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AUSTIN ∞ l'amener chez soi sans penser aux conséquences ... mauvaise idée !

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que haine deviennent amitié.

AUSTIN – « Faut pas me chercher comme ça tu sais ! »

MADISSON – « J’y peux rien ! » me défendis-je encore.

Franchement, cette situation me déplaisait totalement. Je savais que sur ce plan là, la pente était très glissante et que je n’avais aucun contrôle sur quoique ce soit, alors que lui s’en amusait et en profitait pleinement. Pourquoi ne peut-on juste pas être dans les bras l’un de l’autre sans que ça dérape ? Certes, c’est ma faute, mais je n’avais pas fait exprès ! Sauf que même en lui disant, il ne comprenait pas ! C’est dingue quand même à quel point il redevient sourd tout à coup.

AUSTIN – « Tsais moi ça me gênais pas perso et avoue que ça ne te gênais pas non plus »

La manière dont il cherche à retourner la situation ne me plait absolument pas. Il ne devait pas gagner et je me défendais de lui donner ce qu’il attendait. Ses mots se révélaient être assez explicite et il était hors de question que je tombe dans son putain de piège.

MADISSON – « Tu peux rêver. Je ne couche pas comme ça, tu le sais en plus » murmurais-je en croisant à nouveau son regard.

Bien sûr, j’avais aimé ses caresses, qu’elles soient innocentes ou plus suggestives, mais si je me laissais faire, je coucherais avec lui. Et pour y gagner quoi ? Rien. Juste un coup parmi sa liste. Je ne me pardonnerais jamais de céder et je ne pourrais pas devenir à nouveau amis avec lui si ça se passe.

MADISSON – « Je crois que je vais dormir sur le canapé, ça vaut mieux » chuchotais-je, alors que le film venait de s’achever.

Perdue, je l’étais complètement. Mais je ne voulais pas de ça. Je ne désirais pas que ça dérape. Juste être amis, rien de plus. Il ne devait rien se passer de plus et dormir ensemble après un instant comme celui qui venait de se passer n’était pas sain. Je ne savais même pas si je pouvais lui faire assez confiance pour qu’il ne tente pas quelque chose cette nuit. Noyée dans son regard, j’angoissais du futur proche. Je crois que je ne regarderais plus jamais ce film. Trop hypnotisant.
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« Woa qui a parlé de coucher ensemble ?! » C'était à peine fait exprès pour la mettre mal à l'aise tient. Non mais j'avais raison d'une part, je n'avais jamais fait allusion à cela, je m'étais juste permis de poser ma main sur ma cuisse exactement comme elle s'était permis de le faire. « Tu as les idées mal placées, je sais qu'en t'en rêve, mais bon voilà quoi ! » Et voilà, je sentais que ça recommençait. Moi qui redevenais le mec qu'elle détestait tant -comme dans le couloir la veille- et elle qui ne saurait probablement plus comment réagir face à mes réactions de plus en plus sans gêne. Elle en était tellement effrayée qu'elle préférait dormir seul sur le canapé. « Carrément ? » Je trouvais cela un peu exagéré selon moi. Je n'étais pas un monstre quand même. Je savais qu'entre nous la confiance était à présent rompue, mais je ne me permettrais jamais de faire quelque chose qui pourrait réellement la blesser. Je veux dire par là qu'une déception amoureuse on s'en remet bien vite, trois mouchoirs après et tout est fini. « Donc tu as moins peur du film d'horreur que de moi ? » Devais-je lui rappeler les scènes on ne peut plus flippantes qu'elle avait vu ce soir ?
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Totalement paniquée, je débitais des phrases sans vraiment y faire attention, sûre et certaine de ce à quoi je croyais. Remettons les choses dans le contexte : sans faire exprès, j’avais posé ma main sur sa cuisse. Ok, monsieur croit de suite que je veux quelque chose. Mais moi, je ne l’ai pas caressé hein ! Alors que lui, normal, il met sa main sur ma cuisse et remonte vers … Enfin voilà quoi ! Et après, c’est moi qui me fait de fausses idées ? Non mais il se paye ma tête ou quoi ? Soupirant, je l’écoutais raconté des conneries, m’énervant petit à petit.

AUSTIN – « Woa qui a parlé de coucher ensemble ?! »

AUSTIN – « Tu as les idées mal placées, je sais qu'en t'en rêve, mais bon voilà quoi ! »

MADISSON – « Ferme-la, si tu ne veux pas t’en prendre une ! » fis-je froidement, l’assassinant du regard.

C’est dingue de passer à un moment tout mignon à un instant comme celui-ci, comme l’autre fois dans le couloir. Alors oui, je préférais encore dormir seule sur le canapé. Qu’est-ce qu’il m’agace ce mec ! Il essaye de me faire passer pour une perverse alors que si je l’avais laissé faire, il ne se serait pas gêné pour me baiser sur mon propre canapé !

AUSTIN – « Carrément ? »

MADISSON – « Parce que tu penses que je pourrais te faire confiance ? »

AUSTIN – « Donc tu as moins peur du film d'horreur que de moi ? »

MADISSON – « Arrête d’essayer de me retourner le cerveau, tu m’énerves ! » dis-je plus fort.

Me levant, je décidais d’aller dans la buanderie, énervée et préférant mettre de la distance avec lui plutôt que d’en venir à lui en mettre encore une. Bien qu’il la méritait amplement. Pourquoi prend-il tout autant à la légère ? Il ne comprend foutrement rien et je vais devenir folle de parler à un mur. Sortant son t-shirt de la machine, je remarquais qu’il n’y avait plus de tâche. Idem pour mon haut. Les suspendant, je savais qu’ils seraient secs d’ici demain. Regardant la porte, je n’avais pas envie de le retrouver. Ça veut dire qu’il avait gagné. Je déteste ça. Je hais cette situation.
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Elle était remontée maintenant. C’était dommage que ça finisse ainsi. Nous avions passé une bonne après-midi, un bon début de soirée, alors pourquoi fallait-il toujours que ça se passe comme ça maintenant ? Peut-être que nous n’étions plus compatible avec le temps ? Bon il est vrai que nous avions toujours eu deux comportements différents, mais le fait qu’autre fois qu’il y avait beaucoup moins de gêne entre nous jouait beaucoup. « Je pense que tu pourrais essayer ouais ! Après tout on se connaît depuis presque toujours ! » Argument en béton armé ! Si elle n’arrivait même plus à faire confiance à la personne qui la connaissait le mieux dans cette ville, à qui pouvait-elle bien faire confiance ? « Et toi arrête d’être sur la défensive tout le temps ! » Me plaignais-je tandis que je le regardais quitter le salon pour se diriger vers sa machine à laver. Non loin d’elle, je la regardais suspendre nos vêtements à présent propres. « Dans tous les cas, si tu as peur au beau milieu de la nuit tu sais où me trouver » je me tenais à présent appuyé contre la porte. C’était le monde à l’envers. Moi qui allait occuper sa chambre durant la nuit et elle le salon.
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A vrai dire, je ne savais plus du tout quoi faire avec lui. Peut-on détester autant une personne et l’aimer à la fois ? Apparemment, oui. « Il n’y a qu’un pas entre la haine et l’amour ». C’était totalement mon cas. Mais pourquoi ne comprend-il pas certaines choses ? Pourquoi tout le temps ces mêmes remarques ? Tout doit-il se finir ainsi maintenant, à chaque fois ? Je ne veux pas le perdre, mais je sais qu’il me fera énormément de mal, peu importe ce qu’il peut me dire. Il y aura les fêtes, ses conneries, les filles, … J’ai l’impression d’être le pion dans son jeu alors que lui est le roi. Il n’avait jamais été comme ça … Ou bien avais-je été trop aveugle quand nous étions plus jeunes pour m’énerver comme maintenant ? Je n’en sais rien. Il me rend folle et absolument pas dans le bon sens. Malheureusement.

AUSTIN – « Je pense que tu pourrais essayer ouais ! Après tout on se connaît depuis presque toujours ! »

Quelle excuse fatigante. Je ne relevais pas ce qu’il venait de dire. Pourquoi faire ? Il veut avoir raison, je lui laisse raison. Ça l’amuse tout ça. Tellement que je ne sais pas comment ça va finir entre lui et moi. Mal, je suppose.

AUSTIN – « Et toi arrête d’être sur la défensive tout le temps ! »

Dans d’autres circonstances, j’aurais pu en rire. Sauf que là, je n’avais pas du tout goût à rire. Alors j’avais préféré partir, m’isoler et ne pas m’en prendre à lui. Mes yeux s’embrumaient un peu, mais je me refusais à pleurer. Pas pour lui et encore moins devant lui.

AUSTIN – « Dans tous les cas, si tu as peur au beau milieu de la nuit tu sais où me trouver »

Mon regard change et devient mélancolique, triste sans pour autant briller de larmes proches d’être libérer. Juste de la tristesse. Des yeux que je plantais dans les siens. Je soupire et passe à côté de lui, avant de m’arrêter à sa hauteur.

MADISSON – « Je ne sais même pas comment je fais pour être aussi gentille avec toi. Je me déteste d’être aussi conne » soufflais-je avant d’aller me changer pour un pyjama dans la salle de bain.

Débardeur et jogging, ça ferait l’affaire. Je posais mes affaires de côté et je me retrouvais encore face à lui. Je soupirais, fatiguée de tout ça. Il faisait comme s’il était chez lui. Comme si le passé n’avait aucune importance. Comme si j’étais comme toutes ces filles. Il se paye ma gueule.

MADISSON – « Je vais me coucher dans ma chambre » murmurais-je sans le regarder, passant à côté de lui.

De toute manière, même s’il remarquait le cliché dans ma chambre, je doute qu’il y fasse attention. Et il ne comprendrait pas la signification que ça a pour moi. Ouvrant la porte de ma chambre, je me glissais dans mes draps, exténuée. En peu de temps, j’avais pardonné à celui qui m’a fait tant de mal. Parce que je l’aime. On avait pu être proche, très proche. Avant que ça ne tourne mal et d’en revenir à la fois où l’on s’est croisé dans le couloir. C’est comme si en quelques heures, on avait fait des progrès énorme avant de régresser de tout autant. Mais s’il continue à ne rien comprendre, à faire le mur, je ne ferais plus aucun effort. Pas en sachant que de toute façon, tout serait foutu en l’air en un claquement de doigts.
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Je me rendais bien compte qu'elle fort gentille avec moi et qu'elle ne devrait pas d'ailleurs, car je ne le méritais peut-être pas après tout, mais bon, je n'en avais que faire, ce n'était plus ma petite Madisson si elle ne cédait plus à mes caprices. J'avais l'impression que je l'avais fatiguée avec toutes ces histoires. Tellement qu'elle préférait rejoindre son lit en prenant le soin de changer de pyjama, espérant sûrement qu'elle aille rejoindre très prochainement les bras de Morphée. Je m'étais grillé une petite clope -la je ne sais pas combientième de la journée- avant de rejoindre Madisson qui se trouvait allongée sur son lit. Je regardais tout autour de moi le sourire aux lèvres. J'aimais bien ce qu'elle avait fait de son petit cocon. Je repérais une photo de nous deux, mais préférais ne rien dire. Je ne tardais pas à m'allonger sur le ventre, juste à côté d'elle, mon regard posé sur son visage. « Tu me fais la tête ? » J'avais l'impression que c'était redevenu tendu entre nous deux et je n'aimais pas trop ça. Après quelques minutes de silence devenu un peu pesant selon moi, je souriais avant d'ouvrir la bouche. « Tient, que font deux brosses à dents le quatorze juillet ? » Je laissais un long suspens avant de lui fournir la réponse. « Un feu dentifrice ! » Humour Austin bonjour !
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(Je répondrais en fin de matinée, mais pour ne pas te réveiller par sms, je poste ici ... TA BLAGUE M'A TUÉ ! xD Mon dieu mon dieu, c'est magique ça le matin  :') ♥ Allez, tchou ma petite, à toute à l'heure pour ma superbe réponse (a) ♥♥)
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Tout cela tournait comme un cercle vicieux : on s’éloigne, on se rapproche, on merde, on s’éloigne, etc. La problème dans tout ça, c’est que j’ai souvent l’impression – bien que je sais qu’elle est très justifiée – qu’il me prend pour une idiote. Il a toujours joué avec le fait que je sois trop gentille, naïve et influençable. J’avais pensé qu’il ne ferait pas comme les autres, qu’il ferait en sorte de me rendre forte et qu’il ne m’utiliserait pas comme bon lui semble. Mais ce soir, j’avais ce goût mer dans la bouche. Il jouait avec moi et ça m’épuisait complètement. Alors j’avais préféré mettre de la distance pour lui faire comprendre – même s’il ne comprendrait rien – que son comportement m’exaspérait. Dommage qu’il ne se rende compte de rien ou qu’il soit trop idiot pour vouloir que ça change. Dans mon lit, je m’étais installée sur le flanc, lui laissant de la place pour qu’il puisse venir avec moi. Les yeux fermés, je sentais le matelas s’affaisser un peu, signe qu’il venait de me rejoindre. Rouvrant les yeux, nos regards se croisèrent immédiatement.

AUSTIN – « Tu me fais la tête ? »

Haussant les épaules, je ne voyais pas vraiment quoi répondre. Après tout, il connaissait très bien la réponse lui-même, alors pourquoi me poser une question comme celle-ci ? Le silence prit doucement place. Je soutenais son regard, n’ayant pas vraiment quelque chose de spécial à dire. Je voulais juste dormir, c’était dire à quel point il m’avait énervé pour me rendre aussi fatigué.

AUSTIN – « Tient, que font deux brosses à dents le quatorze juillet ? »

Fronçant les sourcils, sincèrement, je n’en savais rien. Je ne savais même pas si je devais penser à quelque chose de sérieux – sait-on jamais – ou quelque chose de stupide comme il aime tant.

AUSTIN – « Un feu dentifrice ! »

Immédiatement, j’explosais de rire. Non mais, quelle blague stupidement amusante. C’était tout sauf très intellectuelle, mais il le disait tellement bien que je ne pouvais m’empêcher de rire. Parfois, je me demandais où il cherchait tout ça. Ce mec a vraiment un problème. Et j’adorais ça.

MADISSON – « Un feu dentifrice, mon dieu, c’est tellement nul ! » riais-je à m’en faire mal au ventre.

M’installant sur le ventre, j’essayais d’étouffer mon rire dans mon coussin. C’est tellement con et marrant que je n’arrivais même pas à m’arrêter. Petit à petit, j’y réussis et je tournais ma tête pour le regarder.

MADISSON – « Faut que tu arrêtes les blagues carambar, sérieux » le taquinais-je pour lui montrer à quel point je trouve le niveau de sa blague peu élevé, me moquant sans aucune gêne, d’ailleurs.
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Pari gagné, j’avais réussi à la faire rire. D’ailleurs, elle avait bien du mal à s’arrêter maintenant. Elle essayait tant bien mal de se calmer en s’étouffant avec un coussin -étrange mais pourquoi pas- et puis au bout d’un moment elle avait enfin fini par respirer normalement en reprenant un peu de son sérieux -même si il n’y avait rien de bien sérieux lorsque nous étions tous les deux- « Han comment tu sais quelle vient d’un carambar ?! » Bon en même temps la moitié des blagues pourries venaient de là, mais j’aurais très bien pu l’inventer ou bien la trouver autre part. « Ha ouais, mais au moins t’as ri ! » Je préférais tellement voir Madisson avec un big smile jusqu’aux oreilles que de la voir triste et pensive. Si j’avais réussi à détendre l’atmosphère c’était l’essentiel. « T’avais oublié que le pro de la bague c’est moi ? » Je riais à mes propres bêtises. A l’aide de mes deux mains, je triturais l’un de ses têtes d’oreiller pour m’occuper, pour regard toujours fixé sur la demoiselle toute souriante à présent.
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Comment faisait-il pour me faire rire alors que la seconde d’avant, je voulais l’étriper, le gifler ou juste tout bonnement l’ignorer tant il m’agace ? Je ne sais pas. A vrai dire, je ne voulais pas savoir comment il y arrivait. C’était en quelque sorte magique. J’avais retrouvé le sourire en moins de deux et même si sa blague était absolument nulle, elle avait eu le don de me radoucir. Je dormirais mieux ainsi. Puis, je l’aurais bien emmerdé cette nuit si je n’avais pas pu dormir par sa faute (a). Bon, même si je lui en voulais toujours un peu, on va dire que j’espérais qu’il ne refasse pas l’idiot. Sinon, hop, par la fenêtre !

AUSTIN – « Han comment tu sais quelle vient d’un carambar ?! »

Je souris de plus belle quand il me dit ça.

MADISSON – « De un, elle est pourrie. De deux, c’est toi qui l’as fait, alors je sais parfaitement d’où ça vient » riais-je doucement à nouveau.

AUSTIN – « Ha ouais, mais au moins t’as ri ! »

MADISSON – « C’est parce que c’est toi qui l’as dite. Venant de toi, c’est tellement prévisible que ce soit aussi stupide que c’est fun. Puis, t’as la tête qui va avec » me moquais-je avec un grand sourire.

Je le regarde triturer le tissu. Ce mec ne peut pas tenir en place et … Je dois dire qu’i la les mains toujours en mouvement. Très souvent baladeuse d’ailleurs. Avant que l’on ne sorte ensemble, il me cherchait un peu. Gentiment et ça me faisait rire. Certes, j’avais toujours tendant à être gêner, même avant d’être amoureuse, mais c’était différent. Innocent.

AUSTIN – « T’avais oublié que le pro de la bague c’est moi ? »

Je ris encore avant de le regarder, en haussant un sourcil.

MADISSON – « Ta tête enfle quand tu dis ça et tes bouclettes disparaissent ! » fis-je en faisant un « o » avec ma bouche, avant d’exploser de rire, encore une fois

Qu’il se lance autant de fleurs, il pouvait toujours rêver pour que je lui donne raison en lui disant « oh oui Austin, tu es le pro de la blague, tu es mon dieu » Ah non, là, il pouvait se mettre son doigt au fond de son œil hein. Depuis sa blague pourrie, j’ai vraiment du mal à m’arrêter de rire. Ah, mon bel idiot ! ♥
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