KENYA ► Ce pays possède la même beauté que celle que j'aime

Le traitement. La perfusion. Le goutte à goutte. Les yeux rouges. Les vomissements. A Cambridge, Kenny était revenu seul pour affronter ses soucis. Il était fatigué, le visage livide, les paupières lourdes. Une semaine. Une semaine qu'il n'avait pas prit le traitement et le voilà là entrain de payer ce qu'il avait fait en deux fois plus fort. L'infirmier passait, Kenny ne relevait pas. Il restait sur son fauteuil regardant son téléphone malheureusement il ne pouvait pas l'appeler. Entendre sa voix, il en avait besoin mais elle dormait surement. La Russie et les heures de décalage, il n'allait pas le faire non car dans quelques heures c'était lui qui la verrait, il pourrait l'embrasser, la toucher et enfin voir son regard. Kenny était dépendant, certains avaient besoin de drogue pour soulager leur souffrance, lui c'était elle. Elle et son petit coté princesse, il prenait tout car il aimait tout chez elle bien que parfois elle soit embêtante, qu'elle veuille tout contrôler.

Il dormait. Kenny rêvait d'eux. Parfois, ça lui arrivait, il s'imaginait avec elle dans quelques années preuve que leur histoire n'était pas sans lendemain quel avait un avenir qu'il désirait seulement ses rêves ne terminait jamais bien car elle ne lui disait jamais rien. Elle espérait quoi, elle qui ne croit pas en l'amour, au mariage ou encore aux bébés, malgré toutes les interrogations, Kenny ne s'imaginait pas sans elle, son âme sœur c'était elle. "Monsieur, on est arrivé..." Un son ou plutôt une voix aigue pour un homme c'était étrange. Quand Kenny retirait son masque de ses yeux pour se protéger de la lumière des néons de l'appareil volant, il vit un homme de l'équipage. Il souriait, le brun lui rendait son sourire bien qu'il soit encore un peu dans le brouillard. La Russie. Saint Petersbourg. L'aéroport et son vol interminable. Kenny avait dormit pendant près de 10 heures, il était frais et reposer. Quand il sortait de l'avion, il avait ce petit visage d'un enfant qui allait retrouver quelqu'un d'important. Le terminal de l'aéroport, les gens qui attendait, Kenny regardait partout quand son regard trouvait le sien presque automatique. Accrocheur, souriant, désireux, le brun réajustait son sac sur l'épaule pour aller l'attraper dans ses bras. Anastasiya, son odeur douce qui frôlait ses narines. Il la serrait avant de l'embrasser assez langoureusement pour le coup. Deux jours loin d'elle sans presque aucunes nouvelles tellement ils avaient eu des choses à faire, c'était dur trop dur et désormais ils étaient réunis. Elle était seule apparemment bien que quelques gardes du corps l'encerclaient, bonne nouvelle personne de sa famille car le jeune homme pouvait encore la toucher comme il le souhaitait. Son front contre le sien, ses mains se logeaient sur les hanches de sa chérie, silencieux pas besoin de mot pour savoir qu'il était heureux, seul ses yeux parlaient alors que les gens les regardaient comme des vautours.

C'est un vol direct Hawaï-Russie que la jeune femme avait prit. Autant dire que le contraste était grand, même s'il régnait un temps magnifique dans son pays natal depuis quelques semaines. Son père voulait la voir, elle avait des obligations à remplir, des galas auxquels elle devait faire acte de présence en tant qu'héritière au trône. Cela faisait maintenant deux jours qu'elle était au palais. Son père paraissait assez flegmatique malgré la dispute qu'ils avaient pu avoir au téléphone à cause d'une erreur de manipulation, c'était comme si rien ne s'était passé et ceci eut le don de la laisser complètement perplexe, oui, elle aurait préféré qu'il dise quelque chose, qu'il l'engueule, mais rien, c'était à peine si il lui adressait la parole. C'était comme si elle était inexistante, chose qu'elle détestait, chose qu'elle craignait surtout de la part de son père. Sa mère vint la rassurer à plusieurs reprises, lui disant que son père était méfiant à l'encontre de Kenny. Pourtant, il ne le connaissait pas, non , il n'avait pas prit cette peine là et c'est donc au déjeuner, le deuxième jour, qu'elle décida de lui parler, entre quatre yeux. La blonde tenta de lui expliquer ce lien inhérent qui les unissait, Kenny et elle, cependant, c'était imperceptible aux yeux du monde entier, c'était comme indescriptible et elle n'arrivait pas à poser les bons mots sur ce qu'elle ressentait vraiment, elle n'avait jamais été forte pour ça étant donné son manque de clarté quant à ce qu'elle ressentait. Elle n'en faisait presque jamais part et là voilà maintenant telle une inadaptée de l'amour. Pourtant le lien avec son père semblait peu à peu revenir à la normal, froid mais protecteur, imperceptible mais bienveillant, maladroit mais présent.

Aujourd'hui était le grand jour, Kenny allait arriver et à vrai dire, elle appréhendait un peu sa venue, son contact avec son paternel. L'avion arrivait enfin, c'est en regardant l'affichage que son coeur manqua quelques battements, tirant un peu sur la robe qu'elle portait. Cette magnifique robe aux allures de caraco , toute ouverte dans le dos, bleu à rayure blanche. Cela faisait un peu plus de deux jours qu'ils n'avaient eu aucune nouvelle l'un de l'autre. C'était peut être pathétique, après tout, 48 heures dans une vie ce n'était que poussière, pourtant il lui avait manqué, terriblement manqué. Elle avait eut l'audace de penser à ses bras, à ses lèvres, à son regard, à ses doigts et sa voix ... C'était bien trop passionnel pour elle, elle arrivait de moins en moins à se faire à son absence, il était comme devenue vital et ceci lui faisait peur, d'une manière plus qu'outrageuse. Elle n'arrivait pas à extériorisé tout ce qu'elle ressentait c'est peut être pour ça que son corps, son esprit s'enflammait à chaque fois qu'elle posait son regard sur lui, même si une certaine crainte rester au bas fond de son esprit. Elle avait se besoin de contrôle, se besoin que tout soit comme elle le souhaite, carré. Anastasiya savait que par moment, elle pouvait être exaspérante et tellement froide et même avec Kenny, mais c'était un trait de son caractère qu'elle ne pouvait gommer sans sacrifice. Celui de son âme, de sa personnalité. Perdue dans ses pensées, elle regarda tout ce petit monde sortir de l'avion pourtant une tête jaillit instinctivement. Celle de son fiancé. Un large sourire s'imprima sur son visage et c'est en l'accueillant dans ses bras qu'elle enroula ses jambes autour de sa taille, épris d'une fougue naissante. Ses lèvres contre les siennes eurent l'effet d'une citronnade en été. A la fois douce et rafraîchissante mais aussi vital & brûlante. Se frayant un chemin avec sa langue, elle lui écarta doucement les lèvres pour caresser la sienne afin de partager un baiser tendre et langoureux avec ce dernier. C'est en posant son front contre le sien, qu'elle caressa sa joue de son nez. Tu m'as manqué susurra-t-elle en déposant une myriade de baiser dans son cou. Elle savait que ça serait le seule moment, du moins un des rares moment ou ils pourraient se permettre ce genre d'étreinte, ce genre d'acte, car une fois que Kenny poserait un pied au palais, elle était certaine que son père ne le lâcherait pas, ou bien demanderait à l'un des nombreux domestiques de les surveiller. Attrapant sa main dans la sienne, elle l'entraina dans l'un des 4x4 Audi, de son père que Vladimir conduisait.  Tu as fait bon voyage ? Pas trop long ? Fatiguant ? T'es analyse alors ?  La blonde ne se rendit pas compte qu'elle l'assommait déjà de question, mais elle avait besoin de savoir tout ça rien que pour être rassuré, rien que pour son bien être personnel. La tête contre sa torse, elle posa sa main contre sa cuisse, attrapant sa main au passage afin d'entrelacer ses doigts aux siens, faisant des petits mouvements circulaires contre son jeans.

Les passagers du vol 747 se déversaient dans le hall du terminal 4. Des visages, des centaines de visages se dressaient devant ses yeux. Il ne vit personne de connu, juste des compagnons d'un vol qu'il avait pu côtoyer qui rejoignaient leurs proches. Des embrassades, des accolades entre amis, des rires. Rien de très spécial pourtant lui attendait un être particulier, un être qui avait tendance à lui faire augmenter son rythme cardiaque en quelques secondes. Un visage d'ange, une crinière blonde bouclée qui brillaient légèrement sous les néons, il la vit. Un sourire apparu presque automatiquement sur le sien, peu importe ce que tout le monde faisait, il ne voyait qu'elle. Ses bras l'encerclaient, ses mains glissaient le long de ses cuisses alors que ses lèvres se moulaient parfaitement aux siennes comme si elles avaient été créées spécialement pour cette bouche. Sa langue titillait celle de cette magnifique femme. Sa fiancée était expansive, dévorante devant tout le parterre de monde, il n'y croyait absolument pas. Irréel. Fougueux. Passionné. On lui avait changé ? Les yeux clos, il profitait. Il sentait cette odeur qui lui chatouillait le nez. Pamplemousse ? Pêche ? Ou tout simplement son odeur à elle. Leur étreinte se terminait avec un baiser plus réservé. Manque de souffle. Sourire naissant digne d'adolescent qui se voyaient en cachette. Il reculait un peu son visage alors que ses yeux exprimaient toute la beauté de ce moment. Pétillant. Attendrit. Autant de sentiments qui se bousculaient dans sa tête mais aussi dans son cœur. Ce dernier était en fête comme s'il venait de gagner la coupe du monde, pourtant ce qu'il tenait dans ses bras était bien plus importante qu'un simple trophée, c'était elle. Elle qui disait qu'elle lui manquait. "Moi aussi... Tu t'imagines pas à quel point..." murmura t'il aussi proche de son oreille. Oh oui, elle ne s'imaginait pas comment il avait pu penser à elle constamment. Des baisers, des tonnes de petits contacts sur son épiderme. Il riait aux éclats. Chatouilleux, il fermait tout de même les yeux, profitant sans complexe.
Le soleil était à son zénith quand les amoureux sortaient de l'aéroport. Plissant les yeux pour mieux distingué la voiture qui se dessinait sous son regard, il ne pouvait pas s'imaginer une seule seconde qu'une fois au grand palais, il ne pourrait plus la toucher de cette manière. Son cœur se serrait, se contractant tellement fort dans sa poitrine qu'il posait sa main contre son torse espérant se calmer. Ne pas créer de souci, il le pensait fortement depuis son arrivé dans l'avion, il ne voulait pas lui faire honte seulement parfois on ne pouvait pas lutter contre sa propre nature. Ses valises dans le coffre, ils étaient en route, elle posait sa tête sur son torse en touchant sa cuisse. Lui caressant ses jolies cheveux blond en regardant le paysage. "Une chose à la fois ma puce..." Calme, il déposait un bisou sur le sommet de son crâne. "Je suis pas fatigué et le voyage c'est bien passé j'ai dormis tout le temps. Pour mes analyses, elles sont bonnes, il y a une petite baisse très infime de... la chose mais c'est en bonne voie..." On pouvait l'entendre dans sa voix, la joie qu'il éprouvait en parlant de la baisse de sa tumeur. Il était content, content comme maintenant même si ce fut de courte durée. Le palais venait à eux, trop rapidement à son gout. Son visage se fermait peu à peu tout comme les grilles une fois la voiture passée. Des gardes du corps, des domestiques, il y avait déjà trop de monde alors qu'ils étaient encore dans la voiture. Une voiture qui allait surement être ouverte pour laisser les deux amoureux sortir alors à la dernière minutes, il l'embrassait. Passionnément certes mais avec un petit gout d'amertume car il savait. Il savait qu'il allait en baver les prochains jours à venir pourtant pour elle, il se sentait fort. Les secondes d'après, un domestique ouvrait la porte d'Anastasiya pour qu'elle descende.

Le sentir à nouveau dans ses bras était une sensation enivrante, c'est fou à quel point il avait pu lui manqué, jamais elle ne s'était rendu compte à quel point elle pouvait être dépendante de lui, de son regard, de son sourire. C'était surement ça qui lui faisait le plus peur dans cette relation, cette dépendance qu'ils ressentaient l'un pour l'autre. Certes, Anastasiya arrivait à le cacher plus facilement, mais à l'intérieur, cela la consumait. C'est dans ses bras qu'elle se senti enfin en sécurité et pleinement comblé. Ses bras autour de son cou, ses jambe autour de sa taille, elle n'avait pas envie de le lâcher.  Je comprend tout à fait, je manque à beaucoup de monde dit-elle en riant avant de l'embrasser à nouveau rapidement, laissant ses lèvres caresser sa peau si douce.

Une fois installé dans la voiture, elle regarda Kenny avide d'avoir les réponses aux questions qu'elle se posait. Elle s'était aperçue de sa fatigue à Hawaï, bien entendu il s'était gardé de lui dire qu'il n'avait pas prit son traitement pendant cette semaine de repos. La main du jeune homme caressait ses cheveux, une douce chaleur l'envahissait à ce contact, c'est fou l'effet qu'il pouvait lui faire, seulement 48h sans le voir et elle était déjà en manque de ses mains. Soulagée par ses réponses, un doux sourire se forma sur ses lèvres, heureuse de sa venue. Bien que la relation de l'anglais avec son paternel était tendu, elle s'était apaisé à sa vue. Tant mieux, ce soir on a une réception, je crois que mon père veut te tester, alors je t'en pris pas de vague l'encouragea-t-elle en tapotant sur sa cuisse. L'arrivée fut assez rapide, les routes étaient dégagées. Le palais ce dessinait peu à peu devant eux et c'est une fois arrivé que le chauffeur vint lui ouvrir la porte, faisant de même à Kenny en suite. Son coeur battait un peu plus vite, de manière saccadé. Elle voulait que tout se passe bien et en cet instant elle se reposait totalement entre les mains de Kenny, elle avait confiance. C'était rare, certes, mais c'était le cas. Ses paternels les attendaient devant la porte, surement prévenue de leur arrivée par Vladimir, un homme de bon sens et de discrétion. Jetant un coup d'oeil à son père, elle espérait que lui aussi ne fasse pas de vague, c'était important pour elle. Fidèle à elle même, sa mère quant à elle, prit Kenny dans ses bras, heureuse de le voir quant à son père malgré le regard froid et désapprobateur envers Kenny, il lui serra la main, durement. Un coup d'oeil à Kenny, elle était presque sure de voir ses jointure blanchir à la poigne de son père. Ou est Olga ? demanda-t-elle rapidement. Olga était sa grand mère, une alliée cher à Kenny. C'est suite à sa question que sa grand mère débarqua, toujours aussi radieuse et raffinée. La vieille femme attrapa Kenny dans ses bras, heureuse de le revoir. Kenny, je suis heureuse de vous revoir clama-t-elle haut et fort, avant de poser sa main sur son épaule pour l'approcher un peu plus J'espère que vous comblez toujours ma petite fille dit-elle avec un petit rire avant de le lâcher. Un regard complice entre les deux protagonistes, Anastasiya attrapa la main de Kenny pour l'entrainer avec elle Pas si vite Anastasiya, tu devrais montrer ses quartiers à Kenny afin qu'il s'y installe En effet, Igor ne souhaitait pas que le petit ami de sa fille dorme dans les mêmes appartement qu'elle, question d'éthique, ou bien surplus d'autorité. Autant dire que la jeune femme avait ce trait de caractère du côté de son père, ce besoin constant de tout contrôler Bien sur père dit-elle en levant les yeux au ciel Je te pris arrête de lever les yeux au ciel, ce n'est pas décent pour une jeune femme de ton rang Anastasiya eut envie de lever les yeux au ciel, à nouveau, mais elle se reteint Oui père dit-elle avec une petite révérence, ironique, cela va s'en dire avant d'entrainer Kenny à l'intérieur vers ses appartements, qui bizarrement étaient installés à côté de ceux de ses parents.

Une réception. Elle avait bien dit une réception ? Il l'avait regardé intensément à ce moment précis dans la voiture. Ne pas faire de vague. Il y avait trop d'information à prendre en compte. Kenny ne savait plus ou donner de la tête, il avait pleins de questions à lui poser, pleins de truc à lui dire. Il aurait pensé qu'ils allaient passé une soirée ensemble dans le salon familiale entre les portraits de famille de la russe et la petite cheminée éteinte, peut être même qu'Olga serait venue avec eux pour leur raconter une histoire de sa jeunesse. Sa bouche s'ouvrait pour se refermer aussitôt. La portière du véhicule noir dévoilait le grand palais. Au fond vers la porte d'entrée, il vit deux silhouettes. Une longiligne et une autre plus robuste, plus brute, elle faisait même un peu bucheron, on voyait que cette personne était avide de nourriture. Cet homme et cette femme était deux personnes bien distingue à ses yeux. Ils avaient beau faire parti de la même famille, il les distinguaient en deux camps. Un sourire illuminé, une étreinte chaleureuse. Kenny serrait la mère d'Anastasiya. "Bonjour..." dit-il en souriant de toutes ses dents puis se fut le paternel d'Anya qui lui serrait la main de manière assez forte. Il n'était tout de même pas en reste, il lui rendit la même poignée de main comme si à ce moment précis, les deux hommes montraient leur force respective, prêt à en découdre. Un duel silencieux. Un regard froid lancé par l'anglais. Il ne ferait pas de vague au non, il allait être gentil, tellement gentil qu'il allait pouvoir agacer Igor intérieurement. Elle les sortis de leur combat interne. Cette petite voix vieillissante, son pantalon bien taillé et ses cheveux impeccablement bien coiffée à l'ancienne. Elle avait cet accent russe un peu aristocrate qui le rendait souriant car bizarrement cela lui rappelait sa grand-mère. Une étreinte là aussi, plus chaleureuse que celle de la mère d'Anastasiya. Plus douce. Cette alliée, il l'aimait vraiment. "Moi aussi je suis content !" Abaissé pour être à sa hauteur, il restait tout de même proche d'elle avec ce petit rictus qui le caractérisait tant quand il parlait de sa belle et tendre chérie. "Oh vous pouvez compter sur moi !" Un murmure pour que seuls eux n'entendent avant qu'il ne se redresse sous le regard froid d'Igor, le visage bienveillant de sa mère et la mine d'Olga qui se voulait attendrit de voir sa petite fille heureuse. Main dans la main, ils partaient entrant dans la maison pour finalement faire marche arrière. Le paternel parlait, Kenny le regardait resserrant la main d'Anya dans la sienne. Aucuns tatouages n'apparaissaient, aucun signe qui pouvait déranger monsieur le bourgeois mais il trouvait toujours un truc à redire et là c'était une histoire de chambre. Anya levait les yeux au ciel, Kenny le vit bien, il ne disait rien ce petit être était tellement mignon qu'il avait envie de lui faire un bisou. Il s'abstenait, luttant totalement contre ses envies avant de partir avec elle après une légère remise en place d'Igor.

Le grand palais portait bien son nom. D'immenses pièces mais surtout de couloir qui se dessinait à l'horizon. Kenny marchait déambulant avec elle. "Là ?" dit il en voyant la porte de sa chambre. "Je suis à coté de tes parents, je sais même pas pourquoi ça m'étonne en fait, ils ont trop peur que je te vole ton innocente !" Un claquement discret sur les fesses de la russe pour qu'elle avance dans sa chambre et Kenny avait les yeux rieur en voyant le lit à baldaquin. "Avoue c'était ta chambre Anya d'ados comme ça ton père t'épiait tel un petit renard fourbe à travers le trou de la porte !" Rieur, le brun marchait prenant un cadre photo dans les mains. "Y a ta tête de partout !" plaisanta le jeune homme. Il reposait le cadre pour regarder par la fenêtre ou il vit un jardin verdoyant. "C'est en quel honneur la réception ?" demanda t'il distrait.

Après les échanges qui se voulaient courtois auprès de ses parents et de sa grand mère, la jeune femme traina Kenny dans le grand palais ou une multitudes de domestique s'affairaient, déposant un tas de fleurs, faisant la poussière, accrochant de nouveaux tableaux .... Dans les escaliers, la jeune femme se voulait rapide, elle voulait rapidement se retrouver seule avec son petit ami. Il lui avait manqué bien trop. Ouvrant l'immense porte en chaine massif, elle y fit entrer Kenny en riant à sa question Oui, ici, les appartements à côté de ceux de mes parents dit-elle en levant les yeux au ciel, en tout quiétude cette fois ci. Ne ris pas c'est totalement ça, mon père pense que je suis encore pure et innocente dit-elle en riant à son tour finalement, c'était d'un ridicule. En effet, les traditions voulaient que la relation entre deux jeunes gens soit consumé seulement après le mariage, pourtant le mariage n'était pas dans les projets de la Russe. L'anglais lui donna une claque aux fesse, ce qui fit pouffer la jeune femme avant qu'elle ne ferme la porte pour se retrouver enfin seule, pourtant elle avait le pressentiment que ce n'était pas pour longtemps Non ma chambre est toujours la même, un peu moins conventionnel, je te la montrerait plus tard dit-elle avec un petit sourire en coin espiègle et emplit de sous entendu. Mais t'attend pas à voir quelque chose d'extravagant, j'ai toujours eu des gout épurés dit-elle en haussant une épaule avant de se placer derrière lui, enlaçant tout doucement sa taille, laissant ses mains courir sur sa peau, sous son tee-shirt Il fait chaud, tu vas tout de même pas rester en manche longue dit-elle en le lui retirant doucement, une petite idée derrière la tête. Ce soir, c'est en mon honneur, à chaque fois que je reviens ici c'est la même chose, tu sais le retour de la fille prodige dit-elle en levant ses bras au dessus de sa tête, tournoyant sur elle même avec un large sourire, faisant voler ses cheveux et sa robe, dévoilant une partie de son sous vêtements, avant de revenir vers lui, contre son oreille qu'elle mordilla doucement Ca fait 48h que j'ai terriblement envie de toi en plus j'ai presque rien en dessous dit-elle en entrelaçant ses doigts au siens pour les faire promener contre son corps, par dessus le tissus de sa robe lui faisant sentir son oublis de soutient gorge avant qu'on ne tape à la porte. Fronçant les sourcils, la jeune femme soupira et s'éloigna rapidement de Kenny Entez ordonna-t-elle. Son père se tenait dans l'encadrement de la porte, le visage légèrement tendue Anastasiya tu devrais aller voir Irina, elle a quelque petites chose à te demander dit-il en regardant Kenny, sans le quitter une seule seconde du regard. J'y vais père dit-elle en se tournant vers Kenny, une petite mine désolé avant de passer devant son paternel et de rejoindre le rez de chaussé. M. Kovalevski, ici, nous avons des règles , vous serez dans l'obligation de les respecter si vous ne voulez pas retourner en Amérique illécot et sans ma fille ajouta-il d'un air sévère et le plus sérieusement du monde. Ce sont vos appartement et je ne veux en aucun cas que vous en changiez ou bien que vous alliez rejoindre ma fille durant la nuit, j'y veillerai personnellement, en suite tâcher de ne pas faire de vague plus que vous n'en faite déjà, tenez vous tranquille et gardez vos mains dans vos poches, je ne veux pas que vous touchiez Anstasiya elle n'a pas à se faire influencer par un homme comme vous et pour finir , veillez porter quelque chose d'un peu plus présentable, nous ne somme pas dans votre ghuetto ici dit-il avec un petit rictus aux bords des lèvres [/color] C'est après ce petit entrevus que le père Kataïeva sorti des appartements temporaires de Kenny et qu'Anya fit à nouveau son entrer. Tu veux que je t'aide à déballer tes affaires ? Il te voulait quoi mon père dit-elle en s'approchant de la valise du brun pour l'ouvrir. Tu m'as pris quelques vêtements ?

Les appartement en face de ceux des parents d'Anastasiya. Dans la tête du jeune homme il vit la phrase "faire un câlin à Anya la nuit" se barré tout de seul. Quelle poisse ! Pourtant, il ne faisait rien de spécial après tout Kenny pouvait essayer de comprendre, il ferait bonne figure du moment qu'on le tentait pas, il pouvait se tenir tranquillement. "Pure et innocente ?" Alors sur le coup, il riait. Sans contrainte, sans personne qui les regardaient. Il essuyait même le coin de ses yeux, c'était drôle de savoir qu'Igor pouvait être si naïf. "Donc il sait pas que je t'ai fais l'amour dans toutes les pièces de mon ancien appartement..." susurra t'il au creux de son oreille alors que son torse se plaquait contre elle assez fortement pour lui faire comprendre la dureté de la chose. Il se fourvoyait tout seul sur ce coup là, il venait tout juste de s'en rendre compte, qu'il se reculait pour observer son nouvel environnement. Son doigt passait sur la commode en bois massif, trop rétro à son gout, puis sur le secrétaire. Ici, c'était kitch, tout l'était, les moulures aux plafonds, les lumières qui n'éclairaient presque même pas la pièce. "Je sais, je te connais depuis le temps..." Ses mains se plaçaient sur son propre haut en suivant le parcours des mains de la russe sous son t-shirt. il fermait les yeux. Son épiderme se réveillait brusquement. Sa tête ne réfléchissait plus. Il avait envie d'elle c'était dingue, il la voulait encore plus maintenant dans un environnement ou on ne voulait même pas de lui. "je vais avoir besoin d'aide alors..." Une voix charmeuse, Kenny se retournait pour lui faire face le regard complètement dévorant sauf qu'elle se dérobait sous ses mains. Elle tournoyait comme une danseuse étoile. Sa jupe dévoilait tout pour lui. Son cœur manquait un battement puis un second. Il commençait à avoir chaud. Sa salive était avalée bruyamment avant qu'elle ne revienne enfin contre lui. Elle ne portait rien, juste une robe. Une robe qui était de bon gout. "je meurs d'envie de te prendre là..." chuchota le jeune homme en la laissant faire. Il lui touchait la poitrine, ses lèvres s'apprêtaient à s'abattre sur les siennes quand quelqu'un frappait à la porte. Et merde ! Se reculant un peu, le jeune homme se collait un peu derrière la russe pour cacher ses envies naissantes et aussi pour la chercher. Lui faire sentir que lui aussi la désirait.

Son paternel arrivait. Un regard froid puis un second de la part de Kenny et se fut mieux qu'une douche. Ses envies disparaissaient très rapidement sous l'effet du second petit duel de regard. "A tout à l'heure..." Kenny lui fit un signe de la main puis il reprit vit en se mouvant dans la chambre quand le père parlait. Il hochait la tête un peu complètement ailleurs. "Ok ok !" il serrait les dents fortement pour ne pas répondre et quand il partait Kenny ouvrait une des valises pour sortir une chemise plus simple. Bleu foncé, manche longue, il avait déjà la haine. "Rien de spécial juste me souhaiter la bienvenue..." menti le jeune homme en continuant de retirer ses affaires. "C'est la valise rouge là !" Hormis la tonne de sous-vêtement, Kenny lui avait acheter les bonbons qu'elle adorait sans oublier certains cosmétiques qu'elle ne trouvait pas ici et d'autres petits trucs comme des chaussures à talons. Silencieux, le brun prit une petite pochette dans ses mains enfermé dans un sac hysoterme. "J'ai un nouveau traitement, je dois le mettre au frigo, je vais le mettre en bas !" dit il en sortant un peu de la chambre. "je sens que ça va plaire à ton père de savoir qu'en plus je me shoot !" Rieur, Kenny ne le restait pas longtemps car en descendant en bas, il vit toute la salle de réception et c'est en compagnie de la génitrice d'Anya qu'il allait en cuisine.

Mais si, voyons il le sait, c'est le genre de discussion qu'on a tous les soirs au soupé ironisa-t-elle en levant les yeux au ciel Et tu te sens capable de le faire ici, me faire l'amour dans toutes les pièces du palais ? dit-elle l'oeil brillant de sous entendus. Kenny lui demandait si ces appartements étaient les siens avant, la jeune femme secoua la tête, ce n'était pas son genre, à vrai dire, ce décors ne lui plaisait Tu me connais, tu me connais, je suis pas si sur que ça, il y a des choses que t'ignores encore Un sourire en coin, la jeune femme tournoyait sur elle même avant de revenir contre lui, lui faisait sentir à travers des gestes, lents et provocateur ce qu'elle voulait dire. et qu'est ce qui t'en empêche ? dit-elle en levant ses yeux, les dents contre ses propres lèvres qui la mordillait. Voilà la réponse, ce qui l'en empêcher c'était son père. Kenny se posta derrière elle, ce qui eu le don de la surprendre pourtant quand elle sentit contre son dos le pourquoi, la blonde eut un petit sourire sur le visage, alors que ses mains chercher à tâtons, la sienne, s'oubliant un instant sur kennyosaure. Le faisait-elle exprès ? Peut être...

Rapidement, la jeune femme revint dans les appartements de Kenny afin d'avoir un peu plus d'information sur son petit entretient avec son père, qui était sortie avec fier allure. Oh ben tu vois, il n'est pas si méchant que toi avec toi La jeune femme ne se douta en aucun cas, de ce qu'il s'était passé dans cette même pièce, qui était loin d'être ce à quoi elle pensait. Attrapant la petite valise que Kenny lui avait apporter, la jeune femme souria pour regarder à l'intérieur, c'était loin d'être ce qu'elle lui avait demandé, un sourcil arqué, la jeune femme leva une petite nuisette bleu marine, transparente. La tenant par les bretelle, elle le secoua devant les yeux du brun. Hum hum, c'est fou, mais je pensais pas que la robe que je t'avais demandé avait autant rétrécie en une semaine , tu as prévu ton petit planning ? ajouta-t-elle en regardant tous les sous vêtements qu'il lui avait prit. Regardant Kenny sortir tout en se pinçant les lèvres, légèrement. Elle savait que ce n'était pas une situation facile pour lui mais elle était consciente, pleinement, des efforts qu'il faisait. Fouillant encore dans la valise, elle vit la fameuse culotte vibrante qu'il y avait dans le colis que les amis d'Australie de Kenny lui avait envoyé. Un large sourire se dessina sur ses lèvres, alors qu'elle faisait glisser son petit boxer transparent à dentelle pour la mettre, mettant son ancien sous vêtement sous le cousin de Kenny, histoire qu'il pense à elle en allant se coucher. Attrapant la télécommande entre ses doigts, elle descendit d'un pas fluet Qu'est-ce ? demanda la mère de Kenny en regardant le sachet que Kenny s'apprêtait à mettre dans le frigidaire. Alors que Kenny expliquait ce que c'était , la mère d'Anya fronça un peu les sourcils J'espère que vous allez mieux, Anastasiya ne nous en a pas parlé, mais elle est assez discrète sur ce qu'elle ressent, sur sa vie .. Cependant, je peux vous dire, que c'est la première fois que je la vois aussi heureuse, cette lueur qui brille dans son regard quand elle vous voit ... je vous remercie ajouta Irina avec un petit sourire, discret et réservé. Les émotions étaient à bannir dans ce palais, du moins, ils n'avaient pas l'habitude de les montrer. Anastasiya arriva dans les cuisines, posant la télécommande devant Kenny, sans un regard pour lui et se dirigea vers sa mère. В том какой время начинается вечером? la jeune femme demandait à sa mère quand la soirée aller commencer [color=palevioletred] Dans deux heures, tu devrais aller te préparer et prendre ton diadème dans la pièce du haut. Hochant la tête, la jeune femme se posa à côté de Kenny avec un petit sourire sur les lèvres . Tu veux boire, manger, ou faire quelque chose ?

Dans toutes les pièces du palais. l'idée était tellement intéressante qu'il ne pouvait pas s'empêcher de pencher la tête un peu sur le coté en la regardant de haut en bas comme un vautour. "Bien sur, j'adore les défis !" Sur ces mots, le jeune homme passait ses mains sur elle. La toucher lui avait manqué mais le pire dans l'histoire c'était qu'il ne pouvait rien faire de plus avec elle, pas ici en Russie ou du moins pas dans cette chambre après le palais était tellement grand que les petits recoins ou les pièces inoccupées étaient surement nombreuses. "Ton père..." murmura t'il proche de ses lèvres. Oui son père débarquait la minutes d'après et dieu sait qu'il tombait mal surtout que pour rien arranger, il sentait Anya lui toucher l'entre-jambe. elle le faisait exprès déjà en se mordant la lèvre puis maintenant. Il n'allait pas tenir c'était clair et net.

"Non non, il est gentil finalement !" Si les mensonges tuaient les gens alors Kenny serait mort une bonne dizaine de fois aujourd'hui. Anastasiya ne voyait pas le petit jeu de son propre père, il ne lui en voulait pas car après tout Kenny était ici pour elle, pour son bien-être. elle avait besoin de la Russie comme lui avait besoin de sa présence même s'il souffrait. Il souffrait même énormément de tout ce qui se passait et cela ne faisait même pas une heure qu'il était ici. Le père d'Anya le détestait, Irina bien on ne savait pas vraiment ce qu'elle pensait de lui quant à Olga, Kenny ne la voyait pas. Sortant ses affaires pour ce soir, il tournait la tête vers elle pour voir de quoi elle parlait. Une petite tenue bleu clair naissait sous yeux pétillants, c'était sa nuisette préférée, Kenny adorait voir Anastasiya dans du bleu, il la trouvait toujours belle encore plus que d'habitude. "Tu sais parfois avec les machines à laver on ne sait pas ce que ça peux faire !" se défendit le jeune homme en levant les mains. "J'ai rien prévu voyons, c'est pas comme si je pensais que ce soir tu mettrais cette nuisette puis que demain soir je te verrais bien dans la noir avec l'espèce de petit froufrou tout doux à plume là sur le col !" Il roulait des yeux avec un petit sourire tout mignon. Les minutes passaient, perdus dans ses pensées, il sortait enfin l'espèce de sachet. Kenny s'éclipsait laissant Anastasiya pour Irina. Elle avait des yeux compatissant quand il expliquait sa situation actuelle de santé. "Vous avez pas à me remerciez, ça devrait être moi vous savez pas comment elle me rend heureux..." Un sourire plus franc, Kenny suivit la génitrice d'Anya dans la cuisine ou il déposait le sachet dans le frigo. "Je voulais..." Finalement après les deux mots, Kenny ne disait rien en voyant Anastasiya qui déposait une télécommande devant lui. c'était quoi ce truc ? Le jeune homme ne savait pas du tout, il ne le reconnaissait pas à vrai dire ces derniers temps les absences étaient plus fréquentes du au traitement. La saisissant il allumait touchant un peu à tous les boutons alors que les filles parlaient, lui tournait la télécommande dans tous les sens. "Non ça va ma puce..." dit il en lui volant un baiser. Kenny continuait de jouer avec la télécommande et quand il vit la réaction de la russe, il comprit. Un petit sourire coquin, il baissait les yeux pour étouffer un rire. "Tu devrais aller te préparer... être en retard pour une princesse ça ne se fait pas !" Comment il ne pensait pas une seconde les paroles qu'il disait, il riait d'ailleurs un peu en augmentant un tout petit peu le degrés de la télécommande et la voir prendre son pied, le faisait réagir pareil derrière le comptoir. "Les toilettes sont ou au fait ? C'est trop grand, je vais me perdre c'est clair !" Irina souriait doucement en apportant une petite douceur au deux jeunes gens. Fruit rouge pour l'un et chocolat pour Kenny. "Merci !" dit il les yeux pétillants.

Kenny semblait trouver son père gentil... Devait-elle en comprendre le contraire ? Sa conscience lui disait de prendre ses mots tels quels, peut être pour se sentir moins coupable de lui faire subir ce genre de torture mental dont son père avait le secret. Hum hum dit-elle avec un petit sourire. Et tu as décidé de laver toutes mes robes c'est ça ? un petit sourire un coin, elle lui demanda s'il avait fait un planning de ce qu'elle devait porter et sa réponse fut à la hauteur de ses espérances . Faut savoir, tu penses ou tu le veux ? dit-elle en arquant un sourcil, intéressé de savoir sa réponse.

Une fois après avoir prit possession d'une certaine chose, que se soit entre ses cuisses ou entre ses mains, elle descendit dans la cuisine pour rejoindre Kenny et sa mère. Posant la petite télécommande dont Kenny avait souvent rêver d'avoir entre les mains par le passé, elle rejoignit sa mère pour lui demander quelques petites précisions quant à la soirée qui se déroulait au palais ce soir. Cependant, tout à coup , elle sentit un petit massage contractant peu à peu les muscles de son bas ventre, tournant son visage vers Kenny, rapidement, elle le vit jouer avec la télécommande et pourtant il ne semblait pas comprendre ... Elle avait envie de lui crier d'arrêter, pas maintenant. Serrant un peu les cuisses, elle regarda sa mère avec un grand sourire , waouh c'était tellement plaisant comme sensation. La jeune femme se tortillait un peu, tandis que Kenny lui parlait, le regardant avec de grands yeux, son coeur commençait à battre plus vite et lors qu'elle le vit mais surtout sentit, augmenter les degré, elle claqua sa main contre le contre le comptoir. Hum .. Hum OUI OH MERE, ça sent bon, on va se régaler ce soir dit-elle en avalant sa salive. Serrant un peu plus les cuisses, elle sortie de la cuisine, en marchant en arrière pour monter directement dans sa chambre. OH BORDEL, elle avait presque atteint l'orgasme devant sa mère. Heureusement que la télécommande n'était pas aussi puissante, puisque les vibrations se faisait de plus en plus lent pour disparaître. C'était de la torture. Claquant sa porte, elle eut cependant un énorme sourire, elle savait que Kenny avait aimé, elle l'avait vu à son visage et à vrai dire elle aussi avait aimé l'expérience. Retirant sa robe, elle se mit devant son dressing pour se trouver une tenue adéquate pour la soirée. Dure après ce genre de sensation.