(malachy) ○ oops, we're stuck !

feat malachy && camille ✖ Camille faisait actuellement sa deuxième rentrée à Harvard et le moins qu’on puisse dire, c’était que les profs ne perdaient guère de temps à donner des dossiers à rendre à leurs élèves. A croire qu’avec les vacances, ils étaient devenus encore plus sadiques et voulaient déjà épuiser leurs étudiants afin de leur montrer que cette année allait être encore plus difficile que la précédente. Mais Camille n’allait pas se démotiver par ça, il voulait vraiment réussir ses études et faire le métier dont il avait toujours rêvé. Quitte à passer ses jours et ses nuits devant l’écran de son ordinateur afin de pouvoir rendre un devoir digne de ce nom. Et c’était ce qui était entrain actuellement de se passer. Le jeune homme se trouvait dans la bibliothèque du campus, il n’avait pas eu le choix. Son ordinateur était tombé en panne et il fallait absolument qu’il finisse de taper son dossier. Par chance, quand il était arrivé, il y avait une place de libre et il s’était presque précipité dessus, branchant sa clé usb et ne faisant guère attention aux personnes qui étaient déjà à l’intérieur. De toute façon, Cam’ était quelqu’un de très discret, il avait un petit groupe d’amis et cela lui suffisait. Il n’avait pas besoin de connaître tout le monde pour être heureux. Il se passa une main dans les cheveux, soupirant légèrement. Il jeta un bref coup d’œil à sa montre et s’étirant, étouffant un bâillement. Il allait bientôt devoir rentrer chez lui. Il se frotta les yeux puis remit ses lunettes avant de s’arrêter et de faire une légère moue boudeuse. Il avait dû oublier d’écrire quelques renseignements sur ses feuilles de brouillons parce que ses notes étaient illisibles. Il soupira avant de se lever et d’aller naviguer entre les différents rayons. Par chance, il connaissait bien l’endroit et il trouva rapidement le livre qu’il souhaitait. Il le feuilleta, ne prêtant guère attention au monde qui partait ainsi qu’à la responsable qui se levait de son bureau et enfilait sa veste.

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Please, not him, not this!.

C'était la huitième année que Malachy fréquentait ses lieux. Harvard était devenue sa maison. Et on pouvait aisément dire que les mathers étaient sa famille. La maison et sa famille d'origine étaient bien loin, tant physiquement, que psychologiquement. A vrai dire, si Malachy avait décidé de prendre une université à l'autre bout du monde, bien que sa raison première était de fuir l'objet de son penchant sexuel, le fait de s'émanciper d'une famille connu dans le quartier et d'être libre de faire ce que bon lui semblait, était non négligeable. Beaucoup attendait d'un bon mather d'être insouciant, de faire des fêtes, boires, se droguer et coucher avec n'importe qui. Et en soit, Maly était un bon mather, mais pour lui, les notes étaient importantes, ses études étaient précieuses, et suffisamment chère pour qu'il se trouve dans cette bibliothèque en ce jour. Maly était un peu caché aux yeux du monde, préférant être assit dans l'allée des bouquins de psychologie. Il resta un long moment assit parterre en tailleur à lire, essayant de ne pas prêter attention aux gens. Quand quelques temps plus tard, se rendant compte que l'inactivité de personnes dans son rayon, il se leva, livre en mains, et alla jeter un oeil aux environs. personne ne semblait être là, et en vérifiant l'heure sur son portable, il crut comprendre que tout le monde était partie. M'enfin, si ils étaient partis, ils auraient prévenus, et Maly aurait été au courant non? Peut être qu'il n'avait rien entendu, à vrai dire peu importait, il lâcha un soupire sonore, et se dirigea vers la prote, essayant de l'ouvrir. Apparemment sans grand succès, il soupira une nouvelle fois, et attendit. Sait-on jamais si la porte acceptait de s'ouvrir dans quelques minutes comme par miracle... Pour l'instant, il restait collé aux portes essayant de ne pas s’énerver.

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feat malachy && camille ✖ Camille avait encore plusieurs années ici avant de pouvoir vraiment songer à son avenir mais cela ne l’empêchait pas de travailler déjà d’arrache-pied pour avoir des notes plus que correctes. Mais il était loin d’être un monsieur je sais tout, un petit intello à qui on aurait envie de donner des baffes parce qu’il faisait son intéressant. Loin de là, Cam’ s’installait toujours au fond de la salle et ne répondait qu’aux professeurs que lorsqu’ils l’interrogeaient. Il n’était pas très à l’aise avec les gens, du moins avec ceux qu’il ne connaissait pas. Le jeune homme soupirait en feuilletant toujours le bouquin en quête de l’article qu’il recherchait. Il aurait du le noter quelque part mais il avait sûrement dû être interrompu par quelqu’un quand il avait rédigé ses notes. Camille entendit vaguement la porte se fermer mais il n’y prêta pas plus attention que ça. Après tout, cela pouvait très bien être un étudiant qui quittait la pièce. Quelques minutes plus tard, il referma d’un coup sec le livre et se dirigea vers son ordinateur. Ce n’était pas dans ce livre qu’il trouverait la réponse à ses questions. Il fut surpris de voir qu’il n’y avait personne d’autres aux ordinateurs, c’était surprenant. Camille jeta un bref coup d’œil à sa montre et se dit qu’il était temps pour lui de partir d’ici et de rentrer enfin chez lui. Il rangea en vitesse ses affaires, prenant grand soin d’enregistrer son travail avant. Il mit son sac sur le dos et se dirigea vers la sortie, il ne put s’empêcher de soupirer en voyant la personne devant celle-ci. Il serra un peu plus la lanière de son sac à dos et s’arrêta, les bras croisés. « Pardon, tu peux t'écarter ? J’aimerais bien sortir. » dit-il en attendant que celui-ci se décale pour qu’il puisse quitter cet endroit. Il se demandait bien pourquoi il restait là d’ailleurs.

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Please, not him, not this!.

C'était pas forcément une super journée. Et vous savez ce qui est pire? Être enfermé dans une bibliothèque était sur la liste. Le fait d'être entouré de bouquin ne le dérangeait pas. Mais ça voulait dire, pas de nourriture, et un endroit peu confortable pour dormir. En soi, rien de réjouissant. Maly était là collée à cette foutu porte en espérant que les cinq malheureuses minutes à attendre allait déverrouillé cette serrure. Ah si jamais il avait eut une baguette magique il aurait pu tenter quoi que ce soit. Il soupira une nouvelle fois en pensant à tout ça, pile quand une voix, et pas n'importe laquelle, le tira de ses pensées moroses. Voilà, il y avait pire que d'être dans cette bibliothèque coincé comme ça, il était là, avec lui. Une des personnes dont Maly se serait bien passé. Encore un Eliot tout pourri, y'avait moyen de se lancer des insultes, voire d'en venir aux mains, mais là ça allait être épuisant. Il roula des yeux, déjà agacé par la situation. Il se retint de faire un commentaire désagréable, et se poussa, mais ajouta quand même. «Vas-y, si tu peux..» En vrai ce qu'il avait envie de lui dire était beaucoup moins plaisant. Certes aucun mot vulgaires n'y figurait mais ça n'empêchait pas. Maly savait parfaitement être désagréable. Au lieu de ça, il sauta sur le bureau de la bibliothécaire et s'assit bien sagement pour regarder Monsieur-je-fais-tout-bien-et-je-suis-parfait, se prendre un vent de la porte. Dommage qu'il manque les pop-corns...

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feat malachy && camille ✖ Camille s’étonnait que tout le monde soit parti d’un coup, soit ils avaient tous disparu d’un coup et c’était un signe des extraterrestres soit il était sourd et il n’avait rien remarqué trop plongé dans son bouquin. La deuxième proposition semblait être la plus probable. Il rangea en vitesse ses affaires et lorsqu’il se dirigea vers la porte de sortie. Il le vit. Malachy. Sa gorge se serra et il voulut sortir encore plus rapidement. Il n’avait aucune envie de lui adresser la parole, il était devenu un étranger à ses yeux. Pourquoi il avait fallu qu’il tombe sur lui ? Sur toutes les personnes étudiant à Harvard, c’était lui qu’il avait croisé. Décidément, il était clairement maudit. Il soupira avant de lui demander de se pousser. Quand il s’écarta, Camille ne put s’empêcher de soupirer passer à ses côtés, l’air de rien. Il ne prêta plus attention à lui alors que sa main se posait sur la clenche. Il se figea quand il réalisa que la porte était fermée à clé. Il ne put s’empêcher de se coller le front contre la porte en soupirant bruyamment. Ce n’était pas son jour, il semblerait. Il était presque tenté de donner un coup de pied dans la porte mais la présence de Maly l’en empêchait. Il fallait qu’il garde son calme. Il se retourna vers lui, essayant de contenir la panique qui lui nouait le ventre. « On est enfermé.. » Cette réalité l’assomma presque et il se laissa glisser contre la porte. « Quel idiot..., tu ne sais pas comment on pourrait sortir par hasard ? » Après tout, il était là depuis plus longtemps que lui.

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Please, not him, not this!.

A les regarder tout les deux, on penserait pas qu'ils avaient été ensemble à un moment donné, d'ailleurs pas tellement éloigné. C'était drôle comme les choses semblaient toujours changés à une vitesse folle, sans vraiment que qui ce soit s'en rende compte. Ce type, énervait Maly. Bon des types qui énervaient Maly c'était pas dur d'en trouver. Mais bien que Camille n'était pas un Eliott, il avait tout de cette aura de Monsieur-je-fais-tout-bien-et-je-suis-parfait, qui agaçait le négligé bruyant et pas vraiment discipliné Malachy. Et quand Captain Obvious affirma qu'ils étaient enfermés, d'une voix désagréablement cynique, Maly lâcha. «Non, tu crois?» Chez n'importe qui d'autre, on penserait que cette attitude était fait exprès pour mener à la confrontation, mais chez Maly c'était juste sa façon d'être, et de faire avec l'agacement d'avoir le stéréotype de l'homme parfait sous les yeux. Maly déteste les gens "parfait" qui se reprochent jamais rien. Maly était lancé. «Tu me demandes ça parce que... J'ai la tête de quelqu'un qui se fait souvent enfermé dans une bibliothèque ? Ah non je sais! Je suis un vilain Mather alors forcément je sais crocheter une serrure. Hey Camille, files moi une de tes pinces à cheveux! Ah zut t'en a pas!» Maly roula des yeux. Il avait envie de se mettre à fumer, mais c'était une mauvaise idée, il avait pas envie d'être coincé dans cette bibli avec lui, et trempé en même temps! Non pitié, ça serait pire de voir Camille trempé. Maly se massa nerveusement le front de la mains droite, il avait vraiment besoin d'un verre pour supporter cette conversation.

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feat malachy && camille ✖ Camille n’arrivait pas à le croire, il se retrouvait enfermé dans la bibliothèque. C’était bien la première fois que cela lui arrivait et il aurait bien aimé que cela ne soit jamais le cas. Certes, il était un peu rassuré de voir qu’il n’était pas seul – passer la nuit dans cet endroit en solitaire lui donnait un peu la chair de poule – mais en voyant la personne qui s’était aussi fais coincé, il aurait peut-être préféré. Il soupira une nouvelle fois, ils allaient faire comment pour sortir ? Parce qu’il ne se voyait pas le supporter toute la nuit, ils ne s’étaient pas quittés en très bons termes et son comportement avait le don d’agacer le jeune homme. Il ne put s’empêcher de lever les yeux au plafond en l’entendant parler, cela commençait déjà. Es ce qu’il aurait des ennuis s’il l’assommait avec un livre ? La tentation de le faire était vraiment très grande bien que Cam soit quelqu’un de non violent de nature. « Pfff.. arrête tes conneries, tu veux bien ? C’était juste pour savoir s’il n’y avait pas une sortie de secours parce que pour toi, je ne sais pas mais je n’ai pas envie de passer la nuit ici. Et encore moins avec toi donc que tu sois un Mather ou autre chose, je m’en moque pas mal. » dit-il en l’incendiant du regard. S’il avait une pince à cheveux, nul doute qu’elle ne lui aurait pas servi à décrocher sa serrure. Malachy avait le don de le faire sortir de ses gongs. Le jeune homme se passa une main dans les cheveux. Il fallait qu’il sorte à tout pris de là. Il se redressa et essaya plus fortement d’ouvrir la porte.

(Invité)

Please, not him, not this!.

C'est ça le problème avec les Ex, c'est qu'ils avaient beau faire partie du passé, il fallait toujours qu'ils reviennent au mauvais moment, ou du moins, revenir tout court, ça ça enervait Maly. Il faut dire que leurs relation s'était plutôt mal finie, et Maly bien qu'étant insupportable, n'avait pas spécialement envie de sauter sur Camille pour lui refaire le portrait; Sûrement parce qu'ils avaient partager une chose, un jour. Assit sur le bureau de la bibliothécaire avec son livre de Psycho entre les mains, il essayait ne pas regarder Camille, parce que rien que de le voir, ça avait le don de l'énerver, sûrement parce que Maly se sentait fautif. A force de se faire enquiquiné de pas s'assumer, il fallait bien a un moment qu'il culpabilise pour ça. Maly se retint de lui jeter le bouquin en pleine face, même si ça pourrait être un jeu drôle, de voir Camille esquiver une pluie de bouquin, il soupira, regrettant vraiment la présence d'un verre ou d'une clope.«.Encore une fois, j'ai pas la réputation de me faire enfermé dans les biblio. »Il faudrait vraiment que Maly soit plus sympas, mais bizarrement, il ne l'était pas de base, et il ne risquait pas de le devenir à cet instant, pas avec lui. Il regarda Camille forcé sur la porte, et ne put retenir un rire. Quoi, c'était marrant de voir Camille forcé sur une porte. «.Depuis quand ça te poses un problème de passer la nuit avec moi? » Le tout avec un sourire d'ange. On n'a jamais dit que Maly ne remuait pas les couteaux dans les plaies. C'était a peu près le seul truc qu'il était vraiment sûr de pouvoir faire correctement, ça et se faire détester des autres. Tout un don particulier pour un garçon particulier.

«. »

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feat malachy && camille ✖ Le jeune homme se retenait de ne pas hurler sa frustration. Pourquoi diable se retrouvait-il enfermé dans une bibliothèque avec son ancien petit ami ? Déjà que c’était un peu la galère d’être coincé mais si en plus c’était en compagnie d’une personne qui arrivait à l’agacer juste en ouvrant la bouche, Cam’ finirait sans doute par craquer. Si quelqu’un les verrait en ce moment-même, celui-ci ne penserait jamais que tous les deux étaient sortis ensemble il y a quelques mois. Mais cela avait mal tourné. Camille en avait eu marre de se cacher, il voulait être libre et il n’avait jamais pu comprendre pourquoi Malou souhaitait garder ça secret. Certes, au début, c’était plaisant, se donner rendez-vous dans des endroits où ils ne seraient pas dérangés mais à force, cela lui pesait sur la conscience. Jusqu’à ce qu’ils décident de faire leurs vies séparément. « Tu aurais dû, cela nous aurait évité de rester coincé ici jusqu’à… je ne sais pas quelle heure. » dit-il en se pinçant les lèvres. Il fallait qu’il sorte de là, s’il voulait garder son calme, il fallait qu’il s’éloigne au plus vite de l’autre homme. Camille tirait sur les clenches de porte espérant qu’elles cèdent. Il se retenait vraiment de donner un coup de pieds à celle-ci, juste pour passer ses nerfs sur autre chose que sur Malachy. Cependant, il s’arrêta, se tournant vers lui les bras croisés à ses mots. « Depuis qu’on est plus ensemble peut-être ? » dit-il en secouant les épaules avant de lever les yeux au ciel. Il était vraiment obligé de lui faire rappeler ça ? Non pas que Camille regrettait, il l’avait sans doute aimé à un moment donné. Il soupira en s’appuyant contre la porte, il n’y avait plus qu’à espérer que quelqu’un se rende compte de leur absence.

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Please, not him, not this!.

Maly prenait les choses beaucoup plus sereinement, enfin, tant qu'il pensait à la clope, ou même au paquet tout entier qu'il pourrait se fumer en sortant d'ici, tout irait. Tant qu'ils sortaient avant demain-matin, sinon il y avait fort à parier que l'un des deux serait mort, ou pas loin en tout cas. Camille l'agaçait, vraiment, juste par ce qu'il était, sa façon de vouloir que tout soit toujours "parfait" et simple, puis fallait pas se mentir, Maly et lui n'avait pratiquement rien en commun, puisque Maly n'avait jamais rien en commun avec qui que ce soit de toute manière. Spèce de loup solitaire à la noix, c’était Maly. Maly se mit à jouer avec le bouquin dans ses mains, ce qui en soit est une très bonne idée si on compte retrouver des confettis après.
«.C'est toi le gars parfait ici, tu devrais savoir comment sortir en tout temps.» Non ça n'avait rien d'un compliment, pas dans le bouche de Maly. Bon dans sa bouche rien ne sonnait jamais comme un compliment, même si s'en était un, de base. Il afficha un sourire mauvais sur son visage, parce que emmerder Camille était une alternative viable comparer à le frapper ou s'enfuir, vu qu'ils avaient l'air coincé.
«Si tu défonces la porte, je ne te couvrirais pas. Bon t'es sûr que t'aurais pas vu un trou de souris par lequel on pourrait se barrer? Tu crois que si je déclenche l'alarme incendie on pourrait s'enfuir?» Maly et son besoin de cloper. Il était sûrement plus fort que n'importe quoi en ce moment. Prions qu'une idée de génie émerge et qu'ils puissent s'en aller. Parce qu'il n'avait pas vraiment de conversation à faire à Camille. A part peut être l'emmerder sur sa vie sentimentale, mais ce n'était pas vraiment amusant, rien d'y penser, ça agaçait Maly encore plus. Peut être parce qu'il était pas capable d'avoir de vraie relations qui finissent pas dans le mur à chaque fois.

«. »

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