« On ne regrette que ce que l'on aime. » Désolée de faire des Rp si longs et de mettre autant de temps à répondre
Je n'ai pas pu remettre vos paroles, pour éviter de rallonger, toutes mes excuses.
En espérant que cela vous plaise. Leurs visages tirées par la colère hurlent au scandale. En effet, à peine descendu de l'estrade, les lettres tombant encore au sol, une foule de proches fondent sur toi. Des cries, de l'indignation... Le silence est un vaste souvenir sous l'avalanche de reproches, d'insulte, de demande de départ... Cependant tu ne montres rien d'autre qu'une mine réjouit, tu sais que la situation va s'empirer. Tu sais que ton sourire enfonce plus profondément la hache de guerre, que aucun retour en arrière ne sera permis maintenant. Que pour toujours, tu seras le connard ayant gâché l'enterrement. Si seulement ils savaient. Tu tousses légèrement, rétablissant un léger calme parmi tes détracteurs. Tu te tournes vers une jeune femme,
Poppy te sembles-t-il, tu l'observes silencieux. Ton regard est une flaque noir, où le profond abîme de la mort se reflète. Tu l'observes.
" - Le suicide... Il faut être dans un état véritablement pitoyable pour en venir là... Tu me diras puisque au vu de votre .. comportement... Ca ne devait pas être dur pour elle d'être aussi misérable. Personnellement, je trouves que venir pleurer ici quand elle est morte, plutôt que la soutenir en son vivant, c'est assez... hypocrite. Je ne comptes pas partir, je m'amuse. " . Nouveau silence, alors qu'
Andy prend la parole. Ce stéréotype si parfait du crétin fini bourré de frique.. Sa vue te dégoûte, comment peut-on ressemblé autant à... A la victoire de l'argent sur l'homme ? L'immoralité de l'argent suinte autour de lui, dégageant une odeur amère qui te brûle les yeux.
" Andy.. Andy. Malheureusement pour vous qui voulez si peu entaché la mémoire de Solweig, alors que vous êtes là à faire un scandale.... Je ne vais pas partir. Non, je vais plutôt profiter de vos remarques si peu répétitive. Un peu de créativité voyons, j'ai bienfait de l'improvisation il y a un instant. " .
Apple tire
Andy avec elle, un peu plus loin alors que en échange, Elle, elle arrive. Elle te regarde d'un regard plus froid et méprisant que jamais. Elle te hait, tant mieux, puisqu'elle ne peut pas t'aimer. Tu la laisses parler en silence, alors qu'elle s'approche de toi, collant sensuellement son corps au tien.
Coco...Ton coeur bat douloureusement. Tu ne peux que réagir, frissonné et hurler de rage à l'intérieur. Derrière ton masque joyeux.
" Vas rejoindre ton nouveau jouet Coco, j'en ai assez de ta vue... Tu arrives toujours à gâcher mon plaisir, toujours." . Elle part rapidement, rejoignant
Aleks... Tu lui lances un regard noir, tu ne sais pas ce qui les unis. Cependant, Noah, tu sais que la jalousie te ronge durement. Soudain, une jeune femme met un terme à tes pensées haineuse au sujet de Coco et de.. l'autre crétin. Sont-ils tous cons ici ? Surement autant que toi, d'ailleurs. Quelle connerie d'être venu ici en sachant qu'elle serait là aussi...
Alexis te menace, une de plus... Bientôt il faudra prendre un billet chacun à son tour pour que cela fonctionne.
" - C'est sûr, les flics à un enterrement, très classe pour la mémoire de Solweig. Fermez juste là et cassez vous pleurer votre hypocrisie. Si vous aviez été là avant, elle ne serait pas de ce cercueil. Mais non ! Vous vous êtes tous tirés, la laissant crever. Je me demandes vraiment qui d'entre nous est véritablement un connard. " . Doucement la situation semble prendre une autre dimension... Une haine intense mais silencieuse, faites de coups bas et de secrets... Aucun ne veut perturber plus que ça la cérémonie. Pourtant,
Marloes vient tout briser à grand crie. Elle arrive rapidement vers toi, te laissant rire légèrement... Il n'y a pas place à la surprise aujourd'hui, mise à part ton discours.
" - Que de paroles... Je m'en fiche qu'on souhaite ma présence ou non, je restes. Que cela vous plaise ou pas. " . Cependant, rapidement un jeune homme,
Deon, arrive. Lui aussi joue le rôle de colérique, celui qui sous l'emprise de la colère s'exprime de vulgarité en vulgarité.
" - Vous êtes ennuyeux à mourir, sérieusement... S'il faut mettre de l'ambiance alors... " . Tu t'éloignes légèrement, les ignorant maintenant royalement. Qu'ils sont lassants tous ces petits bourgeois et leur mouchoirs en dentelles. Tu les observes, t'adossant à un mur, attendant ton prochain tour...