Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAUSTIN ∞ l'amener chez soi sans penser aux conséquences ... mauvaise idée ! - Page 8
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AUSTIN ∞ l'amener chez soi sans penser aux conséquences ... mauvaise idée !

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Ça va les chevilles ? Aurais-je demandé en tant normal pour la taquiner suite à son jet de roses, mais je ne prêtais même pas attention à cette simple phrase me contentant d'observer ma bouteille comme si je tenais un truc des plus étrange. Non, non c'était bel et bien un objet inoffensif. Sans la lâcher sur regard, j'écoutais attentivement Madisson et décrochais un petit sourire. Voilà qu'elle voulait mettre un peu de piquant dans ce petit défi. À deux nous arrivions toujours à faire des merveilles. Ni une, ni deux, le bouchon de la bouteille venait à sauter et la bouteille se retrouver coller à ma bouche. Je sentais que mon estomac ne voulait pas de tout cet alcool, mais je ne lui laissais pas vraiment le choix. Ma gorge me brûlait, mais c'était le cadet de mes soucis en fait, je n'y pensais même pas. Je regrettais à mon corps d'avoir ce besoin constant de vouloir respirer. Alors, je me débrouillais comme je le pouvais pour reprendre mon souffle et même si j'avais lutté pour prendre les dernières gouttes qui restaient au fond, j'avais réussi mon défi. Je luttais à présent pour ne pas tout régurgiter tout ce que je venais d'avaler. Il me fallu au moins cinq bonnes minutes avant de reprendre mes esprits et pouvoir me concentrer à nouveau. Je laissais la bouteille tomber sur le sol. « Hum...maintenant... » j'avais un peu de mal à parler ne m'étant pas totalement ressaisit. « Tu vas voir tes voisins comme ça, bon t'as le droit de mettre des sous-vêtements quand même et genre tu les insultes de tous les noms et je veux entendre crier là-haut, je ne serais pas loin, juste à la fenêtre ! » Je m'essayais sans plus attendre sur le rebord de la fenêtre -ayant du mal à trouver le rebord je l'avoue- et sans tarder, je m'allumais une seconde cigarette histoire de faire passer tout ce whisky.
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Impatiente, je fixais la bouteille de mon meilleur ami pour voir s’il allait pouvoir relever mon défi. Le bouchon sautait et il portait la bouteille à ses lèvres. Fascinée, je le regardais faire, totalement sur le cul qu’il le fasse sans rien dire. Doucement, je comptais dans ma tête jusqu’à dix. A neuf, il avait fini. Mon dieu, il a réussi. Choquée, je me retrouvais à juste avoir la bouche grande ouverte, surprise. Il avait l’air mal, très mal. Les minutes passaient et j’attendais juste de voir s’il n’allait pas lâcher une magnifique « quiche » en plein dans ma chambre. Heureusement, non. Amen. Sa bouteille tomba – sans se casser pour mon plus grand soulagement – avant qu’il ne me parle.

AUSTIN – « Hum...maintenant... »

Ouhla, il n’avait pas l’air d’aller bien du tout. Mais je ne préférais rien dire, n’ayant pas touché à la bouteille depuis le début de son défi, attendant qu’il continue de parler.

AUSTIN – « Tu vas voir tes voisins comme ça, bon t'as le droit de mettre des sous-vêtements quand même et genre tu les insultes de tous les noms et je veux entendre crier là-haut, je ne serais pas loin, juste à la fenêtre ! »

On dirait qu’il s’en prenait à moi de lui avoir fait boire tout ça … Mais c’est sa faute. C’est lui qui m’a demandé combien de temps il mettrait à la finir … Soufflant tout bas, je souriais quand même et sortais des draps, remettant mes sous-vêtements. Le voyant assis sur le bord de la fenêtre, je m’approchais de lui et me mis sur la pointe des pieds pour embrasser la commissure de ses lèvres.

MADISSON – « Ne tombe pas, hein »

M’en allant de mon appartement, je regardais à gauche et à droite. Un peu trop vite, ce qui me fit perdre un peu l’équilibre, mais bon. A vrai dire, je ne connaissais pas du tous mes voisins. Adulte ? Vieux ? Jeunes ? Peu importe, mais je sonnais comme une malade et tambourinait à la porte sans cesse. Jusqu’à ce qu’un mec m’ouvre la porte, aussi habillé qu’Austin. C’est-à-dire un simple boxer.

MADISSON – « NON MAIS VOUS VOUS PRENEZ POUR QUI ?! » Je vis une fille habillée à peine comme moi. « ON VOUS ENTEND BAISER PAR-DESSUS LA MUSIQUE ! PAUVRE CON VA ! » Je regarde ensuite la fille. « T’ES TELLEMENT LAIDE QUE TON MEC EST ENTRAIN DE ME MATER, PAUVRE FILLE ! »

Tout ça sans leur laisser le temps de partir, m’enfuyant en riant pour entrer dans mon appartement en claquant la porte et la fermant directement derrière moi. Tout en riant, je revenais dans ma chambre, voyant mon meilleur ami toujours à la fenêtre.

MADISSON – « ça te va ? »
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Je souriais à sa remarque et me tenais bien aux recoins de la fenêtre lorsqu'elle me déposa un baiser sur mes commissure pour éviter de tomber en arrière. Je n'avais pas spécialement le vertige, mais je craignais le résultat si je finissais en bas. Je le regardais partir, pleine d'assurance et bien décidée à ne pas me décevoir. Je tendais l'oreille afin de ne rien manquer et autant dire que j'étais vraiment mort de rire. Moi, Austin Da Silva, complètement déchiré de A à Z, assis sur le rebord de la fenêtre qui manquait de tomber à plusieurs reprises, en train de se foutre de la gueule des voisins et peut-être même de Madisson, je n'en savais trop rien. Je jouissais de cette scène et je ne serais pas surpris qu'ils appellent les flics après ça. J'avais d'ailleurs mis la musique en arrêt afin de mieux écouter le dialogue très riche des protagonistes. Même une fois revenu, j'étais toujours mort de rire. Je me calmais aussitôt en me sentant partir en arrière. Je fis un énorme bond en avant ayant bien cru qu'à force de glousser ainsi j'allais finir au rez-de-chaussée et en caleçon en plus. « Ouais, je pense que t'es bien parti pour te faire détester par tes voisins durant quelques années » J'affichais un énorme sourire à la demoiselle avant de l'emprisonner de mes bras avant de perdre l'équilibre et de me prendre les pieds dans le tapis m'écroulant ainsi sur les bouteilles. Bon, si jusque là nous avions réussis à ne rien casser, c'était sans compter que j'avais du mal à mettre un pied devant l'autre maintenant. Je regardais les morceaux de verres jonchés sur le seul en rigolant. Ce qui était bien avec l'alcool ? C'était que tu pouvais te prendre un mur en béton armé dans la face, tu ne sentirais même pas la douleur. Du moins sur le moment, le lendemain en général tu regrette d'avoir voulu faire le malin.
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L’entendre rire ainsi voulait dire que j’avais réussi. Je m’en voyais rassurer. Parce que faire une autre connerie du genre m’apporterait encore plus d’ennuis que je n’en aurais déjà le lendemain. Sincèrement, vu leur tête, il devait avoir compris que je suis juste totalement faite et qu’appeler la police ne serait pas une bonne idée pour moi. Enfin, je dis ça, qu’en savais-je s’il n’allait pas débarquer ? Non, vraiment, les gens préfèrent utiliser ce genre de moment personnellement. Genre vous demandez de faire quelque chose à leur place, etc.. Sous peine de le divulguer à tout le monde. Dont les parents. Ce que je redouterais forcément. Regardant mon meilleur ami glousser, ayant oublié toute crainte qu’il se casse la gueule du mauvais côté de la fenêtre, je ne pouvais que sourire en m’approchant, fière de moi.

AUSTIN – « Ouais, je pense que t'es bien parti pour te faire détester par tes voisins durant quelques années »

Pour l’instant, ça m’importait très peu. Enfin, pas du tout plutôt. Ils pourraient bien faire ce qu’ils veulent que bon … En même temps, aussi proche d’une université, ils avaient du en voir des vertes et des pas mûres, alors je ne devrais pas être le pire cas au monde ! Même si j’avais crié, j’étais relativement habillée et je n’avais rien fait de trop stupide. Ses bras emprisonnèrent alors qu’il souriait toujours comme un idiot, me faisait rire par la même occasion.

MADISSON – « J’leur dirais que mon meilleur ami m’a donné un pari et que je n’ai pas pu dire non, hein » dis-je en riant encore.

Evidemment, tout ne peut pas aller uniquement bien. Et d’un coup, je me sentis voler. Non, non, je n’avais pas décidé de me jeter par la fenêtre. Juste que mon beau crétin ne savait pas aligner deux pas et qu’il venait de se vautrer par terre, m’entraînant dans sa chute. Heureusement pour moi, il avait amorti ma chute. Et nous rigolions encore comme des idiots. Sauf qu’une lueur d’intelligence me traversa l’esprit lorsque je vis des bouts de verre et part et d’autre de lui. Merde. Le soulevant alors qu’il continuait à rire, je vis son dos plein de sang. Oui, même bourrée, certaines fois on peut avoir des élans de lucidité. Il allait morfler demain.

MADISSON – « T’es irrécupérable parfois »

Soufflant doucement, je le tirais avec moi vers ma salle de bain. Notre route fut plus longue car légèrement … Vague. Mais nous arrivions assez entier et même si j’avais foutu un énorme bordel, j’avais réussi à sortir de quo désinfecter. En le voyant au plus mal, je commençais à émettre des flous regrets que nous soyons arriver là. Tout est tellement en bordel dans ma tête ... Je m’appliquais à enlever des bouts de verre, me concentrant pour que tout soit enlevé. Loin de moi l’envie de l’amener à l’hôpital, que ce soit maintenant en étant complètement bourré ou demain avec un mal de crâne intense et une foule de remords de notre nuit ensemble.

MADISSON – « Voilà ! » dis-je, fière d’avoir réussi à tout retirer. « Et pour finir, un bisou magique ! »

Sans hésiter plus longtemps, j’avais tout débarrassé dans la poubelle avant de poser mes lèvres contre les siennes. Non, bien sûr, ce n’était pas un mini bisou, mais plutôt un baiser largement plus long, plus approfondit … Rien de sage dans tous les cas. Un bras enroulé autour de sa nuque, je le collais à moi pour qu’il ne tombe pas à toujours. Parce que si là, il tombait, il s’éclaterait plutôt la tête contre le carrelage. Des bouts de cervelles partout ? Non, merci, sans façon, je passais mon tour pour le coup ! Dans un petit coin de ma tête, je me forçais à ne pas oublier de ramasser le verre restant dans ma chambre pour que nous ne sous fassions pas mal avec. On verra encore bien si je m’en rappelle. Pour l’instant, je me trouvais bien trop préoccupée par le baiser que je lui donnais (a).
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Ok, j'avais beau avoir du sang partout -et encore je ne voyais pas l'état de mon dos, mais ma main qui s'était retrouvée appuyée sur un bout de verre me suffisait à imaginer la suite-, je rigolais toujours comme un con, me rendant compte de la connerie qu'on venait de faire. Heureusement pour Madisson, j'avais réussi à amortir sa chute. Elle s'en sortait donc pas trop mal et devrait s'en sortir avec seulement quelques bleus demain matin. Le chemin pour aller de la chambre jusqu'à la salle de bain me semblait super long ! J'essayais de faire attention à ne pas trébucher une nouvelle fois ne préférant même connaître la suite si nous finissions tous les deux étalés sur le carrelage de la salle de bain. Je n'avais pas spécialement conscience de ce qu'il se passait. Je laissais ma meilleure amie me soigner en ne gémissant pas de douleur. Non, franchement, je n'avais absolument pas mal et ce n'était pas forcément bon signe. Je n'avais aucune idée du temps qui lui aura fallu pour finir à bout de tous ces bouts de verre, mais ce baiser me fit comprendre que tout était fini. Mes lèvres collées aux siennes, j'esquivais un sourire et murmurais quelques paroles. « Je devrais me faire ma plus souvent... » Je passais l'une de mes mains derrière sa nuque en m'emparant de ses cheveux tandis que l'autre se déposait délicatement sur sa taille. Nos deux langues se rencontrèrent une nouvelle fois et je n'avais pas envie de bouger de là. « Les infirmières ça m'a toujours fait fantasmé » avais-je réussi à placer entre deux pauses dans notre échange.
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Avoir réussi à le soigner et bien en plus, cela valait bien un baiser je trouve. En plus, il l’avait fait avant – il y a déjà plusieurs minutes – alors je n’allais pas m’interdire de l’embrasser à mon tour. Surtout qu’apparemment, ça lui convenait autant qu’à moi. Il n’avait pas bougé d’un seul pouce pendant que je prenais le temps de désinfecter ses plaies, pas un mouvement ou gémissements. Par contre, une fois un baiser commencer, il se réveillait immédiatement. Un petit profiteur, ouais. Mais j’aimais bien trop ça pour dire quoique ce soit. Je n’en étais de toute façon pas capable, aussi. L’ayant assis sur … les toilettes – tout sauf glamour, mais bon – je rapprochais ses genoux pour m’installer sur ses cuisses sans quitter un seul instant ses lèvres qui me rendait tellement heureuse.

AUSTIN – « Je devrais me faire ma plus souvent... »

Riant doucement à sa remarque, je ne pouvais qu’être flatté. Si seulement, non alcoolisé, cela pouvait être aussi simple. A chaque fois qu’il se fait mal, je le soigne tranquillement avant de l’embrasser fougueusement. Mon ventre me chatouilla en imaginait cela. Le rêve. Notre baiser s’intensifia. Je le sentis prendre mes cheveux et poser son autre main sur ma taille, m’envoyant de violent frisson.

AUSTIN – « Les infirmières ça m'a toujours fait fantasmé »

Une petite phrase avant de m’embrasser de plus belle. Ah oui ? Un léger sourire se nicha sur mes lèvres à sa réplique. Confortement installée à poursuivre notre baiser sans me poser plus de question, je coupais brusquement notre échange, le regardant droit dans les yeux.

MADISSON – « Ah oui ? » demandais-je malicieusement en caressant son torse, laissant ma main aller toujours plus bas avant de murmurer chaudement à son oreille : « Montre-moi à quel point ça t’excite … »

Ma phrase venait à peine de se finir que ma main s’était glissée dans mon boxer pour venir toucher à même la peau son sexe. L’alcool a vraiment des effets très néfastes sur moi. En temps normal, jamais je n’aurais fait ça, même pas avec lui. Mais là, je me sentais poussée des ailes, j’avais l’impression que tout ce que je faisais ce n’était pas d’une grande importance. Profiter sans penser au reste. Des gens arrivent à vivre ainsi, comme lui. Moi, j’avais besoin de boire pour me lâcher, pour « vivre vraiment » comme certains le disent. Frôlant son entrejambe avec un sourire amusé non dissimulé, je venais reprendre possession de ses lèvres pour un énième baiser enflammé.
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Je ne savais pas que Madisson devenait carrément une chaudasse quand elle buvait trop. En même temps étant jeune on se contentait uniquement de bière lorsqu'on se retrouvait ensemble et ce devait d'ailleurs être la première fois qu'on buvait autant tous les deux et vive les dégâts quoi ! Personnellement, je me disais que je devais boire plus souvent en sa compagnie car ça la changeait du tout au tout. Elle se braquait beaucoup moins et au contraire, elle osait même faire des choses que je ne lui aurais jamais crus capable de faire.

Lorsque je laissais échapper un gémissement de plaisir je remarquais que sa main c'était faufilée dans mon boxer afin de me titiller. Alors, mes deux mains sur ses hanches, je laissais glisser quelques doigts dans sa culotte sans lâcher les lèvres de la demoiselle. Mon sourire ne quittait pas une seule seconde mes lèvres et il faut dire que j'avais tous pour être heureux à cet instant précis. De l'alcool, une fille canon, ma meilleure amie. Ses mains toujours sur mon sexe, je le sentais se redresser et se durcir au fil de ses caresses. « ça te va comme preuve ? » Je reprenais une nouvelle fois possession de ses lèvres afin de jouer avec sa langue. Mes mains ne tardèrent pas à se mouvoir en direction du fessier de mon ami tandis que toujours assis sur mes genoux je la collais un peu plus à moi.
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Son gémissement me fit sourire de contentement. Savoir que je pouvais lui faire ce genre d’effet se révélait être une énorme satisfaction personnelle et je n’allais pas me gêner pour en être totalement fière. Ses doigts glissant sous ma petite culotte, je ne pouvais qu’en soupirer de bonheur entre nos lèvres, conquise par son touché expert. Sincèrement, toutes les autres, je m’en tapais pas mal. Je savais que je lui plaisais, que je pouvais l’exciter et c’était le plus important. Être la seule à ses yeux pendant quelques heures, quoi de plus bénéfique, de plus attrayant ? Rien ne pouvait être mieux que cela. Notre baiser n’en finissait plus alors que je sentais son sexe se réveillé sous mes doigts, me faisait sourire de plus en plus. Quel coquin. Notre baiser se terminait, à mon grand regret. Ce n’était pas pour autant que je quittais son regard et que je perdais mon sourire.

AUSTIN – « ça te va comme preuve ? »

Notre lèvres se retrouvèrent très rapidement, pour mon plus grand plaisir alors que ses mains vinrent sur mes fesses. Arrêtant de faire réagir son entrejambe en retirant ma main, je vins coller complètement mon bassin contre le sien qui était déjà bien tendu. Souriant de plus belle, je m’amusais à rouler mes hanches sur son sexe. Le chercher ? Complètement et j’adorais sentir qu’il réagissait si bien. Glissant mes lèvres dans son cou, je revenais vers son oreille, mordillant son lobe sensuellement avant de déclarer tout bas :

MADISSON – « J’ai envie de toi. Comme ça. Moi, sur toi … »

Chaudasse ? Oh oui. N’ayant pas vraiment conscience de mes actes, je ne me rendais pas trop compte de ce que je disais ni de ce que je voulais que l’on fasse. Je laissais mes pulsions s’exprimées sans rien contrôler. J’avais simplement envie de lui, comme ça, là maintenant. Et je ne me gênerais en aucun cas pour lui dire. Le regardant dans les yeux en me mordillant la lèvre inférieure, je jouais déjà avec l’élastique du boxer pour lui faire comprendre que j’étais très sérieuse et que j’en avais follement envie. Après tout, c’est lui qui a commencé en me disant que les infirmières l’excitent ! Je ne fais qu’aller dans son sens et de faire ce dont j’ai moi-même secrètement envie, après tout.
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Nous étions sûrement bien parti pour coucher ensemble une seconde fois et qu'importe l'endroit, c'était comme si rien ne pouvait nous arrêter, la chambre ou bien, sur la cuvette des chiottes, on tenait à fêter nos retrouvailles comme il se le devait et nous avions une manière bien à nous de le faire. Une manière pas très censée, mais qui a dit que nous l'étions ? Mes yeux verts qui viraient vers le rouge et qui pétillaient comme si je venais d'assassiner une gousse d'ail -mais en fait ce n'était que le surplus d'alcool- regardaient intensément Madisson. Je respirais doucement dans le cou de la jeune fille jusqu'à lui chuchoter deux, trois mots sûrement plaisants pour elle. « Ne te gêne pas » J'étais bien le dernier à refuser ce genre d'avances et comme si mon état allait me freiner. J'étais tout disposé à recevoir son offre. Ses mouvements me firent me rappeler que j'étais déjà pas mal excité et je ne tardais pas à m'emparer des quelques doigts qui jouaient avec l'élastique de mon boxer, les caressant avec délicatesse en faisant bien attention de ne pas les broyer. Je ne lâchais plus son regard et me mordant de désire, ma lèvre inférieure.
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Avoir envie et avoir besoin de quelque chose se révélait être deux opposées que l’on associait bien trop fréquemment. Le premier reflète une pulsion, courte ou longue dans le temps pour assouvir un désir que l’on a au plus profond de soit et qui nous démange chaque jour sans que l’on ne puisse rien faire contre celui-ci. En revanche, le second est bien plus complexe : autant il peut être considérer comme une envie sur le moment présent, mais le besoin est bien plus fort, plus présent. Il nous ronge petit à petit, jusqu’à nous consumer complètement. Une envie peut être écartée, remise à plus tard. Un besoin doit être réalisé le plus rapidement et le mieux possible. Il n’est pas discutable, ni ne peut être reporté très longtemps. Ces deux notions doivent être foncièrement dissociées. D’un côté, on a un désir rapide et éphémère. De l’autre, on a une volonté concrète et qui aura un impact dans notre vie bien plus grand que le premier. Malheureusement, tout le monde ne comprend pas cette différence, ne la réalise pas. Bien souvent, cela pousse à l a faute et celle-ci amène sa panoplie de remords, regrets, pleurs, tristesse.

Son regard pétillait autant que le mien. Nos baisers se faisaient plus affolés, plus désireux de bien plus que simplement cela. Alors je lui avais murmuré ces quelques mots à l’oreille pour le faire réagir. Le faire prendre « conscience » de ce que je voulais et de ce qu’il arrivait si bien à déclencher en moi. Une envie primaire, charnelle qui n’avait jamais réellement disparu de moi. Un besoin de l’avoir tout contre moi. Mon bel idiot, mon grand pervers, mon stupide et égoïste premier amour, mon crétin de meilleur ami, le seul homme au monde qui arrive à me faire ce qu’il veut sans que je ne rechigne à quoique ce soit. Le pardonner, lui sourire, l’embrasser, le rendre heureuse. Tant de choses pour lesquelles je cédais volontiers. Sûrement est-moi la plus conne de nous deux. Je l’admettais et je le répèterais sans cesse le lendemain matin, après avoir décuvé et m’être rendu compte de l’ampleur des dégâts, autant dans mon appartement que ce qu’il s’est passé entre nous.

Pour le moment, mon cerveau se trouvait bien plus occupé à autre chose qu’à prédire ma réaction du lendemain. Je venais de le chauffer – et pas qu’un peu – et je ne comptais absolument pas en rester là avec lui. Son regard intense me faisait frémir d’impatience alors que sa tête se nicha dans mon cou. Il me rend dingue. Le nier serait me voiler la face, me mentir honteusement à moi-même. Il fallait juste accepter la – dure – réalité qui s’imposait à moi, que ce soit au naturelle ou totalement noyée dans l’alcool – par sa faute, hein (a).

AUSTIN – « Ne te gêne pas »

Ses mots sonnèrent comme un défi à mes oreilles. Je n’allais vraiment pas me faire prier pour me faire plaisir, à lui autant qu’à moi, d’ailleurs. Son regard ne me quittait plus alors qu’il caressait mes doigts qui jouaient précédemment avec l’élastique de son boxer qui me barrait la route pour faire ce dont j’avais envie. Sans un mot, toujours en gardant ce même sourire devenu légèrement pervers, je dégageais mes mains de ses caresses pour retirer d’un coup sec et précis son boxer qui arriva très vite à ses chevilles sans que je ne bouge plus que ça de lui. Pour mon soutien gorge, je fis virevolter mes cheveux d’un côté afin de retirer les agrafes, le laissant tomber avant de le jeter dans la pièce. Je faisais en sorte de moins perdre son attention du regard, lui adressant un regard tout ce qu’il y a de plus prometteur pour la suite des évènements. Ce fut pour ma petite culotte que ce fut le moins facile, mais je me levais rapidement, avant de la descendre et de revenir contre lui, la laissant giser à terre. Les choses sérieuses pouvaient commencer.

MADISSON – « Je n’en avais pas l’intention » soufflais-je tout bas, très près de ses lèvres.

Enroulant à nouveau mes bras autour de sa nuque, je n’attendis pas très longtemps avant de me redresser à peine pour venir m’empaler sur son sexe que j’avais apparemment excité à merveille. Cette pénétration me fit gémir à son oreille, un peu de douleur pour être sincère, mais une fois au plus profond de moi, je ne bougeais plus, histoire de m’y habituer. C’était tellement bon, que j’espérais que la douleur passe assez vite pour pouvoir continuer. Mes lèvres virent se sceller à nouveau au sienne pour un long baiser passionné, afin d’oublier la douleur, nos langues se cherchant toujours autant. Sans attendre que toute la douleur disparaisse, je roulais doucement des hanches sur lui, m’agrippant à ses cheveux pour garder pieds. Ça n’avait rien de retrouvailles entre « meilleurs amis », mais c’était notre façon de se retrouver. Avec je-ne-sais combien de grammes dans le sang, combien de bleus ou de coupures, combien de voisins qui me persécuteront pendant le reste de ma scolarité ni combien de remords je garderais de tout cela. En particulier des rapports sexuels que nous avions eus ensemble. Évidemment, ça ne passerait pas à côté. Aussi bonne poire suis-je lorsque je suis sobre.
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