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La vie est un sommeil, l'amour en est le rêve et tu auras vécu si tu as aimé. ~ Bonaventure

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La vie est un sommeil, l'amour en est le rêve.
Je faisais passer au travers de ce baiser toutes les émotions qui m’habitaient. L’amour, la tendresse, la passion, toutes ces choses qui faisaient vivre ce baiser sucré et qui faisaient battre mon cœur encore plus qu’à l’instant précédent. Je sentis la main du jeune homme passer dans ma nuque et toucher délicatement mes cheveux qui retombaient sur mes épaules. Un frisson prit mon échine d’assaut et des millions de petites boules vinrent dessiner sur ma peau blême une chair de poule étendue.

L’instant était tellement bon que j’en oubliais presque les lumières qui s’étaient rallumée. Pourtant, Bonaventure, lui, en avait été conscient et avait rompu le baiser. Mes paupières se relevèrent et je me mis à observer les iris bleutée de mon ami quelques instants avant de sourire après son nouveau baiser, délicat, léger et frêle.
Toute la pression qui était contenue en moi s’était envolée en quelques secondes, comme si l’acte en lui-même avait été une thérapie bénéfique. J’avais adoré cet instant et je voulais à tout prix que nous recommencions le plus rapidement possible. Ses lèvres étaient devenues en quelques minutes une sucrerie délicieuse à laquelle je voulais constamment goûter.
Le garçon me dit qu’il fallait que nous partions si nous ne voulions pas être mis dehors et j’émis un petit « oui » avant de jeter un regard sur toute la salle qui était devenue complètement vide. Mes yeux se reposèrent dans ceux de Bonaventure et désormais, j’étais devenue moins timide, plus à l’aise avec lui. Comme si ce baiser nous avait libérés de cette gêne particulière.
Finalement, le jeune homme me demanda si je voulais qu’il me raccompagne à la Quincy House et il était vrai qu’il se faisait un peu tard pour que nous nous retrouvions dans un autre endroit. Puis, tout ce dont j’avais envie désormais était d’un peu d’intimité avec lui. « Oui je veux bien… » Dis-je avant de me voir réembrassée par le garçon. Dans ce baiser, je souriais et me rapprochant de lui une nouvelle fois, appuyai un peu plus mes lèvres contre les siennes. Je pris un peu plus de confiance et passai mes deux bras derrière son cou. Lentement mais sûrement, ce baiser doux et tendre se transforma peu à peu en une longue embrassade langoureuse.

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Amanda & Bonaventure
Bonaventure se sentait tellement bien, là, près d’Amanda qu’il ne voulait risquer de perdre ce précieux moment. Malheureusement, ils étaient dans un endroit public avec des horaires d’ouverture et de fermeture et malgré eux, ils allaient devoir cesser cette attirance qui les poussait dans les bras l’un de l’autre. Le problème, c’est que le métisse éprouvait des difficultés à se détacher des lèvres de la jolie blonde. Elle l’appelait telle une sirène et lui, il cédait en bon marin qu’il était. Alors, il lui proposa de la raccompagner à la Quincy House pour prolonger leur soirée. Il était déjà tard mais s’il en avait eu le pouvoir, Bonaventure aurait stoppé le temps comme à cet instant où Amanda nouait les bras autour de sa nuque pour lui prodiguer un langoureux baiser. Le jeune homme entoura sa fine taille de ses bras pour la plaquer doucement contre son corps, prolongeant ce baiser jusqu’à ce que l’air leur fasse défaut. Il s’écarta légèrement, frottant le bout de son nez contre le sien avec un doux sourire. « Si tu continues de m’embrasser de la sorte, je serais incapable de quitter cette salle de cinéma » lui dit-il avant de déposer un baiser sur son front et de lui prendre la main, la forçant ainsi à le suivre. Il était impatient de se retrouver seul avec elle pour simplement savourer à nouveau cette intimité naissante entre eux.

Bien sûr, il y avait le risque que demain les fasse regretter ce rapprochement mais ce soir, ils étaient sur la même longueur d’ondes, vivant de concert cette alchimie qui faisait déborder leurs cœurs. Bonaventure ne pouvait s’empêcher de la ramener contre lui, accompagnant sa marche en glissant un bras autour de ses épaules. Puis, tel un gentleman, il lui ouvrit la portière passager pour qu’elle s’installe et se hâta de se glisser lui-même derrière le volant. « Tu vas me prendre pour un fou mais je n’arrête pas d’avoir envie de t’embrasser »lui confia-t-il sa pensée du moment, son sourire devenant charmeur.

   
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J’étais totalement plaquée contre lui. Chaque parcelle de mon corps se joignaient aux siennes pour que nous ne fassions plus qu’un et cette sensation était tellement divine que des frissons vinrent parcourir l’intégralité de mes membres. Mon cœur continuait de battre tellement vite que je pouvais moi-même sentir ses mouvements. Mon estomac ainsi que mon ventre se tordaient délicieusement, provoquant en moi cette sorte d’euphorie qui me poussait à continuer et à aller toujours un peu plus loin dans notre étreinte passionnelle.

Le souffle haletant, Bonaventure défit cette longue embrassade, caressant mon nez du bout du sien tout en souriant. Il était adorable. Son sourire était magnifique. Sa personne était belle. Il était la définition parfaite du mot adorable. Son naturel faisait absolument tout son charme et le fait qu’il ne se rendait pas compte de tout cela le rendait encore plus mignon.
Je souris à mon tour, beaucoup moins timidement qu’au début et me mis à mordiller frénétiquement ma lèvre inférieure lorsqu’il me dit qu’il n’allait pas pouvoir quitter la salle si je continuais de l’embrasser de la sorte. Machinalement, je baissai légèrement le visage et eut un sourire pincé, légèrement taquin, avant de lui répondre : « Qu’est-ce qui pourrait bien se passer si nous restions ici ?... » Je sentis ses lèvres sur mon front et sa main prendre la mienne, nous nous levions et nous mîmes en route pour sortir de la salle de cinéma.

Nous étions tellement bien que j’eus un léger pincement au cœur lorsque nous avions quitté la salle. J’aurais aimé que ce moment dure encore et encore mais il était parfaitement impossible de rester ici. C’est la raison pour laquelle nous nous retrouvions tous les deux dans la voiture pour repartir vers la Quincy House.

Mon regard n’arrêtait pas de se poser sur lui qui ne regardait que la route. Il m’avoua qu’il n’arrêtait pas d’avoir envie de m’embrasser et j’en souris d’autant plus qu’il arborait un sourire très charmeur qui me fit beaucoup d’effet. Je regardai légèrement par la fenêtre et me mis à sourire sans raison. J’avais le cœur et l’âme apaisée, c’était une sensation de légèreté qui m’avait prise et j’aimais tellement cela que je ne voulais plus que le temps défile… « Dans ce cas, rentrons vite que l’on puisse recommencer… » Dis-je d’une voix douce, posée et malicieuse. J’aimais donner cette sensation, celle qui faisait en sorte d’attirer la personne opposée avec des mots et des intonations bien choisies. Je resserrai mes mains entre elles, voulant à tout prix que ce voyage soit le plus rapide possible.

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Amanda & Bonaventure
C’était vraiment contre son envie du moment qu’il se détacha d’Amanda tant il éprouvait le désir de prolonger cette étreinte mais sa pudeur naturelle le poussait à recherche un endroit bien plus intime. Bonaventure n’aimait pas se donner en spectacle malgré que pour l’heure, il était clairement établi qu’il ne contrôlait absolument plus ses gestes en présence de la jeune femme. Son amie lui faisait totalement tourner la tête, lui arrachant même un sourire à la fois séducteur et rêveur comme si, on venait de lever le voile de toutes ses années de solitude.

Cependant, le couple se hâta de regagner la voiture, poussé par leur élan et leur envie de se retrouver à nouveau seul. Le métisse confia à la jolie blonde qu’il était impatient de l’embrasser à nouveau tant ses lèvres avaient un effet addictif sur lui. « A tes ordres » lui répondit-il taquin. Bonaventure accéléra légèrement, ne voulant toutefois pas commettre un excès de vitesse. Il désirait avant toute chose la ramenait en sécurité -une petite voix lui souffla qu’il ne voulait surtout pas être arrêté en cours de route et perdre du temps sur le chemin du retour. En dix minutes, ils étaient arrivés à la Quincy House et à nouveau, il fit preuve de galanterie en faisant rapidement le tour de la voiture pour lui ouvrir la porte et lui tendre la main pour l’aider à descendre du véhicule. « Mademoiselle est arrivée à bon port » lui dit-il en l’attirant à nouveau dans ses bras, une main au creux de ses reins, l’autre sur sa nuque pour lui voler un énième baiser. Le voyage lui avait semblé interminable tant ses lèvres lui avaient manqué mais également la chaleur de son cœur. « Je ne sais pas ce qui nous arrive mais je n’ai pas envie de me poser de question »murmura-t-il entre deux baisers.


   
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Bonaventure me fit rire lorsqu’il commença à rouler plus vite pour que nous arrivions rapidement à la Quincy House. Mes lèvres étaient étirées au plus possible et je regardais le jeune homme en riant. « Ne t’inquiète pas, on a encore toute la nuit devant nous, ne va pas nous créer d’accident ! » Dis-je tout en passant ma main dans mes cheveux, laissant retomber quelques mèches sur le côté droit de mon visage.
Une dizaine de minutes plus tard, nous étions arrivés et sans que je ne m’en rende compte, mon ami était déjà en train de m’ouvrir la porte comme un vrai gentleman. Je posai le pied par terre et pris la main qu’il me tendit. J’arborais un sourire moins timide mais cela se sentait que je n’étais pas totalement à l’aise encore. Le jeune homme me faisait de l’effet et cela se lisait sur mon visage. Mes joues n’étaient pas complètement rouges mais je pouvais sentir leur chaleur à travers ma peau. Je fus emportée par Bonaventure qui me rapprocha de lui une nouvelle fois, une main dans le bas de mon dos et une dans ma nuque pour que nous puissions réunir nos lèvres encore. Comme lorsque nous étions au cinéma, je passai mes bras autour de son cou pour pouvoir presque m’y pendre et embrasser à pleine bouche le garçon.

Quelques secondes plus tard, nos bouches séparées, nos regards plaqués l’un dans l’autre, nous profitions de ce moment aussi magique que magnifique. Un petit silence s’installa, ce n’était ni gênant ni étrange, mais bien reposant et juste le temps de reprendre nos souffles, Bonaventure brisa ce blanc particulier. Il se demandait ce qu’il nous arrivait mais ne voulait pas se poser de question. J’étais absolument d’accord avec lui ; Ça ne valait pas la peine de s’interroger autant. « On va dire que nous sommes deux jeunes gens à la recherche du bonheur… » Dis-je la voix basse tout en regardant mon ami avec des yeux mi-clos.

Mes lèvres se rapprochant des siennes, je me collais littéralement à Bonaventure tout en mêlant à ce baiser introverti ma langue agile. Je resserrai mes bras autant que je le pouvais, comme si je ne voulais plus que nous nous détachions, comme si je voulais que Bonaventure soit mien pour le restant de la nuit.

Tout à coup, je sentis quelque chose tomber sur mon visage, cela ressemblait à de la pluie. Alors, j’ouvris les yeux, décollant mes lèvres de celles du jeune homme et regardai vers le ciel bleu marine. Il commençait à neiger et immédiatement, un sourire se dessina sur mes lèvres. « Il neige ! » Mes yeux s’éclaircirent et brillèrent instantanément, j’étais comme une vraie petite fille découvrant la vie pour la première fois…

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Amanda & Bonaventure
Ils étaient finalement arrivés à bon port sans accident -chose dont se félicita le métisse qui voulait faire bonne impression auprès d’Amanda ; Depuis le temps qu’ils se connaissaient, ils avaient appris à s’apprécier et s’estimer en tant qu’amis mais à présent ? Ils apprenaient à se voir, à s’apprivoiser en tant que quoi ? Amants ? C’était tellement étrange pour Bonaventure mais il n’arrivait pas à regretter ce qui s’était passé ou ce qu’il se passerait entre eux cette nuit. Il voulait simplement la voir sourire, la sentir pleinement heureuse et confiante. Ce n’était pas évident de franchir une telle intimité, c’était un grand saut de l’ange mais malgré quelques appréhensions, Bonaventure en avait envie. « Oui, tu as tout à fait raison » lui répondit-il alors qu’elle se rapprochait à nouveau de lui pour l’embrasser, à son plus grand bonheur. Le jeune métisse la souleva légèrement dans ses bras, prolongeant ce baiser qui se révélait rapidement passionné. Puis, tout comme elle, il ressentit quelque chose de froid toucher son visage : de la neige.

« Quelle bonne surprise » murmura-t-il en offrant quelques secondes, son visage au ciel. Bonaventure adorait la neige, il trouvait cela magnifique. Amanda semblait toute aussi heureuse que lui et il laissa échapper un petit rire en voyant un flocon sur le bout de son nez. « Tu sais que tu es adorable ? » lui demanda-t-il avec un sourire tendre avant de lui tendre la main. « On va se promener et profiter de la neige ? »lui proposa-t-il. Les allées autour de la Quincy House étaient illuminées grâce aux lampadaires de quoi leur offrir une petite promenade romantique bien que fraiche. « A moins que tu aies trop froid ? »



   
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Le goût de ses lèvres me manquait déjà lorsque je le vis lever la tête. Il était émerveillé autant que moi devant cette couverture blanche qui commençait à tapisser le  ciel délicatement. L’air s’était nettement rafraîchi mais le spectacle n’en restait pas moins agréable. La présence du jeune homme amplifiait cet effet d’émerveillement et rien n’aurait pu gâcher ce moment on ne peut plus magique.

Je sentis un flocon se déposer sur mon nez et instinctivement, je fermai les yeux au même moment. Je reposai par la suite les yeux dans ceux du jeune homme tout en ricanant. Bonaventure déclara que j’étais adorable mais au fond de moi, tout me criait que c’était lui qui était adorable. « Merci mais si je suis adorable alors toi tu es vraiment trop trop mignon. » Je souriais à pleine dents et même si ce que je disais n’était pas vraiment argumenté, c’était sincère, j’espérais simplement que le jeune homme s’en rende compte…

Finalement, j’avais accepté son invitation qui consistait à aller nous promener sous la neige. Cela ne me dérangeait absolument pas et j’avais même l’impression que nous étions un couple affirmé et déjà un peu vieux jeu. « Non ça va, tu sais, je viens d’Oslo et là-bas les températures descendent parfois jusqu’à moins trente… Alors j’ai l’habitude et j’adore le froid. » Dis-je avant de commencer à marcher avec lui. Je ne savais pas vraiment si je devais lui prendre la main ou bien le bras… Notre relation pour le moment était étrange car je ne savais pas vraiment comment la définir. Etions-nous un couple ou bien juste deux amants à la recherche d’un peu de réconfort ou d’un peu d’affection… ? Marcher me faisait réfléchir et je me mis à me poser des tas de questions mais pour éviter que mon ami ne s’interroge, je pris son bras fermement et le tint durant notre promenade. « Tu viendras chez moi aux prochaines vacances, et comme ça, je pourrais te faire visiter ma ville natale. Je suis sûre que tu adorerais… » Dis-je tout en le regardant d’une manière totalement enjouée. Nous étions l’un à côté de l’autre et j’adorais sentir sa présence. Au fond, cela me rassurait et petit à petit, je m’accrochais un peu plus à lui, comme si je ne voulais plus que nous nous séparions…

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Amanda & Bonaventure
Le jeune homme déposa un léger baiser sur son nez, s’amusant de sa réponse. Cela faisait tellement longtemps qu’il ne s’était pas retrouvé dans une position aussi légère et intime avec une femme et par Allah que cela lui faisait du bien. Amanda agissait comme un baume sur son cœur meurtri et il espérait tant pouvoir en faire autant de son côté. Son regard pétillait et il n’y avait aucune présence de peur du moins c’était ce qu’il percevait. Aussi, pour profiter un peu plus de sa présence, il lui proposa une balade. C’était peut-être un peu vieux jeu, trop terre à terre mais le métisse était ainsi fait. Il aimait prendre son temps, partager avec l’autre. Les femmes devaient certainement le trouver trop gentil ; peut-être pour cela que malgré tout, il avait quelques difficultés à trouver une moitié dans cet univers où la consommation était reine. De nos jours, les couples se séparaient pour un rien. La fidélité était même devenue un concept has been tout comme le fait de faire la cour. C’était désuet et tellement dommage car qu’y avait-il de mieux que de séduire sa compagne ? De faire monter le désir, de voir son impatience la gagner au point de lui faire perdre toute concentration ? Bonaventure était un amant attentionné, doux mais aussi passionné. Il faut croire qu’il était l’explication même à l’expression : il faut se méfier de l’eau qui dort.

« Sinon tu me dis, je me ferais un plaisir de te réchauffer » plaisanta-t-il avec légéreté ne sachant pas s’il devait passer un bras autour de ses épaules ou de sa taille. Il y avait encore quelques hésitations autant de son côté que du siens, signe qu’il n’était pas aussi évident de passer du stade d’amis à quelque chose de plus fort, de plus intime. Amanda régla la question en prenant son bras. Fermement. Il tourna la tête vers elle, lui souriant avant de déposer un baiser sur sa tempe, posant sa main sur la sienne. « Ce serait avec plaisir ! J’ai toujours aimé voyagé alors si en plus, c’est en si bonne compagnie, je ne peux qu’accepter » lui répondit-il avec joie. Bonaventure était même plus que ravi. « Quand je vois la neige tomber, ça me fait presque regretter le chalet de mes parents. Depuis que je suis en âge d’être seul, j’ai toujours aimé passer quelques vacances. Il est au milieu de nulle part, perdu dans la forêt. J’adore y passer du temps ! Il y a une grande cheminée et quand il neige, c’est juste un cocon. Après les attentats, je m’y réfugiais pour retrouver un peu de paix. Cela me ferait plaisir que tu acceptes un jour d’y aller avec moi mais il ne faut pas avoir peur d’être loin de la civilisation. C’est vraiment coupé du monde » exprima-t-il son envie de passer du temps avec elle, dans une bulle. « Il commence à faire vraiment froid, on ferait mieux de rentrer »

   
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Marchant l’un à côté de l’autre, le temps s’était complètement arrêté. J’étais littéralement pendue au bras de Bonaventure mais pas seulement ; j’étais également pendue à ses lèvres. Il m’indiqua tout d’abord qu’il était d’accord pour venir jusqu’à Oslo... Ce qui me fit sourire et j’étais ravie qu’il accepte car je tenais énormément à ma ville natale. Il m’expliqua par la suite que ses parents possédaient un chalet et qu’il s’y était réfugié après les attentats. Puis ce fut à son tour de m’inviter puisqu’il me proposa de passer un moment avec lui, loin de tout et coupé de toute civilisation. Je resserrai mon bras contre le sien et tournai le visage vers lui. « Honnêtement, ce serait génial ! J’adore cette idée ! J’ai toujours adoré les chalets et tout ce qui se rapproche des vacances au ski. Bref, on s’organise ça et on se fixe une date. » Je lui souris encore plus et semblait ravie de ce qu’il était en train de se passer entre nous. Pour une fois, je ne me posais pas des tonnes de questions et tout était naturel entre nous. D’ailleurs, nous n’avions pas peur de nous projeter et nous organisions déjà des sorties ensemble, ce qui était, pour moi, très bon signe… Même si ce n’était pas encore très clair entre nous, nous savions que nous nous apprécions assez pour passer autant de temps ensemble.

Après une dizaine de minutes à marcher, un tapis blanchâtre s’était parsemé sur le sol et j’entendis Bonaventure commenter le froid qui régnait. Il était l’heure de rentrer et j’acquiesçai immédiatement, j’avais envie que nous nous posions sur le canapé et que nous discutions jusqu’au bout de la nuit, enveloppés dans une couverture avec un chocolat chaud… Je guidai le jeune homme jusqu’à mon studio et lorsque nous nous trouvions devant la porte, je sortis mes clé et ouvris, laissant à Bonaventure la possibilité d’entrevoir mon milieu de vie. L’intérieur était rangé, neutre et bien décoré. Je n’aimais pas le mélange des couleurs et le surplus de babioles. Alors, les murs étaient blancs et seule la décoration apportait une touche de couleur. « Bienvenue chez moi. Mais je crois que tu étais déjà venu, non ? » Je doutais quelque peu, je n’avais pas l’habitude d’inviter chez moi. Effectivement, c’était plutôt le contraire qui se produisait en général.

Je refermai derrière nous et invitai mon ami à retirer son manteau. « Donne-le moi, je vais le ranger. » Je lui souris tout en enlevant moi-même ma veste. « Voilà, fais comme chez toi… Qu’est-ce que je peux te servir ? Je peux te faire un très bon chocolat chaud si tu veux. » Dis-je d’un air totalement angélique. J’aimais recevoir et de ce fait, j’aimais donner à mes invités tout ce qu’ils voulaient et surtout, je voulais qu’ils soient le mieux possible. C’était un principe fondamental chez moi… « Assied-toi ! » Lui ordonnai-je tout en lui souriant.


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Amanda & Bonaventure
Finalement, le froid avait eu raison d’eux et Amanda l’avait conduit dans son petit studio. Bonaventure n’en oubliait pas le moins du monde sa réponse concernant le chalet. S’il n’avait tenu qu’à lui, ils y seraient allés dès le week-end prochain mais il craignait de montrer un enthousiasme trop débordant. Le jeune homme était toujours en train de tâtonner dans cette relation naissante et il s’était promis de prendre son temps, de voir où cette nouvelle complicité pouvait les mener. Une brève histoire ? Ou au contraire quelque de sérieux ? Le métisse n’en avait aucune idée et justement, c’est ce qu’il appréciait. Ils ne planifiaient rien, se laissant simplement aller en présence de l’autre. « Non il me semble que je n’étais jamais venu mais c’est très bien décoré. Tu dois te sentir bien ici non ? »lui demanda-t-il. Là où elle était organisée, lui était bordélique. C’était un de ses défauts, tout trainait dans sa chambre entre ses affaires de cours, ses nombreux dossiers d’enquêtes puis ses autres affaires… Le métisse commençait à vraiment manquer de place mais c’était ça de passer d’un appartement à une chambre en colocation.

Il enleva son manteau et lui donna. « J’aimerai bien un chocolat chaud mais dis-moi si je peux t’aider en quoique ce soit »lui répondit-il, n’étant pas habitué à rester les mains croisés à se faire servir. Il s’installa tout de même sur le canapé, attendant patiemment qu’elle revienne s’installer près de lui. Du coup, pour tuer le temps, il se mit à regarder autour de lui. Les murs étaient blancs et Amanda ne semblait pas une adepte de la surcharge de bibelots. « Quand je vois ton studio, je me dis que tu ferais une crise cardiaque en voyant ma chambre ! »rigola-t-il car en plus du bordel, les murs étaient surchargés de cartes, d’articles de journaux. Sa petite affaire de détective privée lui prenait beaucoup de place.

   
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