Maxille ಇ en fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?

Maxille
   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?

mise en page par .Stay Away

   Mais c'était la honte un peu non ? Enfin, l'fait de pas avoir ce genre d'attribut, ça pouvait limite être vécut comme un gros complexe en fait et même s'il le savait peut être que ça lui plaisait pas que tu sois plate comme ça. Quoi que t'y pouvais pas grand chose, la nature ne t'avais juste pas gâtée de ce côté là à vrai dire et t'y pouvais rien y changer à moins d'avoir la folle envie de passer par la case chirurgie esthétique. C'qui au final ne te plaisais pas puis en étant parfaitement réaliste, ça n'irait même pas avec ta morphologie. Breeeeef. Tu sentais encore ses lèvres contre les tiennes alors qu'en même temps, il dégrafait ton soutien gorge. La libération. Non mais sans déconner, c'était le meilleur moment de la journée d'une fille en vrai. C'était comme si on pouvait respirer beaucoup mieux d'un coup et pour le coup, tu t'sentais beaucoup mieux. Sauf quand il lâchait tes lèvres pour réellement te l'enlever et le balancer dans la pièce. Parce que là, il était en train de te regarder et toi, tu devenais rouge de honte en fait. Et quand il regagnait tes lèvres à nouveau, c'était le soulagement. Collé contre lui, peau contre peau, tu devais avouer que la sensation n'était pas désagréable et plus les secondes passaient, plus tu t'habituais à la sensation. Peut être qu'un jour, tu serais totalement à l'aise avec tout ça. Tu jouais avec sa lèvre inférieur avant de faire danser ta langue avec la sienne rendant le baiser un peu plus sensuelle. Tes mains glissaient doucement jusqu'à son caleçon seulement, t'hésitais sur la manière de procéder. Fallait que tu lui enlèves ou non ?

J'étais quand même calme et j'allais doucement, pour pas la précipiter et qu'elle prenne peur. Certes, ce n'était pas sa première fois à proprement parler, mais pour moi, ça l'était quand même. Elle n'avait aucune expérience et on allait faire l'amour ensemble, en tant que couple. Il devait y avoir quand même un certain niveau de tendresse et de sentiments pour que ce soit bien et affectueux. Je ne veux pas être celui qui la brusque et qui la fait se sentir comme une sous merde. Non, c'était ma copine et je devais la traiter comme une princesse. Retirant son soutien-gorge, je le balançais à travers la pièce, me concentrant à nouveau sur ses lèvres pour l'embrasser encore et encore, sentant alors sa poitrine dénudée contre mon torse. Elle avait beau ne pas avoir beaucoup de seins, j'en étais quand même satisfait. Elle était jolie, malgré tout ce qu'elle pouvait croire ou dire. Je l'aimais bien comme ça et je ne voulais pas qu'elle change quoique ce soit. Je la laissais alors jouer avec ma lèvre avant de venir jouer avec ma langue dans un baiser bien plus langoureux que précédemment. Autant dire, ça avait l'effet escompté. Puis finalement, ses mains venaient glisser plus bas vers mon boxer et je la sentais hésitante. Prenant alors les choses en main, j'attrapais sa main avec la mienne, entrelaçant nos doigts une fois qu'elles furent de nouveau à l'air libre. « Je m'en occupe, si tu veux... dès que ce sera le bon moment » Pour l'instant, c'était pas totalement le cas, mais ça ne saurait tarder. Il suffisait de continuer à se titiller comme on le faisait depuis tout à l'heure, par des jeux de langue, par des mordillement de lèvres. Ouais, j'étais pas difficile.

Maxille
   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?

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   Bordel ce que tu pouvais te sentir stupide de ne pas savoir quoi faire. T'allais bientôt avoir vingt et un an et t'étais pas capable de savoir comment procéder dans ce genre de moment là. C'était quand même carrément la lose en fait. Et quelque part, t'avais honte de tout ça même si Max se montrait plutôt rassurant. Lui qui avait eu un bon nombre de conquête se retrouvait maintenant avec une novice incapable de faire quoi que ce soit. Autant dire qu'il n'était pas gagnant au change. Mais encore une fois, tel un parfait gentleman, il te venait en aide attrapant ta main pour la remonter à l'air libre. « Je m'en occupe, si tu veux... dès que ce sera le bon moment » Comment pouvais-tu ne pas craquer devant tout ce qu'il essayait de faire ? Sérieusement ? Parce que là, il te prouvais juste à quel point il pouvait être compréhensif et ça te montrais bien que t'avais tord de douter ainsi par moment. Il te correspondait. Y avait eu un véritable coup de foudre entre vous pour que les choses évoluent aussi rapidement et.. Merde quoi, t'étais juste parfaitement bien avec lui. Bref, tu souriais quelque peu gênée parce que même si c'était adorable de sa part, ça montrait ta total incompétence mais, tu venais quand même l'embrasser une nouvelle fois agripant ta main libre à sa nuque pour être sûre qu'il ne se décolle pas de toi. T'osais même pas dire quoi que ce soit de peur de briser le moment alors que tout était vraiment parfait pour le coup. Ouais, t'avais absolument pas envie de tout péter encore une fois.

C'était un côté quand même mignon, je trouve, qu'elle ne sache pas y faire. J'veux dire, y'a une période de ma vie où j'étais comme ça moi-même et j'ai l'impression que ça remonte à une autre vie. Mais non, c'était y'a environ sept ans. J'oublie parfois que Vanille n'a que vingt ans. Elle était jeune et j'avais trois ans de plus qu'elle. J'étais un vieux. Sauf que j'en avais juste rien à foutre. Mon coeur battait pour elle et fuck le reste. Là, elle s'apprétait à se donner une nouvelle fois à moi et, sachant comment s'était passée la première fois, je décidais d'y aller doucement, tranquillement, histoire qu'on apprécie chaque moment passé tous les deux. Nos langues jouaient ensemble, faisant monter peu à peu le désir en nous. Je le sentais que ça venait et qu'on allait pouvoir passer à l'étape supérieure bientôt. Fallait juste que nous continuions ces petites préliminaires encore un peu. De toute façon, il fallait qu'elle se sente prête elle aussi de son côté, sinon ça risquait de bloquer. Donc bon, ouais, fallait laisser le temps de faire les choses. Nos mains liées par l'entrelacement de nos doigts, je resserrais mon étreinte en même temps que j'intensifiais notre baiser. Doucement, je venais dévier dans son cou.. puis son épaule, y déposant quelques petits baisers. Et, relevant le regard sur elle, je descendais vers sa poitrine afin de voir quelle réaction ça pouvait lui faire. Je me souviens que je m'y étais pas trop attardé la dernière fois donc là, je faisais les choses bien.

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   Et fallait avouer que ça semblait tout de même être une sorte de mission impossible pour toi. Non mais parce qu'en étant un brin honnête, fallait quand même avouer que tu avais un sacré don pour tout péter à chaque fois. Même quand tu ne le voulais pas, tu avais la réaction ou le mot de trop qui faisait tout partir en vrille. Et déjà qu'il y a quelque minutes, tu avais faillit provoquer son départ, autant dire qu'il fallait vraiment faire attention histoire de ne pas le faire fuir une bonne fois pour toute. Mais les choses semblaient bien partit puisque la chaleur montait d'un cran au fur et à mesure que vos baisers s'intensifiaient et tu t'accrochais à lui comme soudainement prise de pulsion. Ce qui était fort étrange puisque ça ne t'étais encore jamais arrivée. Et il quittait tes lèvres venant continuer son lot de baiser dans ton cou te déclenchant par la même occasion des frissons te parcourant entièrement. Ok. Là, t'avais des sensations différentes de celle du soir d'Halloween. Peut être parce que les choses étaient plus douce, plus calme. Et sa bouche continuait à descendre le long de ton épaule avant de rejoindre ta poitrine déclenchant un nouveau frisson. Automatiquement, tu serrais un peu plus tes doigts autour des siens alors que ta respiration s'accélérait légèrement. Gosh, tu t'étais absolument pas attendu à ressentir ça et pourtant, t'avais l'impression d'être totalement comblée. Ta main venait s'engouffrer dans ses cheveux alors que ton coeur prenait une toute autre cadence signe que l'envie se faisait de plus en plus présente.

Je faisais les choses conscentieusement. Je veux dire par là qu'il était hors de question de faire un faux pas, pas maintenant en tout cas. Il suffisait que je sois un peu trop insistant pour qu'elle prenne peur et qu'elle fasse une remarque et qu'on finisse par se braquer elle et moi. Du coup, j'y allais doucement, prenant soin d'écouter tout ce qu'elle voulait. Enfin, j'y allais pas au forcing quoi. Et puis ça payait quoi, puisque lorsque je lâchais ses lèvres pour venir dans son cou et parcourir sa peau, elle n'était pas réticente. Ce que je fis par la suite était surtout pour elle, pour qu'elle sente le désir monter encore un cran au dessus. Mes lèvres venaient rejoindre sa poitrine pour y déposer quelques baisers. Sentant sa réaction au niveau de ma main et dans mes cheveux, j'étais fier de moi quand même. Alors que je restais sur un des seins, ma main libre venait caresser l'autre, dans le but de lui donner ne serait-ce qu'un peu de plaisir. Savoir que ça lui faisait cet effet était bénéfique pour moi parce que je me sentais fin prêt à mettre le bout de latex sur moi afin d'aller plus loin avec elle. Je remontais à ses lèvres, lui laissant un nouveau baiser langoureux puis j'attrapais le préservatif sur la table de chevet. Me glissant à côté d'elle, je fis tout sous le drap, laissant tomber mon boxer sur le sol de sa chambre. Tournant la tête vers elle, le coeur battant, on y arrivait et mon dieu, je savais que ça allait encore une fois être divin.

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   Pire que présente même à vrai dire et tu te demandais vraiment comment tu avais pu prendre autant de temps avant de goûter à ce genre de plaisir. Quoi que c'était pas plus mal puisque maintenant tu te retrouvais à le faire avec le mec dont t'étais littéralement en train de tomber amoureuse alors ouais, c'était pas plus mal. Et plus il continuait ses baisers sur sa poitrine plus tu frissonnais. Chose qui ne s'arrangeait pas quand à l'aide de sa main il venait la caresser doucement. D'ailleurs, un sorte de soupir s'échappait de ta bouche te faisant rougir de plus belle. Ouais bah tu pouvais pas t'habituer à tout en si peu de temps non plus. Déjà, là, on pouvait considérer le tout comme étant d'énorme effort. Et il remontait finalement à tes lèvres. Baiser que tu lui rendais avec passion et ardeur avant qu'il ne s'écarte de toi pour retirer son caleçon. Alors voilà, c'était le moment ? Tu savais même pas si t'avais peur ou non mais en tout cas, ton coeur battait si vite que tu avais presque l'impression qu'il cherchait à sortir de ta poitrine. Il plongeait son regard dans le tien et tu le soutenais pendant un temps qui te semblait infini avant d'attraper sa main pour le tirer un peu plus vers toi. Signe que t'étais prête et qu'il n'avait pas de souci à se faire. Est ce que t'allais avoir mal ? T'espérais vraiment. D'toute manière, t'avais bien trop envie de lui à ce moment là pour pouvoir penser une seule seconde que les choses allaient mal se passer. T'allais faire ta deuxième fois avec Max. Ton copain. Et forcément, t'aurais pas pu espérer mieux.

Tout ce que j'espérais, c'était que ça se passe bien, qu'aucun problème vienne se mettre entre nous. Parce que bon, une première fois c'est stressant.. mais la deuxième fois aussi en fait. C'était un peu comme faire du vélo. On pouvait se casser la gueule n'importe quand, quant bien même on sache en faire. Alors ouais, je prenais mes précautions, je faisais attention à elle, la traitant comme une princesse. Ce soir, c'était elle qui comptait avant tout, je devais faire en sorte qu'elle se sente bien et que tout aille bien, pour elle. Après avoir terminé mon passage à sa poitrine, je m'étais remis à jouer avec sa langue, lui faisant bien évidemment comprendre qu'on y arrivait presque et que j'avais envie d'elle comme jamais. Et forcément, je la lâchais, me positionnant à côté d'elle après avoir récupéré le préservatif. Retirant le boxer, je mettais le bout de latex en place et j'étais fin prêt pour elle. Tournant la tête, je cherchais dans ses yeux son feu vert et il ne tardait pas puisqu'elle attrapait ma main, m'attirant vers elle. Je capturais une nouvelle fois ses lèvres et je venais me positionner au dessus d'elle. Seul détail manquant, sa culotte. Il ne manquait plus que ça à retirer pour qu'on puisse passer ce moment tous les deux. Alors je lâchais ses lèvres sans pour autant couper notre échange de regards qu'on pouvait avoir. Mes mains glissaient jusque ses hanches, touchant le tissu restant et doucement, je me reculais, l'attirant avec moi le long de ses jambes, pour enfin le lui enlever complètement et le faisant rejoindre le sol avec tous nos autres vêtements. Mes doigts caressaient sa peau et longeaient ses jambes quand je revenais me positionner au dessus d'elle, écartant ses cuisses en même temps pour me mettre en place comme il fallait. On y était, elle et moi, à ce moment qu'elle attendait tant. Moi aussi, moi aussi je l'attendais et on y était. Capturant une nouvelle fois ses lèvres, je lui chuchotais doucement entre deux baisers « T'es belle »

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   T'avais mal au ventre là. Genre vraiment même. Le genre de boule à l'estomac que tu pouvais avoir juste avant d'entrer en examen ou les trucs dans ce genre. Et c'était perturbant parce qu'au final, ce moment n'avait rien à voir avec le reste. C'était totalement différent. Et tu savais que le moment arrivait puisque Max avait enfilé le bout de latex. T'allais pas te dégonfler hein ? Non. T'avais pris ton courage à deux mains pour l'attirer vers toi signe que t'étais prête. Vraiment prête. De toute manière, tu le voulais vraiment. T'en avais envie et ce n'était qu'une petite appréhension de rien du tout qui allait vite s'évanouir. T'en étais persuadée. Ses lèvres contres les tiennes il se plaçait au dessus de toi provoquant des battements de coeur de ta part beaucoup plus accentuée. Et quand il arrêtait de t'embrasser, il faisait glisser ses mains le long de ton corps se dirigeant jusqu'à ton boxer pour l'enlever. Ouais bah voilà. Maintenant t'étais complètement nue ce qui signifiait qu'il n'y avait plus vraiment de retour en arrière possible. Tu frissonnais une nouvelle fois quand ses doigts se posaient sur ta peau alors qu'il se mettait en position. Te mordant la lèvre inférieure, t'inspirais profondément essayant de te détendre un maximum. Tout allait bien non ? Y avait pas de quoi paniquer. Tu l'avais déjà fais. Tu l'avais déjà fais et ce n'était qu'une fois de plus. Y avait pas de quoi te mettre dans tout tes états. « T'es belle » Il te l'avais murmuré entre deux baisers pleins de passions et tu souriais presque maintenant enroulant tes jambes autour de lui. « Et toi parfait. » Tu passais doucement tes doigts sur sa joue plongeant ton regard dans le sien. T'étais prête maintenant. T'avais plus peur. T'avais pas de raison.

Je sentais la pression monter en moi, mais une bonne pression. On allait faire l'amour ensemble pour la deuxième fois et c'était quand même un big deal. J'étais l'expérimenté et elle était la novice. Alors je devais prendre le contrôle de la situation et c'était ce que je faisais. Une fois le préservatif mis en place, je m'étais tourné vers elle pour la regarder. Je me plongeais dans ses yeux, sentant mon coeur battre plus fort et plus fort à chaque instant et finalement, elle avait attrapé ma main, m'attirant vers elle. Autant dire que je ne m'étais jamais senti aussi vivant. Après l'avoir déshabillée, je me mettais au dessus d'elle, reprenant les baisers langoureux que nous ne cessions de partager. Je n'arrivais pas à me défaire de son regard. C'est même pour ça que je venais lui dire ce que je pensais, passant mes mains dans ses cheveux. « Et toi parfait. » Je me mis à sourire avant de l'embrasser tendrement. Et puis c'est à ce moment là que j'avais décidé que c'était le moment propice. Doucement, je venais en elle, sans lâcher ses lèvres et voilà, nous commencions. Cette bulle que nous avons créé depuis tout à l'heure n'était pas prête d'éclater, au contraire. Je me complaisais à lui donner du plaisir, sans être dur ou robuste. Je me voulais tendre et doux avec elle, qu'elle se sente bien et que ce soit surtout intense. Si mes lèvres venaient à lâcher les siennes, c'était simplement pour plonger mon regard dans le sien, continuant mes mouvements sur elle. Si j'étais pas sûr de mes sentiments envers elle il y a plusieurs jours, il était certain que ce soir, c'était une certitude. Je tombais amoureux d'elle et je le faisais avec plaisir.