Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAUSTIN ∞ l'amener chez soi sans penser aux conséquences ... mauvaise idée ! - Page 11
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AUSTIN ∞ l'amener chez soi sans penser aux conséquences ... mauvaise idée !

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Ha merde, c'était gratuit ? Bon bah je ne serais pas remboursé malgré qu'elle allait profiter de la boîte d'aspirine. Je n'avais pas enchaîné suite à ses cris et à ses insultes. L'ignorer était la meilleure solution. C'est pourquoi je ne préférais même pas lui prêter attention au café, me contentant de boire ce truc infecte sans même décrocher mes yeux de mon écran. Avouons-le que c'était bien plus intéressant que regarder Madisson dans le blanc des yeux, qui avait sûrement qu'une seule envie : me crier dessus encore et encore alors je m'étais que moins on s'adressait la parole, mieux se sera. Je pris quand même la peine de lever les yeux vers elle voyant qu'elle ne touchait pas à sa pilule. D'un air on ne peut plus posé je reprenais la parole tout en replongeant mon regard sur mon portable. « Je te préviens que si t'as envie d'élever un gosse toute seule cn'est pas mon problème, mais compte pas sur moi pour le reconnaître » Dans l'histoire se serait plus elle qui allait être dans la merde si elle venait à avoir un enfant. Je savais que dans tous les cas elle la prendrait. Elle n'avait pas envie de foirer ses études et sa place à Harvard pour si peu et surtout, qu'un enfant soit conçu durant un acte où elle était complètement déchirée. J'avais enfin fini mon verre, mais mon mal de tête persistait. Je soupirais, quittant mon jeu et déposant mon portable sur la table d'un air lasse avant de commander un café « fort s'il vous plait » J'avais au moins besoin de ça pour carburer le reste de la journée. Je tapais la table du bout des doigts attendant que ma commande arrive ayant le besoin de m'occuper les mains. Autant vous dire que l'ambiance se trouvait être plus tendu qu'un string.
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Tiens, aucune protestation quand je lui dis que c’est gratuit. Aurais-je enfin réussi à lui fermer sa gueule ? Apparemment oui. Pour une fois qu’il avait l’air con, tant mieux. De toute façon, les mecs, avec ou sans préservatif, ils s’estiment innocent quand une fille tombe enceinte, parce que c’est à elle de se protéger. Genre c’est la fille qui produit à la fois les spermatozoïdes et les ovules. Bien sûr, voyons. C’est bien dommage que les hommes n’est pas le même risque de tomber enceinte que les femmes, ça les ferait bien flipper. Au final, on se trouvait devant nos verres d’eau à lui boire une aspirine et moi attendre. Je ne voulais pas prendre d’aspirines. Si j’avais mal à la tête – ce qui était évidemment le cas – je préférais subir la douleur comme ça je m’en rappellerais la prochaine fois que je me prends à boire trop d’alcool. Effacer la douleur, c’est faible. Mais je ne lui dirais rien à lui. Parler à un mur serait plus intéressant que lui dire ce genre de choses qui lui passaient évidemment au-dessus de la tête. Il décidait de lever les yeux avant de replonger sur son portable. Oh, j’existe encore ? Etrange.

AUSTIN – « Je te préviens que si t'as envie d'élever un gosse toute seule c’est pas mon problème, mais compte pas sur moi pour le reconnaître »

MADISSON – « Je n’en doute même pas. Avoir un gosse avec ton caractère, franchement, il faut être maso »

Et en même temps, au moins son gosse pourrait m’aimer comme une mère. Amour, tendresse, tout ce qu’il ne me donnera jamais. Si l’enfant ne connaît pas ou déteste son père, sincèrement, ça me rendrait juste folle de joie à l’heure qu’il est. Qu’il aille juste se faire foutre. Ne touchant toujours pas à la boîte, je l’entendais commander un café. Je n’avais rien envie, à part mon verre d’eau. Buvant une gorgée, je reposais doucement mon verre. Ses doigts jouaient sur la table, ne me dérangeant pas. Préférant garder le silence, je me refusais de dire quoique ce soit à part répondre à ces putains de conneries. Mon cœur était toujours aussi serré et j’ai de plus en plus mal à l’estomac. Non pas du à l’alcool ou quoique ce soit d’autre. Juste à cause de ce qui s’est passé … et à nouveau ce qui s’est brisé entre nous et qui nous impose cette distance.
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« Arrête de dire ça, tu rêverais d'avoir un gosse de moi » J'esquivais un petit sourire, le sourire bien énervant et qui l'a toujours énervant qui voulait dire que j'étais on ne peut plus fier de ma réplique. Je savais que j'avais le don de l'énerver sans faire d'effort et ce n'était pas moi qui me fatiguais tout seul à péter une durite dès que quelque chose n'allait pas. « Merci » Je récupérais mon café -que j'avais imaginé plus grand- Et le touillais doucement afin qu'il refroidisse. À présent, mes yeux étaient rivés sur le café et plus sur mon téléphone portable. En aucun cas je portais mon regard sur Madisson. Je savais de toute manière que la connexion était rompue. Nous avions réussi à redevenir ami hier soir, mais j'avais l'impression que nous venions de faire un grand pas en arrière. Retour à la case départ. Cette tension me saoulait un peu, car je savais qu'elle me faisait la gueule. Et pour quoi ? Pour des conneries qu'elle n'arrivait pas à assumer ! Putain, mais je lui avais pas mis le couteau sous la gorge pour qu'elle boive cette foutue bouteille de vodka. Dans un mouvement brusque, j'attrapais ma tasse et buvais mon café d'une traite. Ok, ça venait de brûler la langue, la gorge et même l'estomac, mais après le whisky d'hier soir -qui restait un vague souvenir dans ma tête je n'étais plus à ça prêt. Je me levais brusquement et partais sans rien dire. « Vous pouvez ramener l'addition, elle paye » -oui je n'avais plus une tune sur moi- Et sans plus attendre je quittais le café en poussant violemment la porte avant de disparaître dans les rues de Cambridge.
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AUSTIN – « Arrête de dire ça, tu rêverais d'avoir un gosse de moi »

Mon regard se posait sur lui, agacée et je me retenais vraiment de ne pas lui mettre une baffe en pleine gueule. Son petite sourire de merde, j’avais envie lui faire ravaler. Tout ce qu’il disait ou faisait m’énervait. Quand il dit « merci », quand il prend d’un coup sa tasse pour boire son café qui me donne envie de vomir. Oui, ça n’allait pas du tout et je lui faisais tout aussi bien comprendre que lui. Pourquoi je devrais m’en cacher ? Oui, j’acceptais que c’est de ma faute – aussi – mais y’a pas que moi hein. Quel connard. Le pire, c’est que lui s’en foutait. Il n’a aucun sentiment, aucune conscience et le frapper était devenu quotidien – entre la claque d’avant-hier et d’aujourd’hui – pas mal non ? Cet idiot venait de se lever brusquement, me faisant sursauter et il s’éloignait. Il fuit ? Bâtard.

AUSTIN – « Vous pouvez ramener l'addition, elle paye »

Poussant violemment la porte, il se cassa très vite. Un homme, un vrai, haha. Une larme roula sur ma joue. De rage, de tristesse et je ne sais quoi. Comment pouvais-je être amoureuse d’un mec aussi sans cœur ? Il fallait que ça change et vite. Essuyant la goutte d’eau, je fouillais dans mes poches pour sortir quelques pièces heureusement suffisantes pour payer le café et je partais quelques minutes après lui, le cœur toujours aussi séré. Ma journée se poursuivit simplement, entre le ménage et les étranges découvertes chez moi. Bref, je le déteste et je ne veux plus le revoir. Point final … ?

FIN
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