Maxille ಇ en fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?

Maxille
   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?

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   Qu'on soit clair. Tu cherchais pas à déclencher un conflit ou quoi que ce soit hein ? Tu voulais absolument pas te prendre la tête mais.. Quand quelque chose te traversais l'esprit, t'étais obligée de le sortir et valait mieux ça plutôt que tout garder sur toi. Puis, t'avais le droit d'être sceptique non ? Parce qu'au final, il était pas censé en avoir ni quoi que ce soit d'autre. Et bref, tu voulais une réponse de sa part, c'est tout. Rien de bien méchant quoi. « Bah.. je sais pas, c'était dans mon sac parce que j'en ai toujours dedans, au cas où.. Fin, je vois pas c'est quoi le problème, ça doit dater du mois dernier ou même deux mois » Au cas où.. Bah pour le coup, t'aimais pas du tout sa réponse et tu t'écartais quelque peu continuant à le regarder. C'était.. En fait, ça faisait clairement le mec : j'ai toujours des capotes sur moi pour ne pas avoir de souci quand j'veux sauter la première venue. Alors ouais, t'aimais pas du tout cette conlusion en fait et.. Si ton idée première n'était pas de te prendre la tête, ça semblait un peu mal partit pour le coup. « Oh. Donc t'es ce genre là. » Oui, cette phrase laissait planer des tonnes de doute ça et il allait peut être pas bien le prendre. Mais c'était sortit de ta bouche de toute façon, tu pouvais pas l'effacer.

Je ne savais pas pourquoi, mais cette fin de soirée n'était pas si réjouissante qu'elle en avait l'air tout à l'heure, et tout ça pour une histoire de préservatifs. Je ne comprenais d'ailleurs pas vraiment quel était le problème et c'était en l'entendant avec son ton accusateur que je comprenais qu'elle n'aimait pas le fait que je me balade avec ce genre de choses dans mon sac de sport, le truc que j'ai avec moi quatre jours par semaine, donc pas tout le temps. Alors après m'être expliqué, je voyais qu'elle n'était toujours pas rassurée parce qu'elle était pas revenue capturer mes lèvres. Mais je crois que ce sont ses paroles qui m'achèvent le plus. « Oh. Donc t'es ce genre là. » Surpris, je venais me reculer pour m'assoir sur le lit, la regardant presque choqué par ses paroles. Je comprenais pas du tout ce revirement de situation et j'avais pas envie de me prendre la tête avec elle, pas ce soir. Alors quoi, je me tais et j'encaisse ou je réplique ? Ouais bah je ne pouvais pas ne pas répliquer. « Et je suis de quel genre, dis moi ? J'suis curieux de savoir de quelle façon tu me vois là, tout de suite, maintenant. » J'étais toujours torse nu et je venais de croiser mes bras contre mon torse, attendant sa réponse avec impatience.

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   « Et je suis de quel genre, dis moi ? J'suis curieux de savoir de quelle façon tu me vois là, tout de suite, maintenant. » Il avait croisé les bras te regardant visiblement blessé par ce que tu venais de dire. En même temps, c'était logique. Ta réplique n'était pas un brin sympa et toutes les suppositions qu'il pouvait y avoir était forcément négative. Maintenant, tu savais juste pas quoi faire ou dire. Est ce que c'était toi qui abusais ? Est ce que tu te prenais vraiment la tête pour rien ? Pour lui, peut être. Pour toi, c'était légitime. Vraiment. Et puis au final, t'avais juste cherchée à comprendre le pourquoi du comment. T'avais encore ta liberté de penser. Mal à l'aise, tu te mordais la lèvre inférieure à plusieurs reprise avant de te lever du lit. « Laisse tomber Max. Fais comme si j'avais rien dis. » Ouais, c'était mieux. Tu t'dirigeais vers ta penderie attrapant un tee shirt bien trop grand t'arrivant largement en dessous des fesses que t'enfilais presque aussitôt. Au moins, tu pouvais virer ton short maintenant et tu te gênais pas pour le faire. Puis tu finissais par t'adosser contre le mur n'osant pas vraiment revenir vers lui. « Y a pas de raison que tu t'énerves. »

J'étais curieux de savoir comment elle me voyait parce que ça m'importait. Si ma copine était du genre à juger comment j'agissais par le passé, il était certain que ça allait poser problème. Non pas parce que j'aurais toujours des capotes dans mon sac, mais parce que je suis humain et que j'ai pu faire des erreurs par le passé. Du coup, si elle venait à juger le simple fait que j'ai deux/trois capotes qui trainent dans un sac depuis un moment, je sais pas ce qu'elle va penser du fait que j'ai pu coucher avec un nombre de filles dépassant le nombre de doigts de deux paires de mains. « Laisse tomber Max. Fais comme si j'avais rien dis. » Soupirant, je détournais le regard pour ne pas la voir se diriger vers sa penderie, cherchant une explication à tout ça. Si j'étais ouvert à une discussion, bien qu'un peu blessé qu'elle me juge comme ça, elle ne l'était tout de suite beaucoup moins. « Y a pas de raison que tu t'énerves. » Je me relevais à mon tour et j'attrapais mon t-shirt qui trainait sur le sol pour l'enfiler de nouveau et j'attrapais aussi les capotes pour les foutre dans mon sac, vu que clairement elles ne seront pas utilisées ce soir. Finalement, je relevais le regard sur elle, laissant mes bras balant contre mon corps. « J'suis pas énervé, j'veux juste savoir ce que tu penses de moi, parce que tu m'as jugé là, toi, ma copine. J'suis pas énervé je suis surtout blessé. Tu te dis quoi ? Que j'suis coureur de jupons, que je saute toutes les filles que je croise et que mon sac est rempli de capotes histoire que je sois pas en manque un jour ou l'autre ? » Je restais debout, en plein milieu de la chambre tandis qu'elle était adossée à un mur, loin de moi.

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   Ou en fait si. Il avait toute les raisons du monde de l'être. Parce que ce que t'avais insinuée, c'était juste méchant. Et t'avais pas le droit. Pas le droit d'agir comme ça avec lui. T'étais peut être la fille la plus coincée au monde mais tout le monde n'était pas comme. Et tu savais très bien quelle était la manière de fonctionner de Max avant de te mettre avec lui alors t'avais absolument pas le droit de juger quoi que ce soit. Il se levait à son tour remettant son tee shirt et clôturant ce que vous aviez commencer un peu plus tôt. Là, tu pouvais clairement dire que t'avais un sacré don pour tout foutre en l'air. Parce que ouais, c'était ce que tu venais de faire. « J'suis pas énervé, j'veux juste savoir ce que tu penses de moi, parce que tu m'as jugé là, toi, ma copine. J'suis pas énervé je suis surtout blessé. Tu te dis quoi ? Que j'suis coureur de jupons, que je saute toutes les filles que je croise et que mon sac est rempli de capotes histoire que je sois pas en manque un jour ou l'autre ? » T'avais automatiquement les yeux qui se remplissait de larme parce que oui, c'était ce que t'avais insinuée. Sauf qu'il manquait une partie à tout ça et tu savais pas si t'aurais le courage de le dire à haute voix ou pas. Sauf que non. Tu pouvais pas le laisser t'envoyer ça comme si t'étais la méchante dans tout ça. La voix tremblante, tu finissais donc par reprendre la parole après un silence qui t'avais semblé bien trop long. « C'est ce que t'étais avant. Et dis pas le contraire parce que tu serais le pire de menteur. T'as un nombre de conquêtes que.. J'ai même pas envie de savoir combien t'en as eu parce que ça me feras juste sentir un peu plus à quel point je suis pas à la hauteur. Tu comprends ça ? J'serais jamais à la hauteur d'aucune de ces filles. Et c'est peut être un détail pour toi d'en avoir dans ton sac mais pour moi c'est.. C'est me rappeler ô combien j'suis qu'une gamine qu'arrivera jamais à la cheville de tout ce que t'as eu avant. »

Ouais j'avais remis mon t-shirt parce que le moment était passé et que je ne savais pas comment cette histoire allait se terminer. Peut-être que je l'enlèverai de nouveau. Peut-être que je remetterai mon manteau parce que je partirai. Je ne sais pas encore comment notre discussion allait se conclure et j'avais très peu envie de m'en aller, même si là, un peu quand même. Elle m'avait jugé, elle m'avait jugé et ça m'faisait mal parce qu'elle savait comment j'étais quand on s'est rencontré. C'est pour ça qu'on s'est embrassés la première fois, et qu'on a couché ensemble à la seconde. Et c'est comme ça que les sentiments sont apparus même. Mais voilà, elle m'avait jugé et god, j'en pouvais juste plus. Je voulais pas éviter la dispute, si ça permettait de faire table rase. Sauf qu'elle était longue à répondre et je savais même pas si elle allait le faire un jour ou l'autre. « C'est ce que t'étais avant. Et dis pas le contraire parce que tu serais le pire de menteur. T'as un nombre de conquêtes que.. J'ai même pas envie de savoir combien t'en as eu parce que ça me feras juste sentir un peu plus à quel point je suis pas à la hauteur. Tu comprends ça ? J'serais jamais à la hauteur d'aucune de ces filles. Et c'est peut être un détail pour toi d'en avoir dans ton sac mais pour moi c'est.. C'est me rappeler ô combien j'suis qu'une gamine qu'arrivera jamais à la cheville de tout ce que t'as eu avant. » Elle l'avait fait. Et.. putain. J'inspirais, levant la tête pour regarder le plafond tout en cherchant les mots que je pouvais lui dire. J'étais pas un intello de service qui connaissait tout le dictionnaire, alors c'était un peu compliqué quand même. Rebaissant la tête, je posais mon regard sur elle, faisant une moue. « C'est l'idée que tu t'es faite de moi, c'était pas ce que j'étais. Oui, j'ai couché avec des filles. Oui, certaines je venais juste de les rencontrer. Mais c'était pas courant, je faisais pas ça toutes les semaines dans le but d'agrandir mon tableau de chasse. J'suis juste un mec simple qui se prend pas la tête.. et puis j't'ai rencontré. Je t'ai draguée, je t'ai embrassée. On a couché ensemble quand j'ai perdu le contrôle et.. les sentiments sont arrivés. Vanille, les sentiments. Comment tu peux penser que t'es pas à la hauteur alors que tu me fais craquer bien plus que toutes ces filles réunies ? Alors okay, t'as aucune expérience et j'le respecte. J'suis passé par là, j'ai déjà failé à plusieurs reprises et j'vais pas venir te juger parce que j'suis le seul avec qui t'as fait quoique ce soit.. mais j'peux pas te laisser dire que tu n'es pas à la hauteur. » Je baissais la tête, bidouillant mes mains parce que j'étais stressé. « J'ai brisé le coeur d'une fille pour être avec toi.. une fille qui était amoureuse de moi. Alors crois-moi, pour que j'en vienne à faire ça, c'est que t'es à la hauteur »

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   Ouais. C'était du toi tout craché ça. N'avoir aucune estime de ta personne. Surtout dans ce genre de situation. Et peut être que c'était mal de te dénigrer de la sorte mais.. T'arrêtais pas de te demander ce qu'il pouvait bien trouver. T'étais pas la plus jolie, t'étais pas bien foutu. T'avais pas de poitrine ni aucun attribut convaicant alors vraiment.. Tu t'posais des questions et c'était plus fort que toi. Et t'avais sortie ce que t'avais sur le coeur comme ça, te retenans fortement de pleurer. Tu voulais pas craquer et montrer que ça te touchais autant. Tu voulais pouvoir avoir une discussion sans te mettre à pleurer comme une enfant. « C'est l'idée que tu t'es faite de moi, c'était pas ce que j'étais. Oui, j'ai couché avec des filles. Oui, certaines je venais juste de les rencontrer. Mais c'était pas courant, je faisais pas ça toutes les semaines dans le but d'agrandir mon tableau de chasse. J'suis juste un mec simple qui se prend pas la tête.. et puis j't'ai rencontré. [...] J'ai brisé le coeur d'une fille pour être avec toi.. une fille qui était amoureuse de moi. Alors crois-moi, pour que j'en vienne à faire ça, c'est que t'es à la hauteur » Tu savais même pas quoi dire. Tu le regardais mais lui ne le faisait pas. Sentiment. Il avait parlé de sentiment. Au final, même si tu l'savais, c'était bizarre de l'entendre le dire à haute voix. Certes, c'était pas un "je t'aime" mais tu t'attendais pas à autant en si peu de temps et là, tu t'sentais conne d'avoir pu le blesser. Encore une fois, par peur, t'avais agis de travers pour te protéger comme si tu tentais de créer des barrières autour de toi. C'était stupide. Tu pouvais avoir confiance en lui. Tu le savais. « J'suis désolée. J'voulais pas te faire mal et.. J'pense même pas que t'es un connard qui s'est tapée j'sais pas combien de fille. J'sais que y en a eu pas mal et ça m'fais peur.. J'suis désolée. » Rester contre ton mur ne servirait à rien. Et puis tu pouvais pas le laisser comme ça, au milieu de la pièce, les bras ballants. Alors tu revenais vers lui, te collant tout contre son corps et attrapant l'une de ses mains dans les tiennes. « J'suis amoureuse de toi Florès. J'suis amoureuse de toi et j'suis désolée. »

J'y suis allé fort et j'ai sorti le grand jeu. Mais le but c'était de lui faire comprendre que, si j'avais ces préservatifs dans le sac, c'était pas parce que je ne vivais que par le sexe, au contraire. C'était surtout préventif. Vaut mieux prévenir que guérir non ? Et bien j'étais totalement adepte de ce dicton et c'était pour cette raison que mon sac comportait quelques préservatifs. Après, voilà, elle était au courant de ce que je pensais d'elle, de ce que j'avais fait pour elle et ce que je pouvais ressentir. J'avais des sentiments et ça pouvait mener à quelque chose de grandiose entre nous, si aucun de nous ne fait tout capoter par des paroles ou des jugements inutiles. Toujours la tête baissée, je l'écoutais alors me répondre face à cette tirade qui m'avait semblée interminable. Mais bon, fallait sortir ce que je pensais de tout ça, non ? « J'suis désolée. J'voulais pas te faire mal et.. J'pense même pas que t'es un connard qui s'est tapée j'sais pas combien de fille. J'sais que y en a eu pas mal et ça m'fais peur.. J'suis désolée. » Quand je me suis mis à relever le regard, elle s'approchait de moi, se collant contre mon corps en attrapant une de mes mains. Elle aussi avait revêti un t-shirt, comme quoi, j'étais pas le seul. « J'suis amoureuse de toi Florès. J'suis amoureuse de toi et j'suis désolée. » Et là, mon coeur se mit à battre fort, très fort, encore plus fort. Cette sensation d'être aimé et d'aimer cette personne en retour, c'était hallucinant et je ne m'en lasserai pas, pas du tout. Et je glissais mon visage dans son cou, enroulant mon bras libre autour d'elle pour la coller contre moi. Je pouvais pas dire autant qu'elle, c'était pas le moment que je le dise mais.. je savais que je tombais amoureux d'elle et qu'à un moment, ce sera irréversible. Je serai totalement sous son charme et rien ni personne ne pourra m'en défaire. « C'est pas grave.. au moins, tout est clair maintenant. » chuchotais-je tout en restant le visage enfoui dans son cou. Je me délectais de son parfum, de l'odeur de sa peau, de la chaleur qui s'en échappait et je ne m'en lassais tout simplement pas.

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   En fait, j'suis pas baisable, c'est ça ?

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   Peut être que ça pouvait lui faire peur que tu dises un truc pareil mais c'était la vérité. Et tu l'avais déjà dit le jour où vous vous étiez mis ensemble. Ç'était pas le même impact, la même tonalité, mais tu lui avais déjà dit. Et tu voulais pas qu'il pense que t'avais une basse estime de lui, que tu le jugeais sur sa façon d'agir avant. Parce que c'était pas le cas. Tu t'exprimais mal, t'avais été dur mais t'avais juste eu peur. Peur de ne pas faire l'affaire. En aucun cas tu ne lui repprochais quoi que ce soit. Et ça faisait du bien d'être contre lui, de sentir son souffle se répandre sur ta peau, de pouvoir inspirer son odeur à plein poumon. Ça faisait juste du bien d'être avec lui. Avec Max. Ce mec qui n'était qu'un coup de coeur et pour qui tu avais finalement craquée avant d'en tomber amoureuse. « C'est pas grave.. au moins, tout est clair maintenant. » Ouais. Tout était clair. Tu respirais doucement, collée tout contre lui et voulant bloquer cet instant pour que jamais rien ne change. Et malgré cette envie, tu t'écartais légèrement le tirant par la main pour finalement le faire tomber sur le lit. T'agissais différement quand t'étais avec lui, comme s'il avait le pouvoir de tout changer chez toi, comme s'il décuplait tes émotions puissance mille -en fait, t'étais un vampire- et tu savais pas si c'était vraiment bénéfique mais tu voulais pas perdre ça. Tu venais prendre place sur lui gagnant ses lèvres avec envie et lui donnant le baiser le plus passionnée que tu pouvais avoir en réserve. Puis finalement, t'esquissais un sourire timide le rouge te montant au joue avant même que tu ne prennes la parole. « On en était où ? »

Autant dire tout de suite, je m'étais pas attendu à ce revirement de situation. Je pensais qu'on allait s'engueuler, aller jusqu'à s'étriper et que j'allais m'barrer en claquant la porte. Mais non, elle s'excusait encore et encore, se collant contre moi pour trouver du réconfort. Ouais bon, j'aimais encore plus cette conclusion là quand même, n'aimant pas être en froid avec la jeune femme. C'est pas que ça nous est déjà arrivé mais un peu quand même ouais. Quand nous étions tous les deux en couple avec nos amants respectifs. C'était étrange et ça montrait déjà notre attachement mutuel, bien qu'on ait des engagements ailleurs. Du coup, elle s'était reculée et puis m'avait attiré avec elle vers le lit pour me pousser, me retrouvant donc allongé sur ce dernier et elle prit place sur moi, reprenant alors nos baisers de tout à l'heure. J'étais quand même destabilisé par tout ça, ne comprenant pas.. enfin si, je comprenais qu'elle voulait reprendre mais du coup, elle se sentait de nouveau à la hauteur ? Woaw, les filles sont complexes. Très complexes. « On en était où ? » demandait-elle après que la passion ait pris possession de ses lèvres quand elle m'avait embrassé. « Eh.. » Okay, j'en perdais totalement mes mots là et je ne savais trop quoi dire. Je la regardais là, positionnée sur moi et tout ce que je trouvais à faire, c'était d'attraper son t-shirt et de le remonter pour le lui retirer, histoire qu'elle soit de nouveau en soutien-gorge. Attrapant son visage, je venais l'embrasser de plus belle, trouvant la technique pour nous faire switcher nos places, elle se trouvant à présent allongée sur le lit tandis que je me retrouvais au dessus d'elle.