Danby Une protection necessaire

Il me disait de ne pas lui donné es raison de l'inquièté. Je regardais ma tasse.
"Ta raison j'aurais jamais du t'appelé..." Je savais que c'était le seul qui était capable et qui avec les ressources pour me protégé, mais je voulais pas qu'il s'inquiète pour moi. Je suis a bout, je ne dors plus, je ne mange presque rien, je n'ai pas besoin de quelqu'un qui me dise qu'il s'inquiète pour moi, parce que je vais pas oublier 9 mois de relation en même pas 2 mois, et une grossesse... JE ne peux pas. J'ai besoin de temps. JE veux tout oublié. Je me le vais pour finir par tourné en rond dans la pièce.

Abby semblait mal, pas en forme et au bout du rouleau. Malheureusement ce sont des choses qui arrivent dans la vie prend un tournant étonnant ou difficile. Les peines de coeur peuvent nous pousser au fond du trou ou encore les problèmes à la chaine et Abby, elle en avait des problèmes a penser : entre son oncle, le meurtrier de la mafia, sa peine de coeur et tout ses autres problèmes, elle avait de quoi penser ruminer et déprimer. Il est encore plus dur de se relever quand le sommeil vient à manquer et que son métabolisme est fait pour des heures de sommeil spécifique. Quand cela arrive, il est encore plus dur de se sortir de ce beau draps. On ne peut que prier pour aller mieux. Basini était donc inquiet de l'état de la jeune femme. Comment ne pas l'être ? Elle avait un teint affreux, une silhouette toute frêle et fragile ... Elle semblait dépassé par tout ça, elle semblait embourber dans les problèmes comme une abeille qui se prend dans un piège. Tout ce qu'il pouvait faire, c'est prendre soin d'elle histoire qu'elle aille mieux, histoire qu'elle soit un peu plus entouré et soutenu. Il sait trop bien ce que c'est de se retrouver dans cet état sans avoir d'accroche. Le café passe et elle lui dit ces mots : elle n'aurait pas dû l'appeler. Si elle avait raison. Elle avait besoin de lui. « Non tu as bien fait de m'appeler Abby » Il va vers elle pour un simple geste lui faire un câlin. Histoire de lui montrer son soutient.

JE suis complètement perdu. Je ne sais plus ce que je veux faire, j'arrive même a dire a Dante que j'aurais pas du l'appelé. Il fini par venir me prendre dans ses bras. Je me blotti contre lui, je suis fatigué de me battre. J'ai un seul nom en tête c'est Eden, j'ai cruellement besoin de lui. C'est le seul avec qui j'ai envie de vivre, le seul avec qui je suis moi, mais c'est impossible; je peux pas lui faire ça a nouveau. Je veux pas qu'il souffre; c'est au dessus de mes forces.

La jolie Quincy est dans une phase où tout à présent lui semble impossible. Elle ne sent pas a sa place dans sa vie, elle se sent seule et démunie. Des sentiments désagréables et vraiment pas réjouissant. Il faut le dire, elle aimerait sûrement fermer les yeux et pouvoir rêver un peu d'une vie plus simple, mieux où elle n'aurait pas à renoncer à son amour pour ce fameux Eden, un homme qu'il ne connait pas du tout, mais qui est l'ex de la jeune femme. Un monde de rêve où elle aurait ce qu'elle voulait. Où elle serait enfin débarassé de son oncle, de son influence malsaine et de son envie de le voir mourir. Elle serait libéré de tout ses démons, elle serait libre de vivre enfin un peu plus, elle serait libre d'être elle à nouveau. Mais malheureusement même le sommeil la rejette et ce n'est que cauchemar et douleur qu'elle voit quand ses petits yeux se ferment. Elle craque et Basini le voit bien. Tant pîs pour le café. Il a beau en mourir d'envie, la jeune femme à besoin d'un peu de réconfort. Il va vers elle et sa carrure imposante prend contre lui la petite crevette orange. « Tu peux m'appeler quand tu veux, je serais là pour toi d'accord ? » elle se blottie contre lui et un bruit rompe un instant le silence : la machine à finit son café, il pourra le déguster plus tard.

Je me serais dans ses bras, je chuchote comme a moi même
"J'aimerais tellement que Eden sois jamais partie et que je n'ai jamais avorté..." Oui je serais toujours enceinte de mes deux amours et je serais toujours avec mon grand amour celui qui ne peux pas quitté mes pensé plus d'une seul seconde. Je l'aime au plus profond de mon être. J'entend la machiene a café qui fini.
"Merci... Va prendre ton café! Sa serais une honte de boire froid" Disais je en m'eloignant de lui. JE voulais qu'il le savour mon café magique.

Avec les "et si" on pourrait refaire le monde. Basini s'est souvent demandé ce qu'il serait devenu si sa Sarah n'était pas morte, si elle était encore en vie aujourd'hui. Peut être auraient-ils fuit ensemble, loin de tous ça, loin de la mafia. Dante lui disait souvent qu'il n'avait besoin que d'elle, qu'il la suivrait au bout du monde. Ils seraient parti avec Baptiste et Naima et auraient acheté un bar de plage aux caraïbes et auraient vécu comme ça, sans rien de plus, juste loin de tout. Peut être auraient-ils été heureux ... En se contentant de ça. Abby aussi semblait vouloir refaire le monde avec ses paroles, mais malheureusement, les dés sont déjà jeté, on ne peut rien changer « Ca va aller Abby, je te le promets » une caresse dans le dos réconfortante et le bruit de la machine indique que le café est finit de passé. Elle s'éloigne en lui disant qu'elle le boire, Dante lui sourit « C'est vrai que froid, c'est vraiment pas bon ... » il va à grand pas vers la machine et attrape sa tasse pour en boire une gorgée. C'est chaud mais c'est divin. Il sourit comme un con en sentant ces saveurs sur son palet et ajoute ensuite « Ca te dis de regarder un truc ? Genre un disney, ça t'aiderait peut être à te détendre non ? » parce que son objectif pour qu'elle dorme, il ne le lâche pas celui là.

Abby est au plus mal, au fond du gouffre un peu ... ça se voit. Elle aimerait que tout redevienne comme avant, remonter le temps et empêcher certaines choses de se produire. Dante l'aimerait aussi. Il les aurait empêché de tuer Sarah, et il aurait été heureux avec elle mais le destin en a choisie autrement malheureusement ... Et tout ce qu'elle peut faire c'est aujourd'hui tenter d'avancer sans Eden et sans ces bébés ... Dante lui promet alors que ça irait, une phrase qui peut paraitre anodine, banale et débile mais c'est surtout une phrase qui se veut dites histoire de lui montrer qu'elle a du soutient qu'elle n'est pas seule là dedans, que ça ira. Le café fait, Dante va s'abreuver de cet exquis breuvage italien. Divin. Ca fait du bien. Histoire de remonter le moral de sa petite blondinette, l'italien lui propose de regarder un Disney parce que franchement qui n'aime pas les disney ? C'est la vie Disney. C'est le mieux ! Elle accepte mais ne sait lequel choisir. Dante sourit et reprend « Hmmm ... Aladin ou le roi lion, comme tu veux, celui que tu préfères » il en propose deux histoires qu'elle ait le choix final. Ces deux là il les connait par coeur, mais en italien surtout donc ça peut être drôle de le voir dans une autre langue. Du moins c'est ce que Basini imagine.

Il me proposais un un Disey, mais je suis incapable dans l'état ou je suis de prendre la moindre décision. Mon cerveau est totalement éteint. Il me propose Aladin et le Roi lion
"Maisss pffff Aladin y a une histoire d'amour, et le Roi lion je vais pleuré!!!" Bah la ouais quoi, mais c'est bien un mec.
"Propose autre chose!" Bah oui c'est pas du tout une bonne idée... Je crois que je suis un peu morte interieurement. Je crois bien que le seul qui peu rallumé mon interieur c'est celui a qui je veux plus parlé....

Quoi de mieux qu'un disney pour remonter le moral ? Après tout, peu importe l'age, les disney c'est la vie. Ceux qui vous disent qu'ils n'aiment pas les disney sont tout simplement fou, pas humain ou menteur. Car n'importe quel humain qui se respecte aiment ces petits dessins animer joyeux et beau. Quand on a pas le moral, notre premier réflexe devrait être de se mettre un disney. Ca remonte tout de suite le moral, ça rend heureux. C'est en tout cas le point de vue de Basini qui en vue du moral bas de la jolie Abby, lui propos d'en regarder un. Visiblement partante, il lui en propose deux, ses préférés : le roi lion ou aladin. Ceux là, il les connait par coeur. Mais Abby ne semble pas pour. L'un est triste et l'autre l'histoire d'amour présente dedans ne l'aidera pas à avoir le moral au beau fixe. Basini réfléchit donc un instant tout en buvant une gorgée de café et ajoute donc, en proposition « Frère des ourses alors ? Il est super ce disney là. » et il y a pas vraiment d'histoire d'amour dedans de ce dont il se souvient, ça sera donc surement le disney parfait non ? Tout en faisant sa proposition il s'avance avec sa tasse vers le canapé pour se rasseoir et s'installer confortablement, prêt à regarder un film. Il réfléchit quand même à un autre disney au cas où « Sinon, Peter Pan ? » un grand classique disney lui aussi non ? A elle de dire si l'un d'eux lui convient maintenant.