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AUSTIN ∞ l'amener chez soi sans penser aux conséquences ... mauvaise idée !

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Is it too fast ?
you think ? (a).

 


Je ne pouvais étouffer mon gémissement de plaisir suite asa main sur mon sexe -et de toute façon je n’en avais pas envie-, cette sensation d’excitation mélangée à l’alcool me rappelait ô combien il était bon de vivre. Madisson tout comme moi, ne pouvait plus attendre. Nos deux corps se retrouvaient à présent tous les deux nus, l’un contre l’autre et ce n’est qu’après quelques secondes et avoir échangé un énième baiser en faisant rencontrer ma langue avec la sienne, que je pénétrais en elle afin de « baiser » comme j’avais tant l’habitude de le faire durant les soirées, sauf que là ce n’était pas comme d’habitude. Ça restait quand même ma meilleure amie, j’avais été sa première fois et peut-être sa deuxième ce qui n’était pas anodin pour elle-même si elle n’en avait sûrement pas conscience et n’en mesurait sûrement pas les conséquences. Peut importe ce qu’il pouvait se passer demain -même si nous devions sûrement déjà être la matin-, dans cette chambre se trouvait deux ex redevenus amis et peut-être meilleurs amis -à approfondir- en train de goûter une fois de plus au plaisir charnelle plus communément appelé le sexe que tout jeune d’Harvard adorait pratiquer. C’était d’ailleurs bien le seul sport auquel personne ne bronchait pour l’exécuter.
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que haine deviennent amitié.

Son gémissement me faisait sourire de plus belle, fascinée par ce que j’arrivais à faire. Dommage qu’il me faille quelques verres pour oser cela. En même temps … Je n’avais jamais imaginé un seul instant que ma seconde fois serait avec la même personne que ma première fois. Ça doit être inimaginable pour quelqu’un. Et infaisable dans le trois quarts des cas. Ou bien, il fallait être en couple de suite et que tout se passe merveilleusement bien. Ou avoir un « plan cul » … Enfin, je doute que l’on puisse coucher avec son meilleur ami une première fois – même si on est en couple – et le refaire un an après, alors que l’on vient de se réconcilier. Non, vraiment, ça doit arriver très très très rarement. Pourtant, c’était le cas en ce moment-même. Il venait de venir en moi, me faisant me cambrer en gémissant de plus belle. C’était toujours aussi bon. Dire que ça fait un an. Je n’en revenais pas. Le temps passait réellement très vite.

Caressant sa nuque, je cherchais de l’air au fur et à mesure qu’il venait en moi, une douleur me prenant lentement. Evidemment, si j’avais eu d’autres partenaires depuis ma première fois, je pense que j’aurais moins mal. Sauf que ce n’était pas le cas. Et je ne voulais pas accepter, ce soir, le fait que je ne désirais personne … A part lui. Me cambrant doucement, je soupirais doucement pour outrepasser la douleur, penser à autre chose en attendant que ça passe.

MADISSON – « Doucement … » lui murmurais-je tout bas, sans vraiment m’en rendre compte.

Parce que même si pour lui on baisait, je ne voulais pas – même s’il restait vague – en garder un mauvais souvenir et avoir mal toute la nuit … Voire plusieurs jours après encore. Peut-être, oui, je demandais un peu de tendresse, de douceur. Juste une nuit. Ou bien juste pour le début. Je n’en sais rien. Mon esprit est ailleurs. Mon corps ne peut pas retenir mon envie et mon désir est le seul à pouvoir s’exprimer. Savoir et sentir qu’il est en moi me fait voler. Même si la douleur était toujours présente, je me sentais bien. Vivante et dans un bonheur incommensurable. Je ne m’en rendais pas encore compte, mais sûrement que cet acte me fera plus de mal que de bien dans le futur. Mais passons. Vivons le moment présent, peu importe le nombre de regrets que l’on peut avoir par la suite.
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J'avais tendance à parfois oublier mes bonnes manières en matière de sexe et prendre tout le monde comme des experts en la matière, mais à en juger la réaction de Madisson, je ne mis pas longtemps à comprendre que se devait être que la deuxième fois qu'elle entretenait une relation sexuelle. Mon but n'étant pas de lui faire mal et non plus de la baiser et de la jeter le lendemain, je décidais d'y aller plus doucement comme elle me l'avait gentiment demandé et déposais doucement mes lèvres sur les siennes afin de la calmer, mais aussi de la rassurer. Moi avec elle, elle n'avait pas à avoir peur. J'avais toujours veillé à ce qu'il ne lui arrive rien malgré tout ce qu'il c'était passé entre nous et ça ne risquait pas de changer. Je tenais à Madisson -peut-être pas comme elle le souhaiterait- mais cela ne changeait en rien mon affection envers la jeune fille.

Nos deux bassins s'entrechoquaient oubliant alors complètement le monde qui nous entourait. Entre la musique qui tapait dans notre tympan à en oublier la réaction des voisins, le litre d'alcool qui coulait dans notre sang ainsi que l'excitation qui régnait entre nous deux, autant vous dire que nous étions sur une autre planète et qu'on retournera sur terre un peu plus tard dans la soirée. Toujours en continuant mes mouvements de plus en plus en forts jugeant qu'à présent Madisson devait sûrement dû s'être habitué au fait que je sois en elle, je jouais sans retenue avec sa langue prenant beaucoup de plaisir à balader mes mains partout sur son corps.
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Sa douceur me rassurait, m’apaisait. Lorsque ses lèvres se posèrent sur les miennes, je me sentais mieux que jamais. Même si j’étais dans le vague total, j’avais l’impression que cette seconde fois avec lui était meilleure que la première. Plus intense … Meilleure à tout point. Peut-être parce que je ne pensais pas à ce que je faisais, qu’il n’y avait juste rien à se poser comme questions et profiter du moment présent. Juste ça et rien d’autre. Nous n’étions pas en couple, c’était déjà un « problème » de moins … Même si une partie infime de moi se demandait si notre amitié allait survivre à ça. La réponse était simple : oui. Parce que j’avais trop besoin de lui pour m’écarter de lui. Certes, le lendemain de cette nuit allait être … mouvementé, mais c’est logique. Tout à fait logique.

Musique, alcool, sexe. Cela me convenait totalement. Pour cette nuit, uniquement. Même si les voisins venaient à frapper comme des dingues à la porte, la police pourrait défoncer la porte que je m’en ficherais totalement. Avec lui, je me trouvais complètement autre part. A des milliards d’années de lumières de là. Avec lui. Ses mouvements étaient plus rapides, ma douleur avait complètement disparu grâce à sa douceur et ses baisers. Sa langue jouait avec la mienne, me faisant sourire et frissonner à la fois malgré la chaleur de nos corps et de la pièce.

MADISSON – « Hm Austin … » gémissais-je entre nos lèvres.

Le plaisir ne cessait de monter et ses mains baladeuses me chatouillaient un peu tout en me faisant frémir de bonheur. Griffant légèrement ses omoplates, je me sentais voler de plus en plus haut. Comment arrivait-il toujours à me faire sentir si vivante ? Je ne le savais pas et à vrai dire, je préférais qu’il le garde pour lui. Cette même petite partie de moi se disait qu’il était bien dommage que cela ne dure qu’une seule nuit. « Malheureusement » ce n’était pas moi qui lui proposerais ça plus souvent. L’étiquette « plan cul » n’est pas faite pour moi. Quoiqu’avec ma naïveté … Mais non. J’avais besoin de sentiments. Et bien sûr, ce n’était pas sans sentiments que nous nous étions retrouvés ici. Je l’aimais toujours – même si lui non – et ça ne changerait pas de sitôt. Même si demain … Oh, n’y pensons plus !
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L'entendre gémir était rassurant, cela voulait dire qu'elle appréciait cet échange -même si je ne doutais pas une seule seconde de mes capacités au lit- J'accélérais petit à petit mes mouvements, nos deux corps totalement en sueur et collant. Ça pouvait en dégoûter plus d'un, mais c'était la dernière chose à laquelle je pensais. Tout ce que je voulais là, c'était de prendre mon pied et profiter de nos retrouvailles à Madisson et moi, car cela faisait plus d'un an que nous nous n'étions pas vu. Certes, c'était assez étrange comme retrouvailles en tant qu'ami seulement, mais c'était des retrouvailles à notre manière, comme on savait si bien le faire. C'est donc après de longs vas et viens et un dernier cri atteint par elle, mais aussi par moi, que je défaisais d'elle avant d'éjaculer. Je n'avais pas oublié que nous n'avions pas pris de précaution du genre contraception en tout genre et ne sachant pas si elle prenait la pilule ou pas, je ne voulais pas prendre le risque de me retrouver avec un gamin sur les bras.

Mon corps totalement en sueur, mes cheveux habituellement bouclé c'était soudain retrouvés tout plat, collé à mon visage. Je m'allongeais à ses côtés et essayais de reprendre mon souffle, une main déposée sur mon torse qui ne cessait de bouger au rythme de ma respiration. Je reprenais doucement mes esprits même si les effets de l'alcool ne disparaîtront que demain matin. Sans rien dire, je me levais du lit et laissais Madisson là, planté sur le lit avant de réapparaître devant la porte. « Ha je t'ai fait peur ! Avoue que t'as cru que j'allais partir comme un voleur ! » En fait j'étais juste parti chercher mon paquet de clope afin de m'en allumer une baise. Et comme je ne comptais pas arrêter la soirée là, je me resservais quelques gorgées de vodka supplémentaire à même la bouteille la tendant alors à Madi'. « T'en veux ? » Disais-je en souriant avant s'enlever à l'aide de quelques doigts de libre les cheveux qui c'étaient collés devant son visage.
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Ce sentiment de plénitude total. De se dire que le reste n’a plus d’importance. Plus de cours, plus de travail, plus d’amis, plus de familles. Plus rien à part cette sensation de bien être totale qui nous emplit de toute part. Cet effet si fort que l’on veut qu’il ne cesse jamais, sous aucun prétexte. Mais comme on dit « toutes les bonnes choses ont une fin » Après tout, c’est pour cela que l’on en raffole tant et que l’on en redemande. On se sent bien pendant une courte durée, cela se finit et on cherche à renouveler l’expérience. Que ce soit pour la drogue, l’alcool, le sexe, ou toutes autres manières de nous faire ressentir ce bien intérieur. Ce n’est pas toujours une bonne idée en soit : certaines sensations de bien être affectent notre santé, autant physique que mentale. Mais une fois l’addiction présente, on ne peut de toute façon pas s’en séparer, ou de manières très compliquées et dures. La perception de ce bonheur de courte durée est propre à chacun. C’est bien pour cela que l’on ne peut pas savoir ce que ressent l’autre. Quand on dit « je comprends », « je sais ce que c’est » ce n’est que pour rassurer, alors que l’on se ment à soi-même et à l’autre en déclarant cela. Personne ne peut savoir et ne peut ressentir la même chose. Deux amis n’auront pas la même conception de l’amitié, de son importance, de son niveau. Il en est de même pour deux amoureux, deux personnes qui se haïssent, etc..

Perdue dans mes pensées – comme quoi l’alcool aidait bien à la philosophie parfois – je ne m’entendais plus gémir son prénom et de lui demander de ne pas arrêter, de continuer, encore et encore. Ce fut dans un dernier cri, plus haut que les autres, qu’un violent orgasme me frappa. A chaque fois, il arrivait à me faire toucher des étoiles. Oui, il avait sûrement un don. Ce qui me plaisait d’autant plus. Ce qui me faisait tant m’accrocher à lui. Dans l’atteinte du sommet du plaisir, je le sentis se retirer avant qu’il ne crie à son tour, se déversant sûrement. Mon corps se trouvait bien trop empreint à mes tremblements pour que je puisse me rendre compte de quoique soit. Pour le moment, je tentais de reprendre ma respiration, aussi difficile soit-il. Ma poitrine se soulevait et s’abaissait à un rythme effréné. L’alcool me faisait toujours le même effet et j’appréciais ce moment de plaisir pur grâce à lui. Sentant le lit s’affaissé à mes côtés, j’en conclus qu’il venait de s’y laisser tomber. Le regard fixé sur mon plafond, je décidais de fermer les yeux pour me concentrer sur ma respiration chaotique.

Cependant, quelque chose me fit rapidement ouvrir les yeux. Le matelas venait à nouveau de bouger et là, je vis mon meilleur ami s’en aller de la pièce. Nu. Sans rien dire. Ce qui me fit sourire avant de rire tout doucement. Croyait-il vraiment que je pensais qu’il partirait ainsi alors que toutes ses affaires se trouvaient dans ma chambre ? Apparemment, je me révélais plus perspicace et moins naïve avec un fort taux d’alcoolémie dans le sang. Quel paradoxe ! Un court instant après son départ, il réapparut devant ma porte. Mon bel idiot.

AUSTIN – « Ha je t'ai fait peur ! Avoue que t'as cru que j'allais partir comme un voleur ! »

MADISSON – « Pas du tout ! » riais-je encore, plus fort cette fois-ci. « Sauf si tu aimes te balader nu, dans la rue, juste à côté d’Harvard »

Qu’il est mignon. Si j’avais été à jeun de toute boisson, oui, j’aurais pu avoir peur qu’il parte ainsi. Mais si je n’avais rien bu, nous n’aurions pas couché ensemble. Donc la situation aurait été différente. Complètement différente. Voyant son paquet de cigarette, je me doutais qu’il avait disparu pour ça. Selon les dires des gens, la meilleure clope est celle du matin, celle du soir ou bien celle juste après avoir coucher avec quelqu’un. Etrange pour un non fumeur, mais très crucial chez les fumeurs. Me redressant, je ramenais le drap sur moi, m’enroulant dedans, la température étant rapidement descendu. Des frissons me parcouraient déjà et je ne comptais pas tomber malade. Le voyant boire, il me tendit ensuite la bouteille.

AUSTIN – « T'en veux ? »

Souriant à mon tour, je pris la bouteille doucement avant de la porter à mes lèvres pour boire quelques gorgées. En le regardant se décoller les cheveux du visage, je ne pus réprimer un large sourire. Non, vraiment, les boucles lui allaient largement mieux. Relevant les cheveux, la bouteille calée entre mes genoux, j’attrapais un élastique sur la table de nuit pour les attacher en une queue de cheval. Mieux, beaucoup mieux. Reprenant la bouteille, je bus une gorgée, attendant qu’il allume sa cigarette pour la lui piquer, tirant dessus en douceur. Oui, peut-être avais-je déjà fumé il y a peu à une fête – après avoir bu, bien sûr – ce qui me permettait de ne pas tousser comme une malade. Après deux bouffées, je lui rendais avec un petit sourire innocent. Quoi ? Qui a dit que j’étais la Sainte Vierge ? Personne. Et j’espérais pour lui qu’il ne s’attendait pas – surtout bourrée – à voir sa meilleure amie coincée et chaste d’avant. Toute personne à plusieurs personnalités, plusieurs facettes sans être forcément schizophrène. Celles-ci s’expriment suivant l’humeur, la situation, etc. Alors là, je me lâchais, complètement. Ailleurs. Comme sur une autre planète avec une autre vie.
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C'est vrai elle n'avait pas tout à fait tord. J'aurais pu trouver mieux comme vêtement même si mon t-shirt séchait juste à côté cela aurait été léger d'autant plus que nous arrivons dans les périodes froides. Même si j'étais loin d'être le mec le plus pudique d'Harvard que me balader nu dans son appartement par exemple, ne me gênais pas le moins du monde, je ne me voyais pas sortir comme ça. « Ha ! Qui sait ! » Répliquais-je tout souriant sachant très bien que même si j'étais capable de beaucoup de choses, je n'étais pas assez bourré pour faire ça et la température me freinait assez.

Je lâchais la bouteille des mains, laissant alors la demoiselle boire à sa guise tandis que de un, j'allumais ma clope -le plus important- et de deux, j'enfilais tout de même mon boxer avant de rasseoir sur son lit en soupirant d'aise. Mes yeux s'arrêtèrent alors soudainement et je ne faisais plus aucun geste voyant ma cigarette m'échappait des doigts. Madisson souriait fière de son geste alors qu'elle tirait une taffe. Ni une, ni deux, je reprenais on ne peut plus vite ce qui m'appartenais. « Je t'interdis de toucher à ça ! Et même si c'est pour une soirée Madi' ! ça commence comme ça et après tu ne t'arrête jamais ok ?! » Oui je la sermonnais comme si j'étais son padre. Je n'étais pas le mieux placé pour lui faire la leçon de morale, mais j'étais comme ça, à m'en faire pour les gens que j'aimais bien. En fait j'en avais rien à foutre de tout le monde ! Rares étaient les personnes qui avaient le droit de connaître ce côté de ma personnalité. D’ailleurs je pouvais les compter sur les doigts de ma main. Ma mère et Madi’, ce n’était pas énorme, mais déjà beaucoup à mes yeux. « Tu peux te venger sur la bouteille par contre, tant que tu ne deviens pas alcoolique » disais-je en rigolant. J’avais fini par me lever de ma place afin de passer ma tête et d’augmenter encore un peu le son de la musique avant de crier dehors. Non, je n’avais jamais connu le respect et ce n’était pas maintenant que j’allais recevoir et retenir des leçons de discipline. Par la suite, je m’étais emparé de la bouteille de whisky afin de faire comme avec la vodka, boire à même la bouteille. « Trinquons mon amie ! A notre amitié ! » Et les deux bouteilles vinrent s’entrechoquer tandis que je riais comme un pauvre con ne sachant plus trop où nous étions, mais en tout cas j’étais heureux et c’était le plus important.
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Parfois, certaines personnes vous disent des paroles censées, lourdes de sens et auxquelles il faut porter une attention toute particulière. Ce sont ces moments dans sa vie qui passent si rapidement que l’on vient souvent à s’en demander si ce n’était pas un rêve, un passage de l’imaginaire qui arrive à se mêler à la réalité. Dans tous les cas, ces quelques bribes de conversation qui filent dans le temps doivent être gardées précieusement dans le coin de sa tête. Des dires sages et qui nous font prendre conscience d’une erreur que l’on aurait pu éviter ou que l’on a pu contourner grâce à des mises en garde. Le problème vient des personnes qui arrivent à entrer dans notre tête, dans notre cerveau pour nous persuader de faire certaines choses à la place d’autres. Pour leur intérêt personnel, pour voir l’autre souffrir, ou pour encore d’autres raisons les unes plus sombre que les autres. Ceux-là sont appelés « beaux parleurs » et c’est eux qui nous font le plus de mal. Le souci vient de la confiance que l’on accorde plus à certains que d’autres. Oui, mais voilà, comment savoir à l’avance qui ne va jamais utiliser l’autre ? Peut-on affirmer que l’on n’a jamais usé de quelqu’un par intérêt personnel ? Je n’en croirais rien. Qui n’a jamais utilisé une personne pour son propre confort ? Personne. Même si parfois c’est par générosité, très souvent, on ne cesse pas de continuer à en vouloir. Toujours plus. Toujours plus fréquemment. Toujours, encore et encore. Telle est la nature même de l’Homme.

AUSTIN – « Ha ! Qui sait ! »

Mon regard se plantait sur lui alors que je riais toujours. Sincèrement, je ne préférais même pas savoir ce dont il était capable. Imaginer le genre de soirée auxquelles il participait pouvait peut-être mon passe temps détesté lorsque je ne buvais pas, mais je ne me trouvais pas en état de m’inquiéter ou de m’attrister pour ce qu’il pouvait faire lorsque j’avais le dos tourné. Tout ça n’appartenait qu’à lui et je ne pouvais pas prétendre à lui faire la morale. D’ailleurs une fois mon rire calmé, je me retrouvais à boire encore avant de lui piquer sa cigarette un cours instant. Quoi ? Ou est le mal ? Ce n’était pas comme si ça allait me tuer sur le coup, quand même. Mais apparemment, ce n’était pas du tout l’avis de mon meilleur ami.

AUSTIN – « Je t'interdis de toucher à ça ! Et même si c'est pour une soirée Madi' ! ça commence comme ça et après tu ne t'arrête jamais ok ?! »

Haussant un sourcil, je ne savais pas vraiment s’il se foutait de moi ou non. Apparemment, non, pas du tout. Hallucinant. Et je n’allais pas me cacher pour lui faire entendre ma façon de pensée.

MADISSON – « Tu oses me faire la morale alors que tu fumes ? C’est le monde à l’envers ! » dis-je en roulant des yeux avant de rire doucement.

Oui, j’avais parlé sans vraiment réfléchir, mais c’est dingue que ce soit les fumeurs qui fassent ce genre de remarques. Eux peuvent fumer sans aucun problème, mais les non fumeurs ou ceux qui fument très occasionnellement sans en devenir accro, c’est juste la fin du monde quand on touche à une cigarette, ou juste prendre des bouffées. Comme si le tabagisme passif était meilleur pour la santé, la bonne blague, hein. On peut tout aussi bien avoir un cancer en fumant qu’en respirant. Tout dépend de comment on réagit, puis de tous ces trucs qu’on a dans nos gênes.

AUSTIN – « Tu peux te venger sur la bouteille par contre, tant que tu ne deviens pas alcoolique »

Lui faisant un magnifique fuck, je gardais précieusement la bouteille contre moi en buvant encore quelques gorgées. A vrai dire, elle se trouvait bientôt complètement vide. Pas cool. La musique augmenta encore alors que je voyais mon meilleur ami ouvrir la fenêtre et crier dehors. Ce mec a un sérieux problème au peu de neurones dont il dispose. Remarque personnelle qu’il faudrait que je garde en tête non bourrée.

AUSTIN – « Trinquons mon amie ! A notre amitié ! » dit-il en cognant nos bouteilles respectives avant de rire.

Ma conscience noyée dans l’alcool me criait : « Des amis ne couchent pas ensemble ! » mais aussitôt elle coulait, attrapée par les profondeurs de vodka. A la place de réagir de façon rationnelle – ce qui est juste impossible en ayant trop bu, ou extrêmement rare – je finis la bouteille avant de sourire comme une idiote. Je me sentais tellement bien. Laissant la bouteille tombée à terre – réceptionnée par mon tapis qui fit qu’elle ne se brisa pas – je passais un bras autour de la nuque de mon meilleur ami avant de poser un bisou sur sa joue. Juste une petite envie comme ça. Evidemment, j’aurais pu l’embrasser carrément, mais non. Retirant mon bras, calant le drap pour ne pas qu’il tombe, très à l’aise comme ça, j’essayais de trouver une nouvelle bouteille malgré mon regard trouble. Passoa ? Parfait ! Attrapant la bouteille, je la dévissais comme une pro avant de boire un petit coup. Magique !
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Toujours clope au bec en jonglant entre la bouteille d'alcool qui d'ordinaire devait me brûler les entrailles dut à son fort degré, mais question d'habitude et ma cigarette, je bougeais de par et d'autre de la chambre de Madisson ne pouvant, comme à mon à mon habitude, pas tenir en place. « Ouais, mais moi tu vois moi ça fait sept ans que je fume, on ne peut plus rien faire pour moi ! » A deux paquets par jour depuis plusieurs années, je n'avais pas pensé une seule seconde qu'il était possible d'arrêter. « Et puis ce n'est pas parce que quelqu'un fait que tu te donne le droit de reproduire ces conneries. Après tu fais ce que tu veux écoute ! J'ai surtout pas envie que tu me pique mes clopes ! » Le mode " Austin s'inquiète " avait très vite changé en mode " fait ce que tu veux t'as vie ma cocotte c'est pas mon problème " avec moi ça ne durait jamais bien longtemps.

Alors finissant tranquillement ma cigarette qui n'avait une nouvelle fois, pas duré bien longtemps, je regardais mon amie changer de bouteille, l'autre se trouvant à présent vide. Je la laissais s'approcher de moi et acceptais en souriant son baiser sur ma joue. Je m'attendais à plus. C'est pourquoi j'étais revenu dans la foulée vers elle, afin de m'emparer de ses lèvres. « Hum...très bon choix » Par là, je désignais la nouvelle bouteille qu'elle venait de choisir. « Quoi qu'avec le whisky ça donne un truc étrange.» Écrasant mon mégot sur le rebord de la fenêtre sans me poser plus de questions -on se rendra bien compte de l'étendue de nos dégâts demain matin- je regardais la bouteille d'alcool à moitié pleine que je tenais en réfléchissant. « Tu me donne combien de secondes pour finir la bouteille ? » Toujours mes verts rivés sur la bouteille en question, j'attendais une réponse de la demoiselle avant de commencer mon défi.
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AUSTIN – « Ouais, mais moi tu vois moi ça fait sept ans que je fume, on ne peut plus rien faire pour moi ! »

AUSTIN – « Et puis ce n'est pas parce que quelqu'un fait que tu te donne le droit de reproduire ces conneries. Après tu fais ce que tu veux écoute ! J'ai surtout pas envie que tu me pique mes clopes ! »

Roulant des yeux, je soupirais doucement. S’inquiéter pour moi ? Non. Il se préoccupait plus des clopes que je pouvais lui taxer que de ma santé. Mais il restait égal à lui-même. Pour faire passer ça, je repris une gorgée de ma nouvelle boisson. Par la suite, j’avais décidé d’embrasser sa joue. Comme ça, sur une pulsion. Je devais avouer que je n’aurais tardé à en profiter pour embrasser ses lèvres. A ma grande surprise, il le fit avant moi. Avouons, même bourrée, je me retrouvais un peu surprise de son geste. S’il a le droit … j’en ai le droit aussi !

AUSTIN – « Hum...très bon choix »

MADISSON – « Je sais, j’ai bon goût »

Bah quoi ? Je n’allais pas me gêner pour me dire tout ce qui me frôlait les lèvres. Surtout que d’ici demain, on aura tout oublié. Tout … Peut-être pas, mais bon, je laissais mon soudain franc parler faire comme bon lui semble. Bien que j’avais fermé la gueule pour la clope, mais c’était juste parce que – pour une fois – il avait raison. Ce n’était pas bon pour la santé et je ne serais pas aussi idiote que lui pour le faire (a)

AUSTIN – « Quoi qu'avec le whisky ça donne un truc étrange »

MADISSON – « Eurk, hors de question ! » dis-je en grimaçant, imaginant vaguement le coup horrible que cela pourrait avoir.

Le voyant fixer sa bouteille en réfléchissant comme ça, je haussais un sourcil. A quoi pensait-il donc ? Reprenant une gorgée, je jouais avec le drap.

AUSTIN – « Tu me donne combien de secondes pour finir la bouteille ? »

Levant le regard vers lui, je me mis à rire doucement. Non, il est vraiment incorrigible. Il allait se rendre malade. Quel taré. Mais il avait l’air déterminé, alors bon. Ainsi soit-il, même si je n’allais pas juste lui dire en combien de temps il fallait qu’il le fasse.

MADISSON – « Si tu le fais en dix secondes ou moins, tu as le droit de me demander ce que tu veux. Dans la limite du raisonnable hein » fis-je en souriant. « Mais si je gagne … » dis-je en la défiant. « Tu feras ce que moi je veux »

Evidemment, ça n’a aucune importance si on ne met pas un peu de piquant à son petit défi. Pour ce qui est du cas où il gagne, j’avais quand même eu l’itelligende de préciser dans la limite du raisonnable, parce qu’avec lui, je pourrais m’attendre à tout et surtout n’importe quoi. Et à vrai dire, je ne voulais pas être expulsé de mon appartement ni qu’il y est trop de dossiers sur moi. Même si c’est un délire avec mon meilleur ami, il y a toujours une limite à ne pas franchir. Personnellement, j’espérais qu’il perde pour qu’il fasse ce dont moi, j’ai envie (a)
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