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Maxille ಇ en fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?

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Maxille
   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?
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   Non vraiment. Tu pouvais pas dire que ta boule au ventre s'était évaporée d'un seul coup mais t'étais beaucoup moins anxieuse que précedement et c'était le mieux. Parce que là, de toute manière, tu ne te voyais absolument pas le repousser. D'une, ce serait vraiment bizarre et de deux, t'aurais l'air d'une conne après l'avoir cherché comme ça. Bref. D'toute manière, t'étais rassurée et c'était vraiment ce qui comptait pour le moment. Toi et lui, lui et toi. Juste vous deux et rien de plus. T'étais comme enfermée dans ton monde ou seul la présence de Max importait. Tu retrouvais ses lèvres avec grand plaisir le sentant finalement entrer en toi. Tu te crispais un peu sur le coup et peut être que pour la peine, t'avais généreusement plantée tes ongles dans sa peau mais, c'était pas bien grave si ? « Pardon.. » De toute évidence, ça semblait peu lui importer puisqu'il continuait ses mouvements t'embrassant en même temps. Et au fur et à mesure, tu te relâchais doucement jusqu'à être complètement détendue. Plus rien n'avait d'importance à part vous deux et tu ne voulais plus que ça s'arrête. Au final, tu ne savais même pas pourquoi tu avais redoutée ce moment là parce que c'était juste parfait. Tu plongeais ta tête dans sa nuque déposant quelques baisers dans son cou avant de replonger ton regard dans le sien. C'était indéniable, t'étais amoureuse de lui et t'avais été stupide de ne pas l'avoir acceptée de suite. Il avait une emprise sur toi qui pouvait être effrayante mais tu ne te voyais plus passer ne serait ce qu'une seule journée sans lui. Ouais. T'étais amoureuse de Max Florès. Comme un coup de foudre ayant agit dès le premier regard.
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Il y a eu ce moment où, quand j'entrais en elle, je m'étais arrêté de respirer, continuant de la bouffer du regard tant je savais que c'était ma place. Ouais, je sais pas comment l'expliquer et c'était bien pour ça que l'anxiété présente il y a quelques instants venait de disparaitre. Nos baisers restaient langoureux et remplis de sentiments. Rien ne se passait à la hâte, au contraire. C'était doux et tendre et c'était tout ce qui comptait. « Pardon.. » disait-elle après que j'ai senti ses ongles s'insérer dans ma peau, ce qui me fit sourire mais pas pour autant réagir. Tout ce que je souhaitais, c'était continuer de faire ce que je faisais, c'est-à-dire lui faire l'amour. Parce que c'était loin de coucher ensemble. C'était pas sans sentiments, sans attachement. C'était bien plus que ça et si je pouvais pas mettre un mot sur les sentiments que j'étais en train d'éprouver, je savais que c'était là et c'était fort, puissant. Je la sentais se détendre sous moi et je savais que c'était bon signe. Forcément j'veux dire, elle prenait plus de confiance, elle se laissait aller et ça ne pouvait être que meilleur. Du coup, quand ses lèvres venaient dans mon cou, j'allais faire de même. Tenté d'y laisser ma marque, je me ravisais.. du moins pour l'instant. Puis nos regards se croisaient de nouveau et c'était des frissons qui parcouraient toute mon échine. Le moment était beau, le moment était doux et intime. Et au final, on était tous les deux comblés. Du moins, c'était mon cas. Après l'avoir embrassé une nouvelle fois, je me défaisais de son étreinte et je m'allongeais à côté d'elle, laissant mon coeur se remettre de toutes ces émotions.
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Maxille
   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?
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   En fait, c'était effrayant en même temps que c'était beau. Parce que déjà, t'aurais jamais pensée que ça pouvait t'arriver. Pouvoir vraiment avoir un coup de foudre envers quelqu'un. Et c'était flippant parce que c'était le genre de truc qui s'passait vraiment bien et qui pouvait tout aussi bien s'écrouler le lendemain. Sauf que tu voulais croire que lui et toi, c'était différent. Bien plus fort. Et c'était le cas non ?  Ton coeur battait la chamade à chacun de ses mouvements et tu frissonnais sous chaque baisers, chaque caresse. T'étais heureuse et comblée et bordel, t'avais eu tellement raison de pousser pour que ça ce passe maintenant. Le moment était juste magique. Comme si vous étiez tout les deux ailleurs envelopés par vos sentiments symbolisant le tout par l'acte en lui même. Tu profitais de ses lèvres une nouvelle fois alors qu'il arrêtait de bouger signe que c'était fini. Et il venait prendre place à côté alors que t'inspirais profondément tentant de calmer ton coeur et ta respiration encore légèrement saccadée. Gosh, ça venait d'être une deuxième fois juste parfaite. Pire que parfaite même. Totalement à la hauteur de la première, voir même mieux en fait. Et bordel, t'avais la certitude que tu ne voulais personne d'autre à part lui. Tu te redressais prenant tout de même soin de t'enrouler un maximum dans la couverture pour cacher ton corps avant de prendre la parole. « Tu restes là cette nuit ? »
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Si la pression avait été présente au début, ce n'était plus le cas au fur et à mesure que le temps s'écoulait. Après tout, pourquoi être stressé ? Je l'appréciais, je n'avais aucun problème d'attirance envers elle et.. oui, bon, c'était sa deuxième fois. C'était juste ce petit - gros - détail qui me faisait stresser comme un dingue. Mais il n'y avait pas de raison parce qu'au final, tout s'était bien passé. Elle et moi, c'était.. comme une complémentarité. On s'était trouvé, ça passait nickel le courant et l'alchimie. Donc une fois qu'on avait terminé, je me positionnais à côté d'elle, me remettant alors de mes émotions quand même assez intenses, je dois bien l'avouer. God quoi, j'étais essoufflé et il me fallait le temps de remettre mes idées en place tant c'était.. woaw. Je devais cependant me débarasser de la capote mais là j'avais pas la foi de me lever pour aller jusqu'à la poubelle. Alors je me contentais de la regarder qui enroulait le drap autour d'elle après s'être redressée. « Tu restes là cette nuit ? » Je me mis à sourire en passant une main sur son dos dénudé, comblé quand même par le moment qu'on venait d'échanger. « Si tu veux que je reste.. ouais. » Mon regard se tournait cependant vers le deuxième lit présent dans sa chambre et revenait sur elle. « Ca dérange pas ta coloc ? » Retrouvant peu à peu la pêche, je me redressais et j'attrapais mon boxer pour l'enfiler de nouveau et je me levais pour aller foutre le préservatif dans la poubelle avant de venir me glisser de nouveau dans le lit en compagnie de ma petite amie.
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   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?
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   Tu voulais vraiment qu'il dise oui. Qu'il reste là pour la nuit. C'était peut être idiot mais t'avais l'impression que s'il s'en allait, ça faisait un peu, j'ai tiré mon coup et yolo, j'me casse. Ouais. Après, c'était con de penser un truc pareil puisque tu savais qu'il était bien loin d'être ce genre là. Tu voulais le croire quand il disait ressentir un truc pour toi et t'avais pas de raison de douter quoi que ce soit. Puis, ce que vous veniez de partager était réel. Vraiment réel. Y avait ce truc qui vous unissez qui faisait que tu ne pouvais absolument pas croire qu'il se fichait de toi. Tu le laissais toucher ta peau nue attendant une réponse de sa part. « Si tu veux que je reste.. ouais. » Un sourire venait étirer tes lèvres alors que le regard de Max se dirigeait vers le lit vide. « Ca dérange pas ta coloc ? » Oh ben Alaska, y avait pas grand chose qui la dérangeait. Et dans le cas contraire, elle aurait vite fait d'attraper ses fidèles munitions -autrement dit des pépitos- pour vous bombardez avec. « Si tu veux mon avis, j'pense que le fait que tu dormes là et moins dérangeant que ce qu'on vient de faire. » Et de toute manière, elle ne rentrait pas ce soir donc non, c'était définitivement pas un problème. Max finissait par se lever enfilant son boxeur et jetant dans la poubelle le préservatif ce qui te faisais penser qu'il faudrait vraiment que tu penses à la jeter demain. Histoire de pas te faire attaquer par une Alaska en furie. Mine de rien, c'était très dangereux ce genre de bête là. Et quand il se glissait de nouveau sous les draps, t'avais eu le temps d'attraper et d'enfiler ce large tee shirt te servant de pyjama. Il ne manquait qu'un détail. « Tu pourrais.. Me passer mon boxer ? » Bah il était de son côté alors il pouvait bien non ?
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L'invitation à dormir était un peu.. normale, comme si c'était une suite logique à la soirée qu'on venait de passer tous les deux. J'veux dire, on était parti sur des confidences, on a ensuite commencé à se chauffer puis on s'est engueulé et maintenant, on venait de faire l'amour. C'était quand même un sacré programme qui pouvait être épuisant et j'avais pas vraiment envie de rejoindre la Winthrop House alors que j'étais actuellement au chaud. Alors ouais, j'acceptais avec plaisir cette invitation. « Si tu veux mon avis, j'pense que le fait que tu dormes là est moins dérangeant que ce qu'on vient de faire. » Je me mis à rire avant de lui ajouter presque au tac-o-tac « On devrait essayer de le faire quand elle est là, tu sais, pour s'entrainer à être discret. » disais-je innocemment pour voir sa réaction avant de me raviser bien assez vite « T'en fais pas, je rigole » Sauf si elle était vraiment partante, moi je le suis toujours après tout. Enfin, pendant que j'attrapais mon boxer pour l'enfiler et aller jeter la capote, elle fit de même avec son t-shirt bien trop large pour elle. Puis j'étais de retour à ses côtés, là où je me sentais quand même vraiment bien, faut être honnête. « Tu pourrais.. Me passer mon boxer ? » me demandait-elle presque gênée. Je me tournais et regardais au sol pour trouver son sous-vêtement, que j'attrapais afin de lui tendre. « Voilà pour toi » lui disais-je avec le sourire avant de me rallonger en posant ma main dans son dos, sur son t-shirt. Je sais pas pourquoi, j'aimais ce contact là et je ne m'en lassais pas.
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   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?
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   Et puis vraiment, tu t'sentirais mieux une fois que tu l'aurais enfilée. Non pas que t'étais hyper pudique mais.. Ouais, en fait si. T'étais carrément trop pudique et pour toi, c'était carrément gênant d'être encore à moitié nue comme ça. Tu voulais pas non plus enfiler un col roulé et une paire de moufle mais, c'était au moins le minimum pour toi là. Bref. Tu voulais qu'il te passe ton boxer. « On devrait essayer de le faire quand elle est là, tu sais, pour s'entrainer à être discret. » Ew. Seriously ? Tenter de faire ça devant Alaska sans qu'elle ne le calcule ? D'une, t'aurais sûrement beaucoup trop honte pour essayer. Ensuite, si elle venait à entendre quoi que ce soit, elle allait juste te buter et.. Et il te faudrait peut être un bon bout de temps avant que tu fasses les choses plus librement de toute façon. « T'en fais pas, je rigole » Tu secouais la tête lui mettant une tape sur l'épaule. Gentiment hein ? De toute manière, c'était pas avec ta force de polly pocket que t'allais lui faire quoi que ce soit. « T'as plutôt intérêt. Alaska c'est une rebelle, elle t'aurais vraiment détruit. » Gosh, tu la faisais vraiment passer pour un monstre parfois. Pauvre d'elle. Elle allait se venger à coup sûr. « Voilà pour toi » Le rouge te montais aux joues alors qu'il agitait devant toi ce que tu lui avais demandée et tu t'empressais de le prendre pour l'enfiler. Great, faudrait vraiment que cette manie te passes un jour. Tu soupirais légèremen t'allongeant à côté de lui et plaçant ta tête sur ton torse avant de lui poser la question fatidique. « J'suis pas très douée han ? »
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Je comprenais son embarras et son envie de se rhabiller assez vite. Je veux dire, elle n'avait jamais eu à rester nue dans son lit par le passé et.. c'était que sa deuxième fois. Il lui fallait le temps de prendre confiance en elle donc j'étais patient avec ça et je m'adaptais principalement à elle. C'était loin d'être elle qui devait s'adapter à moi, non non. « T'as plutôt intérêt. Alaska c'est une rebelle, elle t'aurais vraiment détruit. » Je fis une mine choquée avant de me mettre à rire. « Même pas peur » Non mais de toute façon, je la suivais dans ses envies à présent et puis si jamais elle ne voulait pas aller dans l'excès et vers ses limites, alors ainsi soit-il. Et puis maintenant elle souhaitait se rhabiller et je lui tendais son boxer avec un sourire, ce qui avait tendance à la faire rougir, comme à son habitude. C'était pas vraiment étonnant comme réaction, elle était vraiment fidèle à elle même. Après qu'elle l'ait enfilé, elle s'installait contre moi, collant sa tête sur mon torse et mon bras venait automatiquement s'enrouler autour d'elle pour la garder contre moi, mes lèvres venant se coller aussi sur le haut de son crâne. « J'suis pas très douée han ? » Je me mis à sourire avant de secouer la tête négativement. « C'est tes débuts.. c'est normal. Et puis, j'trouve que t'es douée, t'en fais pas »
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   Ouais ben ouais. T'avais genre un don pour demander les trucs qu'il fallait pas. Tu faisais pas forcément exprès et sur le moment, tu te rendais pas compte que ça pouvait être gênant. Puis quand t'avais une question en tête, y a rien ni personne qui pouvait la faire sortir. Alors c'était presque évident que tu finisses par la sortir. Il n'avait pourtant rien dit et au final, c'était ce qui t'inquiétais le plus. Peut être que vulgairement parlant, t'avais vraiment été à chier. Ce qui était largement pardonnable puisque ce n'était que ta deuxième fois. Mais puisqu'il avait de l'expérience et qu'en plus, il faisait partit de ces hommes convoités, fallait dire que t'avais plus ou moins l'impression de ne pas avoir le droit à l'erreur. Pourtant, il ne te le faisais pas du tout ressentir comme ça mais c'était bien connu que les femmes étaient parano non ? « C'est tes débuts.. c'est normal. Et puis, j'trouve que t'es douée, t'en fais pas » Mh. Est ce que c'était le moment de lui dire que le mensonge c'était pas beau ? Parce que dire que t'étais douée était clairement un mensonge à moins qu'il n'essait de faire en toute discrétion le rapport avec ta capacité à jouer à Patrick l'étoile de mer. Ok, trève de plaisanterie. « J'aime ta façon d'embellir les choses.. T'es gentil. »
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Non mais en vrai, je la suivrais quand même dans les délires qu'elle voulait, et je n'allais pas la forcer à faire ce dont elle n'avait pas envie. Après tout, on était un couple, elle et moi. Ce qui signifiait qu'on était un duo, un binôme, de la confiance instaurée entre nous. Donc il est clair que je n'allais pas faire en sorte de la braquer alors que nous commencions à peine notre relation. Hey, on venait juste d'avoir notre deuxième relation sexuelle - qui s'était super bien passée, je l'accorde - donc n'allons pas trop vite en besogne. Collée contre moi, sa tête sur mon torse, je venais la coller encore plus en enroulant son bras autour d'elle et je caressais doucement son dos au dessus de son t-shirt bien trop grand. C'était le genre de truc qui me relaxait et, je l'espère, c'est son cas aussi. « J'aime ta façon d'embellir les choses.. T'es gentil. » Je me mis à sourire en laissant mon regard se poser sur elle.. du moins le haut de son crâne. Je ne pouvais pas vraiment en voir plus mais ça me suffisait. Ce soir, j'étais juste comblé de comment notre moment s'était déroulé et je pense pas que j'échangerai ça, même pas la dispute qui a valu à ce qu'on mette les points sur les i. « Je sais que tu as peur.. que tu penses pas être à la hauteur comme tu disais mais.. Vanille, j'vais faire en sorte que tu le penses. Vraiment. » Elle était à la hauteur et j'arriverai à lui rentrer ça dans le crâne. Avec le temps, sûrement, mais j'y arriverai.
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