(malachy) ○ oops, we're stuck !

feat malachy && camille ✖ Camille ignorait comment les choses allaient se passer entre eux par la suite, ce n’était pas parce qu’ils semblaient avoir enterré la hache de guerre que cela signait réellement un arrêt de mots de pique. Enfin, il devrait le savoir rapidement, pour l’instant autant profiter de ce moment de calme surtout qu’il allait enfin pouvoir rentrer chez lui. il ne songeait plus qu’à une bonne douche chaude afin de détendre son corps qui ne devait pas être très joli à voir et spécialement son torse qui devait sans doute avoir des marques prononcées maintenant. Il se passa une main dans les cheveux avant de secouer les épaules. « Ça changerait que tu aurais plus de route à faire pour revenir, donc j’aurais refusé que tu m’accompagnes. » dit-il décidé. Il ne voulait pas qu’il fasse plus de trajet que nécessaire même si une présence dans son état était toujours bien. Il manquerait plus qu’il s’évanouisse en pleine rue, à cette heure-ci nul doute qu’il aurait le temps de souffrir pour être secouru. Puis, il se renseigna un peu sur le jeune homme, sa curiosité l’emportant sur le reste. « Et c’est bien là-bas ? » Camille ne faisait partie d’aucune confrérie, aucune d’elle ne lui avait plu à son arrivée puis il préférait largement être discret plutôt que de se mêler à une foule de gens. Le jeune homme marchait, une main posée sur son flan, les douleurs étaient revenues à force mais il faisait de son mieux pour masquer ça. De toute façon, il apercevait déjà son immeuble au loin. Il n’aurait plus qu’à faire quelques mètres avant de grimper dans un ascenseur et de se retrouver devant son chez lui.

Please, not him, not this!.

Les choses ne tournent jamais comme on l'aurait imaginer. C'est ce qu'on appelle : la vie. Pratique pour contrarié tout les plans prévues, et vous mettre dans des situations à la con, au moment où vous le voudriez le moins. Un peu comme Camille, il faisait ce qu'on voulait pas quand on voulait pas. Ou alors c'était la vie qui faisait que Camille était ainsi? Un peu compliqué tout ça. Maly lui jeta un regard en coin, avant de soupirer. «Tu peux refuser ce que tu veux, ça m'empêcheras pas de faire ce que je veux.» Ce qui en soit appliqué à ce moment précis semblait adorable, mais appliqué à plein d'autre chose, pouvait sembler beaucoup moins adorable. D'ailleurs il rajouta fixant Camille d'un air désapprobateur. «Et puis c'est bien connu c'est moi qui suis dans un sale état.» Il marchait aux côtés de Camille, jusqu'à l'endroit où le brun s'arrêterait. Marcher la nuit ne dérangeait pas le blond, il était habitué à se promener quand le soleil dormait, et ne craignait pas les ombres. Pour le moment, il profitait de ce calme entre eux, pour discuter, du moins répondre aux questions du brun, Blondinet n'ayant pas de question à l'esprit, comme les trois quart du temps. «Super, si tu adores les fêtes tout les soirs, avoir des voisins stones, ou complétement déchirés, c'est très agréable, la liberté.» Maly se fichait du chemin à parcourir, ça ne le gênait pas, même si un bon dodo ne serait pas de refus dans pas longtemps.

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(Invité)

feat malachy && camille ✖ Comme quoi être enfermé dans une bibliothèque pouvait permettre aux gens de changer d’avis sur une personne, avant il détestait l’idée même d’être en présence de son ancien petit ami alors que là, il la tolérait. Phénomène vraiment étrange sachant qu’il l’avait tout de même tabassé juste avant mais ce n’était qu’un détail. Puis, qui sait peut-être que demain, il regretterait d’avoir discuté aimablement avec lui en voyant l’état de son corps face au miroir de sa salle de bain. « Très bien, je vois que monsieur est décidé alors je ne vais rien dire. Tu fais ce que tu veux. » dit-il en secouant les épaules. Même s’il faisait le type que cela dérangeait, après tout cela lui faisait faire un sacré détour, il était plutôt content d’avoir quelqu’un avec qui discuter. Cela lui permettrait de se focaliser sur autres choses que ses sombres pensées. « Mais tu as de quoi calmer la douleur ? Sinon, je peux t’en filer ? » Après tout, c’était la moindre des choses, il était responsable des blessures de Maly même si c’était de l’auto-défense. Tout en marchant en direction de son logement, il discutait de tout et de rien avec le blond et il roula les yeux faces à ses paroles. « Je vois, ce n’est sûrement pas dans cette confrérie que j’irais l’année prochaine si je décide de changer d’avis là-dessus. » C’était un étudiant banal et cela lui convenait. De toute façon, les fêtes, ce n’était pas son genre. Il mit ses mains dans les poches avant qu’ils n’atteignent son immeuble, enfin se dit-il.

Please, not him, not this!.

Maly était quelqu'un de plutôt compliqué. En fait, il était simple, mais avait toujours l'air un peu étrange. De toute façon tout était compliqué, suffisait de voir sa relation avec Camille, ou son absence de relation? A vrai dire, Maly était pas sûr de savoir comment définir ça. Ils ne se supportaient pas, et voilà qu'ils discutaient de tout et de rien. Probablement pas très longtemps, quand Camille réalisera réellement ce que Malachy lui a fait, il y a fort a parier qu'ils n'auront plus du tout de relation. Mais le blond n'y réfléchissait pas tant que ça, il avait plein de choses en tête, l'argent étant son principale soucis à cet instant. «Tu fais bien.» Maly lui adressa un petit sourire, même si on est pas sûr de voir grand chose quand il fait sombre. Lui ça allait très bien, enfin, c'était pas la super forme, mais à part le sommeil, l'envie d'en griller une, et de boire un verre, rien à signaler. «Non je vais bien, j'ai vu pire t'inquiètes pas.» La fin de sa phrase, était un peu perturbante. Depuis quand Camille s'inquièterais de quoi que ce soit le concernant? Maly fallait faire des phrases plus soft. Il lâcha un soupire, regrettant la position en tailleur de tout à l'heure. «Je ne te vois pas dans une confrérie. Aucune ne t'irai bien. Tu sais il sont pas méchant, ils sont un peu fou, et parfois ils manquent de cervelles c'est sûr, mais ils sont drôles, vivant, libre. Ils sont les badass de la fac.» Maly avait vraiment trop l'impression de parler des "Audacieux". libre, sauvage, aventureux. En fait a peu près tout ce que Maly n'avait jamais eut.

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(Invité)

feat malachy && camille ✖ Camille n’avait pas pu s’empêcher de lui demander si ça allait, même s’il avait souhaité juste se défendre, il ne connaissait guère l’état dans lequel se trouvait actuellement le blond. Et il était hors de question qu’il lui demande aussi franchement. Il voyait mal Malachy lui montrer, il serait plus du genre à l’envoyer promené. Puis, lorsque celui-ci affirma qu’il allait bien, il fit une petite moue septique. « Si tu le dis sinon ça ne m’aurait pas dérangé, mais bon encore une fois tu fais comme tu veux. » répondit-il avec un haussement d’épaules. S’il avait envie de souffrir, tant pis pour lui au moins Camille se soulageait un peu la conscience en lui proposant son aide. « Je ne sais pas comment je dois le prendre ça… Il y en a peut-être une qui m’irait, on ne sait jamais. Tu penses vraiment me connaître assez pour affirmer ça ? » Il n’avait pas dit ça méchamment, non au contraire, il était curieux de connaître sa réponse. « Les badasses vraiment ? Vu la description que tu me donnes, j’ai plus l’impression que ce sont les timbrés de la fac sans vouloir te vexer. » Les mains dans les poches, il vit son immeuble s’agrandir au fur et à mesure qu’ils avançaient et une fois devant, il jeta un coup d’œil à la porte d’entrée avant que son regard ne se pose de nouveau sur le jeune blond. « Et bien, voilà, c’est chez moi, je n’ai plus que les étages à monter, donc je pense pouvoir m’en sortir. » Il ne savait pas quoi dire d’autres, il se mordilla la lèvre. Peut-être qu’il allait le regretter – sûrement d’ailleurs – mais il lui demanda. « Tu veux peut-être monter ? »

Please, not him, not this!.

Les bastons, c'étaient une chose que Maly avait l'habitude, avant. Depuis qu'il était ici, il essayait vraiment de ne pas y être trop mêler, question de business. Maly n'avait rien, pas de famille riche, et c'est pas avec un emploie dans un fastfood qu'il allait pouvoir survivre pendant l'année et payer les droits scolaires. Il n'avait que lui, que son corps. Et il fallait en prendre quand même un peu soin. Alors les bleus faillaient oublier, comme les bastons. Il avait péter un câble ce soir, et il s'en voulait pour ça. Même si il ne le dirait pas à Camille. Avec le blond fallait comprendre entre les lignes, sinon vous pouviez mourir en attendant qu'il s'exprime. Il roula des yeux, il en avait marre d'entendre "Comme tu veux" sortir de la bouche du brun. Il ferma sa bouche, ne voulant pas faire de commentaire à ce sujet. Et voilà Camille qui lui demandait si il le connaissait vraiment. Maly lâcha un soupire. «T'es pas un Quincy, t'es gentil et pas violent, mais tu penses pas assez aux autres pour ça. Évidement, Mather est trop sauvage pour toi. T'es pas une fille, donc pas Cabot. T'es pas vraiment artiste non plus, alors les Lowel tu peux oublier. T'es pas aussi coincé du cul que les bleus ni prétentieux, même si parfois t'es aussi chiant. J'ai pas l'impression que tu sois le genre à vouloir te taper toutes les meufs ou mecs, alors les Winthrop c'est pas trop ton style. Il reste quoi? Ah oui. Dunster... Je suis pas convaincu que tu serais bien là-bas. Ils font que bosser, parler de cours, parler de livre... Quoi que.. peut être à la Dunster, mais pas ailleurs..» Maly ne trouvait pas que Camille était fait pour les confréries. Il était bien trop solitaire, du moins il le semblait, pour pouvoir supporter vivre dans une maison pleine de gens, en effervescence tout le temps. «.Ca a toujours été les timbrés les plus libres.» Le temps passait trop vite quand on s'amusait, qu'ils étaient dejà devant l'immeuble de Camille. Camille était arrivé à sa maison. Ils allaient se séparer, Camille était prêt à monter, et Maly prêt à partir, enfin pas vraiment, il aurait préféré ne pas le laisser seul tout de suite. Quand Camille lui demanda si il voulait peut être monter, bien trop rapidement il s’entendit répondre «Oui. » Il fit un petit sourire taquin, avant de s'empresser de rajouter. «Je voudrais pas que tu restes coincé dans les escaliers si près du but.» Alors que sa pensée était toute autre.

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feat malachy && camille ✖ Pour Camille, c’était tout le contraire. Lui, s’il pouvait éviter les conflits, il faisait de son mieux pour y parvenir. Il n’aimait pas arriver à cet extrême et il n’utilisait la violence que lorsqu’il en avait vraiment besoin. Comme aujourd’hui par exemple. Peut-être que certains le traiteraient de fillette parce qu’il refusait de se battre mais pour lui, la violence n’arrangeait pas les problèmes. Quoi que dans leur cas, cela avait eu le moyen de les calmer et qu’ils se parlent sans se jeter de piques à la tronche. Mais pour combien de temps, c’était la question que tournait en boucle dans sa tête. Il fallait s’attendre à tout avec le jeune blond. Puis, il l’écouta faire son monologue sur les différentes confréries, secouant la tête pour montrer qu’il l’écoutait encore même s’il avait par moment des difficultés à suivre son raisonnement. Puis, pour être franc, il ne s’attendait pas à ce qu’il lui fasse un tel discours. « Ok.. » dit-il encore un peu sous le choc. « Tu dois sûrement avoir raison mais bon, on ne sait jamais. Peut-être que d’ici l’année prochaine, j’aurais changé et l’une d’elles me conviendra mieux que maintenant. Mais merci de ton avis, au moins j’ai pu apprendre ce que tu pensais de moi.. » Camille secoua les épaules avant de ricaner à ce que Malachy venait de dire, pour le coup, il n’avait pas tord. « C’est certain, quand on est considéré comme timbré, on peut tout se permettre sans se soucier des autres. » La liberté d’agir, de faire ce qu’ils souhaitaient sans se soucier des conséquences, cela pouvait être bien mais ce n’était pas dans le style du jeune homme. De toute façon, il était bien trop réservé pour se permettre d’agir comme un timbré parmi une foule de gens autour de lui. Il risquerait de devenir aussi rouge qu’une tomate et limite de faire un malaise. Puis, ils arrivèrent enfin devant l’immeuble de Camille et il soupira de soulagement. Et il ne sut pourquoi – sûrement la folie cachée en lui – il proposa à Maly de monter. Il s’attendait à ce qu’il refuse, après tout il devait avoir hâte de rentrer chez lui. Ses yeux s’ouvrir un peu plus quand il entendit un oui avant de rouler des yeux à ses paroles. « Très aimable de ta part de te soucier de ça même si j’ai plus de chance de rester coincé dans l’ascenseur. Je n’ai pas la force de monter les marches aujourd’hui. » dit-il avec un léger sourire en poussant la porte d’entrer du hall et d’actionner le bouton pour appeler la machine.

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Please, not him, not this!.

Maly aimait les Mather. Ils étaient sa famille, son foyer. Il y avait toujours de l'ambiance, toujours quelqu'un à qui taxer une bouteille d'alcool, toujours quelqu'un de réveiller dans la maison. Il s'y sentait mieux que chez lui. Il n'aimait pas la solitude, il faut dire, il avait trois frères, la maison était loin d'être vide et silencieuse en Irlande. C'était sûrement une chose qui lu manquerait énormément, l'animation, si il quittait les mathers. Il jeta vaguement un oeil sur Camille.
Je t'ai jamais caché ce que je pensais toi.
Et il passa sur le reste. Ils n'avaient pas vraiment la même vision des choses. Et puis Maly aimait la liberté, c'était à peu près la seule chose à laquelle il tenait réellement, même si il avait bien du mal à l'expérimenté dans tout les aspects de sa vie. Maly ne se fichait pas des conséquences, mais préférait ne pas en tenir compte sur l'instant. après il assumait. C'était sûrement pour ça qu'il semblait louche, a nettoyer après une blague ou ce genre, il avait conscience des conséquences, et prenait ses responsabilités, Maly était quelqu'un de responsable, parfois il était fiable mais bon fallait pas lui en demander trop. Voilà, il avait accepter, trop vite, de traîner un peu plus avec Camille. Pourquoi ? On saura probablement jamais, on mettra ça sur le coup de "Maly voulait profiter de Camille pas chiant". Il lui fit un petit sourire. «Tu me connais, je suis tellement serviable. J'étais prêt à te porter jusqu'à chez toi, enfin l’ascenseur c'est mieux. Mais alors j'espère que cette fois on y restera pas coincé toute le restant de la nuit.» Bah quoi, avec Mr-La-Poisse, avec un grand P, on était pas sauvé. Même si en vrai, ça lui déplairait pas d'être coincé dans l’ascenseur avec Camille, du moins, ce Camille pas chiant, même si combler le temps est parfois très long...

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feat malachy && camille ✖ Lorsqu’on lui avait proposé de rejoindre une confrérie, Camille avait pris soin d’y réfléchir avant. Puis finalement, il s’était dis qu’il allait attendre encore un peu, après tout il n’était qu’en deuxième année et il avait le temps de découvrir l’avant du décor de Harvard. De toute façon, comme l’avait si bien dis Malachy, les confréries existantes ne semblaient guère lui correspondre alors il avait sans doute bien fais de devenir un simple Student. Surtout que cela ne l’empêchait guère de parler avec d’autres étudiantes faisant partie de telle confrérie Il était peut-être à l’écart mais il s’en moquait bien. Camille voulait juste profiter de ses études pour bosser à fond et qu’on le laisse tranquille. Le jeune homme se passa une main dans les cheveux alors qu’ils étaient enfin arrivés devant chez lui, par politesse ou par gentillesse – c’est au choix – il lui proposa de monter. Néanmoins, il ne s’attendait pas vraiment à ce qu’il réponde oui, il aurait plus cru qu’il lui aurait balancé au visage qu’il avait mieux à faire ou qu’il voulait rentrer chez lui. A croire que c’était la surprise ce soir. Sauf s’il avait accepté juste parce que Camille lui avait proposé ? Il secoua la tête afin de chasser toutes les questions qui se bousculaient dans son esprit. Cam’ ne put s’empêcher de rire en écoutant ses paroles, secouant la tête presque désespéré par son comportement. « Je vais me passer de ce service, je peux encore marcher, merci bien ! Tu aurais mieux fais de te taire, maintenant tu vas nous porter la poisse, du coup toi tu vas monter les escaliers et moi l’ascenseur, comme ça l’un de nous pourra secourir l’autre si jamais y a un malheur qui arrive. » dit-il avec un petit sourire. Non, il ne voulait pas être de nouveau enfermé dans une pièce en sa compagnie surtout qu’entre un ascenseur et une bibliothèque, il y a une sacré différence de taille.

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Please, not him, not this!.

Soirée bizarre. C'était comme ça des fois, fallait pas chercher à comprendre, ou réfléchir dessus. Maly prenait les choses comme elles venaient, il était trop tard pour réfléchir, et Maly n'avait pas eut assez de nicotine pour que son organisme se sente suffisamment bien. Il se contentait de raccompagner sagement Camille, après ce qu'il lui avait fait, c'était pas la mer à boire. Et puis Maly avait envie de rester un peu avec lui, ça fait du bien des fois de pouvoir parler à quelqu'un qui connaissait certaines choses chez lui. Parfois c'était étrange mais là non. Il écouta Camille rire à ce qu'il disait, et il ajouta. «.Heureusement, je pense qu'on aurait pas dépasser la troisième marche si tu veux mon avis. Tu es trop lourd.» Maly fit un petit sourire fier de lui, avant de se glisser en premier dans l'ascenseur. Il regarda Camille, toujours fier de lui. «.Tu disais? Je compte pas monter les marches, mais je t'en pris sens toi libre de prendre les escaliers si tu veux pas être dans le même ascenseur que moi.» Maly avait trop la flemme, rien que de penser aux marches. Non merci. Et puis si Camille voulait se débarrasser au plus vite de Maly, l'ascenseur était plus recommandé. Au moins le blond ne risquerait pas de s'effondrer comme une merde chez Camille. Pis soyons honnêtement, qui prend les escaliers quand un ascenseur est à vôtre disposition? Pas Malachy en tout cas...

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(Invité)

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