※ I'M YOURS & SUDDENLY YOU'RE MINE, JEZOBEL

Cette sitcom, non mais cette sitcom … Merde, cette série quoi. Il allait la louper, il avait raté sa vie le mec, autant que le Capitaine Cousteau qui n'avait été connu que de ses poissons. Voilà Bleeker suivait la même destinée que la Capitaine Cousteau sauf que, bien sûr, il était bien plus populaire que lui. Le désespoir se lisait dans ses yeux de pauvre moineau battu, lui qui aurait tellement aimé savoir la fin. « J'vais y penser jusqu'à la fin de ma vie. C'est-à-dire encore quelques minutes. » Il maîtrisait l'art et la manière de la dramaturgie. Il galérait pas mal avec les sous-entendus mais c'est pas grave, il se montrerait plus clair dans les minutes à venir. Il se rapprocha d'elle – si c'était encore possible – caressant du bout des doigts son épaule. « Non. » répondit-il avec la sécheresse du désert de Gobi, contrastant avec ses lèvres fiévreuses qui voyagèrent de la bouche à Jez jusqu'à son cou.

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Il était vraiment à fond sur cette sitcom mon dieu, mais bon ça me donnait une idée de cadeau pour son prochain anniversaire ou à l'occasion où j'aurais lui offrir un cadeau, enfin j'allais faire tout mon possible pour qu'il se souvienne à vie de cette série du fond du fond du trou. « Oh non, tu peux pas mourir dans quelques minutes, après je me retrouverais seule au monde... » dis-je en ne me lassant pas de ses douces lèvres, je frissonnais par la suite sentant ses caresses sur mon épaule. « Je vais te croire... » rajoutais-je tout en le laissant descendre ses baisers sur mon cou, je frissonnais alors brusquement, je n'avais presque jamais connu cela et puis il s'y prenait tellement bien que mon dieu c'était divin, je passais doucement mes mains dans son dos me laissant faire appréciant ses baisers et frissonnant à chacun d'eux.

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Certains mecs, tu leur offrais une console de jeu, tu pouvais être sûre de dire adieu à toute vie de couple dans les mois qui suivaient. Cody, si jamais Jez prenait le risque de lui acheter l'intégrale de cette sitcom, il risquerait de s'enfermer chez lui pendant quelques semaines, en ermite, à manger tout ce qui lui tomberait sous la main. Mauvaise idée quoi. Quoique lui, il ne s'en plaindrait pas. « Avoue que la seule chose qui t'embête si je meurs maintenant, c'est que tu ne sauras pas conduire le bateau pour rentrer. » Héhé, il l'avait percé à jouuur, il voyait clair comme de l'eau de roche, de l'eau d'Evian, de l'eau de mer en Bretagne. Clair clair clair. C'était tout aussi clair que ses intentions à l'égard de Jezobel. Au bout d'un moment, Cody pensait qu'ils s'étaient suffisamment tournés autour, que les choses sérieuses devaient commencer, qu'ils étaient en plus de ça à Punta Cana et qui dit Punta Cana dit … Wesh il faudrait une rime en A mais j'ai rien trouvé qui convenait. Ses frissons l'électrisaient, comme si elle les lui transmettait par tous les pores de sa peau contre la sienne. Loin de s'imaginer qu'il était sans doute le premier à conquérir ce terrain inconnu, un sourire amusé s'esquissa tandis qu'il retrouvait ses lèvres pour un baiser plus passionné, a l'unisson une main fiévreuse effleura sa hanche.

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« Je l'avoue je l'avoue c'est bon... » dis-je en riant avant de lui donner une tape sur l'épaule. « T'es méchant de penser ça ! J'ai juste pas envie que tu meurs parce que... Parce que... Parce que parce que voila ! » rajoutais-je ne voulant pas avouer à Cody qu'avec lui je me sentais bien, et tout un tas d'autres choses que je ressentais, j'étais comme ça c'était très dur de me tirer les vers du nez, au sens figuré s'il vous plait parce que non j'ai pas de vers dans le nez, même si mes frissons me démasquaient quelques peu, y'a pas un moyen de mettre ces choses en mode off please ? Mais enfin même en mode off je pense que je frissonnerais toujours, Cody me faisait de l'effet comme pas possible donc. Je répondais alors à son baiser passionnément mais aussi légèrement langoureusement, jusqu'à présent je n'avais jamais laisser quelqu'un me toucher ainsi mais j'appréciais énormément, je frissonnais à nouveau sentant sa main sur ma hanche, je laissais alors glisser mes mains sur son dos pour atteindre le bas de ce dernier, prolongeant longuement le baiser.

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Parce que voilà quoi ! Gné ? Vazi Cody, démerde-toi avec ça, décrypte, enclenche ton traducteur Jezobel LV44. Oui, nan, le plus simple était encore de lui demander. « Parce que quoi ? Va au bout de tes idées, sauf si je t'intimide comme un petit mouton en détresse. » se louangea-t-il. Petit mouton. Jezobel tenait autant du mouton que Cody de Brad Pitt de qui, dans une autre vie, il en serait le sosie officiel. Un peu comme un sosie de Johnny, mais en moins beauf bien que l'idée d'avoir des tatouages de machin en feu sur le bras et de faire du tuning sur une Clio lui titillait agréablement les narines. Presque autant que lorsqu'il enfouissait son visage dans son cou, son parfum naturel – aux arômes d'eau de mer et d'algues vertes – embaumait le nez et le coeur du jeune homme. Sentant les mains de Bel s'insinuer dans le bas de son dos, il s'esclaffa tout contre ses lèvres, rompant ainsi un baiser langoureux ; « T'as tout manigancé pour qu'on en arrive là, non ? La baignade tout habillé, la couverture, me rendre complètement accro à toi ... Tu voulais juste toucher mes fesses en fait ? » Il arquait un sourcil, guettant la réponse de l'opposition. Machinalement, ses doigts se perdirent sur l'élastique du soutif de Jez, duquel il jouait avec la bretelle. Il paraissait que les plus grands dictateurs de l'histoire étaient des spécialistes de la théorie du complot. Croyez-moi, ce n'était pas pour rien que Bleeker rimait avec dictateur.

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« Je suis pas un mouton en détresse déjà ! Et parce que... Parce que... Cody voila ! » dis-je en fronçant légèrement les sourcils à ce que je venais de dire, on aurait dit une handicapé qui parle ma parole "parce que cody", what's the fuck Jez', ne laisse pas la connerie t'emparer, soit plus forte ! Enfin bref, à chaque baiser qu'il déposait sur ma peau, je sentais mon corps frissonner, j'avais l'impression d'être impuissante face à ce dernier n'arrivant pas à cacher ceci, moi qui était de nature si froide par rapport à mes sentiments là mon corps me trahissait. « J'avais peut-être un plan de séduction je te l'accorde, mais j'avais pas comme but d'en arriver à te toucher les fesses steuplait, je voulais juste savoir comment était les fesses des pingouins c'est tout. » rajoutais-je en me mordant les lèvres tout en souriant, je me retenais de pouffer de rire, j'étais une habituée de connerie mais avec Cody ma folie s'empirait et je faisais aussi sûrement empirer la sienne, on était fait pour se rencontrer je vous le répète. Je le sentais jouer doucement avec la bretelle de mon sous-vêtement, à ce moment précis je compris que c'était ce soir que je devais devenir enfin une femme, j'étais prête, je laissais doucement descendre mes mains jusqu'à son torse.

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De mieux en mieux. Si quelqu'un se portait volontaire pour trouver un sens au charabia de Jezobel, Cody le paierait cher en … En … Nan, il n'avait pas d'argent, il ne paierait pas. Puis, techniquement, ça signifiait qu'il perturbait Jez, qu'il lui faisait autant d'effet que l'ultimate choucroute des 1D sur les groupes de quatorze piges ? Il le prenait donc comme une victoire. Plissant les paupières, il demanda cependant ; « ça va sinon, tu n'as pas trop de problèmes pour communiquer ? » Sa santé mentale le préoccupait de plus en plus. Et si elle était bonne pour l'HP ? Cody ferait mieux de vite changer de numéro de téléphone et de déguerpir d'ici, si seulement ils n'étaient pas dans un voilier en plein milieu de la mer, qu'il avait froid et qu'il avait envie d'elle. Ah, les hormones, si seulement on pouvait les contrôler à coups de baguette magique. Ah, les baguettes magiques, si seulement vous existiez. À son tour, il se transforma en vibreur quand ses mains s'aventurèrent sur son torse, mais il tenta de noyer le poisson en l'embrassant fiévreusement, comme si ça suffirait à inhiber tout ce qu'elle déclenchait en lui. Il murmura entre deux baisers, incapable de se séparer trop longtemps d'elle ; « Et alors ? T'en penses quoi ? Ça correspond à tes attentes ou tu es déçue ? » On sait jamais, elle avait peut-être des critères en termes de Faith (:woohoo:) et qu'elle choisissait ses mecs en fonction de ça. Ça va, Bleeker ne se pensait pas si mal loti.

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Bon écoutez ce n'était pas de ma faute si j'avais du mal à me dévoiler, j'avais toujours été ainsi depuis mon plus jeune âge, je crois que je n'avais jamais dit je t'aime à personne enfait, à moins que peut-être je l'avais dit à ma mère quand j'étais plus petite mais je devais être inconsciente, c'est pourquoi j'avais du mal à faire part à Cody de mes sentiments présent il allait galéré pour me faire avouer pas mal de chose mais une fois qu'il aura ma confiance totale à ce moment là il lira en moi plus facilement. « Non je sais parfaitement m'exprimer, j'ai juste du mal à me dévoiler c'est tout... » dis-je en lui donnant une tape sur le torse, ouais je n'étais pas au stade des vrais coups et je pense qu'avec Cody cela n'arrivera jamais même si avec d'autres personnes je pouvais être violente, très violente... « Ça dépasse mes attentes, t'as des belles fesses de bébé. » rajoutais-je en riant légèrement avant de venir retrouver ses lèvres partageant un tendre et langoureux baiser, je pouvais me lançais sans crainte j'avais l'approbation des critères de fesses de Faith et bien heureusement pour moi ses fesses de pingouins étaient bien mieux que celle d'un Phoenix ( :rvmp: ), je passais alors doucement mes mains sur son torse, caressant sensuellement ce dernier.

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À partir de quand pouvait-on parler de violence conjugale ? Ça s'y rapprochait, même s'ils n'étaient techniquement pas en couple. Il grimaça, sa bouche forma un O tandis qu'il massa de la paume de sa main son torse endolori. Elle avait visé droit dans la graisse, ça rebondissait mais ça faisait mal aussi. « C'est pas ce que j'avais cru remarquer pourtant. » Parce que quand il fallut sauter à la mer, là, elle n'eut pas de mal pour de se dessaper sous ses yeux. Enfin lui, il aimait ça, les filles pas toujours en quête de romantisme, pas toujours là parler sentiments et conneries dans le genre. Il était lui-même assez rustre, comme un ours au fond de sa caverne quand il s'agissait de mettre une émotion sur chaque mot. Merde, s'il voulait avoir son avis par rapport à ses fesses bien que le moment ne soit pas propice à ce genre de chose, il avait le droit, non ? Et bien avec Jezobel, il se le permettait, il avait compris qu'à ce niveau-là, ils étaient semblables. « Cool. Je suppose que ça veut dire que tu vas me garder encore un peu ? » chuchota-t-il en allant de sa bouche à son cou, puis son épaule. Discrètement – si on pouvait considérer ça comme de la discrétion quoi – il essaya de glisser ses doigts entre le matelas et Jezobel, histoire d'atteindre l'agrafe. Mais il n'y parvenait pas puisque la demoiselle, elle faisait quand même son poids quoi. Tous ses muscles relâchés, il posa son front contre son épaule, tapota deux-trois fois avant de lui faire remarquer ; « Va falloir que tu m'aides là. Non parce que la parité homme-femme je suis pour, mais il faut que ça aille dans les deux sens quoi. » En clair, déshabille-toi parce que je suis pas foutu de le faire moi-même.

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« Et bien peut-être que tu m'as pas encore cerné, quand t'en apprendra plus sur moi là tu comprendras. » dis-je en souriant légèrement, le pauvre il était tombé sur la fille qui a le plus vécu de chose dans sa vie, je pense que j'avais un peu tout tester enfait et un peu tout vu, bon à part le fait que je n'avais jamais eu de relation sexuelle avec les hommes, j'avais presque tout fait, c'était comme un moyen pour moi de me libérer de la vie pas très rose que j'avais. « Je dirais plutôt encore beaucoup. » murmurais-je entre deux baisers avant de laisser le Lowell descendre ses baisers jusqu'à arriver à mon épaule, il essaya par la suite de me dégrafer mon soutien-gorge en vain, non je n'étais pas grosse c'est juste qu'il ne savait pas s'y prendre c'est pas compliqué de retirer un soutif la preuve je le faisais tous les jours pour prendre ma douche. « Dis plutôt que t'y arrives pas je comprendrais. » rajoutais-je en riant légèrement tout en me redressant afin de dégrafer ce que le beau brun n'avait pas réussi à faire, je le retirais par la suite en le jetant je ne sais où, ouais quand on est dans ce genre de situation on ne fait pas souvent attention à où nous jetions nos affaires, je déposais à nouveau mes lèvres contre les siennes en reprenant mes caresses sur son torse.

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