go to the end of the world for you ✩ lucas

the queen and
the king

Mise en page par dark dreams. pour ILH

Effectivement et il t'arrives de venir chez lui directement en pijama quand tu sais que vous allez rien faire, juste regarder la télé et joué avec ses cheveux. Ça vous arrive, et ça fait partit de la vie de couple de se faire chier à deux. « Ouai bah.. on devrait mettre des règles. Genre quand je me fait super belle, t'es obliger de m'amener au restaurant et quand tu veux aller en boîte avec tes potes, tu déposer un couriel 42h avant. » dis-tu en plongeant dans l'eau, sans attendre une réponse. C'est un oui pour toi, parce que de toute façon, c'est toi qui décides. Fin prèsque tout le temps, c'est toi qui décide. Quoi qu'il en soit, tu jettes ton maillot, il est un peu sur le cul parce que ça faisait quand même un moment qu'il avait pas vu Paméla en action. Alors, ils sont toujours petit mes seins ? « Parce que pendant 5 ans, tu ne m'a pas vu en petit tenu dans ta chambre. » dis-tu sur son dos. Il tourne la tête vers toi et tu en profite pour attraper encore ses lèvres dans les tiennes. Il te glisse ensuite sur le devant, comme une serviette qu'on a finit d'utiliser dans le dos et tu adresse un sourire amuser. « Tu rêve de moi surtout. » qui ne le ferais pas, tu embrasses sa joue cette fois-ci avant de soupirais. « Tu m'as manquer... Je pensais.. je pensais que tu serais mieux sans moi. Je pensais que t'aller trouver mieux, parce qu'y a toujours mieux que moi.. alors j'ai fait des trucs un peu stupide. Je suis aller voir Sam, mon ex, on s'est expliquer. Il m'a dit que j'étais une copine horrible et je suis tout à fait d'accord avec lui, alors promet moi que tu je commences à agir comme une copine horrible, tu peut me le dire. » dis-tu en haussant les épaules, pour que ça marche mieux. « etonsaitembrasser. » dis-tu en toussant. Ça c'est dit au moins, on passe à autre chose ?

On est tellement pas romantique quand on s'y met ! Quand elle est en pyjama, moi en boxer, ma bière de 3 jours et mon paquet de petites cuisses de poulet. Je n'ai pas le temps de répondre, qu'elle disparaît sous l'eau. C'est ça, fuit ! Si elle se fait belle, je dois l'amener dans un beau restaurant...Ouais comme quand elle m'a fait sa crise, pour en suite partir du restaurant comme une folle. Je suis dingue, mais pas à ce point là et bien que je sois riche, je déteste jeter mon argent en l'air. Bref, Alaska passe en mode Pamela...Bon dieu que ça m'a manqué...Enfin je veux dire, quoi ? Qu'est-ce que ? Pourquoi est-ce qu'elle me montre sa poitrine ? Non mais voyons, un peu de pudeur -non, non, noooon- ou pas. C'est vrai, il faut rattraper ces 5 ans, je lui répond en rigolant, alors qu'elle se prend pour un singe en grimpa sur mon dos. Je profite des baisers qu'elle me donne, avant de la glisser par devant, parce que c'est quand même beaucoup plus pratique. Puis, honnêtement j'ai une meilleure vue ses boobs. Si je rêve d'elle ? Bah ça dépend en fait, mais avec ce qu'elle va m'annoncer, je vais finir par la bannir de mes rêves. Elle a vu Sam, son ex....mari. Bien Lucas respire, ne fais rien, ne laisse rien paraître, écoute là pour le moment. Je piquerais une crise plus tard. Je m'en fou que tu ne sois pas parfaite Laska, la perfection n'existe pas, à par moi...Et c'est pour ça que je t'aime, bien que tu sois casse bonbon, dis-je en lui donnant un petit baiser furtif sur le bout de son nez, avant d'entendre la suite. Tu as quo ? Pourquoi ? Quand ? On était ensemble ?.....on a dit CALME TOI LUCAS. Bref, je la regarde avec de grands yeux, mais j'ai décidé d'écouter ce qu'elle a à me dire, avant de la noyer.

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Tu te devait de lui dire la vérité. Mais tu voulais que ça se passe autrement, une autre nouvelle plus importante te trotter dans la tête et tu ne voulais pas qu'elle soit dite lors d'une dispute pour justement faire cessé la dispute ; pour le moment il froncer juste les sourcils. Il faudrait qu'il comprennent qu'un baiser ne veux rien dire, que les sentiments doivent être plus fort que ça pour qu'un simple baiser est une signification. Dans ton cas, il n'en avait pas, tu voulais juste voir Sam pour pleurer sans avoir à être juger, t'avais un peu fumer avant de le voir et t'es partit dès lors ou t'as sut que t'était entrain de tout foutre en l'air. « Tu sais que tu vas devoir me supporter encore longtemps ? Même si je suis casse bonbon ? » dis-tu dans un sourire, alors tu embrasses sa joue. Tu fix ses yeux et secoue la tête, non, c'était après la rupture au centre commerciale. « On venait de rompre. Non rectification : je venais de rompre. On s'est engueuler, je l'ai embrasser, il a accepter, je me suis rendu compte qu'il n'était pas toi, que ça ne servait à rien de revenir vers lui parce que je n'en avait pas envie, que je n'avais envie que d'une seule personne. Je suis rentrée, j'ai pleurer un coup et j'ai fait ma valise pour Hawaï. » il y a juste un arrêt pipi entre la valise et l'avion.

Encore longtemps genre combien ? Genre non petits enfants voudront écouter nos histoires, ou longtemps genre dans trois mois c'est finit ?, bah quoi ? Vaut mieux qu'elle me tienne au courant de suite, histoire que je ne me fasse pas de film. Elle a le don de vouloir m'énerver, mais non, je serais zen...ZEN ON A DIT.  Alaska me raconte donc la petite faute qu'elle a commit avec Sam, me parlant du baiser, qu'elle était triste mais qu'elle s'est rendu compte qu'elle ne voulait pas de lui, ou ne l'aimait pas. Bref, ça ne me fait pas plaisir d'appendre ça, après tout, qui serait content de savoir que son ex ? Copine ? Bref, avait embrassé son ex mari. Je finis par relâcher l'expression de mon visage, lui sourire légèrement avant de lui dire merci de me l'avoir dit, en finissant par l'embrasser tendrement. Bon, on était plus ensemble, on va donc dire que ça ne compte pas, bien que ça me fasse chier. Avoue, tu as supplié Adriel pour qu'il t'amène ici !, je lui dis en la chatouillant légèrement.

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Tu pensais vraiment tout ce que tu disait, ça t'avais pris du temps avant de te rendre vraiment compte que tu l'aimais. Que tu n'avais pas dit ça juste pour qu'il ne te lache pas, tu le pensais vraiment, tu le sentait dans chaque partit de ton corps. Maintenant plus que jamais. « Trois mois c'est trop, d'ici deux jours, je t'aurais largué. » dis-tu dans un rire, pour le taquiner. Tu lui tire la langue, oh non, vu comment c'est partit tu aimerais que ça dure encore un peu plus. Tu te libères de son emprise et le tire jusqu'au rivage, il avait un peu froid et faut dire que les seins à l'air c'était pas évident, tu enfile un tee-shirt juste histoire de ne plus avoir les tété à l'air. « Je lui ai pas vraiment laisser le choix à Adriel. » non en fait, pas du tout même. Tu lui a dit : tu es mathers ? Je part avec toi. Il a pas eu le temps de répondre que tu été déjà sur le chemin de l'aéroport. « Je sais que ça te fait chier. » dis-tu en te mettant assise. « Je sais que tu te retiens de pas me gueuler dessus, mais tu peux. Fait le, vraiment, si ça peut t'aider à me pardonner. Tu peut même me largué, mais j'te larcherais pas d'aussitôt. Après avoir tout ses kilomètre pour voir ta tronche de cake, je risque pas de te laisser partir avec la première hawaïne venue. »

Et bien, et bien et bien, je ne suis pas habitué à tout ça, qu'est-ce qu'il lui arrive ?. Deux jours ? Merde, je croyais qu'on avait plus que deux heures, je répond à mon tour, en lui tirant la langue. Je suis content d'être ici avec elle, même si à la base, on était pas partir pour y être ensemble. Je n'étais pas partir dans l’optique de me remettre avec elle, ne sachant même pas qu'elle serait de la partie. Je souris à nouveau, lorsqu'elle me dit ne pas avoir donné le choix à Adriel. Je veux bien la croire, le pauvre. Si il avait envie d'amener une belle femme, histoire de la draguer ou quoi, et bien c'est foutu grâce à Alaska. Commençant à faire un petit peu froid, nous retournons sur le rivage, ou je prend une serviette pour la mettre autour de mes épaules, passant mon bras autour de ses épaules. Oui, ça m'énerve mais non, je n'ai pas envie de t'engueuler, je lui répond en haussant les épaules. J'ai fauté avec Madisson, alors non, je n'ai rien le droit de dire pour ce baiser. Puis si c'est moi que tu aimes que tu as envie d'être, alors c'est ce qu'il y a de plus emportant, je répond à nouveau, tout en lui souriant, finissant par tourner mon regard sur l'eau, la cascade qui se trouve sous nos yeux.

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« Trois, si t'es chanceux, le temps de rentrée dans ton bungalow. » dis-tu dans un rire. Baaah oui, laska est devenu plus douce, la faute à .. je sais pas, une prise de conscience tardive ou juste le fait d'être éloigner, de nouveau ensemble et éloigner encore une fois. Dans l'espace de deux mois vous avez du rompre deux fois, un break, deux tromperie et je ne sais combien d'engueulade et de crise de jalousie. Tu sais que ça le soule, qu'il garde tout, alors tu lui demande de lacher les vannes, gueuler un bon coup pendant cinq pages comme ça on sera vite à quinze page et je serais contente. Mais non, rien, il comprend ce que c'est que d'être dans le doute, il te comprend. « On a qu'à dire que Madisson, c'est du passer, puisque c'est ta sœur. » surtout que tu as concocté un plan diabolique pour te débarrasser une bonne fois pour toute de Madisson, mais ça, ça reste pour plus tard. Tu te redresse pour embrasse sa nuque et pose ta tête dessus. Vous restez dans un petit moment de silence à admirer cette magnifique vu, qui sera très bientôt remplacer par les bulding et les amphithéâtres. Ce silence n'était pas gênant, ni même étrange, il été parfait, un de ses moments de paix ou les mots ne sont plus utile, puisque le simple fait d'être avec cette personne suffit pour se comprendre. Tu tourne ton regard vers lui, c'est le moment ? Peut être pas. Tu embrasses de nouveau sa joue et murmure dans le creux de son oreille. « Je suis enceinte. »

Trois ? Ah bon ça va alors, j'étais entrain de stresser en voyant les minutes s'écouler. Cette fille m'énerve, elle m'énerve parce qu'elle me fait craquer, que quand on rompt je suis pas foutu de résister deux secondes à ses beaux yeux et son sourire, que je me sens vide quand elle est pas là. On passe notre temps à se disputer, mais aussi à passer de bons moments comme celui qu'on est entrain d'avoir. C'est calme, il n'y a personne autour de nous, seulement Luska. Je décide de lui pardonner sa petite erreur, parce qu'on est pas parfait, et que j'ai pas fait mieux lors de notre break. Au final, on est revenu l'un vers l'autre. Et TU es ma petite-amie, je répond en précisant bien le TU, quand je mentionne ma copine. La serrant tout contre moi, je savoure ses baisers dans mon cou, qui me donnent des frissons, regardant la vue. Cette vue si belle sous nos yeux, que je crois rêver ce qu'elle vient de me dire. What ?. De moi ?, je demande machinalement comme un con. Bien sûr de moi, enfin je l'espère. Faut que je fasse un teste de paternité avec Aaron, on ne sait jamais. Depuis combien de temps ?. Oh my god, je suis sur le cul ! Je suis content, stressé ? J'en sais rien, mes yeux sont trop occupés à fixer son ventre.

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Il te pardonne, tu ne peut pas t'empêcher de lacher un petite sourire, qui s'étend jusqu'à tes oreilles. « Et je suis ta copine oui, ta petite amie. » parce que tu es petite et parce que tu es son amie ? Non, surtout parce que tu ne peut plus imaginer ta vie sans lui. Il été temps de lui dire, mais tu ne savait pas comment t'y prendre, alors tu as attendue que tout ce calme, que vous soyez en paix avec la naturel. Mais sa réaction te vexe, vu le nombre de fois ou vous l'avez fait sans protection, comment il peut douter. « Aaron, n'a pas éjaculer en moi. » pour qu'il soit au courant, même si maintenant il va vous imaginez entrain de le faire et Aaron qui se retire au dernire moment. Combien de temps ? « Cinq, six semaines d'après le teste de grossesse, mais il est pas fiable, alors je suis aller chez le doc et il m'a dit que oui, j'ai un têtard dans le ventre. » tu tapote dessus, il est pas plus gros qu'un haricot et tu le sent à peine, il avait juste arrêter tes règles depuis le début du mois. Tu sais pas vraiment quoi en penser, tu as a peine vingt et un an et votre situation est loin d'être stable. « T'es content ? Fin, tu es surpris, ça se voit, mais t'es pas facher, hein ? » après tout c'est toi qui dit toujours merde aux préservatif.

Tu es mon amoureuse, je lui répond avec une petite voix de garçon, bien qu'elle reste tout de même un peu grave. Oui c'est mon amoureuse, ma chérie, la seule et unique que j'aime. Je ne sais pas si on est comme l'un de ces couples, qui sera toujours ensemble à leur 95 ans, mais je sais que veux faire un long parcours avec elle. Un moment de répit, on ne parle plus, on se câline en profitant de la vue. Ma joue contre le haut de son crâne, ma main caresse son bras, alors que je sens ses lèvres se poser sur moi, m'annonçant par la suite qu'elle est enceinte. Ok, sur le coup, je ne pose pas vraiment la bonne question du coup, je n'ai pas la bonne réponse. D'accord, ne pas les imaginer tout les deux entrain de baiser, sinon, c'est moi qui vais avoir des nausées. Je secoue la tête, pour reposer mes yeux sur elle puis lui dis, Déjà ? Pourquoi tu ne me l'a pas dit avant ?. Bah ouais pourquoi ? Bon en même temps, on n'a fait que de se prendre la tête, donc difficile de glisser un "je suis enceinte" dans tout ce petit bordel. Je la regarde se tapoter le ventre, je souris machinalement, me disant qu'il y a un mini nous dans son ventre. Je sais pas, je suis comme shooté maintenant, je dis toujours en fixant son ventre, ne clignant pas des yeux. Secouant à nouveau la tête, j'ajoute non, je suis content, enfin...je t'aime alors que je suis content, mais est-ce que tu veux le garder ?, ouais parce qu'au fond, c'est elle qui va être malade et le porter pendant 9 mois.