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La vie est un sommeil, l'amour en est le rêve et tu auras vécu si tu as aimé. ~ Bonaventure

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La vie est un sommeil, l'amour en est le rêve.
Les mains du jeune homme parcouraient de plus en plus mon corps frêle et tremblant sous tant de désir. Le regard que je lui avais lancé avait été franc, sûr et empli de tendresse. Quelque chose s’était passé durant l’espace d’un instant, un moment privilégié étant donné l’attraction qu’il exerçait sur moi et celle que j’exerçais certainement sur lui. J’avais des tas de frissons et les sensations qui me berçaient étaient plus qu’agréables, aucun mot ne pouvait définir ce que je ressentais réellement.

Je sentis une des mains du jeune homme s’aventurer dans mon dos, au niveau de la fermeture de ma robe et une seconde plus tard, je me retrouvais le buste découvert. Bonaventure avait une vue complète sur mon soutien-gorge noir à dentelle, celui que j’avais acheté sous les bons conseils de Summer. Les palpitations de mon cœur me déroutaient et me troublaient ; à tel point que je ne savais plus comment me positionner, je ne savais plus où poser mes mains. En toute franchise, j’étais légèrement apeurée par la suite des événements même si ce qu’il allait se passer restait indéniable et même si j’en avais parfaitement conscience.

Tout à coup, le garçon me renversa et ainsi, je me retrouvai sur le dos, contre le canapé, face à lui. Mes cheveux étaient tous éparpillés et je regardais l’homme planté au-dessus de moi. Bonaventure était bâti comme un dieu et c’était un vrai régal pour les yeux que de le regarder torse-nu. Mes mains se faufilèrent le long de son dos afin d’y procurer des tas de caresses aussi longues que douces et aussi sensuelles que tendres. Mon cœur tapait tellement fort que ma poitrine semblait se soulever au rythme de ses battements. Il était difficile pour moi de garder une respiration lente et posée alors que j’essayai tant bien que mal de rester concentrée. Les doigts parcourant l’échine du jeune homme, les paupières closes et le souffle haletant, je me sentis presque partir lorsque je sentis la main du métisse se glisser sous mon dos pour venir y détacher l’agrafe de mon soutien-gorge. Mes yeux se rouvrirent instantanément, fixant le plafond et laissant glisser dans ma gorge la salive que j’avalais par la suite. Ce qui me faisait le plus peur était de me retrouver nue devant lui, pas l’acte en lui-même. Au fond, j’étais une fille pudique et il avait toujours été difficile pour moi de me montrer à quelqu’un. Je soufflai un bon coup avant de monter une main jusqu’à son crâne comme pour l’inciter à continuer. Ses baisers me faisaient littéralement vibrer, des tas de frissons parsemaient mon corps à moitié dénudé et lorsque je sentis ses lèvres se délecter de ma poitrine, je me cambrais un peu plus, respirant profondément et refermant mes yeux par la même occasion. Une vague de chaleur m’envahi presque immédiatement, enveloppant absolument tout le bas de mon corps, l’envie se faisait ressentir et la passion dont Bonaventure faisait preuve, me faisait perdre la tête. Mes doigts se resserrèrent contre sa tête et je me mis à respirer encore plus fort qu’avant, lui laissant l’occasion de m’entendre plus que de raison. Mes gestes étaient timides, sans trop d’assurance et lents ; j’avais du mal à me débloquer, bien que tout ce qui était en train de se passer me plaisait et me faisait vibrer au plus haut point.

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J’étais un peu crispée car c’était la première fois que je me dénudais devant Bonaventure. Je ne me trouvais pas spécialement affreuse mais j’avais toujours cette appréhension de la première fois, d’autant plus que je n’étais pas forcément très à l’aise avec la morphologie de mon corps. Néanmoins, j’essayai de le contenir le plus possible afin que le jeune homme ne se rende compte de rien, pour qu’il ne se braque pas à son tour.

Soudain, Bonaventure s’arrêta net et releva la tête vers moi. Alors, j’ouvris les yeux et en fis de même, plongeant mes pupilles dans les siennes. Il me demanda ce qui n’allait pas et c’est à ce moment que je fus légèrement déstabilisée, son regard me fit rougir et sa phrase m’avait légèrement laissée songeuse. Tout allait pourtant pour le mieux, il ne devait pas s’inquiéter autant mais je pouvais comprendre que ma crispation l’interrogeait. « Non non pas du tout, ne t’inquiète pas… » Répondis-je, la voix basse et le regard baissé vers la droite. Nous nous regardions pendant un petit instant, et son air inquiet me rendit véritablement conquise. Il était adorable, j’étais folle de ce visage angélique et ravissant. Il me demanda par la suite s’il voulait que l’on éteigne la lumière ce à quoi je répondis toujours la voix à demi éteinte : « Oui… J’aimerais bien… Mais ne t’inquiète pas pour moi, tout va bien. » Il m’embrassa de nouveau, sur le front, les joues et les lèvres. A cet instant, des tas de papillons s’envolèrent à l’intérieur de mon abdomen. Il me rendait folle, folle de ses lèvres et folle de lui tout simplement. Mes doigts se resserrèrent dans son dos, enfonçant quelque peu mes ongles dans sa peau tout en appuyant mes bras contre lui. Je ne voulais plus le lâcher et tout ce que j’attendais était que l’on puisse se laisser aller pleinement.

Quelques instants après, la question fatidique tomba, qu’est-ce qui me bloquait… J’étais parfaitement consciente que ce n’était pas Bonaventure qui me bloquait, ni ses gestes, ni sa présence. Il fallait que je tente de lui expliquer et même si je n’étais pas sûre qu’il comprenne, il était important que je lui en fasse part. « Je ne suis pas forcément à l’aise avec mon corps… Rien de plus, tout est parfait. » Expliquai-je timidement et finalement, pour le rassurer, je le pris pour le remonter vers moi, entourant son cou de mes bras que je resserrais et l’embrassai à pleine bouche, y mêlant ma langue et dans le même temps, toutes mes émotions. Au bout de quelques longues secondes, je m’arrêtai et reculai légèrement mon visage pour contempler le jeune homme au-dessus de moi. « On peut passer dans ma chambre, ça sera peut-être plus confortable… » Fis-je au jeune homme doucement et terminant par un léger sourire rassurant.

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Il me trouvait magnifique… Ces mots résonnèrent doucement en moi et comme une onde pénétrante, arrivèrent jusqu’à mon cœur pour le faire battre encore plus fort qu’à la seconde d’avant. Une de mes mains se dégagea de son dos pour venir se loger contre la peau de sa joue métisse et, dans la finalité, la lui caresser longuement et délicatement. Je n’arrivais pas à discerner quelles émotions j’avais à l’égard du jeune homme, certes je l’aimais profondément, en tant qu’ami, et jamais je n’aurais voulu que ces sentiments se transforment ou disparaissent, mais quelque chose de plus puissant se mêlait à tout cela. C’était fort, tellement fort que parfois, les yeux posés dans les siens, mon souffle se coupait naturellement. Bonaventure était un garçon doux, calme, gentil et à ce moment précis, il faisait preuve d’une grande compréhension et d’une grande délicatesse. Je sentais qu’il ne voulait en aucun cas gâcher ce moment et surtout pas avec des doutes ni de frustrations.

Je sentis sa main se faufiler contre ma hanche et ma cuisse, ce qui m’arracha un frisson de plaisir et un soupir délicat. Le baiser que je lui avais offert m’avait semblé lui faire plaisir, ce qui me rassura et me conforta dans l’idée qu’il fallait que nous passions aux choses sérieuses… Il était d’accord pour passer dans la chambre, là, nous aurions bien plus d’intimité et bien plus de confort. J’aimais faire l’amour mais j’aimais surtout lorsque mon partenaire et moi prenions notre temps pour que tout soit réalisé comme dans les films romantiques. Des bougies, de la musique douce, pas de gestes brusques… Bref, j’aimais revivre sans cesse mes premières fois et avec Bonaventure, nous étions très bien lancés. Il me porta jusqu’à la chambre et ôta l’avant dernier bout de tissu qui me couvrait complètement. J’étais à moitié nue, allongée sur le lit, les yeux cherchant ceux du jeune homme et lorsque cela fut, il m’indiqua dans un soupir qu’il allait devenir fou s’il ne me faisait pas l’amour et s’en suivit un baiser fougueux et passionné, auquel je participai indéniablement, y mêlant ma langue qui venait de son extrémité caresser la sienne. Mes mains remontèrent le long de ses pectoraux et se campèrent sur ses trapèzes, les agrippant de mes mains frêles et douces.

La porte n’étant pas refermée complètement, un léger faisceau lumineux traversait la chambre et nous laissait à chacun la possibilité de contempler d’une manière subtile le corps de l’autre. Le désir augmentait de seconde en seconde, je ne voulais plus attendre et mon corps me le faisait ressentir. La respiration haletant, le cœur battant, je stoppai ce long baiser et relevai les paupières vers le bellâtre. J’avais envie de prendre les commandes, même si je pouvais paraître brusque et animale, il fallait que je lui montre qu’il n’était pas seul à désirer l’acte. Mes mains se mirent à dévaler son corps musclé pour défaire habilement les boutons de son pantalon devenu obsolète et, d’un coup de main, je le poussai avec force afin qu’il se retrouve à son tour sur le dos. Je me mis à mordiller ma lèvre inférieure comme pour m’empêcher de devenir une vrai sauvageonne et regrimpai sur le jeune homme pour l’embrasser généreusement et fougueusement. Mes mains légèrement froides caressaient de manière délicate ses pectoraux que j’appris à aimer immédiatement. Le baiser stoppé, je redescendis sur son corps, y déposant à chaque parcelle un baiser doux et léger. Les yeux fermés, j’arrivais au niveau de son nombril et glissais mes doigts de chaque côté de son pantalon afin de le tirer doucement.

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Bonaventure l’avait porté jusqu’à sa chambre pour l’allonger délicatement sur le lit, comme si elle était la chose la plus précieuse en ce monde pour lui à cet instant précis. Le jeune homme la traitait avec respect parce qu’au-delà de cette attirance, il ressentait une profonde amitié pour elle. Une tendresse également qui contrastait actuellement avec cette passion qui bouillonnait en lui alors qu’il sentait les caresses d’Amanda sur sa peau. Cette dernière avait décidé de prendre le contrôle de la situation et il se laissa faire quand elle le repoussa dos au matelas. Bonaventure l’observait, le regard chargé de désir, agréablement surpris de la voir se transformer peu à peu à mesure que leur intimité progressait. Elle le rendait totalement fou si bien qu’il l’encourageant dans son élan en glissant ses doigts dans sa longue chevelure, soupirant à chaque baiser qu’elle parsemait sur sa peau. Le métisse ferma les yeux pour mieux savourer ses lèvres sur sa peau.

Bien sûr, il ressentait une certaine appréhension alors que les doigts d’Amanda se posaient sur son pantalon. Le jeune homme se surprit à avoir envie de l’éloigner à cause de la peur de son rejet. Bonaventure continuait de ressentir autant de honte vis-à-vis de sa prothèse et c’était toujours ce qui le poussait à se détourner de femmes comme Amanda car il craignait toujours que tôt ou tard, elle se détournerait de lui. Comme Lucy. Le métisse ne savait plus être heureux sur le long terme mais son besoin de se sentir aimé le poussait désormais dans les bras des plaisirs éphémères seulement Bonaventure ne pouvait se résoudre à cette vie-là. Le simple fait d’être avec Amanda lui faisait comprendre combien il serait doux et agréable d’être dans une relation sérieuse mais pour le moment… Il ne pensait plus à grand-chose, pas alors qu’Amanda le rendait dingue avec ses baisers, ses attouchements.


   
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Je m’étais arrêtée en haut de son bas-ventre afin que je puisse retirer délicatement son pantalon. Mes doigts glissés à l’intérieur du tissu, je commençai à descendre son pantalon doucement. Je savais que Bonaventure gardait en lui une vraie frustration concernant sa jambe amputée et que pour lui, le fait de se retrouver totalement nu devant moi devait être aussi dérangeant que ce que j’avais ressenti quelques minutes auparavant. Son pantalon descendait doucement le long de ses cuisses et je découvris par la même occasion sa prothèse qui se dévoilait à moi petit-à-petit. Je me fichais complètement de son apparence, ça ne me dérangeais pas le moins du monde et Bonaventure me plaisait tel qu’il était.  

Nous nous retrouvions tous les deux en sous-vêtements, le soutien-gorge en moins pour moi et je me sentais parfaitement à l’aise désormais. L’obscurité et les ombrages m’aidaient énormément à accepter la nudité de mon corps. Je plaçai une de mes main sur l’un des côtés du jeune homme et, me trouvant au niveau de son ventre, repris les baisers délicatement. Les yeux fermés, je descendais doucement jusqu’à m’attarder sur son boxer restant. Je soupirai doucement, évacuant par la même occasion la pression que mon cœur provoquait en moi et commençai à baiser le commencement du sous-vêtement. Mon autre main vint se faufiler sur la cuisse gauche du jeune homme que je caressai du bout des doigts, jouant de temps à autre avec l’élastique entourant ses hanches également. Mes lèvres chatouillaient presque l’entre-jambe du jeune homme et mon souffle chaud se projetait directement sur ce dernier. Je savais que l’excitation montait en lui et il en était de même chez moi. Alors, me redressant quelque peu, je pris les deux extrémités de son boxer et le glissait le long de son corps pour que Bonaventure se retrouve enfin nu…
 
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Le jeune homme se retrouvait enfin nu et cette simple vision me donnait de plus en plus envie de lui sauter dessus et d’entreprendre l’acte intégralement. J’inspirais profondément et passait ma main délicatement sur l’intimité du jeune homme, y procurant de longue caresses du haut vers le bas. Mon corps se redressa et mon visage se remit à la hauteur de celui du jeune homme. Les paupières mi-closes je me mis à le regarder longuement, essayant de capter la moindre expression de son visage. Puis, d’un coup, mes lèvres se rapprochèrent des siennes pour les capturer fougueusement et langoureusement. Ma main n’avait pas cessé mes caresses et lorsque j’acquis plus de confiance, agrippai l’organe érigé de Bonaventure pour lui conférer mes vas et viens les plus délicats et les plus délictueux. J’essayai d’être la plus consciencieuse possible afin de lui procurer le plus de bien possible. J’avais envie que cet acte nous offre le plus grand plaisir qui soit et j’étais prête à aller au-delà de mes appréhension pour lui, pour que nos corps se lient au maximum.

Je n’en pouvais plus, l’excitation était au plus haut point et je voulais absolument que nous passions à la suite. Alors, je me redressai doucement après avoir conféré au jeune homme un léger baiser doux et savoureux, restant à califourchon sur lui. Ma main cessa ses mouvements avant que je ne me redresse sur mes genoux pour pouvoir ôter le dernier bout de tissu qui nous séparait : Ma culotte. Je passai mes jambes au travers pour m’en débarrasser complètement et la mis sur le côté. Mon buste se rapprocha de celui de Bonaventure et mes mains se posèrent de part et d’autre de son visage pour que je puisse reprendre le baiser que j’avais laissé en attente…
 
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