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AUSTIN ∞ l'amener chez soi sans penser aux conséquences ... mauvaise idée !

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Is it too fast ?
you think ? (a).

 


Je me rappelais le temps où on pouvait s'enfiler tout un paquet de carambar en une soirée et se faire des blagues à non plus finir. Ce temps me paraissais tellement lointain, car nous devions sûrement être en primaire à cette époque et aujourd'hui nous étions déjà à l'université. « Eu...comment je dois le prendre ça ? » Je regardais la demoiselle d'un air suspect. Elle insultait mes blagues quand même et je pouvais ça comme une attaque personnelle. C'est qu'elle m'envoyait des piques en plus ? Elle était totalement folle et à sa remarque je ne pouvais m'empêcher de mettre ma main dans mes cheveux comme par réflexe. « Ne mêle pas mes bouclettes là-dedans veux-tu ? » Ni une, ni deux, je rigolais avant de me mettre au-dessus d'elle -mais sans me mettre à califourchon sur elle, je n'oserais pas voyons (a)- je me mis à la chatouiller. « Au moins tu as une vraie raison de rire ! » C'était pour avoir dit que mes blagues étaient très nulles. Nos éclats de rire se mélangeaient et régnait dans la chambre une entente enfantine.
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que haine deviennent amitié.

En parlant de carambar, j’en avais bien envie. En plus, je n’avais pas pu finir mes chocolats avec le petit accrochage que l’on a eu. Si je n’étais pas aussi bien dans mon lit, je serais allée les chercher pour continuer à les manger. Bah quoi, je ne prends pas un gramme alors bon, j’ai le droit de me faire plaisir. Le regardant après lui avoir lancé quelques piques, j’avais hâte de voir sa réaction. Réaction qui allait de toute façon me plaire. Tout comme il me plait. Passons ! Son air suspect me fit sourire davantage. Et oui mon petit Austin, moi aussi je peux être comme toi : attachiante.

AUSTIN – « Eu...comment je dois le prendre ça ? »

Je souriais de plus belle, sans répondre. Après tout, je savais qu’il allait bientôt me faire baver de toutes les conneries que je lui lançais depuis quelques minutes. De toute façon, il allait se montrer clément avec moi … Non ? Quand sa main se glissa dans ses cheveux, je ne peux que sourire davantage.

AUSTIN – « Ne mêle pas mes bouclettes là-dedans veux-tu ? »

MADISSON – « Sinon quoi ? » demandais-je avant de rire avec lui.

Je regrettais bien vite de l’avoir provoqué autant lorsqu’il se rapprocha et que ses doigts me frôlèrent, m’arrachant encore un rire. Je gigotais comme un ver de terre sous lui, rigolant de plus belle, essayant de me détacher de sa prise.

AUSTIN – « Au moins tu as une vraie raison de rire ! »

MADISSON – « Arêêêêête ! » le suppliais-je.

Me tortillant encore, je ne pouvais cesser de rire. Mais il fallait que je trouve une façon qu’il arrête de me torture ainsi. Attrapant ses mains dans les miennes, je le fixais, faisant mine d’être énervé.

MADISSON – « Arête ça sinon … »
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Elle aurait mieux fait de se taire. J’hésitais à m’arrêter de l’embêter ainsi, mais je n’avais pas d’autre choix lorsqu’elle m’attrapa mes mains. Je souriais et serrais ses mains dans les miennes. Elles me permettaient de prendre appuie afin que je ne m’écrase pas sur elle. J’esquivais un énième sourire. « Sinon quoi ? Qu’est-ce qu’une mini crevette comme toi va me faire ? » Je souriais à l’adjectif qualificatif que je lui avais donné c’était mignon et pour couronner le tout ça lui allait drôlement bien. Si elle tentait de retourner la situation c’était peine perdue ayant bien plus de force qu’elle -même si elle pouvait toujours essayer- Je plongeais mes yeux dans les siens ne la quittant pas d’une seule seconde. Maintenant que je l’avais mis au défi elle n’avait plus qu’à mettre à exécution son plan de contre-attaque ou peut-être avait-elle dit ça juste dans le but de me menacer afin que j’arrête ce que j’étais en train de lui faire subir.
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Mes mains ayant attrapées les siennes, je soutenais son regard. Par contre, le fait qu’il s’appuie sur moi pour ne pas s’écraser sur moi, c’était moyen, vu la force que j’avais dans mes bras. Son sourire me faisait encore hausser un sourcil, m’attendant au pire avec lui. En même temps, j’avais mis ma menace en suspens, histoire d’avoir espoir qu’il abandonne sans trop me chercher. Bien sûr, je savais à l’avance que j’espérais dans le vent, mais bon. Mes yeux noyés dans les siens, je me sentais largement mieux et l’envie de dormir s’était totalement envolé. Là, je resterais bien entre à faire la gamine avec lui, à rigoler pour lui et à être bien. Juste apaisée et en sécurité avec lui.

AUSTIN – « Sinon quoi ? Qu’est-ce qu’une mini crevette comme toi va me faire ? »

J’ouvre la bouche. Une crevette ? Non mais oh ! Son regard de défi me fait lui tirer la langue, profitant de ce petit moment pour le pousser et me mettre sur lui, à califourchon. Evidemment, j’avais totalement oublié le moment gênant d’avant et ce que cette position pourrait faire croire à mon ancien meilleur ami, trop fière d’avoir pris le dessus.

MADISSON – « La mini crevette, elle t’a eu ! » fis-je toute heureuse en frappant dans mes mains.

Me rendant compte de la position dans laquelle j’étais, je me figeais, écarquillant les yeux en rougissant. Bien entendu, je ne m’étais pas assise sur son bassin et je m’en interdisais totalement. Merde merde merde, pourquoi on en arrive là ? Et j’ai l’impression de ne jamais m’y attendre et que l’on y arrive sans faire exprès.

MADISSON – « Je t’interdis de dire quoique ce soit » murmurais-je, rougissant encore davantage en croisant son regard.

Stupide moi-même, me dis-je. Le regardant, je n’avais pas franchement envie de m’écarter, ni que ça dérape davantage. Alors bon, quitte à prendre le risque de me faire virer, je me penchais vers lui, me collant à lui en nichant ma tête dans son cou. Je voulais retrouver mon meilleur ami, notre proximité et notre complicité d’avant.

MADISSON – « J’en ai juste un peu besoin » chuchotais-je à son oreille, pour justifier mon geste.
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Je souriais en voyant la situation s'inverser. Alors qu'elle se plaignait du fait que je me permette de la toucher il y a quelques minutes de cela, voilà qu'elle se mettait à califourchon sur moi. Elle se foutait de moi en fait ? Si elle voulait que j'évite d'avoir des mains baladeuses elle devrait peut-être y mettre du sien quand même. J'avais l'impression qu'elle faisait tous pour me chauffer, mais après il ne fallait pas se plaindre. Je levais mes mains pour prouver mon innocence, je comptais rien dire pourquoi tout de suite les menaces franchement ? Je resserrais mes bras sur elle afin de lui offrir un câlin et nichais à mon tour mon visage dans son cou. « ça ne va pas ? » Elle savait qu'elle pouvait tout me dire et si elle en avait tellement besoin, peut-être que c'était parce qu'elle était en manque d'affection ou bien qu'elle avait tout simplement besoin de réconfort. Dans tous les cas, malgré mon comportement de parfait connard, je serais là pour elle.
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Le voyant les mains en l’air, je me méfiais un petit peu, mais en me rapprochant de lui, je voulais juste lui faire comprendre que je ne pensais pas au sexe, même on irait pour la deuxième fois dans faire exprès. Alors je m’étais collée contre lui, simplement. Ses bras autour de moi, son visage dans mon cou, je me sentais tellement bien. A vrai dire, je me voyais bien m’endormir comme ça, même si je doute qu’il accepte mon poids pour toute la nuit. Pour l’instant, je voulais en profiter au maximum. J’aime cette proximité et même si ça dérape un peu, j’adore notre complicité et je ne voulais pas la perdre, mais juste la consolider. Son odeur rentre doucement dans mes poumons. Qu’est-ce qu’il sent bon. Oui, je ne me lasse pas d’en profiter.

AUSTIN – « ça ne va pas ? »

MADISSON – « Bah si, très bien » chuchotais-je doucement.

Hésitant sur mes prochaines paroles, je ne voulais pas me détacher de lui, les murmurant à son oreille, comme si on nous écoutait et que je voulais lui dire un secret.

MADISSON – « Tu m’as manqué » Oui, je lui avais enfin dit. « Et je suis contente d’être comme ça, près de toi … Je n’ai pas envie de perdre ça à nouveau … Je veux que tout redevienne comme avant … »

Sûrement beaucoup trop utopiste, mais je parlais avec mon cœur. Cœur que j’avais mis de côté avec mes sentiments. Je ne voulais pas m’éloigner de lui et même si je savais que j’allais forcément souffrir, je ne voulais pas qu’il parte. Si j’en avais le pouvoir, je retournerais quelques années en arrière, quand aucune connerie ne nous avait séparés. Soupirant de bien être, j’angoissais un peu de ce qu’il pourrait dire. Un « non, c’est impossible » me ferait mal, mais je l’accepterais. Je n’aurais pas vraiment le choix. Peut-être étais-je égoïste, mais je le voulais à moi, rien qu’à moi. Des amis, d’accord, mais je ne supporterais pas qu’une fille s’approche de lui. Je le désirais pour moi toute entière. Qu’il devienne rien qu’à moi. Il était con, j’étais possessive. Et alors ?
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Ouf ! J'étais rassuré qu'elle aille bien, car j'étais vraiment nul pour ce qui était de rassurer les autres. Je souriais et -pour une fois- gardais le silence afin d'écouter ses paroles en entière. Son poids plume ne me gênait pas le moins du monde même si je ne pourrais pas rester toute la nuit ainsi de peur que mon sang finisse par arrêter de circuler. Alors que j'humais son odeur, elle parlait de notre relation, de nous et se confiait avec son coeur comme elle l'avait toujours fait. « Tu sais bien que tout ne pourra pas redevenir comme avant... » J'étais contente qu'elle m'avoue enfin que je lui avais manqué, chose que j'avais essayé de lui faire cracher depuis hier après-midi. Malheureusement, à cause de plusieurs choses qui c'étaient produis dans le passé c'était pratiquement impossible. Tout effacer, tout oublier genre comme si on effaçait une carte mémoire d'un ordi ? Enfin moi j'en étais parfaitement capable, car ce que j'avais fait n'avait pas eu d'antécédents dans ma petite vie tranquille. « Tu te vois tout oublier ? » Elle n'avait pas arrêté de me rabâcher que je l'avais fait souffrir, c'était donc assez étrange de sa part d'effacer l'éponge comme ça. Quoi que, venant de Madisson ce n'était pas si surprenant que ça.
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Peut-être me faisais-je trop d’espoir. Je ne savais même pas pourquoi je lui avais dit tout ça. Je m’attendais à sa réponse et j’en souffrais déjà. Mais sincèrement, le laisser repartir, être distante avec lui, j’y arrivais pendant 5mn avant d’avoir besoin d’être proche de lui. Alors je lui avais ouvert mon cœur et je lui avais dit que je voulais que tout redevienne comme avant. Impossible, certes. Mais on pouvait continuer. Il y aura des clashes, des moments de froid, mais si c’était le prix à payer pour être de temps en temps avec lui, j’acceptais. Si je devais le voir avec une autre fille, tant pis, je souffrirais et c’est tout. Comme si j’avais le choix. Mais son amitié, je la voulais. Je voulais que l’on passe de « ancien meilleur ami » à « ami » au minimum. C’est stupide, mais je lui faisais autant confiance qu’avant. Pourquoi ? Parce que je fermais les yeux et que je disais amen à tout ce qu’il faisait. Tout simplement parce que je l’aime.

AUSTIN – « Tu sais bien que tout ne pourra pas redevenir comme avant... »

MADISSON – « Hm, je sais … »

AUSTIN – « Tu te vois tout oublier ? »

A vrai dire, j’étais complètement perdue. Je n’aurais jamais du lui dire tout ça et je le regrettais énormément. Soufflant doucement, je me redressais pour le regarder dans les yeux. Pourquoi tout est si compliqué avec lui … C’est la vie, hm.

MADISSON – « Non » avouais-je doucement. « Je ne peux pas oublier, pas du tout … » Je baisse les yeux. « Mais je ne veux pas que l’on s’éloigne à nouveau »

Plus je parlais, plus je me détestais de tout lui raconter. Je me sentais à nouveau fatiguée et étrangement, j’avais envie de pleurer. Mais je me retenais. Je n’avais pas le droit d’être faible, pas plus que je ne le suis déjà à ses yeux. Si je pleure, il ne me réconfortera pas forcément. Ou pas assez bien. Ou pas avec les bons mots.

MADISSON – « Oublie ça, je n’aurais pas du en parler » murmurais-je pour finir, me détachant de lui pour me laissant tomber sur le dos à ses côtés.

Finalement, je crois que j’étais tout aussi idiote que lui …
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Au fond j'aurais bien aimé qu'elle me dise « Si c'est bon on oublie tout et on reprend tous depuis le début ! » mais je rêvais un peu trop là. Notre ancienne amitié me manquait aussi et je n'avais pas envie de reperdre ce que nous avions mis des années à construire. En quelques minutes nous avions réussi à retrouver notre complicité d'autrefois et on se sentait déjà beaucoup mieux. Je desserrais un peu mon étreinte afin qu'elle puisse se redresser et que nos regards puissent se croiser. Je lui affichais un sourire réconfortant sentant l'ambiance devenir de moins en moins joyeuse. « Nan au contraire t'as bien fait de m'en parler » Je la laissais s'allonger sur le côté tandis que je me redressais et me tenais appuyé sur un bras, mon regard toujours posé sur elle. « Comment veux tu qu'on redevienne ami si tu ne veux même plus te confier à moi ? » Là était le problème ! Il fallait retrouver cette confiance. Bon, j'avais l'impression que c'était chose aisée avec la demoiselle. « Tant que ne repars pas à l'autre bout du monde pour aider des inconnus qui en ont soi-disant besoin » Dis-je en imitant des guillemets à l'aide de mes doigts. « Je pense que ça ira » J'affichais à nouveau mon sourire mythique à mon ancienne meilleure amie, ou bien amie, je ne savais même plus ce que nous étions censé être maintenant.
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AUSTIN – « Nan au contraire t'as bien fait de m'en parler »

Sincèrement, je n’en avais pas du tout l’impression. Pourquoi se voiler la face sur une future amitié qui serait tellement fragile qu’elle éclatera forcément en mille morceaux au moindre petit faux pas ? C’était si stupide. On ne pouvait pas redevenir amis. Sauf si je lui accordais ma confiance à nouveau. Cette même confiance qu’il a brisée, cassée, bafouée lorsque l’on a rompu. Je sens très bien qu’il aurait aimé que je lui dise que le passé n’a pas d’importance, que l’on tire un trait dessus et que par magie, tout redevienne comme avant. Mais c’est impossible pour moi. Je me sentais à la fois fascinée et attristée que lui y arrive aussi facilement. Je me demandais comment il le faisait, comment dans sa tête il pouvait se dire que ce n’est rien. Avancer sans se retourner, est-ce réellement une bonne idée ? Je ne pense pas, mais cet avis n’appartient qu’à moi. Alors j’avais préféré lui dire la vérité : je ne pouvais pas oublier.

AUSTIN – « Comment veux tu qu'on redevienne ami si tu ne veux même plus te confier à moi ? »

Son regard capturait le mien. Me confier … Il n’a l’air de vraiment rien voir, rien comprendre. C’est aussi fatiguant que rassurant. Lui dire quoi ? Que je l’aime toujours et que j’aimerais que ce soit partagé. L’amitié n’est qu’un prétexte pour être proche de lui. On ne peut pas sortir avec quelqu’un et devenir amis par la suite. C’est humainement impossible. Il reste toujours des sentiments, de la jalousie, un petit quelque chose qui fera que l’un ou l’autre souffre et que tout volera en éclat un jour ou l’autre. Ou bien, il fallait être un merveilleux comédien ou se voiler la face. Au choix.

AUSTIN – « Tant que ne repars pas à l'autre bout du monde pour aider des inconnus qui en ont soi-disant besoin » Je me retiens de lever les yeux au ciel à sa remarque, sans toutefois dire quoique ce soit.

AUSTIN – « Je pense que ça ira »

Que devais-je dire ? Je n’en savais rien. Mon cerveau remuait dans tous les sens pour essayer de comprendre quelque chose. Alors c’est tout ? On est amis maintenant ? Je ne pourrais pas le dire tant je l’ignorais. Mes yeux ne quittaient pas les siens.

MADISSON – « Je ne partirais plus. J’ai l’université, mon travail … » dis-je en marquant un petit arrêt. « … Et mon meilleur ami » fis-je avec un léger sourire.

Son sourire me réchauffait le cœur, même si mes doutes étaient toujours présents. Pour ce qui est de me confier à lui, peut-être pas maintenant. Pas aujourd’hui. Une autre fois. Après tout, j’avais toujours préféré que ce soit lui qui parle, qu’il me raconte sa vie, ses conneries, tout. A vrai dire, plus il parlait, moins j’avais à le faire. Je préférais largement ça et ce n’était pas qu’avec lui. Écouter les autres pour ne pas parler de soi, n’est-ce pas une merveilleuse idée ?
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