LOWELL PARTY ₪ MORNING GLORY (EVERYBODY)

IN

Une fête ? Dans la Lowell House ? Réellement ? Que demander de plus au peuple ? Absolument rien. C'était déjà suffisant pour la jolie brunette pour combler sa journée et le reste de la semaine. Et, bien que nous soyons encore en mars et que Nora n'avait pas assisté au SpringBreak, la jeune femme avait opté pour une tenue légère et décontractée. Rien de trop extravagant. Elle ne pouvait de toute manière pas venir en pyjama sinon, elle aurait dû venir totalement nue. Autant éviter ça, pas de viol pour la fin des vacances. Avançant parmi la foule, Nora se retrouva non loin du bar et des boissons. Hm. Que prendre ? La jeune femme optait pour un liquide de couleur rouge. Apportant le verre à ses lèvres, elle se tournait légèrement vers sa droite alors que son regard se posait sur Pavel. Hm. Intéressant. S'approchant de toi, elle te donnait un léger coup de coude, amusée de te voir ici.

- Et bien alors monsieur ? On se promène ? Dit-elle avant de boire une seconde gorgée de sa boisson.

(Invité)

Cette petite fête de bon matin était aussi un endroit parfait pour montrer que notre ami était entièrement dévoué aux Lowell. Pour cela, on lui avait donné un petit défi à respecter, quelque chose d'idiot et de gênant, mais quelque chose qui devait-être fait, avant de … Avant de fuir lamentablement. Ne trouvant pas Nora, Pavel se dit que c'était sûrement le meilleur moment. S'il y avait eu une quelconque trace d'alcool en ce lieu, le kirghize en aurait bu une bonne lampée pour se donner du courage. Cherchant du regard leur présidente Elizabeth du regard, il finit par la trouver, accompagnée, comme à son habitude, du moins, c'est ce qu'il pensait. Prenant son courage à deux mains, l'étranger s'approcha d'elle et fit une belle révérence pour prononcer des mots étranges « Mes respects, reine Elizabeth. Pavel Zhirkov, pour vous servir. » Le jeune homme se mit à rire en se relevant, l’œil empli d'excuses pour cette jeune femme avant de retourner à son précédent poste d'observation, espérant retrouver son amie. Le destin voulut cependant que ce soit elle qui le trouve lui tapotant légèrement le bras de son coude avant de le saluer à sa façon. Cela le fit sourire. Cela lui fit accélérer le cœur. « J'espérais pouvoir aborder une belle fille qui semblait seule, mais … Le destin semble joueur, voilà que la plus belle de toute s'approche de moi, dois-je y voir un quelconque signe ? » Ne pouvant garder son sérieux, l'étudiant rit légèrement, lui embrassant le front pour la saluer avant de reprendre un sourire empli de tendresse. « Plus sérieusement, tu es … Magnifique aujourd'hui. »

(Invité)

Haussant un sourcil, la jolie brunette souriait à tes mots. Une jolie fille ? Un vrai charmeur, celui-là. Bien entendu, cela ne pouvait nullement la déranger, bien au contraire. Nora avalait le reste de sa boisson, reposant alors son verre sur la petite table tandis qu'elle se tournait lentement vers toi, de sorte à être face à ta personne.

- Est-ce qu'au moins tu as demandé à la jolie fille si tu l'intéressais ? Peut-être que cela est plus qu'un simple signe. Dit-elle, amusée alors que ses doigts jouaient avec l'une de ses bagues.

Elle observait tes tatouages, du moins, ceux disponibles à sa vue. Elle ne pouvait jamais s'empêcher de les fixer ou mieux... De les toucher. Ses doigts qui venaient alors à parcourir ton bras, se glissant un peu sous ta manche. « Je ne me lasse pas de les regarder. » soufflait-elle, toute proche de toi.

(Invité)

Les quelques mots doux de Pavel semblèrent avoir l'effet escompté auprès de la charmante demoiselle qui était depuis le temps devenue sa muse. Le savait-elle ? Pouvait-elle comprendre la signification de tout cela ? Lui l'ignorait totalement, mais ce qu'il savait en revanche, c'est que son doux sourire ne put que lui réchauffer le cœur. Voilà un petit jeu qui s'était installé entre eux deux, lui qui lui faisait la cour, faisant passer cela pour un simple jeu, n'ayant jamais vraiment eu le courage de franchir le cap. Alors, Nora aussi avait fini par se prêter au jeu. C'est alors que la jeune fille se tourna vers le tatoué, jouant légèrement avec sa bague, demandant ironiquement s'il avait pensé à aborder la fille en question. Après tout, peut-être était-ce là plus qu'un signe ? Peut-être même qu'il pouvait l'intéresser ? N'importe qui aurait pu voir un signal, mais Pavel lui, n'y vit que la continuité de leur petit jeu. Riant légèrement à cela, notre ami continua dans l'extrapolation. « Voyons, cela est impossible. Un ange si radieux ne peut penser à s'accointer avec le pauvre mortel que je suis, il me faut être réaliste. » C'est ainsi que le fameux ange se rapprocha dangereusement du kirghize admirant ses tatouages, en venant même à dessiner ceux qu'elle voyait dépasser de ses manches avec une infinie douceur, tandis que le cœur de l'étranger semblait être prêt à quitter la cage qui le renfermait tant celui-ci battait fort. Se rapprochant encore et encore, ses paroles se transformèrent en une brise douce et légère qui sembla n'être là que pour le faire rougir. Pour ne rien vous cacher, si cela était le réel but de la demoiselle, cela marcha à la perfection. Fort heureusement, l'éclairage propre aux fêtes de ce genre cacha les rougeurs du slave. « Je … Merci. Ça te dirait pas toi que je t'en fasse ? Quelque chose de léger et de joli, je suis sûr qu'on peut trouver quelque chose qui t'irait super bien. »

(Invité)

Elle souriait, presque fière de ses mots en ce moment précis. Tu réagissais comme toujours a ce qu'elle pouvait dire et elle n'allait pas mentir, elle adorait ça. Pouvoir écouter chaque note que le son de ta voix provoquait quand la jolie brune te parlais.

- Impossible, tu dis ? Je pense que tu pourrais être surpris par les anges. Ils prennent peut-être possession des mortels, mais... leur enveloppe et leur cœur restent chers à ses âmes venues des cieux. Soufflait-elle, toujours aussi proche de ta personne.

Malgré cette proximité, la petite brune n'avait pu s'empêcher d'y mettre un terme quand tes paroles déclinaient vers une proposition de... Tatouage ? Elle se regardait un peu, observant rapidement son corps avant de n'élever légèrement ses épaules dans un haussement. « Pourquoi pas. » dit-elle simplement avant de faire le tour de ta personne, ses bras se glissant autour de toi alors que le bout de ses doigts venaient à faiblement soulever ton haut. Était-ce simplement pour te gêner ou avait-elle autre chose en tête ? Qui pourrait le savoir ? En tout cas, elle ne se privait pas pour se rapprocher de toi comme il se fallait.

- Et si on trouvait un coin tranquille, toi et moi ? Murmurait-elle, le front posé contre ton dos.

(Invité)

Par chance, les mots du jeune tatoué semblèrent plaire de plus en plus à sa charmante muse si bien qu'elle semblait ne plus vouloir arrêter de sourire, chose qui ne put que réchauffer encore, et encore son pauvre petit cœur déjà bien agité par ce qui s'était déjà passé. C'est alors que la demoiselle eut quelques mots sur ces fameux anges, sans doutes pour taquiner son ami, toujours en s'approchant de plus en plus, si bien que son parfum enivrait le kirghize. Cela le fit sourire timidement, avant de renchérir à son tour sur ces êtres célestes. « Malheureusement, leur cœur sont bel et bien célestes, ils sont … Parfaits. De fait, ils ne méritent que la perfection, tout simplement. » Souriant maladroitement, il n'était pas sûr d'avoir pu enchaîner les bons mots dans cette langue qu'il ne maîtrisait pas encore aussi bien que son kirghize natal. L'idée du tatouage sembla l'étonner légèrement, en arrivant même à se détailler elle-même, finissant par montrer qu'elle n'était pas hostile à l'idée, avant de faire le tour du jeune homme tout en faisant son contour de son index avant de relever discrètement son haut. Son cœur s'accéléra encore et encore. Comment pouvait-ce être possible ? Comment un cœur pouvait-il battre si fort sans pour autant exploser ? Une bien bonne question. Arrêtant de le taquiner, la belle finit par poser sa tête contre son dos, murmurant une invitation pour se retrouver plus intimement. Notre ami rougit plus que de raison à cette proposition. « Je heu … Oui … Avec plaisir. Je … Tu aurais un endroit en tête ? »

(Invité)

Je ris en dansant, j'aime vraiment ça et cela me manque. Danser encore et encore, les pointes, les tutus, le stress, tout me manque. Alors je danse contre Elizabeth pour une danse assez caliente jusqu'à ce que je la vois. Amy. Mon dieu. Lorsque je la vois qui se rapproche de ma table, je cligne des yeux. Est-ce que c'est la fatigue ? Non je ne crois pas. « Attend Elizabeth. » Je lui souris et saute de la table pour me rapprocher d'Amy. « Tu es venue finalement... »

(Invité)

Va savoir pourquoi, tu n'étais pas trop d'humeur à faire la fête aujourd'hui. Peut-être un petit coup de blues, une fatigue post-voyage... Enfin bref, tu t'excusas auprès d'Elizabeth et Irina avant de quitter la Lowell House. Tu avais plusieurs trucs à faire pour préparer tes cours et honnêtement, tu n'avais même pas la tête à cela. Tu te sentais un peu... triste, justement. Tout ce que tu avais envie de faire, c'était de boire, de danser dans les bars, de rencontrer des gens et te sentir tout puissante... Enfin, il fallait que tu t'en remettes et que tu essaies de ne pas trop faire de connerie pendant ce moment de petite rechute. Tu rentras donc chez toi et te changeas. Tu serais prête pour affronter cette première journée de cours après le Spring Break. ~

OUT

(Invité)

- Peut-être qu'ils n'ont pas de cœur matériel. Peut-être qu'il cherche un cœur. Et, peut-être qu'il ne peut trouver ce cœur qu'en un être humain. Ils sont peut-être parfaits, mais la perfection n'a jamais rien attiré de bon. Soufflait-elle simplement à ton égard.

Elle se devait de répondre à tes mots. Pourquoi ? Elle aurait aimé pouvoir y répondre. Mais une chose était cependant claire pour la jeune femme : tu l'intriguais. Ton sourire, tes gestes parfois maladroits en sa présence ou bien encore cette manière de répondre ou encore, de rougir. Oui, elle t'avait déjà vu rougir. Elle c'était simplement retenue de t'en faire la remarque. Tu arrivais à être si gêné en sa présence que cela frôlait le mignon absolu. Cependant, tes tatouages qu'elle détaillait n'arrivaient qu'à la ramener violemment à ce que tu « étais » et faisais.

- Un petit coin, un peu isolé. Hm, si on se pose sur les chaises au fond de la salle, cela devrait le faire, je suppose. Dit-elle alors que ses doigts s'emmêlaient entre les tiens.

Te tirant en sa compagnie vers une pile de chaises perdue dans un fond de la salle, elle en descendait simplement une seule. S'écartant, elle tendait sa main de libre vers la chaise avec un grand sourire. « Le fauteuil de monsieur est servi. Ne t'inquiète pas pour moi, je vais poser mes petites fesses sur tes genoux. Ou... un peu plus haut. » lâchait-elle avec amusement.

(Invité)

Comme à son habitude, la belle se plaisait à continuer ce petit jeu avec Pavel, de parler de manière détourner, de le taquiner, de le faire rougir ou supposant qu'il avait sa chance avec cette belle inconnue complètement idéalisée. Là, la métaphore angélique ne cessait de s'accentuer encore et encore, tandis que le sourire de Nora ne devenait que plus intécellant à chaque fois afin de, sûrement, frapper de plus en plus brutalement le pauvre petit cœur de l'étranger qui se contentait de sourire. « Je ne sais pas trop. Je ne pense pas avoir un jour le courage d'aller vers un être si pur. Et puis, comme tu l'as dit, la perfection n’attire jamais rien de bon, alors, autant s'abstenir ... » Souriant nerveusement à ses quelques mots, notre ami se rendait compte que ce fameux jeu devenait de plus en plus pesant, sachant pertinemment qu'il n'avait aucune chance avec une telle personne. Ils étaient devenus amis, c'était déjà bien, en un sens. Certes, le jeune homme était du genre défaitiste, mais sa vie lui avait bel et bien montré que rien de bon ne pouvait arriver sans avoir à traverser par les pires choses auparavant. Quand le sujet vint à l'exil des deux jeunes gens, la belle entremêla ses doigts avec les siens, ce qui faillait faire arrêter son cœur, pour l’amener au loin, pensant qu'au fond, là où les chaises étaient empilées, ils seraient tranquilles. Sur place, Nora n'en prit qu'une seule, invitant cordialement son ami à prendre place, prétextant qu'elle n'aurait qu'à s'asseoir sur ses genoux. Voire plus haut … Pavel rougit tellement cette fois-là que l'éclairage n'arrivait sans doutes pas à cacher sa gêne, même si, l'idée qu'elle s'asseye par là-bas lui plaisait assez. Prenant place sur le siège qui lui était offert, le kirghize n'arrivait plus à aligner le moindre mot. Alors, il l'invita à prendre place, avec grande appréhension.

(Invité)

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