru ? Prête à tout pour obtenir ce qu’elle voulait. Comme quoi malgré notre première rencontre à la soirée de donation plutôt tendue, les choses s’étaient améliorées. Comme quoi l’espionnage ça pouvait avoir des côtés positifs. Kyla poursuivait en imaginant une version mather de nous, ainsi qu’une hypothétique baston entre nous et un petit rire s’échappa de mes lèvres. Si elle savait que j’avais été à deux doigts d’aller lui en coller une, et pourtant, dieu sait combien il était dur de me faire perdre le contrôle ainsi. Mon rire ne perdura pas longtemps car la révélation de sa date d’anniversaire passée d’une semaine plus tôt me fit perdre mon envie de rigoler. Elle m’informa que Clay était un ami policier, et je me rappelais alors la soirée de donation, l’arrivée d’un mec baraqué auprès d’Annalynne lui arrachant sa coupe avant de filer vers Kyla et ses amis… Ma cavalière alors m’avait parlé d’un –garde du corps- il s’agissait surement de lui. Un flic dont le maigre salaire ne lui suffisait pas et qui acceptait quelques extras en jouant les bodyguards. Je me recentrais sur Kyla, qui n’appréciait pas vraiment que je retourne mon oubli contre elle. Et elle me scotcha en me citant ma propre date d’anniversaire. J’en restais muet quelques secondes. « Je… » trouve rien à redire et je sentais que j’allais ramer deux fois plus pour me faire pardonner. D’ailleurs le commentaire désagréable concernant le cadeau de Claymachin n’allait pas me faire gagner des points. Soupir exaspéré de la demoiselle qui enchaina en soulignant qu’au moins, lui, il avait pensé à elle, laissant finalement sa phrase en suspend… « -Rien que pour ça- quoi ? Qu'est-ce qui s'est passé ? » demandai-je sur un ton agressif, imaginant soudain la pire issue à leur petit tête à tête d’anniversaire. Oui à peine rassuré sur le lien qu’elle entretenait avec Tate, me voilà à psychoter à nouveau sur un autre mâle de son entourage. Me tournant le dos, s’éloignant, la voilà qui remettait mon mariage sur le tapis, comme si Ombeline avait pu être la cause de mon omission… « Mais je ne savais PAS que c’était ton anniversaire Kyla, sinon j’aurais… J'aurais fait les choses autrement... » Elle se retourna pour me signifier que je lui devais beaucoup. Je franchis les quelques mètres qui nous séparaient, passai devant elle avec un air boudeur, ayant toujours détesté le fait de me sentir redevable. « Ma voiture est par ici… » expliquai-je en continuant d’avancer sur le trottoir jusqu’à atteindre une limo noire, celle dans laquelle j’avais investi dans l’attente qu’un jour je retrouve ma Roll Royce dérobée. J’ouvris la portière à la jeune femme et attendis qu’elle prenne place.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je n'avais aucune gêne à lui exposer les choses de la manière dont je les avais vu. Athena et lui étaient passés pour deux abrutis et mon ami le savait déjà. De toute façon, je lui avais fais la morale le lendemain ou un jour après. Je ne supportais pas que mes propres amies me croient capables de telles choses. Je n'avais aucun respect pour les gens que je ne connaissais pas... Et puis, pour voir des tas de filles tourner autour de Cole, je devais bien dire que je devenais folle à chaque fois. Alors je ne pouvais que la comprendre. Je ris légèrement. " Tu doutais que mes copines étaient aussi cool que moi ? Par contre, tu m'excuses, mais tu baveras pas trop sur ma gueule avec elle, j'ai assez d'Emilia " Un léger sourire à son attention. Oui, qu'ils soient conscients que les remontrances à répétition d'Emilia, j'en avais assez et s'il devenait ami avec Athena, je n'accepterais pas un nouveau délire du genre. Moi aussi, je pouvais me retrouver être un vrai monstre, une vraie stalkeuse digne de ce nom. Après tout, je savais très bien quand était son anniversaire et je ne l'oublierais pas pour la simple et bonne raison que je voulais pouvoir lui remettre dans les dents toute ma vie qu'il m'avait oublié et moi non. Oui, parce qu'on sera toujours amis dans quarante ans voyons ! Je le regarde et fronce les sourcils. " Mais rien ! Putain mais qu'est-ce que vous avez tous à croire que j'écarte les cuisses à la moindre occasion ! " Répondis-je le plus agressivement possible parce que ça me rendait tout simplement folle ! Oui, rien que ça. Folle. Folle qu'il puisse croire que je m'envoyais en l'air à tout va alors que, pour tout dire, je n'avais rien fais avec un homme depuis nos entrevues au Chili. Et ma petite soirée avec Sage, le soir des donations. Je n'avais pas eu plus de nouvelles que ça de la brunette depuis d'ailleurs. Très étrange. Il fallait que je al contacte. Mais ronchonner sur Cole était plus intéressant pour le moment. " Et t'aurais fais quoi ? Allez, fais moi rêver " Comme tu sais si bien le faire. Je soupire légèrement et le vois se rapprocher de moi. Mais il ne s'arrêta pas. Je fronce les sourcils et le regarde continuer son chemin. Non mais si je t'emmerde dis le moi. " T'as peur que les arbres aient des oreilles ? " Demandais-je en levant les yeux au ciel et me glissant dans la limo. " Tu faisais quoi au Royale ? Tu cherchais à t'envoyer en l'air avec la première pétasse qui bougeait son cul sous ton nez ? " Vulgaire la petite, oui oui.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 « Disons qu’entre ta sœur folle furieuse qui m’agresse avec ses béquilles, ton coloc rital qui me tape sur le système, je commençais à franchement douter de tes compétences à bien t’entourer ma chère… » me moquai-je gentiment, pas vraiment sérieux parce qu’au final, entre Hippo, Leevy et désormais Tate, nous avions quand même plus d’un ami en commun. Raison de plus pour qu’elle me rejoigne à la Eliot d’ailleurs, elle y serait comme chez elle. Enfin mon petit rire disparaît bien vite devant le petit sous entendu qu’elle glissa, insinuant que je me plaignais trop à Emilia. « C’est une amie de très longue date, l’une des meilleures… » L’une de celle avec qui je n’avais jamais conclu aussi, ce qui faisait d’elle une perle rare. Ma Mimi. « Alors si j’estime que tu dépasses les bornes, je me trouve en droit de lui en parler, aussi souvent que ça se produira. » J’avais toujours été proche d’Emilia et je ne voulais pas que l’amitié qui liait les deux jeunes femmes changent quoi que ce soit à notre lien à nous. « Mais soit, je tiendrais ma langue quand je serais avec Athéna. » Et je garderais mes remontrances pour l’espagnole. On parla de son anniversaire, et le récit de sa soirée laissait en suspend, j’en imaginais déjà la pire des fins. Ce sous entendu sembla irriter mon interlocutrice. Non, elle n’écartait pas les cuisses à la moindre occasion. Vexée. Et je n’étais guère dans de meilleur disposition, gêné d’avoir oublié son anniversaire, énervé qu’elle ait passé ce moment important avec un autre, et mal à l’aise à l’avance des explications sur Dubaï que j’allais devoir lui donner. C’est boudeur donc que j’avançais rapidement jusqu’à la voiture dont j’ouvris la portière, laissant l’anecdote de ce qu’aurait pu être sa soirée d’anniversaire en ma compagnie pour plus tard. « Tu verras ça… l’année prochaine. »  Elle se glissa ensuite sur la banquette, irritée que je repousse sans cesse le sujet, citant les oreilles des arbres avec agacement. Je m’assis à côté d’elle et refermai la porte. « J’ai peur que les arbres aient des yeux. » répondis-je alors, ignorant sa question suivante sur ma présence au royale, préférant fondre sur elle pour m’emparer de ses lèvres et lui voler un baiser… Un baiser de l’amitié, bien sûr on y croit.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
" T'apprendras que la famille, on la choisit pas et que ma soeur est partie. T'as plus que Dante à te farcir, ça va " Soufflais-je en haussant les épaules. Kyla l'éternelle solitaire, tout le monde se barre. Je priais presque pour que Méline ne finisse pas par retourner à New York ou j'allais devenir folle. J'avais pas l'habitude de vivre seule avec cette famille de frappée. Je l'écoute et lève les yeux au ciel. " Sauf que je ne dépasse jamais les bornes puisque je n'en ai pas, de bornes. C'est tellement fatiguant de se limiter " Soufflais-je avec un large sourire. Discours digne d'une mather, à rejeter les règles et les limites quand même. Mais bon, quand on voyait pour quoi il s'était plains... Mieux valait laisser cette conversation au placard parce que je n'aurais pas fini de râler, de montrer par A + B qu'il avait juste réagi de manière bien trop excessive et que de me dire qu'on ne pouvait pas savoir comme je réagirais vu la personne que j'étais... Non merci. J'avais toujours envie de le tanner suite à tous ces mots, même si on s'était plus ou moins expliqués dans les jeux pour enfants. Je soupire et me dirige vers la limo noire qui remplace son ancienne voiture. Je préférais l'autre, je lui ai déjà dis mais je sais que c'est un sujet épineux. " Ouai, si tu m'oublies pas encore une fois " Lançais-je en levant les yeux au ciel. Rien de moins sure, qu'on se le dise. Il était bien capable de me planter une nouvelle fois, ce vieux con. Et puis, je sais pas où je serai dans un an, si je serai toujours là ou pas. J'hésite de plus en plus à tout abandonner, à reprendre la danse, à passer sur le billard pour me refaire un genoux de folie, une cheville incassable. Je pouffe légèrement de rire à sa phrase et lui adresse un léger sourire. " T'es complètement c... " Lançais-je, n'ayant pas le temps de finir ma phrase que ses lèvres sont sur les miennes. Je souris contre ses lèvres et ouvre les yeux. Je le regarde et lâche, sans sourciller " Je te jure que si t'embrasses toutes tes amies comme ça, je pense que ... " Que je te tue, que je te défonce, te dégomme et tout ce qui va avec mais je ne dis rien, bien évidemment. " En tout cas, je peux te dire que t'es le seul ami que j'embrasse comme ça. Le seul tout court en fait " Finis-je par me confier, glissant ma main sur sa joue avant de la placer sur sa nuque et l'embrassant à nouveau, de me perdre dans ce baiser comme je ne me suis pas perdue depuis longtemps.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
  « Tu m’excuseras de pas avoir l’air triste de l’apprendre… » fis-je lorsqu’elle me parla du départ de Delilah. Même si devant son ton et sa mine, je ne pus m’empêcher d’ajouter : « Je suis désolé pour toi quand même… » Je ne savais pas comment je réagirais si Vic venait à quitter Cambridge. Le lien qui unissait des jumeaux étant encore plus particuliers que celui qui liait une simple fratrie, je pouvais comprendre qu’elle se sente vide ou abandonnée. Et puis y’avait ses histoires complexes avec son autre sœur, Méline. Et il y avait aussi la grande sœur aux dessins animés dont elle m’avait parfois parlé, au passé seulement, et dont je devinais que l’absence n’était pas uniquement géographique. Je ne lui en parlais pas, lui laissant le choix d’aborder ou non un jour ce sujet délicat… Mais je m’étais fait ainsi une petite idée de la complexité de sa famille… C’est sur un ton plus railleur qu’on aborda nos amies cabot communes et ma tendance maladive à me plaindre. Gosse de riche oblige, j’excellais dans ce domaine que voulez vous. Mais Kyla se défendit de dépasser les bornes, puisque des limites elle n’en avait pas. « No limit c’est vrai… » repris-je avec un brin de nostalgie, me rappelant ainsi les termes fixés lors de notre toute première rencontre. On avait fait du chemin depuis dirons nous. Et des limites, malgré nous, nous nous en étions mis des tas. Mes fiançailles par là dessus n’avaient rien arrangé. Kyla n’était pas prête de passer l’éponge sur ma semaine de retard quand à son anniversaire et je cogitais déjà à la manière de me rattraper, même si je n’en laissais rien paraître, préférant lui laisser penser que cette soirée ne serait d’actualité que l’an prochain. Mais une fois dans la limo, les barrières tombèrent et à l’abri du regard des arbres, et surtout de celui des potentiels passants nocturnes, je fondis sur ses lèvres pour m’en emparer, la coupant dans sa phrase. Je savourais avec délice le contact de ses lèvres contre les miennes, oubliant l’espace d’un instant cette comédie d’amitié dans laquelle on s’était lancé. Lorsque je m’écartais, elle revint néanmoins là dessus, menaçante presque, quant aux potentielles amies qui pourraient avoir droit au même baiser qu’elle. Mes lèvres s’étirèrent malgré moi en un fin sourire amusé, sourire qui devint plus franc ,plus large, lorsqu’elle poursuivit en affirmant que de son côté, j’étais le seul à avoir droit à ce traitement de faveur. Je n’eus pas le temps de répondre quoi que ce soit que nos bouches se retrouvèrent à nouveau. Mes paupières se refermèrent au contact de sa main contre ma nuque alors que mes doigts à moi allèrent se perdre dans ses cheveux, prolongeant un peu plus ce baiser qui n’avait plus rien d’amical. Et lorsqu’on se décolla finalement, je retrouvais la parole pour lui souffler : « Ca tombe bien, j’aime avoir l’exclusivité… » Et cette simple phrase pouvait expliquer beaucoup, entre autre mon comportement à Dubaï lors de son dîner avec Tate…
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
" Tu devrais pas être si content tu sais... Méline est encore plus hargneuse que Delilah " Soufflais-je en parlant de ma petite soeur. On ne s'est jamais réellement appréciée Méline et moi et, pourtant, depuis que je suis revenue de mon petit séjour chez les morts, tout va bien entre nous. Il faut dire que Delilah est devenue la chiante et pacifique que j'étais et je suis devenue la rebelle qu'elle était. Aucune synchronisation comme moi et ton petit loup, et Méline allait de pair avec la rebelle de la famille. Heureusement que je l'avais, cette petite tête d'oeuf parce que je crois que je déprimerais à ce moment là sinon... Je pense qu'elle se ferait une joie de foutre la misère à Cole si je lui demandais... Comme je me ferai une joie de démonter ceux qui feront du mal à ma petite soeur. Et puis, ça me défoulera parce que je ne suis pas comme Cole à me plaindre à qui veut dire m'entendre et m'écouter. Non, je suis plutôt le genre de nana à tout garder en moins et à ruminer. Jusqu'à ce que j'explose et là, vaut mieux pas être sur mon chemin. No limit. Je souris en repensant à ça, à ces mots que j'avais énoncé lors de notre première soirée ensemble. " Il s'en est passé des choses depuis janvier quand même " Soufflais-je avec un léger sourire. C'était pas ça, le plus facile au final ? S'envoyer en l'air, se détester et recommencer ? Parce que, concrètement, on est carrément pourri en amitié, tellement pourri qu'il nous faut pas plus de cinq secondes ensemble, dans un endroit à l'abris des regards indiscrets pour nous dévorer du regard et pas que. Il m'embrasse, je l'embrasse parce que j'en veux plus, encore plus et que ce baiser ne me suffit pas. Je suis affamée, envieuse de ces lèvres que je n'avais plus touché depuis si longtemps. Trop longtemps à mon goût. C'était comme un teaser, un avant goût de tout ce à quoi nous aurions droit si nous n'étions pas amis. Mais nous ne sommes pas amis. Il faut que j'arrête de me voiler la face et bien comme il faut. Lui et moi n'avons rien de deux amis. Deux crétins, ça beaucoup plus. Je le regarde et mords ma lèvre inférieure. " Ah ouai... Et si j'embrassais tous mes amis comme ça, tu ferais quoi ? " Étrangement, pour l'exclusivité, j'avais compris depuis notre petite entrevue dans sa chambre après mon retour de New York. Et je n'avais trop rien dis, ne voulant paraître complètement accroc à ce type alors que je l'étais, totalement...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Je suis censé avoir peur là ? » Non parce que la petite Méline, pour le peu que je l’avais croisée au SB, elle était loin de m’avoir fait peur. Je n’étais pas du genre à me laisser impressionner, même par sa tarée de jumelle qui m’avait vociféré dessus. Et puis soignons honnête, la seule Carmichael qui avait véritablement du pouvoir sur moi c’était celle qui se trouvait devant moi en ce moment même. On évoqua un instant, un brin nostalgiques, les termes que l’on s’était fixés lors de notre première entrevue. No limit. On en était bien loin aujourd’hui… Je ne pouvais qu’acquiescer d’une vague hochement e tête. Il s’en était passé des choses oui… Et une fois la portière refermée sur nous, c’est quand même vers une répétition de cette première rencontre que l’on se dirigeait, c’est à dire moi lui volant un baiser. Pas de morsure à la clé aujourd’hui néanmoins, c’est plutôt avec fièvre et envie que les lèvres de la jeune femme répondaient aux miennes. Le baiser se stoppa un instant, et la question de notre pseudo amitié revint sur le tapis. Et j’affirmais vouloir l’exclusivité, ce qui parut l’amuser puisqu’elle me défia en me questionnant sur ce que je serais capable de faire si elle embrassait tous ses amis de la sorte. « Je les éliminerais tous un à un… » répondis-je avec un sourire diabolique. Impossible de savoir si j’étais sérieux ou non, ou de savoir à quel degré il fallait comprendre ma phrase. Et c’est de quelques coups sur la vitre qui nous séparait du chauffeur que j’attirais l’attention de ce dernier. « Charles, vous pouvez démarrer… » Me tournant ensuite à nouveau vers Kyla, je lui confiais avec un air amusé : « C’est une limo magique que j’ai là… En fait, elle remonte dans le temps… Je te propose de retourner une semaine en arrière. » plaisantai-je en attrapant ensuite mon smartphone pour pianoter discrètement quelques instructions pour mes employés sur ce dernier.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je le regarde et ris légèrement. " Je sais pas... " T'as qu'à être gentil, doux et tout ce qui va avec. Je pourrais lui dire ça, oh que oui. Je pourrais lui dire qu'il n'a qu'à ne pas faire le con avec moi et tout ce qui va avec mais est-ce que ça va changer quelque chose ? Non. On doit continuer notre petit cinéma, notre amitié platonique alors que mon corps est attiré par le sien comme un aimant au frigo. Je pourrais combattre tout ça, ces envies de l'approcher encore et toujours mais non, je n'y arrive pas. Je n'en ai pas envie en fait. Il est là le plus gros problème de cette amitié, je n'ai aucune envie de rester loin de lui même si j'ai terriblement eu envie de l'étriper à biens des reprises et que je ne doutais guère que tout cela allait commencer. Je l'écoute, perdue dans son regard, mes yeux glissant sur ce visage qui m'avait tant manqué, ce visage que j'adorais caresser et embrasser. " J'espère que t'es doué pour cacher les corps alors " Soufflais-je avec un air de défi. Il n'avait personne à tuer, à vouloir faire disparaître mais bon. S'il pouvait me donner des petits conseils pour cacher des corps, je ne serais pas contre ! Parce que je suis sûre qu'il continue de fricotter à tout va et qu'il s'envoie en l'air tout le haut Cambridge. Je bouillonnais presque rien qu'à l'imaginer avec une autre. Je l'écoute et arque un sourcil. " T'es magicien toi ? Pourtant ça fait un bon bout de temps que je n'ai pas baguette magique " Glissais-je en passant mes doigts sur son entre jambe alors qu'il avait le regard sur son téléphone. J'éclate de rire et le regarde. " Alors il y a une semaine on était où ? Clay ne sonnait pas à la porte alors que Connor me déshabillait en braillant, accompagné par Aliénor et Chrysta ? " Soufflais-je en souriant légèrement. Ces gosses m'en avaient fait voir de tous les côtés et Connor était bien un mec, à chaque crise, il tirait sur mes hauts, affichant mes dessous à ses frangines. Parce que tout le monde avait foutu le camp en sachant que j'avais trois enfants à garder...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 Non je ne me laisserais pas impressionner par Méline… Ni par aucun de ces mecs qui gravitaient autour de Kyla d’ailleurs. Mais mes paroles étaient loin d’avoir un impact sur mon interlocutrice… Elle les prit au pied de la lettre et non au figuré, me souhaitant alors d’être talentueux pour faire disparaître les corps… « Tu ne viens pas de me dire que j’étais le seul ami à avoir droit à ce type de privilège ? » Donc en théorie, si j’avais vraiment l’exclusivité, ça ne devrait pas me faire trop de corps à dissimuler…  J’ordonnais ensuite à mon chauffeur de se mettre en route et la voiture démarra alors que je confiais avec un ton amusé mon plan à Kyla : remonter le temps. Un petit rire s’échappa de mes lèvres lorsqu’elle me compara à un magicien, rire qui se coupa en sentant ses doigts contre le tissu de mon pantalon, alors qu’elle évoquait –ma baguette magique-. « Je rêve où ça a l'air de te manquer ? » Un sourire étira mes lèvres alors que sa main titillait cette partie sensible de mon corps qui réagit au quart de tour. L'espace d'un instant, l'envie de laisser également mes mains se balader sur sa peau, sous sa robe m’effleura l'esprit. Mais le regard de mon chauffeur que j’interceptai dans le rétroviseur suffit à me rappeler à l'ordre. Je n'avais aucune certitude quand à la discrétion de l’homme. Peut être qu’Ombeline allait lui filer un gros billet pour savoir comment j’avais occupé ma soirée. À propos de cela, il me faudrait envisager d'augmenter mon employé pour m'assurer de son silence d’ailleurs. C'est donc avec raison et sagesse que je m’emparai des doigts de la jeune femme pour les éloigner après avoir passé quelques consignes par message à mes employés. « Une semaine en arrière… » Je fis mentalement le calcul avant de reprendre ma voix de conteur pour planter le décor : « On est le 13 mai, et non tu ne gardes pas de mioches ce soir. En fait, c'était ce bon vieux Clay qui s'en occupe. » me marrai-je, content de pouvoir au moins fictivement, coller une telle corvée au policier. « Moi, je suis venu te chercher chez toi, on a dîné dans le meilleur restaurant de la ville, je t’ai fait danser au Royal et la soirée n'est pas finie… » La voiture ralentit d'ailleurs quelques minutes plus tard alors que se dessinait devant nous une bâtisse que nous connaissions bien. J'ouvris la portière, la tenant galamment en tendant la main à Kyla pour la faire descendre sur le trottoir, avant de m’avancer jusqu’à l’entrée du Mandarin à ses côtés.  Et ce n’était pas vers ma suite habituelle que j’entrainais la demoiselle, puisqu’une fois dans l’ascenseur, j’appuyai sur le dernier bouton, celui menant au toit du bâtiment sur lequel se trouvait une terrasse que j’avais demandé qu’on prépare expressément. Bougies, roses, champagne frais et vue imprenable sur tout Boston nous attendaient au sommet de l’hôtel.


HJ : non mais Julie si tu es là tu peux rep, j'peux pas faire mon montage vidéo mon beauf doit arriver j'veux pas qu'il me grille only a masochist could love such a sadistic (carmingham) - Page 2 3997999705
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)