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Happy Birthday (Talya)

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Non elle ne voulait pas la sage femme elle voulait que je ramène Charlie à sa mère et que j’aille la rejoindre. « Pourquoi tu veux que j’aille rejoindre ta mère ? » demandai-je spontanément un peu bêtement, ne comprenant d’abord pas que le –la- ne se référait pas à sa mère mais à quelqu’un d’autre. « Talya, ça va ? T’as des contractions à nouveau ? » J’appuyais sur la poignée, tentant d’ouvrir mais la jeune femme avait verrouillé la porte. « Talya, ouvre moi maintenant ! » Je commençais à me faire des films, à l’imaginer pliée en deux dans la pièce, en train d’accoucher toute seule dans les sanitaires. « Je te préviens je vais forcer la porte. » Dans les films ils faisaient toujours ça, ça avait l’air simple. Un coup d’épaule et hop. « Aoutch ! » J’avais frappé une fois et à part un gros bruit sourd et une violente douleur qui diffusa dans tout mon bras, rien ne se produisit. Charlie sursauta mais se rendormit aussitôt. Les siestes post prandiales c’était magique. Mon regard se reporta sur cette fichue porte, ça avait l’air plus facile au cinéma. « Je te préviens je recommence, même si faut que je finisse aux urgences pour fracture de la clavicule. Un, deux... »
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« Tu ramènes Charlie à ma mère et tu lui fous la paix, tu nous fais la paix, à Charlie, à moi, à ma mère, tu prends le large... Tu viens quand tu veux voir le bébé mais j'ai pas envie de passer le restant de ma journée d'anniversaire avec toi. » C'était pourtant bien parti mais un truc avait tout gâché. Qu'est ce qu'il faisait avec la photo de cette fille dans son téléphone sérieusement. Il en avait besoin ? Il se passait quoi dans sa tête ? Il l'avait fait exprès ? Toutes les questions se mélangeaient et je tentais de rester le plus calme possible alors que je sentais mon ventre se durcir. Non, non, non pas de bêtises, pas de contractions. Stop. Priape tente de forcer la porte et ça m'énerve. « Casse toi l'épaule sur ma porte ouai vas y, t'aurais surement aussi mal que j'ai mal ! Sors de ma chambre et je n'aurais plus de contractions ! » Une fois hors de ma vue et ma perfusion remise en place je saurais me calmer non ? Je sens qu'il va taper dans la porte tant que je n'aurais pas ouvert du coup quand je l'entends compter je me lève doucement et avant qu'il n'atteigne le trois je l'ouvre de quelques centimètres pour qu'il voit le moins possible mon visage et mes joues humides. « Va LA rejoindre, ton ABY !... » Et je reclaque la porte derrière moi en la vérouillant à nouveau, merci l'effet de surprise qui ne l'a pas fait bouger. « C'est Elia qui doit être réjouie tiens ! » Et je ne sais même pas que c'est son idée... Quelle idiote je suis vraiment de voir le bien, le bon dans chaque personne...
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Qu’est-ce qui s’était passé ? Comment on était passé de installés sur le lit à discuter de notre avenir et de celui de notre enfant à ces cris ? Talya voulait clairement que je dégage, elle me disait de lui foutre la paix, elle ne voulait pas de moi pour son anniv. Mon regard se reporta vers Charlie qui dormait toujours malgré nos explications houleuses. J’avais essayé de forcer la porte, ce qui allait surement me valoir un bel hématome sur le bras mais finalement, ça avait fini par marcher. Bon je ne l’avais pas défoncée virilement comme je l’aurais souhaité, mais Talya céda et entrouvrit pour me répondre, ou plutôt me répéter de la rejoindre précisant cette fois –MA- Aby… Et la porte se referma aussi sec. Et mon cerveau connecta enfin : la photo. Voilà clairement ce qui ne passait pas. « Talya… Arrête, t’es ridicule là…» fis-je en soupirant alors qu’elle s’était de nouveau enfermée dans la pièce. « On a fait un pacte la dernière fois il me semble… On a pris le temps de tout mettre à plat pour éviter ce genre de crise à nouveau. Et là tu recommences. » Je toquai à nouveau, parlant d’une voix calme : « Allez ouvre. Retourne te coucher, te reposer… Je partirais après que tu te sois réinstallée dans ton lit et que je sois sûr que tout aille bien… »
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J'ouvre la porte et je précise le fond de ma pensée, je précise ce qu'il se passe dans ma tête et surtout dans mon coeur. Nous ne sommes plus ensemble et pourtant l'imaginer avec une autre femme c'est juste intenable, il a dû ressentir ça en dix fois pire en apprenant de la bouche de Matthéo qu'on avait couché ensemble. Je m'en veux, mais je lui en veux de se venger de cette manière, et encore plus de me juger sur ma réaction, de me prendre pour une enfant, pour une idiote. Ma réaction est idiote oui, mais toutes les réactions de jalousie ne le sont elles pas ? « Je ne sortirais pas Priape... Pas comme ça... » Est ce que j'étais assez bête pour croire qu'il me laisserait en pleine crise de panique, les yeux rougis et les joues noyées de larmes avec des douleurs dans le ventre ? Non certainement pas, il appellerait surement ma mère pour qu'elle prenne Charlie et ne s'en irait que lorsque ça irait mieux. Mais ça n'irait pas mieux. J'avais cette image d'elle dans son lit, dans ses bras, à moitié à poil, c'était trop tard maintenant. « On s'est promis d'être honnête et de se dire les choses, tu m'as dit que t'avais dormi avec elle, pas qu'elle était à moitié à poil et que le seul truc qui portait était ta chemise... Pas que tu prenais plaisir à la prendre en photo et la garder dans ton téléphone comme ça. Laisse moi Priape, laisse moi, je te jure que je ne te demanderais plus jamais de dormir avec moi, plus jamais d'attention, plus jamais de t'approcher de moi... » Vraiment c'est plus fort que moi. Comment a t'il pu faire ça aussi rapidement après qu'on ait couché ensemble lui et moi... D'ailleurs mon cerveau pose cette question à voix haute comme si c'était normal, comme si personne ne pouvait l'entendre. « Comment t'as pu faire ça aussi vite après avoir passé la nuit avec moi ? Ca comptait vraiment si peu pour toi ? »
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« Tu veux vraiment qu’on fasse ça ? Qu’on parle de ça à travers une porte ? Ouvre moi, je vais t’expliquer… » Ca m’agaçait de voir à quel point la situation avait encore dégénéré, et comment encore une fois, c’était le bébé qui pâtissait de tout ça puisque normalement Talya était censée être au chaud dans son lit. Forcément, la photo portait à confusion, une fille qui ne porte qu’une chemise de mec sur elle, allongé sur son lit, on pouvait très vite sauter aux conclusions hâtives. « J’ai pas couché avec Aby Talya. Je t’ai pas menti, on a fait que dormir. Enfin, on a essayé de regarder un film, mais ça buguait alors finalement on a décidé de dormir. Mais sors, je vais t’expliquer… » La porte ne bougeait pas et Talya continuait de se poser des questions, à savoir : comment j’avais pu faire ça aussi vite après notre nuit ensemble. « Faire quoi ? Il s’est rien passé je te dis. » Et quand elle ajouta que notre nuit n’avait pas du compter pour moi, je secouais la tête, même si elle pouvait pas le voir. « C’est tout le contraire. J’avais besoin d’être avec mes amis pour oublier, parce que ça a compté justement, parce que ça m’obsédait. J’ai pas arrêté de penser à toi, je t’ai écris des dizaines de messages que j’ai jamais réussi à t’envoyer, ce soir là j’ai même saoulé Aby avec toi c’est pour dire… Bordel, sors Talya. Pense au bébé… »
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Je l'écoute me dire tout ça mais c'est comme si je ne pouvais pas l'entendre, les larmes coulent le long de mes joues et je me laisse tomber le long de la porte de la salle de bain pour m'asseoir par terre me calmer, reposer mon ventre beaucoup trop tendu qui ne supporter pas la position debout. Cependant je ne peux pas m'empêcher de lancer à Priape : « Je fais que ça de penser au bébé, de penser au bébé et à toi, de tout ce que je dois faire pour au moins être une bonne mère à tes yeux ! QUE CA ! Si ce bébé n'avait pas été là je me serais barrée, barrée pour ne pas te voir refaire ta vie et souffrir comme une conne à voir tout ça ! » Tout ce que j'ai gâché, tout cet amour si bien partit, tout ce bonheur concentré qui ne demandait qu'à être cueillit... Tout ça quoi. Je remonte légèrement mes jambes pour soulager mon dos qui est contre la porte et je respire. J'inspire longuement, j'expire tout aussi longuement et je recommence. Je ferme les yeux, mes mains essayent d'essuyer tout ce qu'elles peuvent avant que je ne me noie dedans. Je l'écoute me parler, je l'écoute me dire que ça à compter, trop justement, qu'il en a parlé avec Aby, qu'il a essayé de m'écrire mais n'a pas réussi à envoyer les messages... Alors ma voix est plus douce mais toujours tremblotante et je finis par lui demander : « Des messages ? Pour me dire quoi ? Je t'aime mais je vais passer du temps avec d'autres parce que c'est pas possible ? » Je sais qu'il ne veut pas me pardonner, je le sais et cette idée me bouffe, mais je ne suis pas égoïste, je préfère souffrir à ses côtés qu'être heureuse après de nombreuses larmes, loin de lui. Ma main se glisse vers le verrou que je finis par tourner mais je ne manque pas de lui dire : « Je suis derrière, ouvre pas. » Mais je ne bouge pas de derrière, j'ai ouvert pour lui montrer que je fais un effort mais je ne suis pas prête à lui faire face...
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Ce sentiment d’impuissance me bouffait : j’étais là, derrière cette fichue porte, et je ne pouvais que constater que quelque chose n’allait pas. Talya était de l’autre côté, énervée, surement en train de contracter. Même mon –pense au bébé- ne la fit pas revenir à la raison. Je fermais un instant les yeux, les rouvris finalement pour les poser sur la sonnette d’urgence. Mais je n’avais aucune envie que les soignants n’assistent à une de nos scènes de ménage. Et puis il y’avait déjà eu le coup avec le gynéco pour la deuxième écho, ils allaient finir par nous coller les psy et les assistantes sociales de la protection de l’enfance sur le dos pour finir. Seulement, quand je repris la parole pour répondre avec franchise concernant notre nuit, la voix de Talya résonna à nouveau, mais cette fois plus douce, bien que ses propos soient chargés de sarcasmes piquants à mon égard. « Non, pas pour dire ça. Des messages pour m’excuser, et te dire qu’il valait surement mieux qu’on arrête de se voir parce qu’au final ça allait nous faire plus souffrir qu’autre chose. Je crois que j’aurais du les envoyer finalement ces textos, pas vrai ? » Vu la situation actuelle, oh que oui. Le bruit du verrou se fit entendre, je fis un pas, main tendue, prêt à saisir la poignée pour ouvrir mais la jeune femme m’informa qu’elle était juste derrière. « Talya, viens, je t’en prie. »
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« T'as bien fait de ne pas envoyer tes conneries... Toutes tes conneries me bouffent Priape... Tu mentiras à qui tu veux mais pas à moi, je suis pas idiote tu sais. » Je le connais, je connais le regard qu'il avait ce soir là et ce n'était pas celui d'un mec qui n'aime plus la personne à qui il est en train de faire l'amour, d'ailleurs le Priape qui fait l'amour à la première fille qui vient n'est censé plus existé... Peut être a t il fait une exception pour moi... Ou pour Aby... Alors voilà, je vais toujours être obligée de savoir qui de nous deux est l'exception maintenant ? Non c'est pas sain, j'en ai pas envie tout comme je n'ai pas envie de sortir. Je ne m'attends pas à ce qu'il reconnaisse que je dis la vérité, que j'ai raison sur ce qu'il ressent parce que c'est comme ça qu'on vit depuis cinq mois : il me repousse pour ne pas revenir parce qu'il ne veut pas me pardonner et accepter qu'il m'aime c'est comme me dire qu'il me pardonne alors que ce sont deux choses différentes. Mais à quoi bon ? A quoi bon reconnaitre l'un sans l'autre ? Se faire du mal ? Surement oui. Je finis par avancer juste un peu mes fesses sur le sol et je tends mon bras pour que la pliure où j'avais la perfusion tombe dans l’entrebâillement. « Remet moi la perf s'il te plait...» Il a trop de fierté pour me pardonner ? J'ai trop de fierté peut être pour sortir détruite comme ça. Non en fait j'ai juste pas envie de lui laisser le bonheur de voir l'emprise qu'il a sur moi, le mal qu'il peut me faire si facilement. Sa vengeance ? Il la tient je crois, il sait surement exactement ce qu'il doit faire maintenant.
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« Y’a pas de mensonges Talya. Je t’assure qu’il ne s’est rien passé entre nous cette nuit là. La photo prête à confusion, elle était sur mon lit avec mon ordi pour m’embêter en me créant un profil meetic. Je l’ai prise en photo pour me venger et lui en créer un… » Et anticipant la question sur la tenue plutôt légère qu’elle avait sur le cliché je poursuivis : « Elle avait ma chemise parce qu’on avait fait une bataille d’eau qui avait dégénéré un peu avant. Je rentrais juste du SC, j’avais pas eu le temps de défaire ma valise, du coup j’avais pas grand chose à lui prêter. » Mais puisqu’elle voulait la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, je finis par reconnaître : «Mais oui c’est vrai, j’ai gardé la photo parce que j’aime bien Aby. Je l’aime vraiment bien. » La porte s’entrouvrit à nouveau finalement et je vis le bras de la jeune femme apparaître. Elle me demanda de reposer la perfusion qu’elle avait arrachée. Je marchais jusqu’à l’un des tiroirs dans lequel se trouvaient des pansements et j’attrapais de quoi refixer le cathéter comme il faut. Je m’appliquai, collant le tegaderm contre sa peau pour que cette fois la poche de tracto ne lâche plus après avoir essuyé le sang qui avait coulé avec des compresses. Je m’assis de mon côté par terre. Les doigts de ma main gauche glissèrent ensuite le long de son bras avant de s’emparer de sa main, suffisamment fermement pour qu’elle ne la retire pas, en prenant garde malgré tout de ne pas lui faire mal. « Je reste jusqu’à ce que les contractions se calment… » Et jusqu’à ce que tu te calmes, j’avais envie de dire. « Et après je te laisse ok ? » fis-je en la retenant toujours. Le produit allait agir rapidement, j’allais m’en aller puisqu’elle s’obstinait à rester derrière cette porte. Et comme ça, elle pourrait regagner son lit. Après quelques minutes de silence tendu, je repris la parole tout en laissant courir les doigts de ma main droite sur la peau de son avant bras: « Tu connais ce jeu où faut dessiner des lettres sur la peau de l’autre pour lui faire deviner les mots qu’on veut ? »
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Il l'aime vraiment bien. Je déglutis une nouvelle fois, mais cette fois en silence, du moins au mieux que je peux. Je ne veux pas qu'il entende ça, je ne veux pas qu'il s'imagine l'état dans lequel ça peut me mettre même si pour me lever alors que c'est interdit et arracher ma perf pour me réfugier le plus rapidement dans la salle de bain, il a largement de quoi l'imaginer. Finalement j'ouvre la porte, puis je laisse l'espace pour simplement passer mon bras et qu'il me remette ma perfusion pour que les tensions que je sens dans mon ventre qui ne sont pas de réelles contractions repartent aussi vite. Mini nous restera au chaud encore aujourd'hui, ce n'est pas les conneries de son père qui mettront sa vie en danger. Priape s'applique à remettre tout comme il le faut puis sa main glisse dans la mienne et même si je veux retirer mes doigts, il anticipe et les sert dans les siens pour que je ne puisse pas le faire. Nos mains se déposent liées sur le sol et après un long moment de silence pesant, il finit par me demander si je connais le jeu des lettres qu'on dessine sur le bras. Bien sûr que oui, qui n'y a pas joué étant enfant ? « Je connais... » Je tourne légèrement mon bras, s'il veut jouer qu'il le fasse, peut être que ça me détendra, peut être que d'ici les contractions seront parties et qu'il pourra me laisser... Même si j'ai un noeud à l'estomac à l'idée de ne pas passer la belle journée qui s'annonçait avec ma fille parce qu'on s'est encore engueulés.
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