go to the end of the world for you ✩ lucas

the queen and
the king

Mise en page par dark dreams. pour ILH

La chaleur été si forte que tu n'arrivais pas à dormir. Tu avais l'habitude des ruelles froides de chicago et l'hiver de Cambridge. Quel chose d'arriver ici, boire un mojito et se retrouver brûlante au bout du troisième verre. Pourtant, t'avais déjà prèsque rien sur le dos ! Si un jour on t'avais dit que tu aurais encore chaud après deux verres, quelques danses et habiller avec trois morceaux de tissus, tu aurait traîter cette personne de folle, mais voilà que tu suffoques prèsque et finit de boire tout une cruche d'eau avant de te lever pour danser de nouveau. « Va prendre l'air. » te dit Adriel, en te poussant en dehors du dancefloor. « On est déjà en plein air, gros béta. » dis-tu sur un ton de madame-je-sais-tout, mais tu savais très bien ce qu'il voulait dire, et te roules des yeux avant d'accepter d'aller prendre un peu l'air. Tu prend un verre de punch tout de même, pour être sûre que c'est pas le mojito qui te fait beuger, prend le chemin de la sortit et rentre dans quelqu'un au passage. « PUTAIN MAIS FAIT GAFFE ABRUTIE. » géniale, tout sur tes seins, maintenant tout le voit tes tétons, c'était pas vraiment le but, mais bon.

Après le Maroc, c'es autour d’Hawaï. Ne me demandez pas pourquoi, mais j'ai le don d'aller en vacances là où on meurt de chaud. Genre là, j'en peux plus, j'ai envie de mourir. J'ai larvé des heures à la piscine, bu plus d'une bière mais rien y fait, j'ai chaud. Merci mon dieu, paupaul n'est pas en chaleur lui aussi sinon, je sur ma tombe, on pourrait lire "mort de chaud en s'envoyant en l'air sur une île paradisiaque". Ma bouteille de bière à la main, je regarde tout le beau monde danser, bien qu'il y en ait beaucoup trop. Je vais un peu plus loin, dis-je à Madisson, alors qu'elle danse avec d'autres filles. Je m'écarte donc du groupe, pour aller un peu plus loin, mais là, quelqu'un me rentre dedans tout en m'insultant. PUTAIN  MAIS FAITES ATTENTION, je hurle en même temps que la voix féminine, ma bière s'étant renversée sur mon t-shirt. Levant les yeux pour regarder qui est la débile qui ne sait pas marcher droit, mes yeux s'écarquillent lorsque j'aperçois Alaska. Qu'est-ce que tu fou là ?, je lui demande surprit. A la base, je devais venir ici avec elle, mais m'ayant largué, j'ai décidé d'emmener Madi avec moi.

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Ah oui c'est vrai, il est mathers. T'oublie parfois, faut dire que quand vous êtes ensemble vous passez pas vos vie à parler de vos maisons respectives, en fait vous parlez pas du tout, soit vous vous engueulez pendant trois pages soit vous vous envoyez en l'air pendant deux pages, soit c'est par sms, et sur le coup t'avais totalement zapper que ce mec été vert. Par contre, t'as pas zapper qu'il est venue avec.... « Madisson ? » tu grimaces et lèves les yeux vers lui, il est beau ce soir, trop mignon avec son petit mal raser et ses jambes poilue, ça aurait été de belle retrouvailles de faire ça sous les cocotiers, mais ta jalousie maladive reprend le dessus. « Moi qu'est-ce que je fais là ? Et elle qu'est-ce qu'elle fait là ? NON ne dit rien, ça me regarde pas. » vrais. Alors au lieu de t'excuser, tu le pousse... enfin c'est beaucoup dire avec ces trucs qui te serve de bras et le peu de force que tu as, dans tout les cas tu essaie et passe à côté de lui. « Dégage avant que j't'assome à coup de noix de coco, Watson. » dis-tu en rejoignant la porte la plus proche pour sortir de ce trou à rat.

Mather est fier de l'être ma poulette ! C'est vrai qu'on ne parle jamais de nos maisons, peut-être parce qu'il n'y a pas grand chose à dire, ou parce qu'elles sont tellement différentes, que ça n'intéresserait pas l'autre. Enfin si, car pour ma part, la Lowell était mon deuxième fois de maison mais on a préféré me mettre chez les drogués. Bref, étant un voyage de la Mather, je ne m'attend pas à retrouvé Alaska ici mais si. En plus de ça madame me chauffe par sms mais en vrai, elle m'assomme de Madisson -ça rime en plus- et m'envoyant balader. Je ne répond pas à son "Madisson ?" je suis là pour m'amuser, je détendre, pas pour me prendre la tête avec mon ex petite-amie. Toujours aussi charmante à ce que je vois, je lui répond alors qu'elle continue sur sa lancée. Elle finit par me pousser, enfin, je me pousse pas moi-même car comment dire, la force plus elle ça fait 20. Hmmm oui, assomme moi de noix coco, j'aime ça, dis-je en la suivant, car bon, c'était mon chemin. Une fois dehors, je respire un bon coup, bien que l'air soit toujours aussi chaud, puis allume une cigarette.

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Ouai fin pas grand chose à ce dire, on allait pas non plus débattre sur les maisons, surtout qu'alaska a été forcé par sa sœur de rejoindre la lowell house. Adriel a été gentil de t'invité tout de même, puisque tu n'avais jamais vu la mer hawaïenne et qu'un peu de vacance te ferais plaisir. Mais c'est loin de là, tes soucis à Cambridge te rattrapes aussi ici, Madisson, Lucas, ton couple, la jalousie, ces trucs là aussi ont pris l'avion pour t'accompagner. « C'est ce qui fait mon charme. » dis-tu en le poussant, avec beaucoup de guillemet parce qu'il s'écarte de lui même et rejoindre l'extérieur. Il te suit au pas, fin c'est ce que tu penses mais au final c'est surtout pour se griller une clope. Beurk, pas de retrouvaille calienté sous un cocotier avec sa bouche qui empeste le tabac. « C'est Adriel qui m'a invité quand il a sût qu'on avait rompue. Et j'ai dit oui parce que j'adore me promener en maillot de bain. » dis-tu en te posant contre la barrière en bois et en levant la tête vers lui. « Tu t'es déjà faite des hawaïnnes entre le moment ou tu m'envoie des sextos et quand tu va danser le collé-serré avec ta sœur de cœur ? »

L'alcool, la fête, la drogue et les femmes font que je suis un Mather. Bien qu'au final, je n'ai pas vraiment le cœur d'un Mather. Je ne savais même pas qu'Alaska était pote avec des Mathers, enfin, à part Kenny. Mais bon, heureusement pour moi, elle n'est pas venue avec elle, enfin...j'espère en tout cas. C'est ce qui fait son charme ? Ou pas, ou pas. Je la suis à l'extérieur, afin de fumer parce qu'un d'un j'en ai envie, de deux ça me détend, et de trois, parce que si Alaska me met les nerfs, ça va me détendre. Sans que je lui demande quoique ce soit, la jeune femme m'informe qu'elle est là grâce à Adriel et du fait qu'elle aime être en maillot de bain. Tant mieux, tout le monde va pouvoir profiter de "Pamela". Bah quoi, c'est vrai non ?. Ok cool, pour le moment, on ne se dispute pas sauf qu'une nouvelle fois, elle me parle de Madisson. Je vais finir par croire qu'elle en est amoureuse, ce n'est pas possible. Tirant une latte de ma clope, je laisse la fumée s'échapper de mes lèvres en direction d'Alaska. Je sais qu'elle ne supporte pas la fumée, et encore moins le fait que je fume. Bien évidement ! D'ailleurs, j'ai fait des vidéos comme promit tu veux les voir ?, je lui demande la clope au bec, faisant semblant de sortir mon téléphone de ma poche.

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Euuuh les femmes et l'alcool ça c'est un peu stopper depuis l'ouragan Alaska, je dit ça, je dit rien. Donc, tu sors énerver, parce qu'il te faut un rien pour t’énerver, c'était devenue ton nouveau truc de t’énerver pour un rien, à croire que t'as les hormones en vracs, à croire que t'es enceinte. « Avoue que t'aimerais les toucher. » dis-tu dans un sourire, vous voyez, y a cinq minutes t'était près à le claquer et voilà que tu sourit bêtement parce qu'il a fait un commentaire sur Paméla ; tu soupire ensuite et revient à la charge, parce que cette histoire avec Madisson ne finira jamais, quand tu seras être moins jalouse et plus confiante, peut être que ça s'estomperas en attendant c'est pas le cas. Tu soupires de plus belle à sa réponse, surtout qu'il s'amuse à te jeter sa fumé dans la gueule. « Dégage ça de là, je déteste quand tu fumes. » dis-tu en soufflant dans la fumé. « ça va aller, je peut le voir moi même, j'ai le code de ton portable sur mon ordinateur. Fais le malin et je supprime le dossier ''alaska boobs'' de ton pc. » tu lui tire la langue tel une enfant avant de lacher un rire. Tu colle ta tête contre le bois de la barre avant de sourire bêtement. Il t'avais manquer en fait, même pas une semaine de séparation qu'il te manquer déjà, crétin va.

Bah non, il a reprit tout ça au Maroc voyons....Je la vois énervée alors que pour une fois, je n'ai rien fait. Deux secondes après, elle me taquine avec sa paire de boobs. Putain, il faut se tenir accrocher avec elle : un coup c'est noir, celui d'après c'est blanc. Non, j'en ai repéré des plus gros, soit la manière de la faire deux fois plus chier. Bah ouais, j'aime bien quand elle fait sa teigneuse, elle est sexy bien que chiante. Dehors, je fume tranquillement, soufflant  la fumée sur Alaska qui me hurle dessus directement. Je sais, je sais mais moi j'aime !, je lui répond en souriant, fumant de plus belle. Dans ce cas, tu dois bien te faire chier avec mon téléphone vu qu'il n'y a que ta tronches d'hamster et de guitare, je lui répond, tout en haussant les épaules. Un sourie aux lèvres, je secoue la tête, ça m'a manqué de ne plus passer du temps avec elle. Tu me dois une bière au faut, je lui fais remarquer, en lui montrant mon t-shirt.

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Bien, bien, encore mieux tout ça si Alaska le sait, elle va l'enfermer dans une cage et il devras l'appeler « ma déesse » pour s'en sortir. Tu fronces les sourcils à chaque fumer sortant de sa bouche et roule des yeux. Cette fois-ci tu es vraiment vexer, il ramene déjà sa copine et en plus de ça il fume ouvertement à côté de toi. Et en plus de ça il ose dire que tes boobs ne sont pas gros ? NON NON NON ET NON ON PARLE PAS MAL DE PAMELA. « BIEN. Fait ce que tu veux de ton entre jambes, de toute façon je risque pas de toucher ce truc plein de MST. » dis-tu en pointant le gros lulu du doigt, avant de lui tirer de nouveau la langue. GUEULE D'HAMSTER ? « tu veux dire ma magnifique visage de déesse ? Et quelques photo par ci par là de nichon qui traîne. Et surtout tes allusions sexuelle avec Elyana, c'est qui ? Ta nouvelle meilleure amie ? Ou ta sœur de cœur que tu comptes te faire également ? » Alaska sur la défensive, calme toi voir. Tu secoue la tête pour virer toutes ses penser négatives et respire un bon coup. « C'est toi qui m'as foncé dedans, tu me doit un punch et les petite brochettes là qu'ils ont au bar. » elles sont bonne, tu grimaces, bien qu'intérieurement tu souris. Loin à l'intérieur, parce qu'il avait se dont de te rendre de bonne humeur, même si tu le montrer pas.

Bien sûr, il fera ça quand les poules auront des dents...Enfin, quand on vient en vacances sur une île paradisiaque, c'est pour s'amuser, profiter de ce qu'on sous les yeux. Sauf que là, je me retrouve avec mon ex qui comme toujours me parle de Madisson, ou bien des autres femmes qui osent être mes amies. On est plus ensemble, tu n'auras pas à toucher mon entre jambe, je lui fais gentiment remarquer, tout en lui faisant un clin d’œil. Tout en fumant, je l'écoute me parler du fait qu'elle ait hacké mon téléphone, pouvant tout voir dessus. Et bien soit, je n'ai strictement rien à caché. Une déesse ? Je n'en vois nul part désolé....Si tu la connais, mais j'ai pas couché avec elle, du coup, tu ne passes pas ton temps à penser à elle..., je lui répond en roulant les yeux. Quoique...elle a l'air bonne alors bon.... C'est ça, énerve la bien, comme ça, elle va essayée me noyer dans la mer, ou m'étouffer dans mon sommeil. De tout façon, avec toi, c'est toujours de ma faute ! Puis bon, tu m'as volé de l'argent, donc tu peux bouger ton beau petit cul jusqu'au bar, dis-je en haussant les sourcils à plusieurs reprises.