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I LOVE HARVARD
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AUSTIN ∞ l'amener chez soi sans penser aux conséquences ... mauvaise idée !

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Is it too fast ?
you think ? (a).

 


C'était rassurant de savoir qu'elle ne comptait plus partir. Il est vrai que nos chemins avaient été amenés à se séparer au fil du temps, mais ma raison était tout à fait justifiable. J'avais l'université qui m'attendait et je n'allais pas cracher sur ma bourse juste pour rester à Cleveland avec elle. Madisson quant à elle, n'avait selon moi aucune explication valable. Elle avait lâchement fuit ses problèmes en partant sa ville natale qui devait rassembler beaucoup trop de souvenirs selon elle. Aujourd'hui elle en avait fini avec toutes ses futilités et était bien décidée de continuer de suivre ses études ici et même.. À redevenir ma meilleure amie. Alors qu'elle se trouvait allongée sur le lit, je m'approchais d'elle et la pris dans mes bras afin de faire une trêve entre elle et moi. Mes lèvres se déposèrent sur sa joue en toute amitié avant que je m'écarte d'elle. « T'inquiète tu vas devoir me supporter encore longtemps, car je ne compte pas partir d'Harvard de si tôt. »
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que haine deviennent amitié.

Bien sûr, je me doutais que ce ne sera pas facile tous les jours, mais je prendrais sur moi. Comme je le fais toujours. Il fallait juste que je sois forte devant lui. Juste faire semblant de passer au-dessus de tout ce qu’il pourrait se passer, en profitant juste des moments avec lui en oubliant tout le reste qui nous entoure. Maintenant que je le retrouvais, je ne voulais plus le quitter. Enfin, on allait devoir se quitter, bien entendu, il ne pouvait pas vivre avec moi et … nous ne sommes « que » des amis. Quand il se rapprocha et qu’il me prit dans ses bras, je me sentais mieux. Tellement bien que j’aimerais ne jamais en partir. Son bisou me fait sourire et je sens ses bras disparaître, pour mon plus grand désespoir. Mais je devais m’y faire. Même si, en temps que meilleur ami, j’avais toujours eu cette manie de me coller à lui et de lui demander des câlins, qu’il ne me donnait pas toujours, mais de ce côté-là, j’étais assez chiante pour qu’il cède relativement souvent.

AUSTIN – « T'inquiète tu vas devoir me supporter encore longtemps, car je ne compte pas partir d'Harvard de si tôt »

A ses paroles, je ne peux que rire en le regardant.

MADISSON – « J’ai l’habitude de te supporter et j’aime bien ça »

Un sourire se nicha sur mes lèvres. La journée avait été assez mouvementée entre son retard, notre délire, le café et le chocolat renversé, les films, notre rapprochement inapproprié, l’éloignement, pour arriver à se dire que l’on va continuer notre amitié, malgré le passé.

MADISSON – « Je reviens » dis-je en souriant.

Retournant rapidement dans le salon, je pris le sachet de chocolat et revenais dans mon lit, posant le paquet entre nous, me mettant assise pour manger.

MADISSON – « Désolée, j’avais trop faim »

Ce qu’il y a de bien avec moi, c’est que du moment que je mange, c’est que tout va bien, que je suis de bonne humeur et que oui, tout va totalement bien. Je m’enfilais pas mal de chocolat, ayant vraiment faim et une fois le paquet vide, je soupirais, rassasiée.
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you think ? (a).

 


Je souriais à sa remarque. Alors qu'il y a un jour de cela j'aurais pu penser qu'elle ne voulait même plus me voir dans sa vie, aujourd'hui tout avait changé et avant même que nous ayons ce petit rencard, j'étais déjà persuadé que tout allait rentrer dans l'ordre. Un bon pressentiment ? Non je ne crois pas, je la connaissais juste par coeur. Je la regardais quitter le lit avant de revenir munie de son paquet de chocolat. Je ne me privais pas pour lui en piquer quelques-uns. Elle avait l'air d'avoir retrouver l'appétit ce qui était le plus important à mes yeux, car cela voulait dire qu'elle allait beaucoup mieux. « Ha mais fais-toi plaisir ! Ce n'est pas un paquet qui va te tomber sur le pied » répondis-je en rigolant. Avec son poids plume elle pouvait largement ce le permettre et elle n'avait pas à être complexée. « Bon ! J'espère que t'es pas fatiguée, car je ne le suis pas du tout ! » Et qu'elle ne compte pas dormir à côté de moi alors que moi je n'arrive pas à fermer l'oeil, même pas en rêve, je n'avais envie de me faire chier toute la nuit ! Assis sur le lit, je fixais ce qui était à présent redevenu mon amie, dans les yeux, un petit sourire aux lèvres.
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Le paquet de chocolat sur le lit, je le vis en manger en même temps que moi. Dire quelque chose ? Non, pourquoi ? C’était pour nous deux et vu que je savais que j’allais de toute façon avoir encore faim, j’irais chercher un autre paquet après ou tout autre chose après tout. Une fois terminée, je jouais avec un papier, attendant un peu avant d’aller en chercher un autre.

AUSTIN – « Ha mais fais-toi plaisir ! Ce n'est pas un paquet qui va te tomber sur le pied »

Je ris et pose un petit bisou sur mes lèvres, avant de refaire un aller-retour dans le salon pour chercher à manger et à boire. En plus grande quantité, évidemment. Je posais le tout sur mon lit, restant en tailleur pour manger tranquillement.

AUSTIN – « Bon ! J'espère que t'es pas fatiguée, car je ne le suis pas du tout ! »

Son regard me fixait et son sourire aux lèvres me faisait totalement craquer. Mais je ne voyais pas vraiment quoi faire. On avait déjà regardé un film … Alors bon, je doute que jouer au Monopoly ou regarder encore un film soit dans ses projets. Cependant, vu que c’est lui qui ne veut pas dormir, je ne vois pas pourquoi je devrais trop me creuser la tête pour trouver quelque chose à faire.

MADISSON – « Tu as une idée de quoi faire, je suppose, si tu me dis ça »

Je continue de manger tranquillement, espérant juste qu’une idée de m’embêter ne lui traverse pas l’esprit. Non pas que ça me dérangeait – parce qu’on pourrait bien s’amuser – mais vu tout ce que je mangeais, je doutais sincèrement que ce soit une intelligente supposition.

En même temps, la nuit, je ne voyais pas trop quoi faire. Je priais qu’il ne me propose pas de sortir. Quoique … Pourquoi pas après tout ? Mais bon, on venait de se réconcilier alors le voir bourré, fumer sans cesse ou draguer plein de filles … Bof bof à vrai dire.
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En disant ça je n'avais pas vraiment d'idée sur le moment, mais j'y réfléchissais très sérieusement. « Tout d'abord t'as pas une bière ? » Il fallait bien que je boives un truc, car à force de manger mon corps commençait sérieusement à se déshydrater. « En fait je pensais à faire du macramé, j'adore le macramé ! Qui n'aime pas le macramé franchement ? » Disais-je d'un air très sérieux avant de rire. [color=#5c74c9]« Bon tu vois en général quand je n'arrive pas à dormir » ce qui en soit m'arrivais tous les soirs. « Je sors en boîte et je vaque à mes petites affaires » Si elle voyait où je venais en venir. « Mais vu que jpense pas que ça soit ton délire à présent » affirmais-je entre guillemets. « J'ai pour projet de le faire à l'ancienne.» Dans un bond, je me levais de son lit et vint allumer son poste de radio afin de mettre un peu d'ambiance. La musique à fond, qu'importe l'heure qu'il était. « Alors, maintenant on fait chier les voisins, tu vas me chercher des bouteilles » Je priais pour qu'elle ai de l'alcool chez elle. « Et puis quand on voit que les voisins commencent à péter un câble on appelle les flics pour dire qu'ils font du tapage nocturne » Oui très sympa je sais, pas besoin d'autant de compliments. « Avant de recommencer en espérant ne pas être bourré d'ici là » Je réceptionnais ma bière et l'ouvrais avec une classe sans nom avant de la vider. « Et si t'as quelque chose de plus fort je ne suis pas contre » disais-je en désignant ma bière.
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AUSTIN – « Tout d'abord t'as pas une bière ? »

Levant les yeux au ciel en souriant, je m’en étais doutée. Hier, après notre rencontre, j’avais décidé d’aller faire les courses. J’avais acheté plus d’alcool que je n’en avais jamais pris de toute ma vie. Comme quoi, même loin de moi, il avait le don de rentrer dans ma tête et me faire faire des choses incroyables.

MADISSON – « Seulement une ? Tu me déçois … » dis-je en riant, amusée.

AUSTIN – « En fait je pensais à faire du macramé, j'adore le macramé ! Qui n'aime pas le macramé franchement ? »

Je hausse un sourcil. Ce mec peut être vraiment bizarre parfois. C’est ce qui fait une partie de son charme. Son rire me fait sourire davantage. Il arrive à se faire rire lui-même.. Très doué, oh oui.

AUSTIN – « Bon tu vois en général quand je n'arrive pas à dormir … »

Je m’attendais tellement à la suite que je pensais déjà à ne pas écouter, ne pas y penser, juste oublier cette partie de lui.

AUSTIN – « Je sors en boîte et je vaque à mes petites affaires »

Passons, passons, passons ! Je ne voulais pas y penser, hors de question !

AUSTIN – « Mais vu que jpense pas que ça soit ton délire à présent »

Je lui fais un fuck, blasée d’entendre ça de sa part.

MADISSON – « Je sors, tu sais. Régulièrement. Mais je n’ai pas envie de voir mon meilleur ami vaquer à ses petites affaires et me laisser seule »

Ce qui n’était pas faux, mais pas totalement vrai. J’aurai en plus mal au cœur de le voir si proche avec d’autres filles. Mais ce n’était pas bien important, vu qu’il venait de me dire qu’il avait une autre idée.

AUSTIN – « J'ai pour projet de le faire à l'ancienne »

Je sursautais en le voyant faire un bon de mon lit. Qu’allait-il faire ? En entendant d’un coup la musique à fond, je ne pouvais que rire.

AUSTIN – « Alors, maintenant on fait chier les voisins, tu vas me chercher des bouteilles »

Monsieur se prend pour qui en étant autoritaire ? ça ne me fit que rire davantage. Mon dieu, il est dingue. Totalement fou !

AUSTIN – « Et puis quand on voit que les voisins commencent à péter un câble on appelle les flics pour dire qu'ils font du tapage nocturne »

Je souris. J’allais me faire beaucoup d’ennemis mais bon … Je ne pouvais pas refuser d’emmerder le monde. Surtout pas avec lui. Me levant à mon tour, j’allais chercher tout l’alcool dont je disposais – un pack de bière, whisky, vodka, passoa, malibu, etc.. oui, j’avais acheté pour une cinquantaine euros d’alcool sans y faire attention – et je le posais sur mon lit, avec deux gobelets. Je cherchais aussi de quoi faire des mélanges – ça c’était plus pour moi que lui, je le savais.

AUSTIN – « Avant de recommencer en espérant ne pas être bourré d'ici là »

Lui envoyant sa bière avec une magnifique précision, je regardais tout ce qu’il y avait sur mon lit.

AUSTIN – « Et si t'as quelque chose de plus fort je ne suis pas contre »

MADISSON – « Il faut boire doucement pour ne pas être bourré d’ici là » dis-je en souriant malicieusement. « Je pense qu’il y a de quoi faire, non ? »

Attrapant une bière à mon tour, je la décapsulais comme une pro (a) avant de la boire doucement, commençant à danser, la musique à fond dans mes oreilles. J’essayais de me déhancher sans que ma robe ne se soulève trop … Bien que je crois si l’on buvait tout ce que j’avais, je risquais d’oublier de faire attention. Hm .. Tant pis ! Du moment que l’on s’amuse, innocemment !
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« Vraiment ? » Je la décevais tant que ça ? Je prenais ça comme un défi. Je finissais donc très vite ma première bière avant d'attraper un verre et de le remplir de whisky. « A la tienne ! » Je le buvais coup sec sans même poser de questions alors que je n'aurais peut-être pas dû le boire sans rien d'autre avec, car le goût était juste infecte. Je souriais en entendant Madisson reprendre mes propos. Rah elle me fera toujours craquer avec sa mine boudeuse débordante de jalousie. Mon verre dans la main, je le regardais qu'étais vide. Quelqu'un avait dit qu'il fallait boire doucement ? Parce qu'apparemment c'était trop tard. Et puis de toute façon, pour finir dans le même état au final je ne voyais pas l'utilité d'attendre encore, j'avais soif moi ! « La caissière à dû te prendre pour un alcoolique ! » Je voyais déjà la tronche de la dame à s'imaginer quel genre de soirée elle comptait faire. Si seulement elle savait que c'était que pour deux personnes. Je regardais Madi' ce déhancher, n'hésitant pas une seule seconde de la mater comme je le faisais avec beaucoup de nanas. Je passais ma langue sur mes lèvres, mes yeux toujours déposés sur elle. Je remplissais à nouveau mon verre en faisant un whisky/vodka et en servait un aussi à Madi'. « J'avais oublié ton super déhanché tient » disais-je tout sourire.
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Evidemment, je savais qu’en le titillant un peu, il n’allait pas rester de marbre. Surtout en le taquinant sur la boisson. Il ne perdit pas de temps pour boire rapidement sa bière, puis de se servir du whisky, qu’il avala sans rien de plus. C’est bien la peine d’avoir acheté du coca, hein. Mais je ne fis que rire en finissant également ma bière. Me servant un mélange malibu-sweeps agrums, je le buvais plus doucement que lui. De toute manière, je savais qu’il lui en fallait plus que moi … Alors on arriverait au même niveau ensemble au même moment. Donc autant ne pas me saouler trop vite avant que lui soit aussi un peu ainsi.

AUSTIN – « La caissière à dû te prendre pour un alcoolique ! »

MADISSON – « Je lui ais dit que je préparais une fête » dis-je en souriant. « Elle ne m’a pas demandé combien on était à cette fameuse fête »

Buvant encore un peu de mon verre, je continuais à danser, m’amusant bien. Le regard de mon meilleur ami ? Non, je ne le voyais pas, trop occupé à danser, les yeux fermés avec un grand sourire aux lèvres. Ça m’avait manqué ce genre de soirée. Juste être à deux, la musique à fond, boire et emmerder le monde autour de nous. Finissant mon verre, je le laissais remplir mon verre, un peu intriguée par un tet mélance.

AUSTIN – « J'avais oublié ton super déhanché tient »

Mon regard se pose sur lui, rougissant doucement avant de rire. M’approchant de lui, je viens murmurer à son oreille :

MADISSON – « Jaloux ? »

Souriant de plus belle, je me détache de lui, buvant dans mon verre sans vraiment trouver si c’était bon ou non, ne le quittant pas du regard en bougeant doucement. Une autre chanson se mit en route. Plus sensuelle, chaleureuse. Haussant un sourcil, je repris une gorgée avant de m’avancer à nouveau vers lui, me collant à lui, un peu ailleurs déjà.

MADISSON – « Tu veux danser avec moi ? Je vais te montrer comment bouger sur cette chanson … » lui murmurais-je chaudement à l’oreille.
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« Jaloux ? Pourquoi faire ? » Franchement, je n'avais aucune raison de l'être et je ne l'avais jamais été. Je faisais confiance en mon amie, c'était aux autres que je ne faisais pas confiance nuance ! Je ne m'étais jamais réellement emporté par jalousie, lorsqu'il m'arrivait de tabasser un gars c'était qu'il avait manqué de respect par un regard ou par une parole et il ne m'en faut pas plus pour que je parte au quart de tour. Elle venait de s'emparer du verre que je lui tendais sans même se demander ce que j'avais bien pu lui mettre à l'intérieur. Encore heureux que mes intentions n'étaient pas mauvaises. Je ne reculais pas d'un pouce lorsqu'elle s'approchait de moi, me contentant de sourire. « Hum..vas-y, montre-moi » Je n'attendais que ça. Qu'on se déhanchent collé/serré sur une musique histoire de faire grimper un peu plus la température. Je n'hésitais pas une seule seconde à me rapprocher d'avantage de Madisson. Je laissais mes mains venir se déposer sur ses hanches, laissant mon verre vide côté. Je n'hésitais pas à les faire descendre légèrement juste au-dessus de ses fesses trouvant ce comportement tout à fait normal.
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Pas jaloux ? Oh, vraiment ? Je haussais les épaules, continuant de danser et boire mon verre, le finir même avant que la chanson ne change. Je ne savais même plus ce que j’avais bu, à vrai dire. Embrouillée, oui, j’avoue que je l’étais déjà, mais j’avais envie de m’amuser. Quel mal y a-t-il à ça ? Aucun, voyons ! Posant mon verre, je venais de me coller contre lui, son sourire faisait grandir le mien. Je lui avais proposé de danser, pour lui monter comment se déhancher sur cette chanson. Le rythme tape doucement dans mes oreilles, malgré le fort volume que je devais percevoir.

AUSTIN – « Hum..vas-y, montre-moi »

Il se rapprocha de moi, laissant aussi son verre de côté. Ses bras sont sur mes hanches, avant qu’elles ne dévient au-dessus de mes fesses. N’étant plus en état de trouver ça trop … trop, je ne faisais que sourire, amusée. Collés l’un contre l’autre, je bougeais doucement, mes bras autour de son cou, ne le quittant pas un seul instant du regard. Nos mouvements se calent l’un contre l’autre. L’une de mes jambes se trouvent entre ses siennes. Notre proximité me donne chaud – ou bien est-ce la danse ? l’alcool ? – mais je ne comptais pas me séparer de lui. Vraiment pas.

MADISSON – « Je ne savais pas que tu bougeais aussi bien »

Nichant sa tête dans son cou, je dansais toujours contre sien, sentant la chaleur remplir toute la pièce. Une certaine tension m’apparaissait, mais je ne voyais pas de quoi il s’agissait, un peu trop ailleurs pour imaginer quoique ce soit. Être si près de lui, danser ainsi avec lui, tout ça me donnait l’impression de voler. Je me sentais entièrement bien et je ne voulais en aucun cas que ça cesse. Pour aucune raison, d’ailleurs.

MADISSON – « Tu es très doué » murmurais-je contre son oreille, d’une façon assez sensuelle.

Souriant, je caressais sa nuque du bout des doigts, laissant mon visage caché dans son cou, respirant sa douce odeur qui m’avait tant manqué. La musique envahissait mes oreilles, me berçant, me rendant si calme. La prochaine chanson fut dans le même genre, me laissant me coller encore pendant plusieurs minutes contre lui, sentant encore la chaleur augmenter, mais lorsque je me rendis un peu compte d’où se trouvaient ses mains, je frissonnais de … plaisir ? Oh peut-être. Je n’avais plus envie de réfléchir. Je n’en avais pas trop le pouvoir d’ailleurs … Amusons-nous et on pensera au reste demain (a)
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