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AUSTIN ∞ l'amener chez soi sans penser aux conséquences ... mauvaise idée !

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Is it too fast ?
you think ? (a).

 


Il n'y avait aucun interdit ce soir-là. J'avais certes bu, mais je savais déjà au fond de moi que je n'allais avoir aucun remord la journée qui allait suivre celle-ci -même si en soit nous étions déjà le matin- Je ne voyais pas en quoi c'était mal de coucher avec son ex petite amie qui était devenue son amie aujourd'hui. Elle le voulait, je le voulais, je ne voyais pas qui aurait pu s'opposer à ça mise à part les voisins qui auraient très bien pu débarquer de nulle part au plaisir de nous engueuler.

Je décidais de faire le vide dans ma tête -ce qui n'était pas bien compliqué- et de me laisser encore aller. Les yeux fermés, je profitais de chaque geste de Madisson. Je sentais ma tête tourner, j'étais totalement désorienté et ne savait plus où je me trouvais et n'aurais même pas pu expliquer comment j'étais arrivé jusque dans la salle de bain, assis sur les toilettes. Tout ce que je savais c'était que Madisson se trouvait sur moi -je ne sais trop comment- et plus précisément sur mon sexe afin de renouveler l'expérience d'il y a une heure en inversant seulement les rôles. Ça ne changeait pas grand-chose, c'était toujours aussi bon.

Mon corps et mon membre génital ne pouvait qu'approuver. Je n'avais en aucun cas envie que ça se termine -surtout que je redoutais de me lever, car plus le temps passait, plus l'alcool faisait son effet-, mes gémissements que j'étouffais à l'aide de baisers rendus. Mes mains sur ses fesses, je l'aidais dans ses mouvements et n'hésitais pas à l'enfoncer encore un peu plus jusqu'à arriver jusqu'au bout. Je ne pouvais que prendre mon pied et je regrettais presque le moment marqué la fin de cette baise. Ma tête en arrière, je me cognais légèrement sur le mur, mais une fois de plus sans en sentir la douleur. Les yeux toujours fermés, je n'avais pas la moindre intention de bouger mon cul et j'aurais bien gardé Madi' sur mes genoux encore quelques temps.
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que haine deviennent amitié.

La douleur s’envolait dans son intégralité. Le plaisir prenait fortement sa place, ne me laissait pas de choix que de profiter et de continuer ce moment des plus sexuels. Plus je m’enfonçais, plus mon souffle se coupait et l’air me manquait. Ce n’en était que meilleur pour tout dire. Ses mains sur mes fesses m’aident bien et je dois avouer qu’elles pouvaient rester là un bon moment sans que cela ne me gêne. Nos lèvres se quittèrent, me laissant gémir à loisir. Mon visage disparut rapidement dans son cou. Cette position me plaisait complètement. Je ne voulais pas que ça s’arrête et je regrettais de ne pas être plus expérimenter pour faire durer le moment encore plus longtemps. Mais … La nuit n’était pas encore terminée et je n’étais pas trop fatiguée pour le moment. Alors comme on dit « jamais deux sans trois ». Collée contre lui, sans bouger pour le moment afin de m’habituer à la situation des plus impensables pour mon petit cerveau hors service, je caressais le haut du dos de mon meilleur ami. Je sentais vaguement ses plaies, me doutant qu’il ne sentirait même pas si je venais à lui faire mal.

Habituée, je roulais des hanches très doucement, sentant immédiatement du plaisir grimper en moi. Wow, jamais je n’aurais pensé que cela fasse autant d’effet. C’est déjà si bon que je ne sais pas trop combien de temps lui et moi pourrions tenir. Je voulais en profiter au maximum et je voulais que ça dure encore et encore. Bougeant doucement sur lui, aller trop vite pour que cela se finisse de la même façon ne me disait rien. Même si c’était très dur de reste lente, je m’en voudrais que ça termine d’ici peu. Dans un autre sens, je n’avais pas l’impression qu’aller doucement ferait en sorte que cela soit plus long, car ça restait très intense.

Mes gémissements n’en finissaient plus. J’adorais cet instant. C’était tellement bon. N’en pouvant plus, je ne pus m’empêcher de bouger plus vite, cherchant le plus de contact et de plaisir possible. Dans un élan de désir incontrôlable, je passais une main dans ses cheveux, me relevant doucement en souriant d’amusement en le fixant dans les yeux. Demain, j’aurais d’affreuses courbatures, mais qu’est-ce que j’avais envie de faire ça. Sans plus tarder, je venais me rasseoir sur lui, laissant son sexe revenir profondément et brusquement en moi, me faisant grimper encore plus haut. Merde, c’était juste génial. Je ne sentais pas la moindre douleur, juste une dose de plaisir que l’on injecte fortement en soi d’un coup. Du bonheur à l’état brut.
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Je cherchais à coller Madisson encore plus à moi comme si je le pouvais. J’aimais tellement la façon dont-elle avait de bouger son bassin afin d’accentuer ses mouvements. Elle n’avait peut-être pas énormément d’expériences, mais c’était suffisant pour que je prenne mon pied. La salle de bain c’était d’ailleurs transformée en sonna et je gémissais de plus bel ne retenant plus le moins du monde mes cris. Alors que Madi’ avait engueulé ses voisins pour soit disant être trop bruyant en baisant, nous n’étions plus les mieux placé pour parler. Pourtant, je ne trouvais encore bien silencieux malgré que la salle d’eau soit l’un des endroits qui résonne le plus.

Je sentais les doigts fins de la demoiselle venir me parcourir le dos et caresser mes plaies qu’elle avait soignées –raison pour laquelle nous étions là- Encore et toujours plus de vas et viens, c’était devenu automatique. Je n’avais même plus à réfléchir ou à penser de le faire, c’était déjà la deuxième fois en une heure qu’on couchait ensemble et j’avais déjà tellement procédé à ce genre d’exercice que c’était de façon on ne peut plus naturel que je prenais la demoiselle. Nos deux bassins s’entrechoquèrent violemment pour plus de plaisir et nous nous gênions plus pour gémir à voix haute. Je planais carrément là et j’étais carrément dans mon univers. Mes derniers cris furent plus bruyants que la première fois et c’était un réel plaisir de pouvoir coucher à nouveau avec elle.

Je me rappelais encore de la première fois où nous avions passé notre nuit ensemble en faisant plus qu’une soirée film. Oui, elle m’avait accordé sa virginité comme ça, comme si j’étais son premier amour. Et même si on se connaissait depuis la primaire, je me demandais si c’était bien réfléchit sachant ô combien ça pouvait compter pour certaines filles, mais surtout pour Madisson. Dans tous les cas on connaît tous la fin de l’histoire, deux jours après c’était fini entre nous et je n’ai aucun remord, ni regret de mes actes passés.
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Demain, tout redeviendrait comme avant. Comme après notre rupture ou avant nos retrouvailles, sûrement. Je le détesterais de m’avoir amené sur cette pente, que l’on est bu autant, de me faire haïr par mes voisins, d’avoir encore réussi bêtement à tomber dans ses bras au point de coucher avec lui. Plusieurs fois même ! Alors que je m’étais promis que cela ne recommencerait jamais, j’avais cédé à tout et nous voilà entrain de coucher ensemble sur mes toilettes. Mes toilettes quoi ! C’était tout sauf normal, mais rien ne pouvait nous arrêter. Je ne pouvais pas lui résister parce que je l’aime et que j’ai envie de lui. On ne peut pas dire non à ce dont on a le plus envie. Des envies primaires, mais qu’il faut satisfaire sans se poser plus de questions. Comme si notre vie en dépendait. J’avais besoin de lui, de son corps, sa peau, son odeur, ses mains qui se baladent, ses lèvres contre les miennes, son sexe en moi. Je ne pouvais m’en défaire. Il m’attire inexorablement. Il m’aimante sans cesse vers lui. La preuve, on se retrouvait dans la même université s’en s’être concerté au préalable ! En même temps, si j’avais vu, je n’aurais jamais mis les pieds ici, même si c’était mon rêve d’étudier dans cet endroit.

Nos retrouvailles dérapaient complètement sans que je ne m’en rende compte. Lorsque je venais plus brutalement sur lui, je ne pouvais qu’apprécier la sensation de plénitude que je ressentais. J’espérais qu’il en était de même pour lui, ce qui ne m’étonnait pas trop vu ce que je pouvais entendre de sa part. Nos gémissements se transformaient en cris, alors que je continuais à garder cette violence, grimpant encore de plus en plus vers le summum du plaisir. Encore quelques secondes, quelques courtes secondes. Je ne voulais pas que tout ça s’arrête. Vraiment pas. Retarder l’inévitable, tel est la plus grande volonté de l’Homme.

Soudainement frapper par l’orgasme, je poussais un dernier cri, me tendant en resserrant les cuisses contre lui. Je me retenais à lui pour ne pas tomber en arrière. Pas trop fort pour ne pas l’entraîner, mais juste assez pour ne pas m’éclater le dos en tombant, ni en m’écroulant dessus. Je n’avais aucune envie de bouger et totalement déboussolée, qu’il vienne en moi m’importait peu. Non, je ne prenais pas la pilule vu que je n’ai pas eu une quelconque relation depuis un an, mais ça ne voulait pas dire qu’il n’y avait pas de moyen de me protéger le lendemain d’être enceinte. Pas que porter un enfant de lui me gênerait, mais uniquement s’il le voulait. Ce qui n’est pas du tout le cas et de toute façon, il faut une relation stable pour avoir un enfant. Ce n’est pas une envie à la légère. Mais je ne voulais pas bouger et puis, je prendrais la fameuse pilule du lendemain et hop !
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Nos derniers cris se mélangèrent une fois l'orgasme atteint. Mes mains restèrent derrière son dos tandis que je la gardais sur mes cuisses, toujours fourré en elle. Je n'étais pas décidé à bouger et qu'importe les conséquences du lendemain. Je reprenais doucement mes esprits, le souffle encore saccadé ? La tête appuyée contre le mur, je gardais les yeux fermés me laissant transporté je ne sais où à l'aide de l'alcool qui coulait dans mes veines. Ma tête ne cessait de tourner et vous savez quoi ? Je kiffais carrément ça. Je relevais doucement mes mains sur le corps chaud bouillant de la demoiselle avant de les poser sur son visage. J'enlevais les quelques cheveux qui collaient sur son visage. Même transpirante elle restait canon, d'autant plus qu'elle était nue. J'essayais de trouver du courage pour bouger, mais j'étais genre trop bien. Néanmoins, je glissais à nouveau mes mains jusqu'à ses hanches et la retirais de moi. Il me fallu bien encore cinq bonnes minutes avant de me relever. « Waouh ! » Ok, la terre elle tournait grave en fait. « Je crois qu'il mfaut une clope » Je passais mon bras autour de sa taille avant de sortir de la salle de bain. On était nu, mais je m'en foutais royalement. A peine arrivé dans sa chambre, je m'allumais déjà une cigarette.
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Intense. Chaud. Dingue. Seulement quelques mots arrivaient à mon cerveau, alors que j’essayais de me remettre de mon orgasme. Les yeux fermés, je ne voulais pas bouger. Je me sentais bien comme ça, lui encore en moi. Si on pouvait rester comme ça très longtemps, ça ne me dérangerait pas du tout. Ses doigts venaient enlever mes cheveux collés sur mon visage. Je ne les avais même pas senti, d’ailleurs. Mes yeux restaient clos encore, reprenant doucement ma respiration. Je les rouvris quand ses mains se posèrent sur mes hanches. Comprenant que je devais bouger, je le dis doucement et je me remis debout, allant directement en arrière pour m’adosser à mon lavabo. Vital pour ne pas m’exploser par terre. Le voyant se relever, je soupirais doucement avant de sourire en le remarquant être un peu bancal. L’alcool fait de magnifique dégât.

AUSTIN – « Waouh ! »

AUSTIN – « Je crois qu'il m’faut une clope »

Son bras autour de ma taille, je le suivais hors de la salle de bain avant de rejoindre notre chambre. Ma nudité ne me gênait pas, la sienne non plus. Vu tout ce que l’on avait fait, c’était un détail. Mon appartement était fermé et personne n’avait la clé, donc aucun problème. Sentant la fumée, j’embrassais sa joue avant de m’écarter de lui, n’ayant – heureusement – pas oublié qu’il fallait que je mette les bouts de verre de côté. Rapidement, je les rassemblais avec un bouquin de cours et d’une manière sûrement assez étrange, je les mis à la poubelle. Mon tapis puerait l’alcool, tant pis. M’installant sur le lit, je tirais sur le bras de libre de mon meilleur ami pour qu’il vienne sur moi, m’en fichant de la cendre qu’il pourrait y avoir sur mon lit. Cendre, sperme, alcool, on est plus à ça près.

MADISSON – « Fantasme assouvi ? » demandais-je toujours avec un sourire amusé au coin des lèvres.

Lentement, je posais mes lèvres contre les siennes. Nus, dans mon lit, sa clope entrain de se consumer, je me sentais heureuse, tout simplement. Le bonheur est tellement facile à vivre. Dommage qu’il faut que je boive autant pour me lâcher. Je sentais si bien ainsi. Non, je ne finirais pas alcoolique – quoique avec lui, dans les parages, heum heum – mais bon. Relâchant ses lèvres, je le laissais fumer à nouveau avant de reprendre possession de ses lèvres. Accro ? Oui. Mais je n’avais pas le droit à la cigarette et l’alcool était assez présent dans mon sang comme ça. Alors je l’embrassais, encore et encore. En profiter, sans cesse. Pour tout dire … J’attendais qu’il finisse sa cigarette pour en remettre une couche. Niveau sexe, bien sûr (a)
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Fumant ma cigarette tranquillement, je regardais Madisson faire le ménage -elle le fera sûrement mieux demain- Entre temps, je m'étais assis sur son lit, prenant cette fois-ci le temps de consumer ma cigarette, prenant plaisir à sentir toute cette nicotine venir rencontrer ma gorge, mes poumons et bien d'autres parties de mon corps avant de laisser une longue fumée grise devant moi. Je me laissais entraîner par mon amie, tiré de force et je n'avais pas franchement la force de me débattre. Je me laissais alors tombé comme une chiffe molle sur son lit, à moitié sur elle, la laissant m'embrasser. Ses lèvres avaient le goût de tout alcool confondu et c'était assez plaisant en rajoutant à cela le goût de la nicotine. « Ho oui... » J'affichais un sourire béat sur mon visage, ramenant ma cigarette à ma bouche. C'était étrange comme sensation, mais je pouvais presque me sentir fatigué et pourtant, cela ne m'arrivait pas souvent. Je fermais les yeux sans pour autant m'endormir, car pour le coup je n'en avais pas envie. « Et toi ? » Je rouvrais mes yeux et tournais ma tête vers elle. « C'est quoi ton fantasme ? » Je poursuivais la conversation le temps de finir de me détruire la santé -si on pouvait dire cela comme ça, mais je n'étais plus à ça près- en attendant, j'avais hâte de connaître la réponse de Madi', car c'était un sujet qu'on n'avait encore jamais abordé et que je n'aurais jamais imaginé aborder d'ailleurs !
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Ses lèvres avaient le goût de cette toxine qui remplissait ses poumons, ne me dérangeant en rien. Bien au contraire. Continuant de l’embrasser de temps à autre après qu’il inspire et expire cette satanée fumée, je profitais entièrement de ce petit moment, regardant parfois quand cette foutue clope allait être terminée. A croire qu’il m’avait changé en la pire des nymphomanes. Quel beau con. Mes pensées s’évanouirent lorsqu’il me dit que oui, j’avais réalisé son fantasme. Et qu’est-ce que j‘en étais foutrement fière, souriant de toutes mes dents. Rien de pouvait me faire plus plaisir qu’entendre cela de sa part. Comme quoi, une fois bourrée, j’avais des capacités assez impressionnantes. Riant doucement, je caressais sa nuque, le fixant, fascinée par son charisme et cette beauté enivrante qu’il dégage sans cesse. Fumer le rendait sexy, désirable, réveillant déjà en moi l’envie de sexe. Ce mec, avec ou sans alcool, gardait un véritable pouvoir sur moi. Pour mon plus grand bonheur et malheur à la fois.

AUSTIN – « Et toi ? »

Haussant un sourcil, je ne voyais pas ce qu’il voulait que je dise.

AUSTIN – « C'est quoi ton fantasme ? »

Souriant de plus belle, je jouais avec une mèche de ses cheveux, faisant mine d’hésiter à lui dire.

MADISSON – « Et bien … J’en ai plusieurs : l’ascenseur, la douche, le plan de travail de la cuisine, dans une cabine d’essayage, dans une voiture … » déblatérais-je sans trop me poser de questions.

Il avait posé la question, j’y répondrais. Bien entendu, tout lui dire n’était en rien une bonne idée, mais je n’étais pas en état de m’en rendre compte. Autant les trois premiers étaient faisable car il y avait un ascenseur dans mon immeuble, j’avais une double et le plan de travail. Et je me trouvais encore assez bourrée et en forme pour tout faire. Mais les deux autres … Déjà, je doutais faire les boutiques un jour avec lui et en ayant trop bu. Pour ce qui est de la voiture … Je crois bien que ni lui ni moi n’en avait une. Et en cambriolé une juste pour ça … Il restait le taxi mais bon, ça n’avait rien de très glamour. En même temps, quelle importance ?
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Je l'écoutais tout en consumant petit à petit ma cigarette. Souriant, m'imaginant dans la tête ces divers endroits. Les fantasmes clichés quoi qu'on puisse retrouver très facilement dans les bons films américains un peu comme le fantasme patron/secrétaire. Peut-être dans quelques années celui-là. Genre quand je serais PDG, je pourrais l'embaucher en tant que ma secrétaire. Ouais, je m'y voyais déjà. Ma cigarette finie, je revenais à la réalité et écrasais le mégot dans un gobelet qui traînait par terre. Je tournais ma tête vers Madi', un petit regard vicieux affiché sur mon visage accompagné de son sourire. Je posais mes mains sur ses hanches et la ramena vers moi. Je laissais ses jambes s'entourer autour de ma taille et me releva en la portant. « ça en fait... » Je l'asseyais sur son bureau en souriant. « Malheureusement si tu ne veux pas finir par terre, vaut mieux pas prendre le risque d'aller jusqu'à ta cuisine » Oui, sinon je risquais de me ramasser sévère avant d'arriver. Vous savez quand on a bu la moitié d'une bouteille de vodka, une bière et une bouteille de whisky, on n'a pas forcément les yeux en face des trous.
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Son regard avait l’air ailleurs. Comme s’il pensait à quelque chose d’autre et sincèrement, vu son expression, j’avais vraiment envie de savoir à quoi il pensait. En même temps, je venais de lui lister tous mes fantasmes. En plus d’y en avoir beaucoup, je savais qu’après cette nuit, les autres resteront enfermés au fond de mon coffre à désir, parce que je ne retoucherais plus à de l’alcool et qu’entre lui et moi … On verra bien demain, mais meilleur ami était quelque chose d’assez bizarre vu tout ce que l’on avait fait cette nuit. Pour moi, évidemment, pas pour lui. Sa cigarette écrasée, je vis son visage se tourner vers moi. Mon cœur loupa un battement en voyant son sourire affreusement pervers. Haussant un sourcil avec un sourire amusé, j’avais hâte de connaître la suite. Ses mains sur mes hanches, je le sentais me soulever. Immédiatement, j’enroulais mes bras autour de sa nuque et mes jambes autour de sa taille, impatiente. J’en frétillais d’avance, ne quittant pas ce foutu regard qui me donne déjà envie, encore et encore.

AUSTIN – « ça en fait... »

Souriant de plus belle. Je fus surprise d’être sur le bureau. Avais-je mis le bureau dans ma liste ? Non. Je me retrouvais à tout pousser, fronçant les sourcils en attendant une explication.

AUSTIN – « Malheureusement si tu ne veux pas finir par terre, vaut mieux pas prendre le risque d'aller jusqu'à ta cuisine »

Riant, je nous imaginais nous vautrer ensemble avant d’arriver dans ma petite cuise. Pourtant, elle n’était pas loin. Aussi loin que la salle de bain … Ah oui, si, quand même quoi. Me calmant en reportant mon regard sur lui, je devinais bien mes prunelles noires d’envie.

MADISSON – « ça ne me dérange pas de le faire par terre … » Je mords ma lèvre inférieure, mes mains se détachant de son corps avant de venir caresser ses belles petites fesses bien rondes. L’une de ses mains revint vers l’avant pour frôler son sexe qui s’éveille. « J’aime tout ce qui est dur … Très dur … » rajoutais-je, en parlant plus d’autre chose que du sol.

Lentement, mes caresses se stoppèrent pour que je prenne son entrejambe bien dans ma main, m’amusant à le faire réagir le plus possible. Imaginer masturber quelqu’un un jour ? Non, absolument pas. Et encore moins mon meilleur ami et ex petit ami. Mais je prenais beaucoup de plaisir à le faire, caressant intensément son sexe qui durcissait dans ma main, fière de ce que je faisais. Je fixais son visage, souriant toujours alors que je mordillais sa lèvre inférieure, écartant plus mes cuisses pour l’accueillir dans un avenir proche.
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