Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOn dit que quand on aime on ne compte pas, pourtant je compte chaque seconde depuis que vous êtes parties (Talya) - Page 3
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On dit que quand on aime on ne compte pas, pourtant je compte chaque seconde depuis que vous êtes parties (Talya)

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J’écoutais la voix de la sagesse en réclamant une petite sieste, véritablement fatigué par les heures de vol à essayer de trouver le sommeil sur un siège raide qui s’inclinait à peine, la joie de la classe éco quoi… Cela sembla dissiper quelque peu le malaise, temporairement, puisque la jeune femme m’entraina vers sa chambre non sans m’asséner un petit coup par rapport aux moqueries que je lui avais gentiment destiné. En arrivant devant la porte, elle sembla hésiter avant de m’ouvrir, me demandant de dormir sur le dessus du lit. « Oui ça sera très bien comme ça t’inquiète, c’est juste pour une petite sieste… » Je me demandais quand même pourquoi tant d’histoire, pourquoi redoutait-elle que je couche dans ses draps… Je me rappelais alors qu’elle avait hébergé Matthéo ici ces derniers jours et l’espace d’un instant, l’éventualité que le mather avait pu la rejoindre ici, sous la couette, qu’ils avaient pu remettre le couvert, cela m’effleura l’esprit. Mais je chassais vite cette pensée, pour une fois qu’on arrivait à s’entendre le mather et moi, ce n’était pas pour laisser ma paranoïa tout gâcher. Je retins mes questions donc, opinant quant à l’idée de dormir au dessus des draps, sauf que ce fut Talya qui remit le sujet délicat sur le tapis, affirmant qu’elle était désolée pour mon couple avec Brynn. Mes yeux se relevèrent vers le siens, cherchant à lire au cœur de ses prunelles une lueur de sincérité. Elle avait passé son temps à descendre la princesse, à l'appeler barbie, et d’autres qualificatifs peu glorifiants du genre, alors j’avais peine à croire qu’elle était désolée. « C’est comme ça c’est la vie… » Fatalisme quand tu nous tiens. Peut être qu’un jour, je prendrais conscience que si toutes mes histoires finissaient mal, ce n’était pas la vie qui était à blâmer mais bel et bien moi… Mais je m’en voulais assez de mon comportement avec Brynn sans en plus avoir à exprimer ma culpabilité à haute voix. La vie elle avait le dos large, et c’était bien comme ça. J’observais ensuite les lieux, sa chambre, avec une impression étrange, comme celle qui nous envahissait lorsqu’on visitait un musée pour la première fois. « Ca me fait bizarre d’être ici… » exprimai-je alors avant de tourner le visage vers elle lorsqu’elle s’apprêtait à me laisser. « Tu vas faire quoi toi ? »
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Je fais des pirouettes et des pirouettes pour des draps, on dirait que j'ai quelque chose à cacher mais il n'en ait rien. Je ne pense juste pas que ce soit une bonne idée qu'il dorme dans un lit et des draps où je suis partout, où mon odeur est partout. Je fais ça pour lui malgré tout, malgré le fait qu'il m'ait révélé ce qu'il ressentait et ses sentiments impossibles à faire disparaitre lui aussi. Ensuite je ramenais le sujet de Brynn sur le tapis et je compris bien que ses yeux cherchaient une part de vérité dans les miens. Il ne comprenait surement rien. « Je suis sincère Priape. » Ma main effleura légèrement la sienne avant que je ne me ravise et que je commence à quitter la chambre. Je savais bien trop ce qu'une séparation pouvait faire et même si les sentiments n'étaient pas les mêmes, j'avais compris qu'il y avait quand même de l'attachement et ce n'était pas simple. Et puis dans tous les cas, je savais que ça ne lui faisait pas rien, alors oui j'étais désolée pour lui, désolée que la vie s'acharne même si pour une fois elle allait peut être un petit peu dans mon sens. Alors que j'allais partir, le jeune homme déclara que c'était bizarre pour lui d'être ici et me demanda ce que j'allais faire. « Je peux te payer une chambre d'hôtel si tu es mal à l'aise ! » Je ne voulais pas en rajouter sur tout ce que je lui avais fait vivre ces dernières semaines alors si l'hôtel lui facilitait la tâche, même si je n'en avais pas envie, je pouvais le faire... « Je vais rester au salon en attendant que tous mes américains se réveillent je pense... A moins que la dureté du canapé ne réussisse à me bercer pour que je fasse ma sieste moi aussi comme toutes les chambres sont occupées.  » Et oui je n'avais que des américains sous mon toit, Charlie était née sur le sol américain et comme j'avais projeté d'y faire ma vie, je lui avais laissé cette seule nationalité et Mila aussi... Priape lui devait l'avoir depuis le temps qu'il était à Cambridge même s'il était né en Grèce. J'étais vraiment la seule intrus à être une pure ukrainienne de retour dans sa maison.
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J’avais beaucoup de mal à croire qu’elle puisse être désolée de ma séparation avec Brynn, alors même qu’elle m’avait rapporté certaines de leurs disputes et prises de bec un peu véhémentes. Mais Talya affirma qu’elle était sincère, ses doigts se risquant même un instant à effleurer les miens, renonçant finalement à s’en emparer, préférant s’écarter de moi pour commencer à quitter la pièce. Sauf que je repris la parole en regardant l’endroit, soulignant l’étrangeté que cela me procurait. « Je suis pas sûr que ça soit simple pour moi de louer une chambre d’hôtel… Ou faudrait que tu m’accompagnes, parce que le gars du taxi, j’ai rien compris de ce qu’il m’a raconté. Vous avez un drôle d’accent les Ukrainiens… » Et puis c’était surtout que j’avais qu’une seule journée ici, qu’apparemment Talya ne reviendrait pas sur son choix de rester, de ne pas rentrer, alors je voulais profiter au maximum des filles. Je ferais avec mon sentiment de bizarrerie, tant pis. « Donc, non, pas de soucis je reste là… Faut juste que je m’habitue à ta tapisserie quoi… » Je la taquinai un peu avant de lui demander ce qu’elle allait faire pendant ma sieste, tatant le matelas des doigts pour faire mon fin connaisseur. Je relevai finalement la tête. « Je te laisse le lit si tu veux dormir, le matelas est trop souple j’aime pas. » Faire le difficile je savais faire. Et puis elle était plus pâle que moi malgré mes douze et quelques heures de vol alors… Et honnêtement, dormir là, dans ces lieux tout emprunts d’elle, c’était certain qu’elle allait encore hanter mes rêves. « Je vais aller faire une douche en fait. Je crois que ça me fera du bien… » Ouais voilà, ça semblait une meilleure option que la sieste dans sa chambre d’ado.
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Je lui sortis quelques mots en ukrainien que moi seule je pouvais comprendre dans cette pièce. Même si je parlais à Charlie dans cette langue de temps à autre, alternant avec l'anglais-américain pour qu'elle soit bilingue et que Mila aurait le droit au même traitement, les deux petites étaient bien trop petites justement pour réussir à traduire à Priape ce que je venais de dire. Je lui souris avant de reprendre en une langue qu'il connaissait parfaitement : « Ne t'avise pas d'énerver un ukrainien sur son accent... Elle est très jolie notre langue ! » Sans vilain jeu de mot, sans vouloir l'attirer pour m'embrasser, sans que ce soit une invitation, non il ne fallait pas voir si loin, je parlais juste de la langue parlée. Et puis Priape pouvait bien critiquer notre accent prononcé quand lui ne se servait de l'américain que pour grogner sur le confort des matelas qui rythmaient ma vie. « Zacharias t'es jamais content ! Je l'avais presque oublié en plus d'un mois ! Fais ce que tu veux pour la tapisserie, pour le lit, pour la douche, je vais dans le canapé, tu sais où est la seule minuscule salle de bain de l'appartement. » Et oui, une petite douche, un petit évier avec un miroir au dessus, les wc, voilà ce à quoi se limitait le point d'eau de l'appartement dans lequel on avait vécu à quatre puis à trois. C'était mieux que rien. Je lui laissais donc aller dans la salle de bain lui sortant une serviette du petit meuble en pas très bon état sous l'évier puis j'allais m'avachir dans le canapé prenant un pot de glace au passage, avec un peu de chance le froid colorerait mes lèvres en bleus, ca changerait surement de la blancheur de mon visage. J'allumais la télé pour tomber sur les téléfilms qui passent et repassent en cette période de début d'année, de l'amour, de la neige, des fêtes... Voilà ce qui inspirent les scénaristes. Voilà ce qui me fait passer mes journées quand je ne dors pas en même temps que les filles. Peut être qu'il faudrait que je me mette à chercher un boulot parce que je n'ai aucune envie de finir ma vie ainsi, devant ce genre de film, genre pas tout le temps quoi.
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Moi aussi je pouvais jouer à ça, prononçant à mon tour quelque chose en grec avec un petit air mystérieux, avant de me mettre à rire lorsqu’elle me conseille de ne pas réitérer les critiques envers l’accent de sa langue natale. Je traduis à mon tour mon texte : « Je préfère le grec que veux-tu je suis chauvin. » Et fier de mes origines. « Tu crois que Mila sera trilingue ? » C’était stupide comme question. Ca ne risquait pas d’arriver si je la voyais seulement deux semaines dans l’année, ou pire encore. Je me repris donc bien vite : « Enfin non réponds pas, laisse tomber… J’ai pas réfléchi. » Je serais mieux sous la douche surement, parce que là j’étais crevé et je racontais n’importe quoi. Si bien qu’à force de me moquer de sa tapisserie, de son accent, de son matelas, j’avais fini par la vexer. « Je rigole. Un peu d’humour Blackburn ! » rétorquai-je alors qu’elle même usait de mon nom de famille. Et attrapant le cousin sur son lit, j’entrepris de le lui envoyer mais je manquai ma cible la silhouette de la demoiselle ayant déjà disparu derrière la porte. Je sortis à mon tour, attrapai mon sac de voyage et je la rejoignis dans la petite pièce où elle m’avait sorti du linge de toilette. « Merci… » Je refermai la porte et attendis un instant dans la salle de bain. Mes yeux se posèrent sur mon reflet, songeur. Qu’est-ce que je faisais ici ? Qu’est-ce que j’avais espéré naïvement ? Je ne faisais probablement que m’enfoncer un peu plus dans une spirale sans fin d’addiction à Talya, une spirale qui m’avait déjà privé de Brynn, qui me priverait surement encore de plein d’autres belles rencontres…Tout ça pourquoi ? Un échec. Talya ne semblait pas capable de revenir à Cambridge. Je poussai un soupir en entendant les bruits de la télévision qui me parvenaient du salon et je filai sous la douche en ressassant tout ça. Je tournai le robinet et la pomme laissa échapper un jet d’eau tiède, qui vira au froid sans prévenir. « Bordel ! » jurai-je en tournant le robinet opposé pour régler le thermostat. Sauf que de froid l’eau passa à chaud brulant, et je finis par couper tout, histoire que mes jurons ne finissent pas par réveiller les filles. Je m’enroulai dans la serviette que mon ex m’avait laissé, la nouant autour de ma taille et je filai comme ça, à moitié dégoulinant, pour la rejoindre dans le salon : « Y’a un truc pour faire fonctionner les douches Ukrainiennes ou bien c’est ta vengeance perso parce que je me suis moqué de ton accent ? » demandai-je à la jeune femme que je retrouvais allongée devant des téléfilms.
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Quelques mots de grec sortirent de la bouche de Priape. C'était assez spécial comme langue aussi alors il pouvait bien dire de la mienne hein... Il me traduit rapidement ce qu'il avait dit puis se demanda si Mila serait trilingue avant de se raviser. Je n'avais pas compris pourquoi il s'était rembruni si vite mais en l'imaginant à Cambridge et nous ici j'avais finalement fait le lien et ma tristesse et ma culpabilité avait repris le dessus. J'étais une mauvaise personne de lui faire subir ça, il fallait bien que je me le mette dans la tête. Et plus Mila grandirait, Charlie avec, plus elles auraient besoin de cet homme qui a tant de place dans leur vie malgré la différence de biologie. Priape fila dans la salle de bain et c'était surement mieux comme ça, de ne pas répondre, de ne pas laisser la mélancolie de notre future situation nous reprendre. La porte se ferma, la télé s'alluma et voilà comment on allait passer les prochaines minutes. Sauf que j'entendis rapidement un juron sortir de sa bouche ce qui me fit glousser un peu, pas trop fort pour ne pas qu'il écoute. Mais alors quand il débarqua la serviette enroulée autour de la taille, tout dégoulinant en plein milieu du salon en jurant quant à la douche et à mes intentions de vengeance, je ne pus m'empêcher de rire. Un rire communicatif, un rire franc, le premier depuis un petit moment je dois bien l'avouer. Quand je parvins à me calmer, je mis un petit temps à lui répondre mes yeux détaillant presque machinalement le haut de son corps laissé à la vue de tout le monde et plus particulièrement à la mienne. Je me levais du canapé, remettant la glace au frais au passage et m'adressant à lui lorsque je passais à ses côtés tout en le regardant : « Je vais te montrer. » La salle de bain est exiguë, l'espace douche peu confortable pour deux personnes mais on va tout de même faire avec. Je tourne rapidement les boutons, bidouillant un peu, parce que je sais comment fonctionne cette douche, j'ai grandit ici, ne l'oublions pas. « Regarde. Tu bidouilles un peu le pommeau par là si tu veux de l'eau plus chaude, je ne t'explique pas pour la douche froide, je crois que tu l'as déjà prise non ? » Il est penché sur mon épaule et je tourne ma tête pour le regarder à la fin de ma phrase, sentant son souffle sur ma joue, je me rends compte à ce moment de la proximité créée par cette douche, merveilleuse douche, quelle bonne idée pour se rapprocher, mais quelle mauvaise idée d'être aussi tentée par les lèvres de Priape. S'il n'en allait que de moi j'irais les trouver, j'irai poser les miennes dessus, mais ça serait à la fois trop simple et trop compliqué non ?
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Au moins, cet épisode désastreux de la douche avait un gros point positif : il me permit d’entendre à nouveau le rire de mon ex, comme je ne l’avais pas entendu depuis des mois. « Ce rire est un aveu de tes méfaits je présume… » fis-je en commençant à me marrer également, difficile de rester bougon en l’entendant rigoler ainsi. « Arrête te moque pas. » ronchonnai-je plus par principe qu’autre chose, parce que je finis par exploser de rire moi aussi. Talya finit par retrouver son sérieux, prête à me montrer le maniement de cette douche capricieuse et je la suivis jusque dans la salle de bain, dans cette petite cabine de douche où il était bien difficile de tenir à deux. Je la regardais activer un truc au niveau du pommeau, censé contrôler l’arrivée d’eau chaude, alors qu’elle ajoutait avec un petit ton narquois que pour l’eau froide, j’avais apparemment déjà expérimenté la chose. « Tu as fini de te moqu… » Je me stoppai dans mes protestations alors qu’elle tournait son visage vers moi, réalisant soudainement notre proximité physique, d’autant plus gênante que je n’avais pratiquement rien sur moi. Mon regard voyagea de ses yeux à sa bouche, ses lèvres, que seuls quelques centimètres séparaient encore des miennes. Et l’espace d’un instant, je me demandais quel goût elles avaient, comme si les nombreux baisers que nous avions échangé par le passé s’étaient soudain effacés de ma mémoire. D’ailleurs, c’était quand la dernière fois ? Le dernier dérapage de nos bouches l’une sur l’autre ? Cet été surement… Trop longtemps… Mais il ne fallait pas succomber, non. Je me redressai et me rapprochai quand même encore plus d’elle, collant mon corps au sien, la plaquant contre la faïence de la douche, alors que ma main droite saisit le pommeau de la douche pour s’en emparer, ma main gauche activa le robinet, et je dirigeai le jet d’eau en direction de mon ex pour l’asperger… Faire le con et l’arroser d’une douche froide, surement le meilleur moyen de dissiper mon trouble et de chasser ce que j’avais véritablement envie de faire, là tout de suite, maintenant.
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« C'est l'aveu que je remercie ma douche de t'en faire voir de toutes les couleurs... » Je lui tire la langue pour le taquiner un peu plus entre deux éclats de rire. Vraiment je n'arrive pas à me retenir, c'est vraiment trop drôle et le voir dégoulinant quand ça c'est aussi drôle que tentant. Cet homme est vraiment canon. Je laisse mes yeux se promener sur son corps avant de tourner le regard, surement grâce à la glace qui m'a refroidie hein, puis je vais vers la fameuse douche. Ce n'est pas mieux pour contrôler cet attirance, cet amour, tout ça, tout ce qui pourrait ressortir librement ici mais il n'en ait rien, le jour où l'amour sera simple avec Priape c'est qu'il n'y aura surement plus que nous deux sur la planète terre. La douche, je montre les choses à Priape et ça devient tout de suite gênant quand je me retourne et que je le vois si proche. Quand je le sens se coller à moi et sa main venir se poser sur la mienne sur le pommeau de la douche, je me dis que c'est plus que dangereux, vraiment plus que dangereux... Mais heureusement il réussit à trouver une parade pour détendre l'atmosphère et cette position gênante, il dirigea le jet vers moi et m'aspergea d'eau froide. J'éclate de rire et je proteste : « Maiiiis ! Je me moquais pas ! » Mais il continue et je vais être trempée, moi trempée contre lui à moitié nue, c'est encore une plus mauvaise idée que la première. « Priape je vais être trempée ! » Puis je me retourne vers lui en tentant d'être la plus sérieuse possible mais mes yeux bouffis sont quand même rieurs : « Imagine si les filles se réveillent ! Aucun de nous deux ne peut aller les cherch... » Les chercher oui... Sauf que ses yeux captant les miens, je suis incapable de terminer ma phrase, je suis aussi incapable de faire un pas en arrière et incapable de dire que je ferais mieux d'aller dans ma chambre pour me sécher et le laisser prendre sa douche. Je me sens tellement naïve présentement, fragile aussi, faible... L'effet Priape quoi. L'effet de son amour, de le voir ici, de le retrouver ici, de devoir passer du temps là avec lui, rien que tous les deux, enfin non plutôt rien que tous les quatre... C'est étrange...
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Je ne savais pas ce qu’elle avait bidouillé avec la douche, elle était surement coupable pour se marrer autant, mais je n’arrivais pas à rester fâché, juste parce que c’était trop bon de l’entendre rire comme ça. Une petite leçon de plomberie plus tard, collé contre elle dans la cabine de douche, et je me sentis soudain faiblir. Faiblir dans le sens où l’envie de fondre sur ses lèvres me tiraillait le ventre… Mais il ne fallait pas. Ce n’était pas prudent. Une bataille d’eau improvisée c’était surement le mieux. C’est avec un amusement certain que je l’aspergeai, mon trouble se dissipant plutôt bien pour le coup. La demoiselle explosa alors de rire, en essayant d’échapper au jet de la douche, protestant qu’elle allait être trempée. « C’est trop tard, tu l’es déjà… » me marrai-je en observant le T shirt imbibé d’eau de la jeune femme qui lui collait à la peau, moulant son corps à des endroits stratégiques que mes yeux feraient surement mieux de ne pas regarder. Ouais, voilà, le trouble refaisait déjà surface. C’est surement sur moi que je devrais le diriger le jet d’eau froide, mais c’était déjà trop tard car, alors qu’elle essayait de marchander pour que je coupe l’eau, son regard capta le mien qui la dévorait des yeux. « Tu devrais pas rester là Talya… » Sauf que c’est moi qui la retenais avec mes bêtises. Ma main relâcha le pommeau de douche pour venir s’ancrer sur ses hanches, parfaite contradiction entre mes gestes et mes paroles donc. Le jet continuait de nous arroser tous les deux. « T’as raison si les filles se réveillent… » Elle avait raison et pourtant, mes mains la retenaient toujours, mon corps se pressait encore contre le sien, lui barrant le passage pour la sortie…
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Je regarde mon tee shirt de la même manière qu'il le fait et je me remercie de ne pas avoir mis un tee shirt blanc ce matin. Il est imbibé d'eau, à cause de Priape. On est tous les deux tous mouillés, lui avec la serviette autour de la taille que le poids ne va pas tarder de faire tomber, mon avec mes vêtements collés à ma peau sculptant parfaitement mon corps et la silhouette que j'ai retrouvé après la naissance de Mila. Le jeune homme m'indiqua que je ne devrais pas rester là mais déposa ses mains sur mes hanches, ce contact que je ne sentais que trop bien comme j'étais toute mouillée... Comment partir alors qu'il est en face de moi et que ses mains encadrent ma taille pour m'empêcher de partir ? « On vient juste de coucher les filles... » Pourquoi est ce que je dis ça ? C'est une connerie sérieusement de dire cela plutôt que de lui demander de décoller ses mains de mes hanches et de partir. « Je pense que la serviette ne va pas tarder de tomber à tes chevilles à cause du poids de l'eau si tu ne fais pas quelque chose. » Mon regard toujours fixé dans le sien, je me mordille la lèvre en baissant les yeux, pas sur la fameuse serviette qui cache des parties que j'ai vu à de nombreuses reprises, non mais plus sur le sol, le seul petit bout de sol de la salle de bain que je trouve à la portée de mes yeux. C'est mieux pour ne pas être gênée de venir de faire cette remarque... Et pourtant est ce que je n'espère pas au fond de moi qu'elle tombe cette serviette ? Cette montagne de contradictions en moi me déboussolent complètement, je suis sur un bateau qui prend l'eau, un bateau en pleine tempête et je pense que Priape est dans le même cas, on est sur le même bateau mais on n'arrive pas à s'attraper parce qu'à chaque fois qu'on s'approche l'un de l'autre le bateau tangue d'un côté ou de l'autre, nous séparant à nouveau. Pour le moment c'est ainsi, et je ne sais pas ce qu'il va en advenir, j'ai quand même cette barrière inattendue alors qu'il m'offre presque sur un plateau d'argent tout ce que j'ai toujours attendu depuis des semaines. Après, je suis beaucoup moins résistante que lui alors je me désespère d'avance de savoir que je ne saurais pas être très dure dans ma décision et la tenir s'il s'approche encore, est ce que j'aurais vraiment envie de le repousser en même temps ? Est ce qu'il n'est pas déjà légèrement trop tard puisque nous sommes déjà presque collés l'un à l'autre ?
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