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I've become the only thing I hate ‡ Valentin

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Quelques jours se sont passés depuis la dernière fois. Tu t'attendais à quoi Deirdre ? Tu devrais pas t'étonner de son silence. Tu devrais pas en vouloir davantage. Ni pour lui. Ni pour toi d'ailleurs. T'es pas faite pour ce genre de choses et lui encore moins. Sauf que voilà, ça tourne en boucle dans ta tête. Tu te demandes pourquoi. Tu y a peut-être été trop fort. Il a peut-être tout simplement découvert la vérité sur toi. Ou bien il est pas fait pour ça. Ton esprit rationnel veut trouver une explication là où y'en a tout simplement pas. La promesse que tu t'es faite, c'est de dévergonder un peu l'agneau qu'il représentait. C'était sensé être toi le Loup Deirdre. Et voilà que t'es en chemin vers son appartement auquel il t'a pas invité d'ailleurs... T'es même pas censé connaître l'adresse. T'es dans la peau de ses héroïnes qui en demande toujours plus. Toi qui t'es toujours refusée de t'abaisser à ça. Toi qui t'es toujours promis de jouer le rôle de Celle qui claquait la porte et non l'inverse. C'est stupide d'autant plus lorsque tu sais que y'a pas une once de malveillance dans ses veines. C'est même pas un jeu. Plusieurs fois, t'as eu envie de demander à ton chauffeur de faire demi-tour mais non, t'es là en bas de sa propriété. C'est trop tard pour faire marche arrière à présent. Tu restes digne, tu relèves le menton. Parce que ton orgueil c'est bien le seul piédestal que tu traînes. Tu fais signe de ta présence et bientôt on vient t'ouvrir la porte. Juan. « Bonjour. » T'as pas besoin de lui expliquer qui tu viens voir. Il est pas demeuré. Il te fait entrer malgré sa tête un peu étonné et te demande de patienter. Tu retires tes gants, tu tournes un peu comme une lionne en cage. T'es pas bien là franchement. Qu'est-ce que tu fais là ?

@A. Valentin De Bourbon-W.
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Papa a décidé de débarquer aujourd'hui pour te faire la surprise et t'engueuler par la même occassion parce que ça fait légèrement une semaine que tu n'as pas donné de nouvelles. Bon autant le dire qu'il t'a levé d'un coup sans prise de tête mais finalement lui était là. Alors les engueulades avaient été violentes. Des bouts de verres aussi, partout, et sans oublier le fait que les mots espagnols t'avaient échappé de ta bouche et c'était un vrai bain de sang verbalement. Autant dire que c'était bien plus compliqué que ça finalement. Tu as laissé ta mère rentrée dans ta vie pour foutre le bordele et ton père n'était pas d'accord avec tout ça, mais bon, qu'importe réellement ce que tu pouvais penser, il t'avait interdit de lui parler, de lui envoyer un message ou de la voir. Et ce n'était pas ce tu voulais. Alors les hurlements étaient repartit et Juan apparut au niveau de la cuisine pour t'informer qu'une personne était là, mais tu étais trop pris dans tes mots que tu n'as même pas fait attention au fait que Deirdre pourrait passer la porte et te voir dans cet état en fait. Mais c'était trop tard Tu n'as pas le droit de m'interdire de la voir ! Si je veux voir ma maman je la vois peut importe qui tu es dans ma vie. Tu m'as menti, tu m'as dis qu'elle était morte alors qu'en fait ce n'était pas. Je te déteste ! Et Emilia aussi te déteste, tout le monde te déteste ! et malgré les mots et la violence du geste, tu venais de te faire gifler par ton père, une chose qu'il refusait fortement d'effectuer parce qu'il a toujours réussi à te canaliser pour x ou y raisons mais pas cette fois-ci. Au moins, ça t'as calmé, ça c'est sur, et la tête face à la porte, tu poses ton regard sur Juan et Deirdre qui restent à te regarder. Tu tournes tes yeux vers ton père, il avait certes les larmes aux yeux, il était aussi choqué que toi par ce geste et c'est Juan qui te prit par les bras pour te faire reculer en essayant de te calmer, parce que la colère monte lentement malgré les paroles et tu vas exploser parce que tu es comme ça, une bombe à retardement, une bombe qui va péter et tu entends les paroles de Juan qui te demande de sortir pour qu'il nettoie le bordel que vous avez foutu dans l'appartement, mais t'as ton regard qui est posé depuis tout à l'heure sur Deirdre qui t'a vu comme ça, comme un monstre, c'est juste horrible ..
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Tu entends bientôt des éclats de voix de l'autre côté de la porte. Des mots que tu comprends pas. En espagnol sans doute. Et tu te dis que malgré la colère qui anime le ton, la sonorité est bien plus chantante que ce gaëlique que tu parlais avec ta mère et les domestiques. Tu ranges les gants dans ton sac, te demandant si tu ne ferais pas mieux de partir car a priori Valentin n'est pas seul. Et vu la teneur des échanges, l'humeur n'est pas au beau fixe. Tu te sens ridicule. Et tu t'apprêtes d'ailleurs à partir mais Juan ouvre la porte et alors tu le vois. Tes billes incandescentes détaillent la scène, tu vois la colère animer ses traits et ses paroles. Tu comprends qu'il évoque sa mère et que c'est avec son propre père qu'il se dispute présentement. Pour les présentations officielles, tu repasseras. Le malaise te gagne et tu peux pas bouger de là où t'es. Tu te rapproches même sans avoir vraiment conscience de ce que tu fais. Tu sursautes quand son père le gifle. Tu peux pas empêcher la colère de te gagner toi aussi. Ton regard se durcit quelque peu alors que tes billes se posent sur la carrure paternelle. Faut vraiment que tu vois Valentin se faire frapper à chaque fois ?  Tu poses de nouveau tes yeux sur lui et tu sens son regard sur toi. Mais la colère le gagne et alors les bras de Juan l'encercle. T'en as marre, tu voudrais aller frapper son père à sa place mais en même temps tu vois que l'homme est peiné. Tu veux pas te mêler de tout ça, mais ça te fait mal de voir Valentin comme ça. Tu recules alors. « Je... Je vais y aller. Pardon de vous avoir dérangé. » Et t'attends pas de réponse en fait, tu te retournes lentement, t'essaie de rattraper ce qui te reste de dignité pour passer la porte dans l'autre sens. Tu y arrives et tu sais pas comment d'ailleurs. L'air gelé vient emplir tes poumons un peu trop oppressés et tu fermes un instant les paupières, comprenant pas trop ce qu'il vient de se passer.
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Tu la vois, elle ici juste après la gifle de ton père, lui qui a promis de ne jamais te frapper ou pire, t'es pas un gamin, t'es juste un homme qui veut rencontrer sa mère. Tu n'as jamais pu réellement être normal et tu ne le seras jamais alors peut-être qu'elle peut aussi t'apporter quelque chose dans ta vie non ? Un besoin maternel soudain. Mais tu la vois qu'elle quitte la pièce et tu te défends de Juan, qui comprend que tu vas la rattraper. Rapidement tu sors, en simple t-shirt noir et un short, non mais faut vraiment que tu prennes ta veste sauf que t'as le temps de la prendre ou autre. Tu glisses sur la rembarde pour aller plus vite et descendre jusqu'à dehors, ton coeur tambourinant rapidement dans ta poitrine jusqu'à entendre la porte de l'immeuble. Heureusement tu l'atteins une seconde plus tard et tu ouvres cette dernière pour tomber nez à nez avec elle. Bon, t'es pied nu, en pyjama face à cette femme qui te rend un peu plus toi finalement Deirdre ... tu la regardes, tu la fixes, tu hésites à la toucher, ça se voit, tu ne veux pas qu'elle te touche sinon tu vas lui faire mal Je suis désolé ... Parce que c'est de ta faute si elle était là non ? Elle voulait te voir ? Pas voir ton père et elle est partie à cause de toi, tu t'en veux tellement. Tu finis par lui sourire faiblement pour ajouter Tu vas attraper froid... On rentre d'accord ? dit le mec en pyjama et pied nu dehors par -59 degrés.

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T'as pas le temps de reprendre tes esprits que tu vois Valentin qui débarque face à toi. Tu te sens mal à l'aise. Encore une fois t'es allée trop loin. Tu as pris trop de son corps la dernière fois et là tu prends trop de sa vie. T'es vorace. Tu le détailles en quelques secondes et tu vois qu'il est sorti en pyjama pour te rattraper, tu te sens d'autant plus ridicule. « Ne sois pas désolé, j'aurais pas du venir sans te prévenir. » J'aurais pas du écouter la faiblesse qui accentue mes battements, la raison qui quitte ma tête pourtant bien ordonnée habituellement et encore moins ces pensées obsédantes et ridicules qui me ramènent à toi, le Maladroit. Parce qu'en bonne inadaptée que je suis, la rencontre d'un autre attise encore et toujours ce goût de plus. Mais sans doute pas pour toi. Il te sourit faiblement et t'invite à rentrer et t'as envie de sourire à ton tour mais tu restes de glace. L'entraînement de plusieurs années, ça s'efface pas comme ça Deirdre. « C'est toi qui va attraper froid Valentin. » Toi t'es parfaitement habillée, t'as juste tes gants à remettre. D'ailleurs, tu les extirpes de ton sac pour t'en parer à nouveau tandis que tu reprends la parole. « Tu es en famille et ton père va se demander où t'es passé, tu as qu'à me rappeler si toutefois t'en as envie. » T'es un peu sèche dans tes mots Deirdre, tu retrouves ce ton que tout le monde te connaît sauf lui. Mais tes plaies, elles sont bien trop à vif pour que tu passes de la pommade à ceux qui les creusent. Et tu t'en veux d'ailleurs parce que tu sais qu'il y peut rien. C'est à toi que t'en veux Deirdre en réalité. T'es trop faible avec lui, t'es trop ce que tu veux cacher au reste du monde.
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Tu as du ouvrir la porte brusquement, d'où le fait qu'elle soit surprise de te voir. Mais finalement elle s'en veut elle, tu ouvres la bouche, prêt à dire quelque chose d'autre mais impossible de savoir quoi, tu ne sais pas quoi dire, tu finis par humectes tes lèvres avant qu'elle ne t'annonce que tu vas attraper froid. Ton regard se pose sur tes vêtements puis sur elle J'ai.. Peut-être dis-tu pour essayer de te défendre mais tu échoues lamentablement et c'est la pure vérité. Tu finis par la regarder prendre ses gants alors qu'elle les remet mais elle parle de ton père, de ta famille, tu hoches la tête négativement Non il s'en va. Non il reste pas. Monte. S'il te plait Deirdre. Je veux pas que tu sois fachée après moi et j'ai envie de te voir moi Avoir envie de la voir, quelque chose d'aussi impossible pour toi, tu as toujours eu envie de nourriture, de boisson ou même de jouer de la musique mais là, tu viens de dire une chose irrétionnel, parce que c'est impossible d'avoir envie de voir quelqu'un. Alors tu lui as pris son bras dans la foulée et parce qu'un chauffeur demarre la voiture, tu la fixes dans les yeux, mais tu commences quand même à avoir un peu froid et tu t'en fous. Tu vois le chauffeur ouvrir sa propre porte pour faire le tour de la voiture mais tu l'arrêtes, de façon autoritaire, une grande première pour toi Non, elle reste avec moi. Vous pouvez partir. Autoritaire et légèrement froid, parce que tu n'imposes jamais les choses à personne toi, tu subis, enfin jusqu'à tout de suite ..
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Il sait pas quoi répondre à ta logique implacable. C'est lui qui est si peu vêtu à l'extérieur et non toi. Faut avouer que tu te sens un peu coupable de le tenir à l'extérieur de la sorte. Mais il t'explique que son père va partir et qu'il veut que tu restes avec lui. « Pourtant j'ai pas eu de tes nouvelles. » Et voilà c'est dit. Et voilà c'est ridicule Deirdre. Tu te reprends à ton remake de la fille esseulée. Tu vaux mieux que ça non ? Mais les mots ont franchi la barrière de tes lèvres avant même que ta raison vienne poser son veto. Tu soupires fâchée. Pas contre lui non, contre toi parce que franchement là, tu te reconnais pas. Et même que tu t'apprêtes à partir en bonne drama queen et que sa main se pose sur ton bras. Tu l'observes un peu étonnée qu'il impose son contact, un peu chamboulée aussi. Valentin c'est le mec qui peut allumer un brasier juste en posant une phalange sur ta personne. C'est aussi détestable, que désiré et incontrôlable. Le chauffeur sort du véhicule pour venir t'ouvrir la porte et tu l'observes alors que le Prince lui ordonne, oui, lui ordonne de partir. Tes yeux clairs sondent la scène, ne sachant trop que faire. T'es venue pour le voir non ? Et t'as pas envie de te donner en spectacle devant ce domestique. T'es faible encore une fois. « Allez-y. » que tu lâches au chauffeur avant de te tourner vers Valentin. « Tu sais que je peux rentrer par mes propres moyens. » Tu souris imperceptiblement cette fois avant de poser tes yeux sur lui. « Je suis venue t'apporter quelque chose, on va rentrer pour que je te le donne et après j'y vais d'accord ? » Un compromis, des miettes de toi, ça me va. Parce que je pourrai pas m'abaisser à davantage.
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Et pourtant j'ai pas eu de tes nouvelles.. Merde c'était à toi d'envoyer le premier message ? Merde c'était à toi de la contacter ? Merde t'as oublié, t'as tout forget avec les examens et les cours et tes problèmes.. Merde de merde, tu finis par rougir avec tes grands yeux Euh ... Oui... Enfin non j'ai oublié... Enfin non c'était qu'avec les cours et les examens, j'ai oublié enfin pas oublié ... J'ai pas voulu te déranger et en plus tu devais être prise avec les fêtes du Yule et y'a aussi ... Pardon t'as aucune excuse et tu t'en veux fortement de la chose, tu finis même par pincer tes lèvres alors que tu lui prends le bras pour voir son chauffeur. T'as pris du caractère entre temps faut croire et tu le renvoies direct ce petit idiot qui est tout content de lui ouvrir la bouche. D'ailleurs il a eu peur parce que Deirdre a du être plus douce que toi sur ce coup là. Tu la fixes un instant Je veux que tu restes s'il te plait .. Rentre pas .. parce que tu deviens timide maintenant et aussi tout rouge à l'idée de l'avoir à l'appartement sans Emilia, bon avec ton père mais il va partir directe en fait Quelque chose ? Tu m'as apporté quoi ? C'est pas un cadeau ? Noel c'est demain soir et je peux pas l'ouvrir annonces-tu avant de sourire faiblement mais tu l'ouvriras. Tu en profites pour ouvrir la porte et la laisser rentrer en premier avant de passer derrière et tu finis par monter les quelques marches qui vous séparent de l'appartement que ton père paye pour vous deux, les princes et princesses d'Espagne. Tu ouvres la porte, ton père parle de ses remords sur la gifle à Juan qui doit tout nettoyer le bordel que tu as mis, mais t'es trop obnubilé par Deirdre que tu n'écoutes et tu n'écouterais pas même tu es seul..
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Tu l'observes alors qu'il se confond en excuses et tu vois le rouge qui se porte à ses joues et tu souris un peu plus, faible que tu es. Tu sais qu'il ne l'a pas fait sciemment. Tu sais aussi que tu aurais pu lui donner de tes nouvelles de ton côté mais non tu n'a pas osé. Tu n'a pas voulu t'abaisser à ça. Pourquoi ? Pour lui courir après jusque dans ses appartements quelques jours après. T'es vraiment risible Deirdre. « Tu ne m'aurais pas dérangé. » Tu réponds d'un ton calme en le regardant. « Je me suis juste dit que t'en avais peut-être plus envie. » Tu sais pas vraiment ce que tu sous-entends là mais c'est dit. Et de toute façon Valentin n'a aucun talent en sous-entendus alors tant pis. Le chauffeur s'en va finalement et tu lui expliques que tu as quelque chose pour lui. Tu souris encore malheureuse quand il t'explique que Noël est pas encore passé et tu te souviens du sapin chez les Winthrop. « Noël c'est demain mais Yule est passé et je t'ai fabriqué quelque chose. » C'est la tradition, on fabrique des choses pour soi et ses proches. Et des proches t'en as pas tant. Il ouvre la porte, vous montez les quelques marches et tu vois son père entrain de s'expliquer avec Juan. Tu baisses la tête mal à l'aise. C'est le Roi quand même. Tu devrais avoir l'habitude, t'as déjà vu les parents d'Abélard et d'Hadès, ils t'aiment bien d'ailleurs, parce que t'as cette prestance des nobles même si tu sors de nulle part. Mais lui c'est différent, c'est le père de Valentin et il appréciera peut-être pas l'influence que tu exerces sur lui. Si tu en exerces une d'ailleurs ? « Je pense que ton père souhaite te parler. » Que tu lui dis en lui glissant un regard de côté. Pourquoi t'as bien voulu rentrer déjà ?
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Tu ne sais pas pourquoi tu ne l'as pas fait, c'est idiot tout ça mais tu t'en veux en plus de ne pas avoir envoyer un petit message ou quelque chose comme ça pour le solsiste d'hiver. Mais tu étais sans doute trop préocupé par tes cours. Alors tu l'écoutes et tu hoches la tête, tu ne savais pas qu'elle t'avait fabriqué quelque chose et tu trouves ça mignon et c'est gentil. Ton regard la fixe un instant et vous finissez par monter alors que tu es focalisé sur Deirdre et non sur ton père et Juan en train de tout ranger et discuter. D'ailleurs la discussion s'arrête quand ils vous voient et tu finis par regarder ton père quand elle te parle. Non il veut pas Mais à peine tu as dis ça, ton père prononce ton prénom et tu ne peux pas t'empêcher de regarder Deirdre Tu veux boire quelque chose ? Manger quelque chose ? Ou rien du tout ? Ton père t'observe, ta main n'a pas quitté son bras finalement, comme si tu avais ce besoin soudain de la toucher de l'avoir et tu marches une seconde vers la pièce d'a côté, sans forcément la forcer jusqu'à ce que ton père l'interpelle elle et non toi. Tu sais pas vraiment pourquoi tu t'es retourné pour regarder ton père puis Deirdre mais c'est peut-être plus à elle qu'il veut parler finalement. Tu pinces tes lèvres. Bien sur, ton père s'excuse du désorde mais aussi de son attitude, et tu as les yeux fixés sur elle, comme si tout ce qu'il disait n'était que du vent et que tu n'avais aucune idée de ce dont il parlait. Mais il lui parle de ta maladie, comme si elle était au courant de ça, comme si elle savait tout ça et tu ne vascilles pas, trop dans tes pensées et à la regarder. Bizarre ou pas, tu as relevé la tête quand tu as entendu le mot de ce mot qu'il vient de prononcer, ce fameux "autisme" et c'était trop tard, tu baisses les yeux, t'as honte maintenant. Quel idiot celui là ..
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