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" Ah.. C'est donc le luxe qui te retient " Non voyons, le fait que je sois là ny est pour rien. Il faut que j'arrête de me faire des idées, de me faire des films. Il se fiche bien de moi, je ne suis qu'une fille de plus - enfin, la même fille - qui met encore et encore dans son lit. Je ne suis que ça et je n'arriverais pas à lui arracher quelque chose d'autres. De toute façon, à quoi je m'attends ? On a dit pas de sentiments. Dimitri m'a brisé et le sexe sans sentiments y a rien de mieux. À vrai dire, le mieux c'est sans préservatif mais je ne sais pas où il a trainé alors autant minimiser les risques de maladies sexuellement transmissibles et tout ce qui va avec. Là, c'est protégé, sans danger. C'est ce que je me dis même si je connais les statistiques que ce cher bout de latex se perce et pouf, on est dans la merde. Tant que je ne me retrouve pas avec un guizmo dans le ventre, moi ça me va. Enfin, je pense. Pas de guizmo, pas de maladie, pas de sentiments. Allez Cole, rentre dans cette putain de case de mon putain de cerveau à la con. Je souris quand il dit qu'il ne va pas changer d'avis. Mais pas trop non plus parce que je ne veux qu'il le voit et je sais très bien qu'il est capable de me planter une fois notre petite affaire finie. Il me l'a dit lui même, c'est un connard, et je l'ai déjà vu agir comme un connard lord de notre première nuit. Et oui Monsieur Smythe-Wildingham, la façon dont vous m'avez traité, je m'en souviens et pas qu'un peu. Ce moment - délicieux - et ce qu'il m'a dit - bien moins délicieux - me reviennent en tête dès que je l'embrasse." Chaque chose en son temps " Soupirais-je en me penchant légèrement vers lui alors que ses mains caressent mon dos. Toute à l'heure, c'était bien différent. Complètement fiévreux, à se sauter dessus comme des animaux, appuyée sur le mur pour le laisser faire ce qu'il avait à faire avec moi. Oui, dans ses bras, je ne me laisse pas prier, jamais. Ses lèvres glissent le long de mon corps et je soupire, passant mes mains sur son torse et déboutonnant quelque peu sa chemise. Petit à petit, un bouton après l'autre alors que je soupire sous chacun de ses baisers, de ses coups de langues, de tout. Chemise ouverte, je glisse mes mains dans son dos, jouant avec la marque de ses muscles, caressant alternativement ses abdominaux et son omoplates, m'agrippant à ses dernières quand il joue avec mes seins. Parce que là, c'est du jeu. C'est carrément addictifs mais c'est du jeu. Et j'ai déjà terriblement envie de lui. Chaque centimètre de mon corps l'appelle, le cri, surtout mon intimité..
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