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Nate ► You cannot escape

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Je baisse le regard, quand il me répond quand il me dit ses mots là... Impossible à détruire... Ou à oublier... Je connaissais cela... A cause de lui... Il était comme gravé dans mon corps, dans mon esprit... Je ne pouvais pas l'oublier, quoi que je fasse, peut importe avec qui j'étais pour tenter de le faire... J'enchainais les conquêtes, les coups d'un soir, les plan cul... Mais ce n'était jamais lui... Non, ce n'était jamais pareil... Il n'y avait pas ces sensations que je ressens quand je suis proche de lui, ces battements de mon coeur, ces peurs que lui seule me procure, cette folie qui n'est en moi quand il se détourne de moi, quand il me tourne le dos comme il le faisait de plus en plus... Je n'avais jamais su tourner la page, jamais pu l'oublier... Mon corps comme mon coeur ne voulait que lui, les autres n'étaient qu'un moyen de combler son absence et encore, ça ne suffisait pas... J'ai besoin de lui pour être bien... Après tout, ne suis-je pas bien maintenant dans ses bras ? Si... Mais je ne peux pas le reconnaître, car il y a toujours cette crainte, celle qui a prit place à la mort de mon frère, cette réalité qui fait de moi une meurtrière, une fille dangereuse pour les gens qu'elle aime... J'ai peur de le tuer et pourtant, n'est-ce pas ce que je fais ? Mais si je reste près de lui, ça sera pire encore... Non... je ne l'aurais pas repoussé, il serait sûrement déjà mort à l'heure actuelle...

Je me pense maudite d'une certaine façon, comme avant on craignait les sorcières, on devrait me craindre moi et le sang que j'ai sur les mains, celui d'Elia et celui de l'homme que j'aime le plus, Nate...

Je fixe son torse, sans dire un mot... Que dire encore une fois ? Que je suis nocive ? On le sait tout les deux, sont bras est là pour en témoigner, pour me montrer le monstre que je suis... Je me mordille la lèvre nerveusement avant de m'approcher encore un peu plus de lui, m'accrochant à nouveau à sa blouse, délaissant sa joue et stoppant mes caresses pour me blottir contre lui, pour profiter simplement de sa présence, de sa chaleur, de son odeur. J'ai besoin de lui... Il faudrait peut-être que je me décide à l'admettre...
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Rien, pas un mot suite à la déclaration de Nate. Robin se contenta de continuer ses caresses lentement. Lui les savourait silencieusement. Il était toujours surbson nuage, si doux, si chaud... Si agréable et imprégné de son odeur. Tellement de bonheur dans une si petite bulle qui était la leur. Plus de souffrance à cet instant, mais rien que de la douceur et une torpeur qui vint lui donner de petits frissons de bien-être. Il ne se sentait plus monstre mais humain, il ne se sentait plus fou et névrosé mais simplement entier.

Elle brisa ses caresse, le faisant lentement revenir à la réalité. Ses billes bleues se rouvrirent. Il avait envie de lui dire je t'aime alors qu'elle cherchait encore une fois sa chaleur, mais... Il avait peur du mur de silence qu'il risquait de trouver. De la fuite qu'il pourrait provoquer de cette façon. Son amour l'effrayait-elle ? C'était possible. Très probable sûrement. Cela venait d'ailleurs entacher un peu l'espoir du blond dans ce moment de tendresse inespéré. Ses bras vinrent se serrée autour d'elle et ses mains agripper ses vêtements.

"Quand tu es là... Je ne suis plus un monstre."

Un moyen de lui dire je t'aime, de lui dire qu'il avait besoin d'elle et que sa présence le sauvait. Qu'il était désespéré quand elle était loin de ses bras. L'expression "loin des yeux, loin du cœur" n'avait jamais été aussi fausse pour Nate. Même si elle était à des kilomètres de lui il continuait de l'aimer comme un fou. Et il en devenait fou.
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Je ferme les yeux en entendant ses mots... Un monstre... Il n'en est pas un... Ou alors uniquement par ma faute, mais dans tout les cas... Entre nous deux, le véritable monstre c'est moi... Moi et uniquement moi et il est censé le savoir... Peut-être qu'il dit cela pour se moquer de moi ? Car non, je ne comprends pas le sens caché de sa phrase, je n'y perçois pas sa déclaration d'amour à mon égard... Parce que je suis têtue, bornée, etc... Il ne peut plus m'aimer, c'est ma seule vérité. Pourtant, je finis par répondre, une chose à laquelle il doit s'attendre, par habitude, parce que je le pense bien trop souvent et j'ai sûrement déjà du lui dire de façon détournée. "C'est moi le monstre." Soufflais-je avant d'affirmer ma prise sur sa blouse. C'est moi qui le monstre qui a fait coulé ton sang, qui a tué son propre frère, celle qui détruit toutes les personnes qui l'approche, qui apporte plus de souffrance et de douleur qu'autre chose... Je suis nocive pour tout le monde, même maintenant pour les personnes dont je suis proche... Par exemple Andrew, à cause de moi, il risque d'avoir des problèmes avec sa frangine, parce qu'elle ne m'aime pas, parce qu'elle a bien comprit ce que j'étais... Mary... elle a raison sur moi et si tout le monde pouvait me voir comme elle, alors tout serait bien... Sauf que non, non, les gens s'entêtent à penser que je suis ou que je pourrais être une fille bien... Comme avant... Vous voyez, la petite fille sage et trop obéissante qui pousse les gens à la mort. "Je suis désolée." Murmurais-je alors à nouveau. Je suis désolée d'etre ce que je suis, d'être si mauvaise pour toi comme pour les autres. Je suis désolée de te faire du mal alors que je t'aime... Je suis désolée de t'aimer encore.
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Le monstre ? Le monstre au final... Ce n'était peut-être ni lui ni elle mais l'immense réservoir à émotion qu'ils avaient compris ensemble. D'abord lumineux et chaleureux... Et maintenant... Terne, froid, brisé. Mais sans fuite. Aujourd'hui il reprenait un peu de couleur alors qu'ils étaient dans les bras l'un de l'autre. Les choses n'étaient plus en noir et blanc dans la tête de Nate. Tout reprenait tout doucement une couleur. Le monstre nommé Solitude disparaissait lentement... Comme le monstre sous le lit d'un gamin qui finit par ne plus y croire et qui est aspiré par les abîmes qui l'ont généré.

Alors... Un petit rire s'échappa de la bouche de Nate, un rire un peu enfantin, amusé. Il serra un peu plus Robin contre lui, un peu comme s'ils n'avaient jamais été séparés, comme si à cet instant il ne pouvait plus y avoir aucune souffrance. Non, il se sentait bien. Elle lui faisait l'effet apaisant d'un anxiolytique... Ce doux vertige et cette agréable quiétude dans son esprit. Si agréable... Si... Agréable...

"Alors on est un couple de monstres ? J'aime bien. C'est original."

Nate ne fit pas attention aux excuses de Robin. Sa névrose qui jusqu'ici le tirait vers le bas était en train de lui embrumée l'esprit en le persuadant de l'existence d'un couple entre eux. Sa folie lui insufflait exactement ce qu'il avait envie de vivre et de voir. Il se faisait des illusions. Mais son euphorique encéphale n'était plus assez claire et en bon état pour faire preuve de suffisamment de discernement. Il souriait juste bêtement en la gardant dans ses bras, bien contre lui, respirant son odeur, savourant tout ce qui lui avait tant manqué, reconstruisant ce qui était brisé sans qu'il ne s'en rende compte.
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"Non..." Soufflais-je doucement... Non... On n'est pas un couple de monstre... Lui... Il n'en est pas un... Il se trompe... Vraiment. Il n'est pas et ne sera jamais un monstre... Ce qu'il voit ou plutôt ce qu'il croit voir est son reflet abîmé, endommagé par moi. "Tu n'es pas un monstre..." Fini-je par rajouter sans en aucun cas nier la notion de couple qu'il avait employé. Je ne voulais pas le repousser, pas maintenant, pas ce soir... J'avais besoin de lui, de sa présence plus que jamais... Je ne pouvais plus réellement fuir, même si là, la médication m'assommait un peu, endormait mes sens et ma conscience... Je savais pourtant qu'il était là près de moi pour une fois... Pour une fois, je n'avais pas besoin de chercher du réconfort dans les bras de quelqu'un d'autre parce que les siens étaient autour de moi, il me retient, m'enlace et je suis bien... Même si je ne peux pas le reconnaitre à voix haute, comme toujours. Je ne peux rien dire, je ne peux pas lui dire encore une fois qu'il est spéciale, la dernière fois que je lui ai dit, même si mes mots n'étaient pas des plus clairs, il avait fini à l'hôpital... Alors non... Je ne pouvais plus dire que je tenais à lui, il refusait cette idée et moi aussi au final...

Je laisse mon nez frotter contre son t-shirt pour sentir son odeur pour essayer de m'en souvenir, parce qu'avec le temps, elle s'évanouissait de ma mémoire et était altéré par celles des autres hommes avec qui j'avais couché pour l'oublier... Le sentir à nouveau, si près, si fort... Je laisse entendre un petit gémissement parce que je suis bien dans ses bras... C'est le meilleur endroit où je puisse être, ou je puisse m'endormir... Alors oui, je ferme les yeux, toujours agrippée et blottie contre lui, je me laisse aller dans les bras de morphée à cause des médicaments, de cette sensation de quiétude aussi qu'il me procure... Mes doigts relâchent leurs pressions sur son t-shirt tendit que je sombre dans le sommeil.
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Nate ignora la négation de Robin. Lui il savait qu'il était un monstre, qu'il en devenait un. Il le savait pertinemment. La jeune femme n'avait aucune idée de la névrose dans laquelle il était en train de partir, du point auquel il était rendu sans qu'il ne puisse plus rien contrôler. Son cerveau et sa conscience n'en faisaient qu'à sa tête. Il se faisait peur à lui même et le pire... C'est qu'il en souffrait en pleine conscience. Il savait ce qui était en train de lui arriver mais... Ne pouvait rien faire contre.

Il n'y avait qu'à cet instant où il ne se rendait pas compte de la douce illusion que lui offrait son cerveau. Il en était rendu au point d'imaginer des souvenirs de leur relation les derniers mois... Alors que c'était inexistant. Son esprit construisait quelque chose qu'il n'avait pas vécu et le persuadait que c'était vrai. Ce devait être la névrose, la fatigue et son état de demi-sommeil, mais... Au moins c'était plus agréable que lorsqu'il faisait ses crises quand il était au plus bas.

Et il entendit Robin partir dans le sommeil contre lui. Il sourit tendrement, la serrant contre lui avant de souffler et de fermer les yeux. Il était temps pour lui aussi de se laisser aller au sommeil dans les bras de celle qu'il aimait plus que tout. Celle... Qu'il aurait voulu ne pas avoir quitté au point de s'en inventer une vie à cet instant. Il souriait légèrement, heureux, le cœur battant... Avant de finalement basculer dans le sommeil contre elle, bercé par le rythme de ses respirations qui avait toujours eu la vocation de lui tuer ses angoisses.
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Je m'étais endormie tellement facilement dans ses bras, position pas forcément des plus confortables, mais quand bien même mieux que de rester celle. Il était là, alors ma nuit fut... Bien reposante ? Ou bien est-ce simplement du à mes médicaments ? peut-être. Je ne sais pas...

...

Mes yeux s'ouvrent alors que je m'agrippe un peu plus à la blouse dans mes bras. Andrew a dormit ici ? C'est la première pensée qui me vient en tête, ayant un peu oublié l'échange avec Nate avant de revenir ici et de m'endormir dans ses bras. Je me blottie alors contre celui que je pense être mon pseudo-frère de coeur. Sauf que je réalise vite que la carrure n'est pas la même... L'odeur n'ont plus... Tout mets familier... Un peu trop même... Je me recule un peu pour regarder le visage de l'endormi à côté de moi, doutant. J'ai peur... Peur d'avoir raison et de voir qu'il s'agit bien de lui... J'inspire profondément avant de finalement laisser mon regard se poser sur son visage. Nate... Pourquoi ? Je le regarde, ne comprenant pas avant de commencer à me souvenir. J'aurais aimé oublier ça, oublié que c'est lui qui m'a ramené, que je me suis blottie dans ses bras... Je le fixe... Perdue... Je ne sais pas du tout ce que je dois faire maintenant... Le réveiller ? Le chasser ? Je ne sais pas... Je le fixe un instant avant de finalement reprendre ma position initiale, refermant les yeux... Faire semblant de dormir... Comme ça il partira peut-être de lui-même... Je ne veux pas encore le chasser... Pourtant il le faudra, je le sais. Pour son bien. Il a déjà assez souffert à cause de moi... Cependant, je veux profiter encore un peu... Le toucher, le sentir... Alors, je me colle à nouveau contre lui, laissant entendre un petit gémissement. Faire semblant de dormir. Rassembler le reste de courage qu'il me reste pour le chasser s'il ne part pas de lui-même. L'oublier. C'est ça le plan.
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Une nuit de sommeil enfin réparatrice. C'était si bon. Pour une fois depuis des lustres il n'avait pas fait d'insomnie, pas de cauchemars, juste... Une nuit de sommeil profond bercé par l'odeur et le contact de celle qui l'aimait. C'était bon... Si reposant... Nate respirait d'ailleurs profondément, lentement et profondément. Tellement... Que lorsque la nuit fut finie, il ne remarqua pas que Robin avait ouvert les yeux.m et le dévisageait.

Oh Nate... Toi qui est persuadé d'être en couple avec Robin, toi qui t'es inventé des souvenirs... Si tu savais ce qui t'attends à nouveau. Si tu savais... Que la première personne à laquelle elle a pensé est Andrew... Si tu savais à quel point elle n'en a plus rien à faire de toi alors que toi... Tu penses à elle presque à chaque seconde qui s'écoule... Peut-être alors ta stupidité ne serait plus, peut-être alors tu arrêterais d'être cet imbécile.

Il n'entendait pas ce que lui criait sa conscience. Il dormait tellement bien. Trop bien... Le côté négatif de son esprit était tué et rendu sourd par le positif qui lui envoyait tant de bonheur. Un gémissement, du mouvement à côté de lui, et Nate ouvrit les yeux. Il ne comprit pas tout de suite qu'il était dans une chambre d'hôpital, et prit une profonde inspiration au fur et à mesure que ses billes bleues balayaient la pièce.

Robin... Il sourit un peu en la sentant contre lui et l'entoura plus de ses bras pour pouvoir se blottir contre elle autant qu'elle contre lui. Il pensait qu'elle était réveillée comme elle avait bougé et que son souffle était peu audible. Alors, il glissa ses doigts le long de son dos comme il avait l'habitude de le faire à l'époque et de sa voix endormie, il se mit à parler.

"Bonjour, toi..."
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Blottie contre lui, je ne voulais pas bouger, je ne voulais pas qu'il se réveille car alors, je devrais faire cette chose horrible qui me déprime déjà... Je devrais lui dire de partir, encore une fois... Le chasser parce que je suis mauvaise, je lui suis néfaste et peut importe ce qu'il s'est passé dans cette chambre cette nuit... Il ne peut pas rester, parce que je lui ferais encore plus de mal s'il continue à venir me voir... J'en ai rien à faire de me détruire, de me blesser encore plus, du moment que pour lui tout va bien... C'est le plus important... Alors oui, oui, je profite de ces dernières secondes collées contre lui, laissant entendre un petit gémissement de plaisir avant de l'entendre, sa voix... Comme je ne l'avais plus entendue depuis des mois... Je me crispe, mes doigts se refermant sur son t-shirt encore... Je ferme les yeux, ma mâchoire crispée... Je ne veux pas... Je ne veux pas le chasser, lui dire de partir encore une fois de ma chambre, de ma vie... Je veux qu'il y reste... mais je ne peux pas ! Je ne peux pas car il risquerait de finir comme Elia... Je me mord alors la lèvre pour me donner du courage, d'arborer ce pseudo masque d'indifférence qui se fissurera si facilement... Je finis par me reculer un peu pour le regarder. Je ne le salue pas... Alors que j'en ai envie, j'ai envie de reprendre notre vie de couple là où on la laissé, mais non. Les mots qui franchissent mes lèvres sont bien loin de ça, je dois garder mes désirs enfouis, tout comme mes sentiments à son égard. Il ne m'aime plus. C'est la seule vérité qui doit être, même si elle me brise le coeur. "Qu'est-ce que tu fais là?"
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Nate continuait ses caresses avec un petit sourire. Il était content qu'elle tire sur son t shirt de cette façon, il aimait avoir la sensation qu'elle le retienne comme ça. Aaah... C'était sk bon de se réveiller à côté de la personne qu'on aime... Si bon... Sauf qu'elle recula. Mais le sourire de Nate ne disparut pas. Il resta bien ancré sur son visage et il continua encore de caresser son dos. Il ne se rendait même pas compte qu'elle ne souriait pas.

Mais sa question, dite sur un ton un peu... Euh... Froid et distant, lui fit hausser les sourcils et stopper ses caresses. Pourquoi est-ce qu'elle demandait ça ? Elle ne se souvenait plus ? C'était bizarre comme question... Vraiment. Ils étaient ensemble non ? C'était normal qu'il soit là, qu'il dorme avec elle, qu'il de réveille à ses côtés en conséquence. Normal... Alors pourquoi ? Le cerveau névrosé de Nate peinait à déceler le vrai du faux dans toutes les images qu'il avait en tête. Il ne se rendait pas du tout compte de la situation.

"Ben je... J'ai dormi avec toi après t'avoir raccompagnée ici parce que tu te sentais mal. Alors je suis resté avec toi. C'est normal non ?"

Dans sa tête, ils avaient passé la soirée de l'Ivy League dans les bras l'un de l'autre avant qu'elle ne fasse un malaise et qu'il l'amène ici. Il ne se souvenait pas que son bras avait été blessé ou encore qu'il l'avait giflée. Non rien de tout ça. Pas de Andrew non plus. Juste eux deux qui étaient un parfait petit couple. Alors il se remit à lui sourire en cherchant à se blottir contre elle.
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