Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityMaxille ಇ en fait, j'suis pas baisable, c'est ça ? - Page 6
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Maxille ಇ en fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?

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Maxille
   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?
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   Oui, ton comportement pouvait sembler totalement absurde. A la limite de la bipolarité même mais.. Tu préférais clôre la semi dispute qui venait d'éclater en reprenant les choses là où vous les aviez laissés. C'qui ne voulait absolument pas dire que tu te sentais maintenant à la hauteur grâce à ses paroles. C'était juste que.. Fallait que tu fasses abstractions de son passé et que tu laisses les choses évoluer et puis.. Y avait pas de raison que tu te sentes sans cesse inférieure. Après tout, il avait raison, il t'avais choisis. Toi et pas une autre. Ça signifiait bien quelque chose non ? « Eh.. » Est ce que tu pouvais souligner à quel point c'était stressant de le voir sans réaction alors que tu étais installée sur lui ? Non mais parce que du coup tu venais à penser qu'il avait peut être juste pas envie de reprendre cette petite séance. C'qui au final te semblais plutôt normal puisque t'avais tout coupée d'un coup. Alors t'attendais juste une réaction un peu plus poussée histoire de voir ce qu'il voulait et puis finalement la réponse arrivait. Pas comme tu l'avais prévu mais elle arrivait. Il t'enlevais ton tee shirt et tu te retrouvais en sous vêtements avant de partager un nouveau baiser avec lui. Baiser pendant lequel il en profitait pour échanger vos positions -le p'tit coquin- Maxille ಇ en fait, j'suis pas baisable, c'est ça ? - Page 6 152426858 . Tu savais pas comment agir, t'avais peur de faire n'importe quoi mais tu laissais tes mains descendre jusqu'à son pantalon pour lui déboutonner.
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Au départ, j'étais pas trop pour repartir dans cette zone là de notre relation, après tout ce qu'elle venait de sous-entendre. Parce qu'en plus, elle avait pleins d'apprioris à propos de moi et ça me faisait bizarre. Normalement, quand on sort avec une personne, on est supposé apprécier toutes les qualités et les défauts. Mais là j'sais pas, elle m'avait jugé et ça m'avait refroidi. Sauf qu'elle s'était excusée, se blotissant contre moi. Comment pouvais-je tout simplement la repousser dans une situation comme celle-ci ? Je m'étais laissé faire quand elle m'attirait vers le lit, m'embrassant comme jamais elle ne l'avait fait - sauf peut-être à Halloween en fait - et god, que j'aimais ça. En réponse à sa question, j'étais resté sans réaction quelques instants avant de lui retirer son t-shirt bien trop large, qu'elle avait enfilé quand elle est allée vers sa penderie. Et bien comme ça, c'était le juste retour des choses. Et puis du coup, j'avais switché nos positions, me retrouvant à présent au dessus d'elle pour continuer à l'embrasser. Je sentais ses mains venir vers le haut de mon pantalon, s'occupant même de le déboutonner, ce qui me fit sourire intérieurement. J'en profitais alors pour me redresser légèrement, lui laissant le soin de s'occuper du vêtement pendant que moi, je retirais le t-shirt que j'avais remis pendant la pseudo-dispute. Une fois que c'était tout fait, je m'asseyais sur le lit pour retirer mon bas, ainsi que mes chaussettes - j'en ai horreur - pour être simplement vêtu d'un boxer. Sourire sur les lèvres, je m'emparais de nouveau de ses lèvres et je retournais à mon sac pour récupérer un préservatif, le posant, comme tout à l'heure, sur la table de chevet. Mais faut pas y aller trop vite, non. Les choses devaient prendre leur temps et là, j'avais surtout envie qu'on continue de s'embrasser, qu'on apprenne à connaitre chacun le corps de l'autre.
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   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?
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   C'était bizarre non ? En fait ouais, c'était carrément bizarre. Rien que lui déboutonner son jean c'était chelou alors le lui enlever bah.. C'était mission impossible pour le moment. Peut être que t'aurais du boire un peu avant, histoire d'être moins stressée. Mais bien sûr, ça aurait sûrement cassée toute l'ambiance. Au final, fallait que tu te dises que c'était parce que c'était le début et qu'au fur et à mesure, ça irait certainement mieux. Vous étiez en couple alors ce genre de soirée, ça allait arriver plus d'une fois et tu l'avais voulu. D'ailleurs, tu le voulais toujours, t'étais juste stressée à fond. Et heureusement qu'il se redressait un peu parce que là, t'avais l'impression de te battre avec son bouton. C'était con hein ? Et il enlevait son tee shirt alors que tu finissais par avoir la victoire. Vanille 1 - 0 le bouton. Voilà un truc à rajouter dans ton CV. Et puis il s'éloignait retirant son jean, ses chaussettes avant de nouveau récupérer un préservatif qu'il posait sur sa place d'origine. Tu souriais timidement légèrement mal à l'aise d'être en sous vêtement devant lui et tu finissais par l'attirer de nouveau contre toi. Au moins, il cachait ton corps et il pouvait pas te mater en même temps même si au final, y avait pas grand chose à regarder. Tu déposais doucement tes lèvres sur les siennes avant de dériver pour parcourir son cou continuant à descendre pour parcourir sa peau. Et puis t'arrêtais replongeant ton regard dans le sien quelques secondes. T'avais aucune idée de la marche à suivre et s'il t'aidais pas bah t'allais finir par te sentir vraiment conne.
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C'était quand même bizarre tout ça, cette situation. Je me sentais un peu stressé parce que je savais que c'était sa deuxième fois et, si la première s'était bien passée, peut-être que cette deuxième le serait pas du tout. Et c'était ce qui m'inquiétait. Nous n'avions pas d'alcool dans le sang, on était pas dans le feu de l'action et c'était assez troublant. Ca me faisait penser à ma première fois, quand j'étais encore au lycée et autant dire que c'était des mauvais souvenirs. Bon, pas si mauvais que ça mais quand même. Une fois que j'avais retiré tout mon bas, mes chaussettes et que le préservatif se trouvait sur la table de chevet, je revenais prendre possession de ses lèvres, m'allongeant sur elle pour qu'on puisse continuer notre session de préliminaires vraiment très basique. Ses lèvres déviaient dans mon cou et je fermais les yeux, me délectant de ce contact qui me faisait de l'effet, genre vraiment quoi. Sauf qu'au bout d'un moment elle arrêtait, venant alors regarder mon visage. Je rouvrais les yeux, plongeant mon regard dans le sien et je venais déposer simplement mes lèvres sur les siennes.« Tu veux que j'aille éteindre la lumière ? Qu'on mette de la musique, des bougies ..? Qu'on se mette sous les draps ? » Ouais bon, ça faisait beaucoup de questions, mais c'était un peu sa première fois donc je voulais faire les choses bien. Et surtout, qu'elle arrête d'être si stressée parce que ça me stressait aussi et c'était vraiment mauvais dans ce genre de situation.
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   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?
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   Si c'était pas déjà le cas. Parce qu'en plus de le savoir, ça se sentait que t'étais novice et que t'avais plus l'air empotée qu'autre chose. Rien de ce que tu faisais ne semblait naturel comme si t'essayais quelque chose que tu n'avais jamais fais ce qui était plus ou moins le cas. Et pour être clair, tu pouvais absolument pas te montrer détendue parce que pour toi, la vrai première fois était aujourd'hui. T'inspirais profondément comme pour te donner du courage et te calmer en même temps mais au final, t'étais pas vraiment sûre que ça fonctionne. Pourquoi est ce que dans la salle de classe les choses t'avais semblé si simple alors que maintenant, c'était tout le contraire ? Y avait plus de pression en même temps aujourd'hui. T'avais presque l'impression de jouer ta vie pour la peine alors que non, c'était juste une nuit. Une simple nuit. « Tu veux que j'aille éteindre la lumière ? Qu'on mette de la musique, des bougies ..? Qu'on se mette sous les draps ? » Oh. Bah de toute évidence, il avait sentit ton malaise puissance mille vu les questions qu'il te posais. Mais tu savais pas du tout quoi répondre en fait. Le tout à la fois ? Ouais non mais là t'allais passée pour une coincée. La meuf qui voulait le romantisme à mort avec la musique et qu'avait tellement honte qu'elle préférait être plongée dans le noir avec des draps par dessus histoire de pouvoir tout planquer. So weird. « Non.. Non, ça va. T'inquiète pas. C'parfait comme ça. »
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Bien sûr que je voulais qu'elle soit totalement à l'aise. J'veux dire, c'était ma copine, celle avec qui je voulais absolument être au point de briser le coeur d'une fille qui n'avait rien demandé. Et au final, elle voulait qu'on aille plus loin ensemble pour qu'on soit comme un couple normal. Sauf que personnellement, j'avais envie d'y aller mollo. Normal, quand on voit à quelle vitesse nous avions été elle et moi. Deuxième rencontre on couche ensemble, c'est pas le genre de chose habituelle. Surtout que c'était sa première fois. J'avais un peu la pression du coup, puisque je voulais que cette deuxième fois soit aussi bien que la première. Et forcément, je venais à poser beaucoup de questions, surtout pour savoir si tout ça lui convenait ou pas, si elle voulait que je modifie certains trucs, comme pour créer une ambiance romantique. « Non.. Non, ça va. T'inquiète pas. C'parfait comme ça. » Je me mis à sourire avant de passer une main dans ses cheveux, sentant alors que tout ça était sincère. Et puis je venais retrouver ses lèvres, sentant quand même qu'on serait mieux sous les draps, non ? Ouais bon, il était temps d'aller sous les draps. Du coup, je m'arrêtais de l'embrasser et puis je venais la déranger un peu histoire qu'on puisse mettre les draps au dessus de nous. Certes, le déshabillage était pas totalement fini puisqu'on était encore tous les deux en sous-vêtements mais bon, osef, on finirait ça après. Même qu'elle pouvait garder son soutien-gorge si jamais elle n'était pas à l'aise. Même si perso, j'aimais bien la poitrine, c'était toujours un point d'excitation pour les filles.
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   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?
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   C'était vrai et faux en même temps. Ok, t'étais complètement bizarre par moment mais tu ne savais pas vraiment ce que tu voulais ou non et puis, de toute manière, tu lui faisais confiance. Tu savais qu'il allait y aller doucement et que tout serait parfait. T'avais absolument pas besoin de te prendre la tête vis à vis de tout ça. Et bordel qu'est ce que t'aimais le voir sourire. Tu pourrais arrêter le temps juste pour le voir heureux. T'inspirais doucement fermant les yeux quand il passait une main dans tes cheveux. T'étais heureuse là. Vraiment heureuse. Tu l'avais lui alors comment ne pas l'être ? Et alors que tu profitais une nouvelle fois de ses lèvres, il se tortillait dans tout les sens pour tenter de vous mettre dans les draps. Et très franchement, t'avais l'impression de tenter de participer à une sorte de partie de Tetris improvisé ce qui était vraiment, vraiment, bizarre. Mais mission accompli, le tissu venait vous recouvrir tout les deux et effectivement, c'était peut être un peu mieux. Par contre, ça changeait pas le fait que tu restais tout de même assez maladroite dans tes gestes. Fallait que tu fasses quoi ? Improvisation tiens. Tu laissais juste tes doigts courir le long de sa peau avant de les placer dans ses cheveux pour regagner ses lèvres encore et encore.
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Tout ce que je souhaitais, c'était son bonheur. Et elle voulait pas qu'on aille doucement vu comment elle était habillée quand je suis arrivé. Après tout, c'était assez suggestif comme truc, non ? Un short, un t-shirt assez court. Wala que ça veut tout dire hein. (bon, si ça veut rien dire, tu sais pourquoi :heaart:) Quoiqu'il en soit, on était tous les deux allongés dans ce lit à s'embrasser amoureusement et puis j'avais fait en sorte que les draps soient tous au dessus de nous. Parce que même si nous étions en couple, on avait pas encore l'habitude d'être tous les deux nus l'un avec l'autre, c'était une question d'habitude je pense. Mais du coup, bah on s'apprêtait à faire l'amour ensemble et on était sous les draps. Continuant de l'embrasser, je m'étais cependant mis sur le côté pour simplement laisser mes lèvres contre les siennes quand mes mains venaient parcourir son corps. Si on avait déjà couché ensemble le soir d'Halloween, on avait pas vraiment eu le temps de se découvrir. Et là, bah c'était un peu l'occasion. Bon, pas vraiment même si nous étions seuls et qu'on avait le temps - je crois - sauf qu'elle était mal à l'aise et je voulais pas qu'elle prenne ça pour une corvée. Glissant ma main dans son dos, je la laissais se balader le long de sa colonne vertébrale jusqu'à l'attache de son soutien-gorge. « Tu veux le garder ou.. comme tu veux ? » demandais-je entre deux baisers.

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   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?
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   Au final, tu commençais peu à peu à te détendre. C'était pas encore le top mais vraiment, ça allait un peu mieux. Peut être que c'était l'effet drap ou alors simplement parce que c'était lui et qu'il se montrait doux et attentionné. Tu savais pas trop mais vraiment, la pression était en train de se relacher et quelque part, ça faisait du bien. Collée contre lui, tu l'embrassais encore et encore de manière plutôt douce le laissant te toucher sans rien dire. Après tout, ça faisait partit du jeu. Et tu ne pouvais pas nier que tu frissonnais à chaque fois que tu sentais ses mains caresser chaque parcelle nue de ta peau. Est ce que c'était vraiment possible ce genre de relation ? Avoir sa première fois et toute les suivantes avec la personne dont tu étais amoureuse ? Fallait croire que oui. Max en était la preuve vivante. « Tu veux le garder ou.. comme tu veux ? » Ses doigts venaient de remonter jusqu'à l'attache de ton soutien gorge alors il était évident qu'il parlait de ça. Tu lui volais un nouveau baiser avant de répondre. « Non.. Tu peux l'enlever. » C'était ton copain alors il pouvait non ? Certes, ça allait te faire bizarre mais fallait bien que tu t'habitues à ça aussi. Puis d'toute manière, il avait déjà remarqué que t'étais ce qui ce rapprochait le plus du planche à repasser non ? Ouais. C'était pas comme si personne ne pouvait le voir de toute façon.
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J'avais pas envie d'être brusque, de la forcer en quoique ce soit. Tout ce que je souhaitais pour ma petite amie, c'était qu'elle se sente bien dans mes bras, sous mes baisers, sous mes caresses. En aucun cas elle ne devait se sentir oppressée ou obligée de faire telle ou telle action, sous prétexte que je le souhaitais. C'était un peu notre première fois à tous les deux ce soir, un peu parce que nous prenions le temps de nous découvrir. C'était pas comme à Halloween où tout s'était fait à la hâte et où nous avions gardé tous nos vêtements. Là, on retirait tout minutieusement, se découvrant l'un et l'autre. Mes mains venant caresser sa peau, je remontais jusqu'à son soutien-gorge, voulant alors savoir si j'avais la permission de l'enlever ou non. « Non.. Tu peux l'enlever. » Je me mis à sourire, gardant mes lèvres contre les siennes alors qu'habilement, je défaisais l'attache de son sous-vêtement. Quand ce fut fait, je stoppais le baiser, me reculant légèrement pour le lui retirer. Je me permettais même de regarder sa poitrine en me pinçant légèrement la lèvre. Lançant le soutien-gorge à travers la pièce, je reprenais ses lèvres, glissant mes mains dans son dos pour la garder contre moi, contre mon torse. J'y allais doucement pour qu'elle s'y fasse petit à petit, ne souhaitant vraiment pas la brusquer. C'était tout ce que je voulais éviter, pour son bien, comme pour le mien.
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