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La vie est un sommeil, l'amour en est le rêve et tu auras vécu si tu as aimé. ~ Bonaventure

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La vie est un sommeil, l'amour en est le rêve.
Nous étions enfin assis et nous commencions déjà à engloutir les popcorns que nous avions achetés. Le film n’avait pas encore commencé, à l’instant, il n’y avait encore que des bandes annonces et quelques pubs. D’ailleurs, Bonaventure m’expliqua qu’il n’était pas fan des publicités… Après tout, qui l’était ? Je le regardai avec un sourire, avalant les quelques sucreries qui ornaient encore le fond de ma bouche, et répondis : « Moi non plus je n’aime pas ça, mais c’est pas grave, ça nous laisse l’occasion de discuter… Et tu sais que j’adore discuter ! » J’avais insisté sur « Adore » pour appuyer mes mots et pour qu’il comprenne que c’était très important pour moi. A vrai dire, je préférais mille fois me promener dans la rue en pouvant discuter avec mes amis que d’aller voir un film au cinéma puisque là, les bavardages n’étaient pas du tout de mise. Le silence devait régner pour n’ennuyer personne. Mais dans ce cas bien précis, cela ne me dérangeait en aucun cas, je savais que nous allions passer la suite de la soirée à discuter, si, bien évidemment, mon ami était partant. Puis le film que nous avions choisi était l’un de mes films préférés alors je ne pouvais décemment pas refuser l’honorable invitation que Bonaventure m’avait faite.

J’étais un petit peu absorbée par les bandes annonces et regardais le jeune homme de temps en temps afin d’observer ses réactions. Cela nous donnait des idées pour les prochains films que nous pourrions aller voir… « Joy a l’air trop bien comme film… J’adore Bradley Cooper et Jennifer Lawrence. Je ne sais pas si tu as déjà vu Happiness Therapy mais il est génial. » Dis-je à mon ami lorsqu’une pub vint d’arriver.

Quelques minutes plus tard, le film commençait et j’étais déjà passionnée par toutes ces images et cette opulence que nous offrait la comédie. Julia Roberts était l’une de mes actrices préférées avec Kate Winslet… Elles avaient cette capacité à faire passer des émotions mieux que personne et c’était ce talent qui me plaisait énormément. Vivian était une prostituée et elle avait rencontré un homme riche dont elle était tombée amoureuse… Cela me rappelait vaguement ma situation mais tous les souvenirs qui comportaient ce genre d’images s’étaient complètement enfouies dans ma mémoire et j’essayais toujours tant bien que mal de les retenir loin de mes discussions.

Quelques fois, je plongeais ma main dans les popcorns en même temps que mon ami et je frôlais à de nombreuses reprises sa main. A chaque fois je le regardais en m’excusant mais je ressentais quelque chose de différent, c’était un peu comme si le contact de nos mains me faisait frissonner et rougir timidement alors que rien n’était censé mener à ce comportement. Je riais aux moments comiques du film et regardais de temps à autre Bonaventure qui avait l’air d’apprécier le film tout autant que moi…

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Amanda & Bonaventure
Amanda venait de lui signifier qu’elle adorait discuter en insistant sur le verbe et il la regarda avec un air amusé. « Pourquoi ça ne m’étonne même pas ? Les femmes sont des pipelettes » la taquina-t-il de bon cœur rien que pour la voir froncer des sourcils ou même râler. La jeune femme était un livre ouvert concernant ses émotions et Bonaventure appréciait cela. Il n’avait jamais trop aimé les femmes mystérieuses ou distantes. Il préférait de loin les bonnes vivantes car c’était ce qu’il était. « Mais je te pardonne parce que je suis un véritable moulin à paroles quand je m’y mets » ajouta-t-il en faisant preuve d’autodérision. Il n’y avait jamais de se moquer gentiment des autres mais encore fallait-il savoir rire de soi en premier. Malheureusement pour eux, il ne leur restait pas longtemps avant que le film ne commence et qu’ils doivent se taire par respect des autres spectateurs. Bonaventure était le premier à râler contre les gens qui parlaient ou qui regardaient leur smartphone. Pour lui, le cinéma, c’était sacré.

« Oui j’ai vu ce film.. N’empêche, j’espère pour eux qu’ils s’entendent bien vu le nombre de films qu’ils font ensemble ces dernières années… En tout cas, Joy a l’air prometteur. On pourrait peut-être aller le voir ensemble ? » lui proposa-t-il entre deux publicités. De tout de façon, il était certain de toujours passer un très bon moment en compagnie d’Amanda. C’était assuré ! Le film ne tarda pas à commencer et les Quincy furent plongés dans le noir tandis que les premières minutes du film commençaient. De temps en temps, Bonaventure piochait dans le carton de popcorn et par moment, sa main frôlait celle de son amie. Au départ, cela le fit sourire, s’amusant de cette coïncidence mais peu à peu, il se surprit à rechercher un contact plus poussé. Est-ce l’effet de la comédie romantique qu’il regardait ? Le métisse lui jetait de temps en temps des coups d’œil, appréciant de la voir rire. Lui-même ne pouvait s’empêcher de rigoler surtout lorsque Julia Roberts chantait dans son bain. C’était totalement faux mais tellement adorable en même temps. Au bout d’un moment, le popcorn s’épuisa et sans le vouloir, Bonaventure attrapa la main d’Amanda dans le carton. Il lui jeta un coup d’œil avant de mimer avec ses lèvres un « excuse-moi » muet en la relâchant presque à contrecœur.

   
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Bonaventure m’invita à aller voir le film dont j’avais parlé ensemble et à ce moment mon sourire s’éclaircit encore un peu plus. C’était une idée qui me plaisait et jamais je ne voulais refuser une invitation de cet ami qui était cher à mon cœur. « Oui bien sûr qu’on pourrait aller le voir ensemble. Je te rappelle quand même que tu es la personne avec qui je préfère passer mon temps, alors il me parait logique que ce soit avec toi que j’aie envie de le voir ! » Je lui souris une nouvelle fois, les yeux plissés comme pour démontrer la sincérité de cette émotion.

J’avais l’impression que quelque chose de nouveau s’était créé entre nous, un sentiment bien particulier que je n’arrivais absolument pas à définir. C’était une complicité, un lien fort qui commençait à nous unir et le simple fait d’avoir frôlé à plusieurs reprise sa main faisait battre mon cœur un peu plus vite qu’à l’accoutumée.

Le carton de sucreries était vide et Bonaventure avait pris accidentellement ma main. A ce moment, je le regardai, les lèvres entrouvertes comme pour montrer ma surprise et souris timidement lorsqu’il s’excusa. « C’est pas grave. » Dis-je d’une voix minuscule. Je repris ma main doucement et rejetai mes yeux sur la toile. Un frisson parcouru mon échine, c’était étrange, la sensation que la chaleur de sa main avait laissé sur ma peau me donnait le palpitant et j’avais comme le souffle coupé. Ma gorge devint sèche et je n’osais plus vraiment regarder mon ami dans les yeux. J’étais concentrée sur le film mais des tas de pensées parasitaient mon esprit. Peut-être que nous étions en train de chercher vainement un amour qui jonchait sous notre nez. Cette idée me fit rougir bien plus qu’à n’importe quelle autre pensée mais Bonaventure ne pouvait pas le voir et cela m’arrangeait très bien…

Vint la scène du baiser et je trouvais cela romantique à souhait. Les deux acteurs étaient magnifiques d’autant plus que Vivian n’embrassait jamais si cela n’était pas sincère. Je me retrouvais un peu en elle, à quelques choses près et à ce moment je me mis à regarder Bonaventure. Je ne savais pas réellement pourquoi mais l’idée que nous puissions nous aussi nous embrasser m’avait traversé l’esprit mais je mettais cela sur le compte de l’attraction que ce film avait sur moi. L’idée d’un bel amour naissant, d’une relation presque parfaite… Il était normal –ou presque- d’avoir ce genre d’idées. Puis finalement, je me mordis la lèvre tout en retournant mon visage vers l’écran… « Ils sont trop mignons… » Dis-je d’une voix affaiblie, peut-être pour essayer d’évacuer cette pression qui allait faire éclater mon cœur.

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Amanda & Bonaventure
Bonaventure était touché par ses propos. Qui ne le serait pas quand une amie vous affirmait être la personne avec laquelle elle préférait passer son temps. Le jeune homme attrapa sa main et déposa un léger baiser sur le dessus. « Merci, cela me touche ce que tu me dis et sache que c’est réciproque, j’aime beaucoup passer du temps avec toi » lui répondit-il en toute honnêteté. Amanda était le genre de femme qu’il aimait fréquenté. Elle ne se donnait pas des grands airs, ni ne jouait un rôle qui ne lui allait pas. Elle était adorable de bout en bout et il était difficile de ne pas l’apprécier. Le rendez-vous était pris, ils iraient voir ce film ensemble pour leur plus grand plaisir.

En parlant de film, le métisse commençait à se sentir drôlement troublé par son amie. C’était nouveau et pourtant, si naturel en soit. Il aimait sa présence et pour une raison obscure, il commençait à voir la femme au travers de l’amie. D’ordinaire, le jeune homme évitait d’aller voir au-delà de l’amitié avec ses proches pour éviter tout problème ou toute perte. Il n’était pas rare de voir l’amitié se transformer en amour mais rare étaient les amours à se transformer en amitié. Bonaventure ignorait donc ce qu’il se passait dans sa tête et dans son cœur mais il prenait de plus en plus de plaisir à frôler ses doigts dans le carton de popcorn. Aussi, lorsqu’il prit sa main par inadvertance, il ressentit l’envie de la garder au creux de la sienne, d’entremêler ses doigts aux siens. Toutefois, par égard pour Amanda, il la relâcha. Durant de longues minutes, aucun des deux ne trouva la force de regarder l’autre, comme si une gêne nouvelle s’était installée entre eux. Le film arriva au moment où Vivian embrassait son « prince charmant » et Amanda eut un petit commentaire très féminin qui le fit sourire. « Cela rendrait presque jaloux » murmura-t-il à son oreille avant de lui lancer un sourire à la fois tendre et amusé. Le jeune homme remua sur son fauteuil, posant son avant-bras sur l’accoudoir. Qu’est-ce qui lui prenait tout d’un coup ? Il s’agissait de son amie, d’Amanda.

   
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La vie est un sommeil, l'amour en est le rêve.
Troublée était là le mot le plus propice à ce que je pouvais ressentir à ce moment-même. Le baiser à l’écran m’avait rendue complètement étrange et attirée par le fait que je me trouvais en présence de Bonaventure qui, petit à petit, prenait une place plus importante au sein de mon cœur battant la chamade. Il fallait que je l’admette, il était en train de me faire de l’effet et cela, je ne pouvais absolument pas le contrôler. J’évitais son regard, j’évitais également d’être trop proche de lui, je me sentais perturbée par sa présence et par l’envie qui régnait au fond de mes entrailles.

Lorsqu’il chuchota à mon oreille que l’action des deux personnages rendrait presque jaloux, j’eus un léger sursaut, j’avais cru qu’il allait le faire, j’avais eu l’impression qu’il allait m’embrasser. Alors, je souris timidement, une fois de plus, et tournai le visage vers lui pour le regarder enfin. Il avait l’air tout aussi crispé que moi et cela me rendit encore plus stressée… Il fallait l’avouer, Bonaventure était beau et plaisant mais il s’agissait de mon ami… Je n’avais aucune envie de perdre cette relation car il fallait l’avouer, l’amour était impossible à transformer en amitié.

Le sourire qui arborait mes lèvres avait disparu, laissant place à l’interrogation sur mon visage. Je baissai les yeux tout en me raclant doucement la gorge, signe de mon angoisse et les relevai ensuite sur le film qui allait bientôt se finir. Je ne savais plus quoi penser de cette situation, c’était un peu comme si j’avais envie que quelque chose se passe entre nous mais que quelque chose me retenait. Je gardais les mains proches de moi et descendait les yeux sur celle du jeune homme posée sur l’accoudoir. Finalement, dans un élan tout à fait aveugle et sans arrières pensées, je déposais moi aussi ma main sur l’accoudoir, ne restant plus qu’à voir ce qu’il allait bien se passer.

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Amanda & Bonaventure
Amanda était toute aussi crispée que lui et si dans un sens, cela le rassurait, dans l’autre cela l’angoissait. Il connaissait sa peur si semblable à la sienne mais il ne pouvait nier que ce soir, il se passait quelque chose entre eux qui n’avait rien avoir avec de l’amitié. Et cela l’effrayait réellement. Cela faisait des années qu’il ne s’était pas retrouvé dans cette position et il devait admettre qu’il était un peu rouillé à l’exercice. Que devait-il faire ? Pousser vers cette attirance mutuelle au risque de perdre l’amitié de la jeune femme ? Une amitié si précieuse à son cœur ? Bonaventure avait déjà perdu Summer de cette façon et il craignait de réitérer l’épreuve. Seulement, Amanda et Summer étaient différentes, ce n’était pas la même personne, pas le même vécu et pas non plus la même attirance. Ce qu’il ressentait pour Amanda était tellement différent, c’était si discret comme une fleur qui avait attendu le bon moment pour fleurir loin de tous les tracas de la vie quotidienne.

Et sur le moment, il avait vraiment eu envie d’embrasser cette femme lorsqu’elle avait tourné la tête vers lui, comme attendant ou redoutant ce baiser. Il avait laissé sa chance passer, n’ayant pas eu le courage de gâcher la soirée à cause d’un geste équivoque. A la place, il avait remué sur son fauteuil pour trouver une position plus confortable mais aussi chasser sa nervosité alors… quand elle posa sa main non loin de la sienne, il vit en ce geste comme une invitation. Bonaventure avait l’impression qu’ils s’apprivoisaient tous les deux, comme deux animaux sauvages que la vie avait égratignés. Avec douceur, il effleura dans un premier temps sa main, ses doigts et prenant légèrement confiance en lui, il attrapa sa main au creux de la sienne, n’osant lui jeter le moindre regard. Il joua légèrement avec ses doigts comme s’il demandait par cette action, l’autorisation de lier leurs doigts ensemble.


   
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Les battements de mon cœur se rapprochaient de plus en plus, les cycles de ma respiration aussi et mes mains commençaient doucement à devenir toutes moites. L’amour, ce que j’en faisais, ce qu’il se passait, tout cela, j’avais l’habitude et pourtant, dans cette situation, c’était différent. Jamais cela m’était arrivé d’être autant attirée par un garçon que je connaissais et qui était mon ami. Je ne pouvais pas dire que cela était malsain car les envies qui nous habitaient indéniablement tous les deux étaient arrivées progressivement et j’avais l’impression que nous n’avions rien gâché. Après tout, était-il raisonnable de retenir nos envies ? J’avais comme principe de vivre au jour le jour et de céder à n’importe quelle de mes intentions car au final, nous n’avions qu’une seule vie et cette dernière valait la peine d’être vécue pleinement. J’avais également pour habitude de me poser des tonnes de questions et ainsi, me crisper sans jamais me laisser aller. Cette fois, c’était bien différent, l’envie était bien trop présente pour qu’elle ne s’enfouisse au fond de mon esprit et qu’elle ne resurgisse jamais.

Soudain, je sentis ses doigts frôler les miens mais cette fois, c’était intentionnel. Je me sentis encore plus troublée mais une sensation agréable m’envahie. J’avais le cœur et l’estomac qui se serraient mais ce n’était en aucun cas dérangeant car j’aimais cette impression. Mes yeux se baissaient une nouvelle fois et j’eus comme un petit moment de réflexion. Que devais-je faire ? Je n’en avais en réalité aucune idée. Alors, sans la moindre réponse, je tournai mon visage vers celui du jeune homme tout en passant mes doigts au-travers des siens pour refermer ma main sur la sienne. Les pupilles encrées dans les siennes je me mis à le fixer un petit moment avant de sourire délicatement et timidement.

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Amanda & Bonaventure
Bonaventure avait agi sur un coup de tête, n’ayant plus envie de réfléchir mais plutôt de se laisser porter par le mouvement, par son cœur. Cela faisait trois ans qu’il survivait, qu’il n’avait goût à rien pas même à l’amour. Alors que ce dernier frappait peut-être à sa porte, qui était-il pour l’ignorer ? Quelle raison mettre en avant pour nier cette attirance ? Cette tendresse qui se teintait progressivement de désir ? Il n’y avait aucune raison valable juste une appréhension, une peur, un blocage. Des complexes qui l’empêchaient depuis trop longtemps de savourer le simple fait d’être encore de ce monde. Il était peut-être temps qu’il réapprenne à sourire parce qu’il en ressentait l’envie et non pour donner le change. Il était peut-être qu’il se libère de ses propres chaines.

Amanda n’esquissa aucun geste dans un premier temps, mettant à mal cette nouvelle assurance, cette nouvelle prise de risque mais très vite il sentit ses doigts se lier aux siens. Bonaventure regarda sa peau laiteuse s’harmoniser avec la sienne avant de tourner la tête vers elle, plongeant dans son joli regard encore tout intimidé. Le jeune homme esquissa un sourire complice mais teinté de cette même réserve. Il n’était pas évident pour deux amis de se toucher, de s’apprivoiser de la sorte. Alors, lentement, il se pencha vers elle pour effleurer ses lèvres des siennes. Un baiser d’une telle légèreté que l’on pourrait douter de son existence. Un baiser délicat, sincère, respectueux. Un baiser qui signifiait tellement de choses comme je te comprends mais aussi tu m’attires. Un baiser délicat comme s’il craignait de s’imposer.


   
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Ma main se resserrait dans la sienne. Les sentiments s’épanouissaient lentement mais avec une certaine assurance. Mon cœur me le faisait ressentir et j’en étais sûre désormais, j’adorais ce contact timide, cette chaleur et ces émotions nouvelles. J’avais l’impression que quelque chose renaissait, un peu comme le Phoenix et ses cendres, l’impression que mon cœur arrivait de nouveau à aimer, néanmoins, cela avait été plus rapide que la dernière fois.

Désormais, nous recherchions le regard et la complicité. Il avait esquissé un sourire après le mien et son visage se rapprochait du mien lentement et pudiquement. Le souffle haletant, mes yeux commençaient à se refermer délicatement et je sentis par la suite ses lèvres frôler les miennes. Les paupières mi-closes, je l’observais quelques secondes, pensant qu’il avait été le plus doux des hommes, et finis par refermer les yeux. Mes doigts se mirent à serrer encore plus fort les siens et timidement je commençai à participer à ce baiser plus qu’appréciable. Mon corps se reprocha instinctivement de celui du jeune homme, voulant à tout prix un contact plus poussé… Ma main droite se rapprocha de son torse et se posa tendrement sur la jonction entre son cou et sa clavicule, venant se loger par la suite sur sa joue échaudée. On entendit le générique de fin débuter mais cela ne changea rien à notre position. Un petit rictus sur mes lèvres indiquait que l’envie de continuer était bien présente.

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Amanda & Bonaventure
Il pouvait sentir sa main douce se refermer davantage autour de la sienne comme si elle cherchait à le retenir, à lui faire passer un message. Pour sa part, Bonaventure ne souhaitait plus qu’une seule chose, goûter à la saveur de ses lèvres. Il céda à cette tentation par un simple effleurement comme demandant toujours et encore l’autorisation d’aller plus loin. Le métisse était un homme bourré de principes moraux, certains venant de la vieille école. En réalité, il n’oubliait pas la peur d’Amanda et il tentait de l’amadouer, doucement. De lui redonner confiance alors que lui-même prenait peu à peu de l’assurance. Les lèvres de son amie cherchèrent les siennes, approfondissant ce baiser. Bonaventure pu sentir sa main se poser sur son torse puis remonter doucement vers sa joue. Lui-même, de sa main libre, il se glissa à la naissance de ses cheveux, derrière sa nuque comme pour la faire doucement ployer en arrière afin de donner encore plus de profondeur à leur baiser, plus de sensualité. Les premières notes du générique de fin résonnèrent dans la salle de cinéma et la lumière se ralluma.

Bonaventure s’écarta quelques instants, déposant un chaste baiser sur ses lèvres rosies de leur précédent instant de plaisir. « Ils vont nous mettre dehors si nous ne bougeons pas » murmura-t-il dans un sourire sans pouvoir la lâcher du regard. Le métisse se sentait bien à cet instant précis et il n’avait nullement l’envie de la quitter. « Tu veux que je te raccompagne à la Quincy House ? » lui demanda-t-il. Vu l’heure tardive, il était inutile de songer à trouver un bar où ils pourraient avoir une once d’intimité. A nouveau, en attendant sa réponse, il céda à l’appel de ses lèvres, l’embrassant un peu plus longuement.

   
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