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AUSTIN ∞ l'amener chez soi sans penser aux conséquences ... mauvaise idée !

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Is it too fast ?
you think ? (a).

 


Tout ce qu'on pouvait faire ce soir on en n'avait plus rien à faire. À présent on voulait juste profiter de notre soirée et apparemment nous l'avions plutôt bien entamée avec plusieurs verres d'alcool déversés déjà. La preuve ? Mes mains se trouvaient à présent sans gêne -comme d'habitude- sur les fesses de ma partenaire et elle n'avait pas bronché, n'avait pas pris peur et cela n'avait pas l'air de la gêner plus que ça. Nos deux corps à présent collés, je sentais la température augmenter encore d'un cran et la tête de Madisson venir se nicher dans mon cou. « Hey qu'est-ce tu crois ? J'ai des années d'expériences derrière moi » lui susurrais-je à l'oreille. J'avais en effet énormément dansé en boîte de nuit avant ce soir-là. J'avais hâte de savoir comment cette soirée allait se terminer et j'avais d'ailleurs déjà ma petite idée, mais je préférais laisser faire le temps comme je le faisais tout le temps. Au rythme de la musique, je me frottais à elle tandis que mon souffle s'abattait dans son cou.
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que haine deviennent amitié.

Ses mains sur mes fesses, nos corps collés se frottant lascivement l’un contre l’autre … Si j’avais été dans mon état normal, j’aurais déjà mis une forte distance entre nous. Mais je ne me sentais trop bien pour vouloir bouger de là, peu importe ce qu’il arrivait pas la suite. Bougeant sans cesse, je ne pouvais qu’apprécier notre danse et ce moment très sensuel. Je lui fis part que je ne le pensais pas aussi douée et qu’à vrai dire, il l’était vraiment beaucoup. Sa réponse passa à l’une de mes oreilles avant de repartir rapidement par l’autre. L’imaginer avec d’autres ? Non. Qu’importe, je l’avais contre moi à cet instant. Le reste n’avait juste absolument aucune importance. Les frictions de nos corps me faisaient tourner la tête – ou bien est-ce l’alcool – et son souffle chaud dans mon cou me faisait quelques fois frissonner.

Prise d’une envie folle, je reculais mon visage, le fixant en souriant avant de poser rapidement mes lèvres sur les siennes. La musique changea encore et je ne pus me retenir de rire en me rendant – vaguement – compte de ce que je venais de faire.

MADISSON – « Je t’ai eu ! »

Riant toujours, je me décollais de lui pour me resservir un verre, prenant dans le même temps un peu de distance avec lui. Distance non voulu, mais il fallait bien que je me serve à boire hein ! Dessoûler n’était pas du tout dans mes projets. Si tel était le cas, je m’en mordrais les doigts du peu de rapprochement bien trop … trop que j’avais eu avec lui. Alors je préférais boire un peu pour garder le même taux d’alcool dans le sang.

MADISSON – « Tu veux ? » demandais-je en montrant la bouteille de vodka.

Le mélange vodka/whisky avait du être la cause de l’état dans lequel j’étais. Non, ce n’était pas très malin d’avoir fait un tel mélange, mais ça ne m’avait pas trop dégoûtée, alors bon. Mais maintenant, je me contenterais d’une seule boisson à la fois … Quoique … Un proverbe dit : « Sans alcool, la fête est plus folle » Sincèrement, j’avais cru à se proverbe jusqu’à venir ici. Depuis, je m’amusais bien mieux avec. Que ce soit un peu ou beaucoup, voire beaucoup trop. Ce soir, ce serait beaucoup ! En même temps, je me trouvais en compagnie de mon meilleur ami qui n’allait pas se freiner sur la consommation, donc autant le suivre !
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Sans que je m'y attende, ses lèvres se déposèrent sur les miennes et je ne pouvais qu'apprécier cet échange même s'il avait été très bref. Et pour cause ? Elle avait soif et autant dire que j'avais une folle envie de vodka moi aussi. « Yep je veux bien ! » Sans qu'elle n'eu le temps d'approcher la bouteille des verres, je m'emparais de cette dernière et monta debout sur le lit m'amusant alors à sautiller dessus. J'approchais la boisson de ma bouche et me m'étais à boire à la bouteille un, deux, puis trois gorgées. J'essayais de me stabiliser sur le lit en cessant tout mouvement. « Fait A ! » J'approchais la bouteille de la bouche de mon amie afin d'y verser le contenu. Je n'avais malheureusement pas anticiper à ce qu'elle ferme la bouche. Par conséquent elle s'en était mis un peu partout -encore !- « Bon tu devrais arrêter de mettre des vêtements ça réglerais le problème ! » Je rigolais en voyant le liquide continuer à couler le long de son menton. À l'aide de mon pouce et de mon indexe, je m'emparais de son menton et y passais doucement ma langue afin de réceptionner ce qui coulait. « Pas gâchis ! » A présent je préférais m'asseoir pour ne pas me casser la gueule et repris une nouvelle gorgée. Je passais mes deux bras sur ses épaules, me trouvant derrière elle et vint déposer un baiser sur le lobe de son oreille. « Je crois que les voisins sont morts » Lui chuchotais-je. Je commençais à raconter encore plus de merde qu'à l'ordinaire..
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AUSTIN – « Yep je veux bien ! »

Avant que je n’ai pu lui servir de la vodka dans son verre, la bouteille me disparut des mains. L’avais-je fait tomber ? Apparemment non … Je réagis en entendant des légers grincements de mon lit et je ne pus que rire en le voyant sauter sur mon lit tout en buvant à la bouteille. Quel taré. Il arrête un petit temps après, alors que je venais de finir mon verre, me rendant totalement bien faite. Je le vis approcher et il déversa de l’alcool dans ma bouche. Sauf qu’il a cru que je pouvais tout boire d’un coup. Impossible. Alors j’avais fermé la bouche, me mettant de l’alcool dessus. Ma belle petite robe …

AUSTIN – « Bon tu devrais arrêter de mettre des vêtements ça réglerais le problème ! »

Je ris à sa remarque, avant de plonger dans son regard. Ses doigts me firent frissonner, mais c’est surtout sa langue qui me fit totalement fondre. Il fallait que je me mette plus d’alcool dessus la prochaine fois … et pas que le long de ma gorge (a)

AUSTIN – « Pas de gâchis ! »

Le voyant s’éloigner, je ne vis pas vraiment qu’il se mit derrière moi avant de sentir ses bras autour de moi et un baiser à un endroit très sensible. Ce qui me fit frémir doucement, et même légèrement gémir. Je ne pus que rire en m’en rendant compte. N’importe quoi.

AUSTIN – « Je crois que les voisins sont morts »

MADISSON – « Ce serait génial ! On transformerait l’immeuble en boîte de nuit sauvage, avec des chambres pour baiser et des salles avec différentes ambiances et tout … »

Moi ? Réfléchir ? Non, plus du tout. Me sentant collante, je gigotais un peu dans ses bras, les défaisant pour enlever ma robe. Oui, non, bon, ce n’est pas super intelligent, mais bon … Si je tâche toutes mes affaires, ça ne sert à rien que je garde mes affaires. Frissonnant en ayant un peu froid, je viens me coller contre mon meilleur ami, ayant beaucoup moins chaud qu’avant. Mes sous-vêtements rose pâles ne me préoccupaient pas du tout. Après tout … ça aurait fini de toute façon comme ça pour dormir, alors qu’il me voit comme ça … Quel est le problème ?

MADISSON – « J’ai froid » soufflais-je au creu de son oreille pour le faire réagir.
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Je rigolais, car à l'entendre elle s'y croyait déjà. « Enfin la chambre pour baiser on l'a déjà au pire » Disais-je toujours sur le ton de la plaisanterie même si je ne plaisantais pas tant que ça. Enfin, j'aurais pu croire qu'elle avait pris mes paroles aux mots vu comment elle se déshabillait. Elle m'écoutait toujours et là voilà à présent en sous-vêtements. Elle n'avait pas changé, elle était toujours canon. Prise de frissons, elle vint se coller de nouveau à moi pour mon plus grand sourire et je me contentais de sourire. Mes mains sur ses hanches, je la fis basculer sur le lit afin de me mettre à califourchon sur elle. Mes mains se déposèrent sur son ventre tandis qu'elles remontaient doucement vers sa poitrine. Je m'approchais de ses lèvres et m'en emparais aussitôt. « Je peux toujours arranger ça » Ma langue pénétra sans plus attendre dans sa bouche. Je sentais déjà sa peau commencer à se réchauffer petit à petit.
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AUSTIN – « Enfin la chambre pour baiser on l'a déjà au pire »

Riant, j’avais décidé d’enlever ma fameuse petite robe. Être en sous-vêtements n’a jamais donné chaud je crois, alors c’était tout naturellement que j’étais venue me coller contre lui pour qu’il me réchauffe. De quelle façon ? Il avait le choix. Tout le choix qu’il veut. D’un coup, je me retrouvais allongée sur mon lit, entrain de sourire comme une idiote. Il avait choisi une façon toute à fait à mon goût pour me donner chaud. Mon regard ne cessait de le fixer, alors que je sentais la chaleur m’envahir, ses mains sur moi me faisaient frissonner d’impatience. Ses lèvres s’approchèrent et se posèrent sur les miennes, pour mon plus grand plaisir.

AUSTIN – « Je peux toujours arranger ça »

Sa langue me fit fondre, prolongeant passionnément ce baiser. Plus rien n’avait d’importance. Peu importe ce que l’on faisait, je n’en avais même pas conscience. Je sentais la chaleur grimper en flèche. La peau de son torse me faisait frémir. Mes mains se glissaient dans ses cheveux, les caressant en doucement. Dire que la dernière fois, c’était il y a un an … Je n’en revenais pas de pouvoir me retrouver encore sous lui. Je me doutais de la suite et je n’allais rien arrêter. J’aurais des regrets demain, peu importe.

MADISSON – « Je te fais confiance pour arranger ça » dis-je en quittant ses lèvres pour lui murmurer ça, le défiant légèrement en souriant.

Caressant son torse, je repris ses lèvres contre les miennes. Mes mains entreprirent de descendre le long de son dos avant de venir déboutonner son jeans, avant de tirer lentement dessus, souriant dans le baiser. Je remontais l’une de mes jambes, cherchant déjà plus de contact avec lui, impatiente de la suite. Folle ? Oui, de lui, complètement !
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Ce n'était pas la première fois qu'on couchait ensemble après tout, elle pouvait entièrement me faire confiance, elle était dans de bonnes mains. Ses mains sur mon torse faisait un bien fou et à vrai dire je mourrais déjà de chaud à cause de l'alcool alors autant vous dire que ce contact n'arrangeait en rien les choses. Sentant ses doigts venir déboutonner précautionneusement le bouton de mon jean, j'esquivais un petit sourire avant d'emparer à nouveau ses lèvres qui avaient encore le goût de la vodka. Les sous-vêtements de la demoiselle étaient très jolis, mais autant dire qu'ils me dérangeaient à ce moment précis. Je passais délicatement mes mains derrière son dos afin de déboutonner son soutien-gorge. À croire que j'avais fait ça toute ma vie, l'attache se défaisait toute seule et doucement, je venais à faire tomber ses bretelles sur ses épaules. Nos lèvres se séparèrent afin que j'aille nicher celles-ci dans son cou lui mordillant un peu la peau et le recouvrant de baisers. Mes mains vinrent se déposer sur ses épaules qui enlevèrent le haut de ses sous-vêtements.
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Son sourire, ses baisers … J’en raffolais et je ne comptais pas m’arrêter. Ni moi, ni lui d’ailleurs. C’était beaucoup trop bon pour être idiote et tout stopper. Maintenant que la situation devient intéressante, je n’allais pas tout faire foirer. Alors j’avais débuté d’enlever son jeans encombrant et une fois assez bas, je le laissais se débrouiller – comme le grand qu’il est (a) – pour l’enlever tout seul. En sentant ses mains dans mon cas, je me cambrais légèrement pour lui faciliter l’accès à mon attache de soutien-gorge. Décroché, je me laissais retombée doucement alors que son visage se nicha dans mon cou. Quand il me mordit, je ne pus que soupirer de bien-être. Ses baisers me rendaient complètement folle et j’avouais devenir très impatiente. Doucement, je sentis mon haut de sous-vêtement glisser le long de mes bras avant de finir sûrement à quelque part dans la pièce. Me sentir exposée ? Pourquoi ? En effet, j’étais à moitié nue devant mon meilleur ami – et accessoirement ex petit ami – mais … Il n’y avait aucun problème à ça voyons !

Le fixant avec un sourire en coin, je jouais avec plaisir avec l’élastique de son boxer, devenant – étonnement – farouche. Demain, je m’en voudrais. Je le traiterais de tous les noms et je le foutrais soit dehors, soit par la fenêtre. Mais pour l’instant, je le chauffais comme jamais je n’avais tenté quelqu’un. Claquant un petit cou l’élastique qui me faisait sourire, je caressais ses cuisses dénudées, toujours en souriant comme – il fallait le dire – la pire des chaudasses. L’alcool n’avait définitivement pas un bon effet sur moi. Surtout quand il est dans les parages.

Cependant, j’avais décidé de m’amuser un peu avec son boxer, juste histoire de voir à quel point la chaleur pouvait encore grimper entre nous. Je ne quittais pas son regard avant de foncer sur ses lèvres, plus sauvage et déterminée. Me collant contre lui, coller ma poitrine contre sa peau me fit frémir violemment alors que je pris un malin plaisir à frotter mon bassin au sien pour l’exciter davantage. Non, vraiment, je n’étais plus du tout moi-même. Une autre Madisson avait pris ma place et s’amusait complètement. Mais bon, pourquoi pas pendant une nuit hein ?
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Je ne pouvais qu’apprécier ce moment de plaisir et je les avais toujours apprécié. J’avais enlevé mon jean afin de me libérer. Je me sentais tout de suite plus à l’aise. La peau de mon ex était chaude bouillante preuve que j’arrivais parfaitement à faire en sorte qu’elle n’est plus froid. Nos deux corps vinrent se coller encore plus jusqu’à ce qu’il n’y est vraiment plus d’espace entre mon buste et le sien. Sauvagement Madi’ vint s’emparer de mes lèvres et à ce moment là, elles ne se quittèrent plus. Dans un élan de sauvagerie nos salives se mélangèrent tandis que je laissais mes mains se glisser le long de son dos et trouver refuge dans la lingerie de la demoiselle au niveau de ses fesses. Mes dents vinrent mordiller la lèvres inférieur mon amie avant de prolonger de plus bel notre échange. Je descendais doucement mes mains vers ses cuisses en emmenant avec moi son dernier vêtement et attrapais dans chacune de mes mains ses cuisses afin de soulever ses jambes et de les positionner sur autour de ma taille. Je me débrouillais pour enlever son dernier linge et caressais la peau nue de Madisson.
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Quand ses mains glissèrent sur mes fesses, je ne pus que sourire en accentuant encore notre baiser. Son mordillement me faisait trembler d’impatience avant qu’il reprenne le baiser torride. Ma petite culotte se fit très doucement la malle, pour mon plus grand bonheur. Ses caresses me faisaient toujours autant sourire. Je me laissais complètement faire, sous le charme et profitant tranquillement, me sentant fiévreuse d’envie. Tout mon corps ne voulait que lui. Chacun de ses caresses me faisait déjà grimper. Prenant ses mains, je les écartais pour ne pas lui sauter dessus, me redressant doucement pour être proche de lui, souriant de plus belle. Mes mains descendirent doucement sur son ventre, son ventre et à la limite de son boxer. Mes yeux ne le quittaient toujours pas alors que l’une de mes mains vint frôler son sexe par-dessus le tissu. Juste histoire de l’emmerder un peu, le faire juste un peu patienter.

Cependant, je n’étais pas trop en état de le faire attendre plus que ça en vue de mon impatience. Retirant lentement, mais sûrement son boxer, mon regard alla un peu plus au sud de son corps, souriant en voyant ce qu’il avait dans son boxer. Intéressant. J’adorais même. Certes, je l’avais déjà vu il y a un an, mais bon … C’était comme une redécouverte. Un sourire malicieux se plaçait sur mes lèvres alors que mon regard revenait au sien. Le laissant – encore une fois – se débrouiller pour retirer entièrement son boxer, je me laissais aller dans mon lit, remontant mes jambes en les écartant, ne cherchant pas à comprendre quoique ce soit.

Le désir qui me tiraillait le ventre dictait chaque geste que je faisais. Je voulais simplement qu’il vienne en moi, que l’on fasse l’amour – ou comme il le dirait plus joliment sûrement, que l’on baise – et qu’on profite juste de cette nuit. Demain restait relativement éloigné. Je ne voulais pas en entendre parler. Là, mon regard devait être noir de désir, mon envie grandissant sans cesse en moi, alors que je haussais un sourcil, du genre « Allez Austin, qu’est-ce que tu attends ? »
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