Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOn dit que quand on aime on ne compte pas, pourtant je compte chaque seconde depuis que vous êtes parties (Talya) - Page 9
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On dit que quand on aime on ne compte pas, pourtant je compte chaque seconde depuis que vous êtes parties (Talya)

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Si d’abord je m’étais laissé emporté par un sommeil de plomb, un sommeil sans songes et réparateur, merci la vodka, le petit matin m’offrait un tout autre repos. Mon cerveau fonctionnait à plein régime en effet, rejouant dans mes rêves les scènes de la veille. Revoyant nos baisers, des plus chastes aux plus passionnés, la scène de la douche, et ce dernier baiser trop court dans le lit… J’aurais du rester dormir là bas. D’ailleurs dans mon rêve, ce fut un tout autre scénario qui se joua : je restais dans le lit avec Talya. Mais ce n’était pas que pour dormir… Malheureusement, la scène fut coupée par des pleurs, bientôt rejoints par d’autres… « Non pas déjà… » grommelai-je en ramenant la couverture sur moi. Je voulais retrouver le fil de mon rêve, retrouver les bras de Talya. Sauf que mon instinct de papa me poussa à pousser finalement la couverture, mes yeux encore endormis se posèrent d’abord sur le berceau dans lequel Mila commençait à s’agiter. Puis mes prunelles voyagèrent jusqu’à Charlie qui pleurait dans les bras de Talya qui tentait de la calmer. A peine réveillé, je ne pus m’empêcher de me délecter quand même de la jolie vue que m’offrait la jeune femme dans cette tenue plus que légère, me dévoilant ses jambes de déesses… J’enfouis mon visage dans mes mains, une telle vision n’allait surement pas aider à me calmer, et à calmer la bête que mon rêve avait déjà bien trop réveillé… « Talya, je suis désolé… Je peux pas sortir du lit tout de suite là. Je voudrais pas… choquer les petites. » avouai-je, tout gêné. Je n’avais pas besoin de lui faire de dessin sur l’état dans lequel je me trouvais sous la couette, elle allait surement comprendre là ? « Tu crois que tu peux laisser cinq minutes ? » Si je me concentrais sur les cris des petiotes et que j’arrêtais de mater mon ex petite amie en petite culotte devant moi, je devrais pouvoir rapidement m’extirper du lit sans avoir le boxer tout déformé…
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Un sourire étira mes lèvres quand je l'entendis grogner parce qu'il ne voulait pas déjà se réveiller, mais si c'était bien l'heure, il était déjà dix heures, nous n'allions pas pouvoir visiter grand chose si nous ne bougions pas rapidement parce qu'il fallait qu'on soit là vers seize heures pour aller au spa ! Mais je n'étais pas décidée à secouer tout le monde pour autant, on ne ferait que l'essentiel si nous avions peu de temps, le téléphérique, Saint Michel, Sainte Sophie, l'opéra, ce ferait déjà une belle balade ! « Vous les hommes je te jure ! » Je levais les yeux au ciel toujours amusée par la situation. « Tu aurais pu éviter de faire ce genre de rêve avec ta fille à côté quand même ! » Et s'il avait parlé ou fait des bruits dans la nuit ? Beurk c'était vraiment limite de penser à ça en tout cas Mila avait plus que bien dormi puisqu'elle ne s'était réveillée qu'à cause des pleurs de Charlie, première fois qu'elle dormait aussi bien. C'était surement un signe avec sa famille autour d'elle, une famille qui s'était endormie éparpillée dans l'appartement mais apaisée. « Je te laisse tout le temps que tu veux, mais tu remets la couette devant ta tête pour que je puisse sortir de ta chambre et tu te dépêches quand même parce que si Mila pleure c'est parce que Charlie pleure et si Charlie pleure c'est parce que je pensais que ta présence ici n'était qu'un rêve et ça m'a surpris de me rendre compte que non du coup elle est tombée et s'est cognée la tête. » Explications confuses, c'est le matin il faut me pardonner et puis j'étais quand même en culotte non loin de lui, je voyais sa main caresser ma cuisse la veille, les baisers qu'on avait échangé hier dans la douche. Je déposais Charlie quelques minutes à terre pour prendre correctement Mila, puis je la repris et j'entrainais tout le monde dans le salon. La fin tiraillait tous les estomacs dont le mien aussi, c'était surement l'alcool. Je déposai Mila dans son parc, Charlie par terre qui s'accrochait à ma jambe. Je la fis prendre quelques granules d'arnica et je me mis à faire les biberons le plus vite possible. La poudre et l'eau pour Mila, le lait de croissance et un peu de blédine pour Charlie, un petit coup de micro ondes j'entraine les deux petites vers le canapé, je mets le biberon dans la bouche de la fille de mon ex, alors que Charlie prend le sien comme une grande et se cale contre moi. Voilà, moins de cinq minutes c'est le temps qu'il me faut pour faire les biberons en temps de crise. C'est plutôt pas mal sauf que je suis sur le canapé toujours dans la même tenue et là c'est impossible de bouger. Je laisse ma tête tomber en arrière et je dis un peu fort pour que Priape n'entende de la chambre : « J'ai pas eu le temps d'enfiler de bas alors si tu pouvais chopper le plaid dans le lit de Charlie et le mettre sur mes genoux quand tu viens, ça serait adorable ! » On est pas à l'exposition là non mais oh, quand même, un peu de tenue surtout devant un ex excité dès le matin :loukas:
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J’avais pas trop le choix que d’avoue la situation à Talya, histoire qu’elle ne me prenne pas juste pour un gros feignant qui voulait trainer davantage sous la couette. Mais la demoiselle saisit bien sûr l’occasion pour me charrier, levant les yeux au ciel. « Tu te doutes bien qu’on ne contrôle pas ce genre de choses… Encore plus quand on a subi certaines… frustrations dans la journée… » Mais j’étais de celui qui se les étais imposées aussi ces frustrations, avec ma règle à la c.. d’attendre le retour sur le sol américain pour pouvoir –faire nos bêtises-. Voilà, je devais me contenter de mes rêves, même si je n’étais pas très fier de m’être laissé envahir par mes fantasmes aussi facilement. « Je dormirais sur le canap ce soir. » Parce que la journée commençait avec Talya en petite culotte devant moi, donc mes rêves risquaient d’être encore très peu catholiques la nuit prochaine. « Je me dépêche… Mais file sinon, je vais avoir du mal à me calmer… » avouai-je mon regard se perdant une nouvelle fois sur ses jambes parfaitement dessinées. La couette sur la tête ? C’était surement une bonne idée. Je m’exécutais en attendant que les demoiselles me laissent un peu retrouver mes esprits. Après plusieurs minutes à penser à toutes les choses les moins excitantes du monde, à me réciter certains de mes cours imbuvables normalement, je pus enfin me lever. J’enfilai mon pantalon de survet’ à nouveau, un T shirt avant de m’approcher de la salle, la voix de Talya s’éleva pour me demander un plaid. J’allais le chercher sur le lit de Charlie. « Tu vois il fait froid dans ton pays… » Comme si le plaid était là pour la réchauffer, mais bien sur… Je déposais le tissu sur ses jambes en essayant de ne pas laisser mes pensées se perdre à nouveau. « Je suis désolé hein… » fis-je en me grattant la nuque nerveusement. Heureusement Talya avait géré comme une chef. Elle avait l’habitude de faire tout, toute seule… Je me sentais encore plus ridicule et inutile pour le coup. « Je peux faire quelque chose ? Je te prépare un thé ? Café ? Chocolat ? »
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« Le canapé mais bien sûr ! Je n'ai pas envie que tu arrives sur le sol américain tout cassé, entre le canapé et l'avion ! » N'importe quoi ! Comme s'il allait dormir sur le canapé alors qu'il avait pu remarqué hier qu'il y avait largement assez de place pour nous deux dans mon lit si on se serre bien. « Laisse tomber ton principe idiot du sol américain... Et puis on n'est plus le premier soir alors on peut coucher dans le sens dormir ensemble... » Je lui tire la langue pour le taquiner puis il se planque derrière la couverture et moi je sors avec les filles pour effectuer mon parcours du combattant. Biberons, micro ondes, bébés, quelques minutes plus tard, je suis sur le canapé, complètement immobilisée par mes deux amours de filles qui remplissent leurs petits estomacs sur pattes. Le silence c'est merveilleux. Priape arrive finalement, après la guerre, comme souvent les hommes. Il s'exécute pour la couverture et s'excuse. « Excuses acceptées que si tu fais la tournée des bisous. Depuis quand on se lève sans dire bonjour à tout le monde ? » Depuis qu'on a fait des rêves louches toute la nuit et qu'on n'est pas bien réveillé ? C'est peut être ça. Ce matin, ce réveil des plus atypiques fait que mon sourire ne me quitte pas, ça va être une belle journée. Ca ne peut être qu'une belle journée en fait. « Un thé vert à la menthe ça serait parfait ! La bouilloire est sur le plan de travail, les tasses, le thé, café et chocola,t c'est tout dans les meubles hauts, fais comme chez toi, ouvre... Tu devrais aussi trouver de l'aspirine pour ma tête... » Petit aveux que j'ai des traces de la soirée de la veille. Si c'était un rêve, je n'aurais pas mal à la tête pas vrai ? Alors il était bien là en train de me faire mon thé comme une famille parfaite ? Malgré toutes les preuves qui s'offraient à moi, j'avais bien du mal à y croire.
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Talya protestait alors que j’annonçais déjà la couleur pour le soir : j’irais dans le canap. Oui parce que si après notre première journée je me réveillais dans cet état, après une deuxième journée, un spa, un dîner en tête à tête, je n’imaginais pas le réveil que j’allais avoir le lendemain… La jeune femme essayait de faire tomber mes principes, ou plutôt mon chantage du sol américain, affirmant qu’on pouvait bien dormir ensemble, puisqu’il ne s’agissait plus de notre premier soir… Je secouais la tête : « Je ne voudrais pas te choquer demain matin au réveil tu vois… » rigolai-je alors. Parce que clairement, une nuit dans son lit, collé contre elle, parce que son matelas n’était pas non plus des plus larges, je risquais de me réveiller avec une crampe sous la ceinture également… Enfin, après quelques minutes, beaucoup de concentration, je retrouvais mon calme et rejoignis les filles dans la salle après m’être habillé. Un peu gêné que Talya ait du tout gérer pour le coup, qu’elle m’ait trouvé comme cela aussi, parce qu’elle n’était pas bête, elle devait très bien se douter que sa présence et nos nombreux baisers et rapprochements de la veille y étaient pour quelque chose… J’en avais oublié les politesses. Mais heureusement, la jeune femme me rappela à l’ordre. « Désolé, j’suis distrait ce matin… » Distrait n’était pas vraiment le mot peut être… J’embrassais le sommet de la tête de Charlie puis de Mila, imperturbables avec leur bib dans le bec. Puis ce fut le front de la jeune maman sur lesquelles mes lèvres vinrent se poser. « T’as bien dormi toi ? » demandai-je avant de me diriger vers la cuisine pour préparer le petit déjeuner. J’enclenchai la bouilloire, sortis des mugs, fouillai comme elle m’avait dit de le faire pour trouver de quoi me faire couler un café. Et le fait qu’elle réclame une aspirine n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. « On tient pas la marée miss vodka pomme ? » la taquinai-je avec un petit rire, mais en profitant qu’elle soit occupée pour me faire fondre pour moi également une pastille d’antalgique. Ouais ouais, grosse journée en prévision, pas le temps pour la migraine.
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Je secouai la tête de gauche à droite devant tant de bêtise, me choquer ? Vraiment ? C'était dit si purement, si innocemment qu'on aurait presque pu le croise mais l'homme que j'avais en face de moi n'était pas prude et chaste, je n'oubliai pas sa période don juan sur laquelle il m'avait confié quelques trucs après qu'on ne soit plus ensemble. « Me choquer, c'est peu probable, me donner des idées par contre... » Et bien sûr nous faisions ça avec les petites oreilles de Mila et de Charlie qui trainaient puisqu'elles étaient toutes les deux en train d'engloutir leur biberon après leur grande nuit. La distraction passée, Priape vint saluer tout le monde ce qui lui valu les gros yeux de sa fille toujours accrochée à son distributeur de lait et je lui fis un petit commentaire : « Je crois que ça ça veut dire papa tu piques alors fous moi la paix ! » La barbe lui allait plutôt bien même s'il ne la portait pas quand nous étions ensemble, mais elle avait l'inconvénient de faire grimacer les petits et leur peau si fragile et sensible. « Comme le lit était grand et vide après que mon conteur soit parti, j'ai dû me tourner d'un côté et de l'autre au moins dix fois avant de trouver le sommeil, mais après ça a été parfait... Quand on voit l'heure on le comprend ! Mila n'a jamais dormi aussi tard ! » Qu'est ce qu'il allait me sortir ? Que c'était les reflux d'alcool de son papa ou ses ronflements qui l'avaient bercé ? C'était fort probable mais moi je savais bien que c'était la sérénité autour d'elle qui nous avait valu une si grossesse nuit sans réveil en plein milieu, il en allait de même pour Charlie, surtout après que Priape m'ait dit qu'elle se réveillait quand j'avais disparu dix jours sans elles. « Fatigue, émotion, alcool, douche chaude, douche froide, défaite... Je tiens rien du tout oui ! Beaucoup trop d'informations pour ma petite tête qui a cogité toute la nuit par ta faute ! Et puis j'ai un hôte exigeant alors je veux être en pleine forme pour jouer les guides ! » J'avais réfléchi sur ce qu'il s'était passé, sur la présence de Priape ici, sur mon potentiel retour à Cambridge. On dit que la nuit porte conseil mais les doutes sur le fait que la bulle éclate une fois sur le sol américain même si Priape lui me promettait des galipettes et des nuits de folies, ces doutes restaient tout de même présents et j'avais bien du mal à me les sortir de la tête. Au lendemain de ces premiers moments avec lui une fois la surprise de son arrivée passée, je me posais des questions oui mais je n'étais pas encore prête à reprendre l'avion avec lui et prendre le risque de me brûler les ailes, j'avais besoin de plus, plus de mots, de temps ? Je n'en savais rien, les heures jusqu'au vol de demain seraient précieuses.
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Définitivement, il allait me falloir éviter son lit cette nuit, parce qu’avec son sourire, sa phrase chargée de sous entendus, les idées que la situation pourrait lui donner, ma règle d’attendre son come back allait être plus que jamais dure à tenir. Après avoir embrassé les petites, Talya me fit remarquer la grimace de notre fille et remit ça sur le compte de ma pilosité. Je passais un instant ma main sur mes joues, ma petite barbe de trois jours, savamment travaillée, look au début du à une grève de rasoir mais que Brynn m’avait confié aimer et que j’avais du coup aussitôt adopté. Mon regard devint un instant un peu absent en y repensant et je repris finalement : « Je sais pas si je vais avoir le temps là tout de suite, mais au pire ce soir je me raserai. » J’avais retrouvé mon sourire habituel et dissipais rapidement mon trouble. La décision de faire tomber la barbe était à double sens : d’une part pour ne plus piquer Mila puisqu’elle semblait protester, et surtout pour marquer le changement qui s’opérait dans ma vie et dans ma tête. Même si ma flemmardise me pousserait surement de nouveau à ré-adopter la barbe. Talya me fit ensuite part de ses difficicultés à s’endormir. « Bah heureusement que j’étais pas avec toi, parce que t’aurais pas eu de place pour te tourner autant, et puis moi, je me suis endormi quasi directement, je t’aurais ronflé dans les oreilles. » Une façon de lui dire que ce soir non plus, je ne dérogerais pas à ma règle ? Peut être… La blondinette soulignait que le record de grasse mat de Mila venait d’être battu. « Je te préviens, me baratine pas en me disant que ça provient de l’air Ukrainien ou je ne sais quoi… » ronchonnai-je en craignant qu’elle ne serve encore de cet argument pour appuyer son envie de rester ici. « Peut être que son matelas ici est juste mieux hein… » Ou peut être que c’était la première fois depuis sa naissance qu’on était aussi sereins, épanouis et qu’elle le percevait aussi mine de rien… Enfin, le matelas c’était facile, on pouvait le ramener à Cambridge dans nos valises. Et pour notre bonheur, fallait pas qu’on l’oublie ici non plus, il fallait qu’on le ramène avec nous. Je m’activais à préparer le petit déj et l’aspirine en l’écoutant me confier qu’elle avait beaucoup cogité. « Tu as réfléchi et… ? » C’était maintenant qu’elle allait m’annoncer qu’elle rentrait ? La bouilloire avait fini de chauffer, je versais donc l’eau dans une tasse, sur le sachet de thé de la jeune femme. « Ton thé est servi. » Je mis quelques tartines dans le toasteur, avant de touiller un peu les cachets d’aspirine. J’avalai le mien discrétos, et mis mon verre dans l’évier avant de poser le sien à côté de son thé sur la table de la cuisine. « Ton aspirine est prête aussi. » annonçai-je alors avant de m’avancer jusqu’au canap pour récupérer Mila qui venait de finir de boire. Charlie était déjà en train de se tortiller pour descendre du canapé. Je jetai un œil à ma montre : « Et on va pas être trop en retard mademoiselle la guide ? Ca va aller ? » Parce que la grasse mat, c’était beau, mais on avait Kiev à découvrir. Et je ne comptais pas faire l’impasse sur le spa de fin de journée et la soirée qu’elle m’avait concocté ensuite.
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« Je crains pas moi... J'ai moins l'impression d'être la plus vieille de nous deux comme ça ! » Petit clin d'oeil à son égard parce que oui je n'oublie pas que j'ai un peu moins d'un an de plus que lui. J'étais mariée avec un homme de l'âge de mon frère soit plus de six ans de plus que moi et maintenant je suis amoureuse d'un mec plus jeune, les deux opposés. « Mais tu fais comme tu veux ! » Rasé ou non, pour moi il est toujours aussi canon, ça ne change en rien ses yeux malicieux, son sourire charmeur et cette petite fossette qui troue sa joue lorsqu'il sourit. Non vraiment il est parfait alors il pourrait bien avoir une barbe qui descend jusqu'à ses pieds que je n'en aurais pas grand chose à faire. « C'était le but d'être bien calée et de ne pas pouvoir me retourner... » Dans ses bras rassurant, j'aurais rapidement trouvé le sommeil, il n'y avait pas d'hésitation à avoir à ce sujet. « Après la petite histoire, les ronflements auraient été la petite musique pour m'aider à m'endormir... » Comme Priape, j'avais réponse à tout. Quand il trouvait des points négatifs, j'en trouvais des positifs et quand je trouvais les points négatifs, il trouvait les positifs. C'était notre manière nous de se faire passer des messages et de réapprendre à se connaitre, de redémarrer notre relation, c'était plutôt plaisant. « En fait j'allais mettre le sommeil de plomb de Mila sur le fait qu'elle soit apaisée de savoir papa et maman pas loin d'elle s'en se faire la guerre ! » Et même plutôt en bon terme, papa et maman qui se cherchent. Je ne pense pas qu'elle comprenne tout mais je suis persuadée qu'un bébé est une éponge et qu'elle ressent les choses, qu'elle s'imprègne de tout, tout comme Charlie. « J'ai cogité et je trouve ça bien que tu sois là. Je me suis dit aussi que j'aurais vraiment besoin d'un aspirine ce matin et je me suis demandée aussi ce que je devrais te montrer en priorité aujourd'hui. » Mais bien sûr. Voilà voilà. Tout le monde sait qu'après avoir échangé des baisers fiévreux dans une douche avec des habits collant à la peau et le mec qu'on aime nu collé à soit c'est à ce genre de chose qu'on réfléchit quand on dort. Il pouvait le croire s'il le voulait mais en attendant il fallait qu'il m'aide s'il voulait qu'on aille se promener ! « Merci pour mon petit dej ! Mais au fait, t'as gagné hier le droit de te faire inviter au resto, pas le droit d'échapper à la couche ! Tu veux bien préparer Mila ? » Je lui fis les petits yeux de biche et je bus d'une traite mon aspirine alors que Charlie se mettait déjà à tout déballer dans l'appartement. « Eh mon coeur on va aller s'habiller comme une princesse pour aller se promener alors on laisse les jeux dans la caisse ! » Mon thé était vraiment chaud alors je le laissais un peu sur la table le temps d'avaler une tartine et d'en apporter une à Priape, il faut qu'il prenne des forces ce petit. « Départ dans 15 minutes ça va le faire ? »
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Je n’avais pas envie de me lancer dans de plus amples explications sur ma soudaine envie de changement, d’évoquer les petits délires qu’on avait pu avoir avec Brynn, car je savais que ça allait blesser Talya, que ça n’allait faire qu’appuyer un peu plus sur l’attachement que j’avais pu réellement ressentir pour l’ancienne Cabot. « Ca me vieillit t’es sérieuse ? Je vais me raser alors, c’est sûr… » Sauf que là, ça allait être short. On s’activait pourtant, après avoir débattu sur la règle de faire chambre à part. « T’as des coussins pour te caler aussi… Et puis je te ronflerais une berceuse quand on sera rentrés à Cambridge si tu veux…. » Non, je ne démordais pas. Têtu, c’était le mot. Elle avait l’habitude avec moi depuis le temps. En tout cas, il y en avait une qui avait bien dormi c’était Mila. « Tu risques de passer des nuits blanches alors quand je serais parti et qu’elle n’aura plus –papa maman pas loin d’elle-. » m’amusai-je à lui faire peur. Pour le bon sommeil de sa fille, et le sien par la même occasion, elle allait peut être vouloir rentrer. Je ne perdais pas une occasion car les heures étaient comptées. La matinée était déjà bien avancée, je ne perdais pas de vue le lendemain. J’avais demandé à Talya ce que sa réflexion nocturne avait donné, pensant que ça allait être le moment où elle allait me donner sa décision. Sauf qu’elle ne semblait pas avoir tranché encore. Elle m’expliqua qu’elle avait cogité au fait que je sois ici, à l’aspirine qui lui serait nécessaire, au programme de la journée… Mais pas un mot sur son come back. Je bus la moitié de mon café avant de prendre ma fille dans mes bras pour me charger d’elle. Sauf que le temps que Talya me laissait pour le faire, c’était mission impossible. « Ca va le faire si Mila reste en pyjou et que moi je sors en survet… » Donc pas possible quoi. On était pas la famille bidochon non plus. Mais moi les fringues de bébé, il me fallait déjà plus d’un quart d’heure pour les enfiler, surtout que Mila n’était pas des plus dociles… « Je peux pas habiller Charlie plutôt ? Elle est plus aidante… » Mes dix jours avec les petites, je m’étais rendu compte qu’habiller un enfant qui lève la main, tend le bras et tout sur commande, c’était plus simple que d’enfiler une tenue à un bout de choux de 4 mois qui s’agitait. Puis Talya avait plus l’habitude, elle perdrait moins de temps que moi avec Mimi.
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« Rase toi oui quand tu voulais me mettre dans ton lit au début t'étais toujours bien rasé ! » Petite taquinerie oblige. Toutes les femmes remarquent quand les hommes font des efforts pour elle et je n'avais pas manqué à la règle avec le jeune pédiatre. Repenser à cela me fit sourire, un sourire qui avait en fait bien du mal à quitter mes lèvres depuis qu'il avait mis un pied dans l'appartement hier, une fois le choc et la surprise de sa présence passés bien sûr. « J'assume d'être une cougar. » Je suis plus vieille certes mais la différence ne se voit pas, enfin je ne pense pas. « Ca se voit que je suis plus vieille que toi ? » Genre est ce qu'on lui a déjà dit qu'il sortait avec une vieille quand on était ensemble ? Et pourquoi je me posais ce genre de question moi, j'en avais pas grand chose à faire tant que j'avais ma place à ses côtés. Je fis la grimace à Priape quand il nota que j'allais passer des nuits blanches si je restai là alors que lui serait retourné aux Etats Unis. Ah ah ah très drôle. Si j'étais de retour avec les filles dans mon appartement et lui à la confrérie, j'aurais la chance de dormir, mais pas beaucoup plus, pas de grasse matinée, pas tant qu'il ne serait pas avec nous. Je n'oubliai pas ça moi non plus, chacun ses envies sur quoi se concentrer, Priape voulait que je rentre moi je voulais être sûre qu'il ne change pas d'avis sur notre nouvelle chance et notre nouveau départ une fois qu'on serait de retour à Cambridge. C'était un peu le chat qui se mordait la queue, surtout avec nos deux têtes de mules qui ne voulaient pas donner un indice sur l'issue de ce séjour exprès. « Aller donne moi Mila et occupe toi de Charlie ! Top chrono. » Je pris mon petit crapaud dans les bras de son papa, profitant de cette proximité pour déposer un baiser sur sa joue, à mon jour de dire bonjour, et je m'engouffrai dans ma chambre. Op le pyjama de la princesse, on change la couche et on se penche sur l'armoire de mademoiselle. Je n'eus pas franchement le temps de me poser la question longtemps je pris un jean fourré à l'intérieur pour la petite, je lui mis un tee shirt à manches longues et un pull, op le petit monstre était habillé. Une fois dans son parc, je sautais à mon tour dans un jean brut et j'enfilais un tee shirt noir avec un pull en laine noir légèrement brillant et transparent. Je filai à la salle de bain pour me maquiller et brosser mes cheveux. Avec deux petites minutes de retard, le tour était joué. Je rassemblais les affaires pour les filles, de quoi manger, de quoi changer les couches, j’emmitouflais mon petit bouchon dans une combinaison toute douce, et je la saucissonnai dans une couverture avant de la mettre dans son cosy, prête pour partir. J'avais moi même mon blouson mais toujours pas de nouvelles des deux autres. « La Paprape et sa Charlie en sont où ? Parce que nous on est prêtes et Mila n'a pas besoin de faire l'expérience du sauna à son âge ! »
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