KENYA ❖ Monsieur sainte Nitouche prend moi par la taille

C'est ça oui, je sais que t'aimes cette série autant que moi, je te signal, que ça sera un peu notre vie en Russie et j'étais tellement excitée à l'idée de mon avenir. Je me blottissais contre lui, il me serrait fort, comme je lui avais demandé et je me sentais tellement bien dans ses bras. C'est pas croyable. Mouais mais réfléchis, si tu me manges, après, t'auras plus tout ça dis-je en désignant mon corps sous la mousse. J'avais une bonne réponse, j'étais heureuse, nous étions à égalité. ça va, ça se laisse regarder dis-je en haussant une épaule, mais à dire vrai, c'est vrai que cette série était plutôt cool. Hey non on est à égalité ! Mais si je répond juste, j'aurais gagné Kovalevski ! je me tournais pour m'asseoir sur ses jambes tout en posant mes coudes sur ses épaules. Ce que t'aime que je te fasse quand on se câline, ça dépend de quel câlin tu parles, sinon je sais que t'aime bien quand je dépose des baisers ici et là et sur ces mots, je posais mes lèvres sur sa mâchoire pour les laisser glisser, puis je déposais quelques baisers sur la ligne carrée de son visage, descendant sur sa gorge que je mordillais doucement puis je sais que t'aime bien quand je descend ici et là, je posais mes deux doigt sur ses tétons là c'est ton point sensibles petit coquin je riais doucement, alors que monsieur se gênais pas pour laisser balader ses mains sur mon corps et toi, toi t'aimes me peloter comme tu le fais en ce moment, va falloir qu'un jour, t'arrives à les maîtriser celles-là j'emprisonnais ses poignets en riant, sauf que je me retrouvais avec les deux bras bloqués en arrières, parce qu'il avait retourné la situation en attrapant mes poignées puis là c'est le drame, je me retrouve coincée

Mes yeux se fermaient sous ses baisers, elle me connaissait bien, parfaitement, ses doigts qui touchaient la petite zone aussi rose, elle me connaissait si bien, elle savait exactement ce que j'aimais mais aussi m'embêter quand elle emprisonnait mes poignets. "Pourquoi je les maitriserais alors que tu aimes que je te touche." Je rigolais avant de retourner la situation contre elle-même. "Exactement. Coincé et à ma merci." Je gardais ses poignets dans mes mains, frottait mon nez contre le sien jusqu'à l'embrasser amoureusement pendant un petit bout de temps, je reprenais ses lèvres encore, ça faisait longtemps qu'on avait pas fait ça, on courait partout avec Alessia et là juste prendre le temps de se faire des bisous me faisait un bien fou concrètement derrière il n'y avait rien d'autre qu'un simple désir, pas de bébé, rien juste notre amour. "Tu as gagnée." Elle avait tout dit, j'étais d'ailleurs stupide de lui avoir accordé une question dont elle savait la réponse, bon il manquait un truc important dans sa réponse vu qu'elle avait classée sa réponse par type de câlin, petit ou très gros mais le principal était là. "Mais je pense pas te libérer tout de suite." Murmurais-je dans un souffle qui caressait doucement la peau de son menton. Mes lèvres glissaient lentement dans son cou, l'embrassant comme un effleurement jusqu'à la marquée clairement en lui faisant un suçon. Je n'avais pas fait de scandale pour les mecs tout à l'heure mais je marquais mon territoire, voilà, Kenny possessif le retour.

Ah bon j'ai dis ça un jour moi ? j'arquais un sourcil, tout en le regardant droit dans les yeux, puis je m'en venais à hausser une épaule, comme ci de rien était Je devais être bourrée je me mordais l'intérieur de la joue pour ne pas rire, mais c'était assez compliqué. Il savait que j'aimais ça, c'était limite d'ordre national pour ne pas dire international. Okay, mais c'est juste tellement pas du jeu, t'es censé me laisser le dessus dis-je comme outrée, parce qu'il faisait mais ses lèvres eurent bien rapidement raison de moi, je tentais me défaire de son emprise, parce que bon dieu, j'aime tellement ça pouvoir poser mes mains sur son visage, sa nuque, ses épaules durant un baiser mais je n'y arrivais pas, il était bien trop puissant pour moi. Je sais bien que j'ai gagné, j'ai cartographié ton corps, qu'est ce que tu crois, j'en connais toute les régions, les montagneuses, les dangereuses, les agréables ... dis-je avec le menton légèrement relevé, l'air intelligent. et pourquoi ... ah oui, tu peux me garder prisonnière autant que tu veux dans ce cas je levais la tête en l'air, pour lui laisser le champ libre sur mon cou, j'adorais juste ça qu'il y laisse trainer ses lèvres, qu'il me le mordille, qu'il y dépose des baisers, mais bien entendu, Kenny ne serait pas Kenny s'il ne me faisait pas un suçon. Je tentais de bouger pour échapper à la marque ultime mais en vain. Kenny .... Pas en plein milieu, t'étais censé arrêter de m'en faire à la vue de tous ...

Je répondais à aucunes de ses phrases, mes yeux parlaient à ma place, mes lèvres étaient posées sur son cou aspirant sa peau fine et blanche sous ma bouche, elle était belle, divine, elle était mienne. Elle bougeait, se débattait mais en vain, la marque était là, rouge, elle allait tirée au violet dans quelques jours, elle était aussi belle, ronde, les gens la remarqueront, les hommes plus particulièrement, c'était le but, la marquer. "Tu m'appartiens Anya." Lâchais-je en plongeant mon regard intense dans le sien. "Tu m'appartiens comme je t'appartiens, tu es mienne." J'étais possessif, jaloux, amoureux et surtout passionné, c'est cette passion qui me poussait à être ainsi, à marquer mon territoire comme le ferait les animaux, Anya ne pouvait pas nier qu'elle ne le faisait pas, elle aussi était plutôt pas mal dans son genre pour rappeler à une femme qu'elle était là, présente dans ma vie en se rapprochant de moi quand elle était à mes cotés ou en se chargeant de me marquer ces derniers temps. Contrairement à elle, ça ne me dérangeait pas plus, faut dire que les hommes portaient ça comme un trophée, comme le vestige d'une super nuit passée au lit ou il n'avait pas pu contrôler leurs femmes. Je la lâchais, enfin, mes mains se posaient sur ses hanches, mes lèvres glissaient sur ma bouche pour l'humidifier, ma crise passait lentement.

Kenny ne me répondait pas vraiment, la seule chose qu'il me disait c'était que je lui appartenait. Je le regardais, moi aussi dans les yeux, je devrais certainement flippé devant ces mots là, me dire que je suis pas un objet, que je n'appartiens à personne, mais ça me plaisait de lui appartenir à lui. Ce n'est pas de la soumission, loin de là, mais merde, appartenir à un homme comme lui, qui n'aimerait pas ? Tu sais que normalement, je devrais le prendre mal ce genre de chose, faire ma féministe en puissance et te dire que je n'appartient à personne, mais ... j'haussais une épaule, alors qu'il me détaché enfin puis je posais enfin mes mains sur ses épaules je crois que ça me dérange pas   je souriais, les yeux dans les siens. Je passais mon pouce sur ces lèvres qu'il humidifiait avec tant de sensualité et de panache. t'as petite crise de possessivité est passé, c'est bon ? je déposais un baiser sur ses lèvres puis un deuxième, avant de la lui tirer doucement , les mains posées sur ses deux joues si tu n'existais pas, faudrait t'inventer toi j'étais juste un peu intimidée par la situation, par son amour qu'il était manifestement entrain de me montrer.  Tu crois qu'on peut encore rester là ...  sur ces mots, je faisais un peu couler de l'eau chaude afin que l'eau se réchauffe, puis je me laissais tomber complètement sur lui, c'est à dire que j'enroulais mes bras autour de son cou, mes dessous de bras sur ses épaules, mon bassin qui montait un peu plus haut et ma poitrine qui se posaient contre la sienne afin de l'embrasser à nouveau. Tendrement, amoureusement, ma langue fit même la timide en glissant contre la sienne, puis finalement, c'est ses lèvres que j'embrassais, que je tirais un peu. Mon front se posait au final contre le sien, yeux dans les yeux, lèvres contre lèvres.  J'ai vraiment chaud là ... je déposais un autre baiser sur ses lèvres, avant de rire, pensant bien que mes mots, il allait les interprêter d'une certaine manière, alors que non, j'avais vraiment chaud à cause de l'eau chaude qui coulait. Rapidement je l'éteignais et l'eau était plus chaude, elle était plus que tiède et j'adorais ça.

Face a sa phrase sur le féminisme j'haussais les épaules c'est vrai qu'elle aurait pu rechigner mais vu ses paroles je crois que oui elle le pensait sincèrement elle aimait m'appartenir. "Je sais pas si elle est totalement passée." Non j'étais encore un peu inquiet, égoïstement je n'aimais pas trop qu'Anya passe une bonne journée avec un autre homme que moi, je sais que c'était un peu horrible de penser ça mais j'étais jaloux, complètement mais au fur et a mesure que les minutes avançaient je me rendais compte que je réagissais bizarrement. "C'est un compliment?" Aucunes idées. Je souriais franchement, elle avait l'air si timide face a moi tout d'un coup, on aurait bien cru qu'elle allait se planquer dans mon cou pour ne plus que je la regarde ainsi seulement c’était ses lèvres qui se posaient sur moi. Un baiser puis un second, rapide certes mais qui me donnait des frissons sans nom. "Après tout ce temps tu trouves le moyen d'être gêné par mes mots." Je frottais mon nez contre le sien rieur de cette situation. En plus Anya changeait de sujet, parlant de notre situation. "Oui en tout cas moi j'y reste." Elle se penchait pour mettre de l'eau chaude, inutile dans le fond je n'avais jamais froid pour ma part par contre le spectacle était plutôt sympa a voir encore plus quand madame revenait vers moi pour se poser contre mon corps de manière sensuelle a mes yeux. Les baisers eurent raison de ma personne, sensuel et langoureux, je me sentais pousser des ailes, voler dans les nuages. Mes mains quant a elles ne restaient pas inerte, elles se posèrent sur son fessiers remontant vers son dos pendant qu'on terminait de se montrer a quel point on s'aimait. "Moi aussi j'ai chaud." Je pensais pas une seconde qu'Anya parlait de l'eau, dans ma tête j'imaginais déjà ma femme entrain d'abuser de mon corps seulement alors que j'allais pour lui faire des avances plus poussées elle éteignait l'eau. "Ah !" Je levais les yeux au ciel. "Chaud dans ce sens là. Le temps ou tu m'agressais sexuellement partout ou je passais à la maison me manque." Elle avait jamais fait, mais j'adorais le penser.

Tu devrais être heureux que je sois encore un peu gênée, c'est tout mon amour qui parle là lui dis-je en lui faisant un petit clin d'oeil accompagné d'un haussement d'épaule tout mignon. Puis après quelques baisers, je faisais couler à nouveau de l'eau chaude pour qu'on puisse rester un peu plus longtemps à deux dans ce bain, c'est que l'eau s'était refroidis depuis le début. Les mains de Kenny passaient sur mon fessier, puis remontait le long de mon dos. C'est ma cicatrice que t'étais entrain de chercher ? je riais un peu, le taquinant gentiment alors que j'avais une nuée de frissons inimaginable sur toute mon échine vis à vis de ses gestes. Je t'ai déjà agressé partout dans la maison à chaque fois que tu entrais dans une pièce ? je ne m'en souvenais plus en tout cas. J'haussais une épaule en penchant la tête sur le côté. J'aimerais bien mais après hier soir, j'ai un peu peur que tu me repousses en fait lui avouais-je avec une petite moue

"Ouais tu m'as agressé déjà." Sauf que vu sa tête, je pense qu'elle ne me croyait pas. "Bon ok c'est pas vrai mais je peux rêver non?" J'haussais les épaules en l'écoutant. "Oh." Ma main glissait sur sa joue, doucement, je lui caressais. "Bébé comprend juste que… dans le fond tu sais parfaitement que te repousser me dérange parce que je t'aime et que tu es bien trop sexy pour que je refuse." Je contemplais son corps, je peux vous dire que mes yeux se mettaient à briller rapidement, que ma lèvre se retrouvait mordiller fortement pour essayer de me contrôler seulement y en a un dans l'histoire, une partie de mon corps, qui s'imaginait déjà entrain de faire la fête. "Hier c'était pas possible, y a eu trop de chose et tu sais comment je suis, je me met la pression rapidement et je deviens distant mais j'ai toujours envie de toi, regarde." Je baissais les yeux. "Tu as un invité qui veut rentrer dans ta maison." Mais je sortais vraiment des conneries, j'étais de retour au moins et totalement au taquet. "Il a même rapporté un…" Ok là ça devenait trop salace, je préférais me taire en fait, valait mieux mais mon rire envahissait la pièce alors que ma tête s'écrasait contre son cou pour me planquer. "Fais comme si tu avais rien entendu, s'il te plaiiit."

ça m'est déjà arrivé quand même oui mais pas autant qu'il aurait aimé apparemment. Je lui avouais que j'avais un peu de mal maintenant, à cause d'hier et il venait caresser ma joue pour me rassurer. Je l'écoutais en souriant doucement à ce qu'il me disait, je regagnais un peu de confiance en moi en l'entendant. C'était dur pour lui de me repousser. Il se mordillait la lèvre, je le regardais faire ce geste si sexy à mes yeux. Je posais mon pouce sur ses lèvres pour qu'il arrête de faire ce genre de chose. C'était trop sensuel. j'aime pas quand tu fais ça moi aussi, c'est ... sauf que je me la mordillais à mon tour. Lorsqu'il me demandait de baisser le regard, je le fis et je me mordillais l'intérieur de la joue pour ne pas rire à ce qu'il me disait. Mon dieu, c'est tellement poétique je riais à mon tour mais monsieur continuait. Mon invité avait ramené quelque chose ? J'arquais un sourcil, ne comprenant pas vraiment ce qu'il voulait dire. Oh non je peux pas oublier... mon éventuel invité à rapporté quoi ? oh oui, je voulais qu'il termine, il en avait trop dit

J'aurais pas cru qu'elle ferait une crise de confiance en elle, Anya me repoussait souvent le soir, fatigué ou simplement pas envie d'un câlin pourtant je ne me disais pas toujours qu'elle ne me voulait pas ou que je n'étais pas bon au lit, c'est vrai que je pouvais le penser une fraction de seconde mais ça me passait rapidement. Mes yeux posés sur nos deux corps si proche, je commençais à m'empourprer dans mes délires, mes métaphores, je me maudissais aussi quand elle se mise à rire avec moi. "Je suis pas un poète." Dis-je en laissant ma tête contre son cou, je me sentais un peu honteux encore plus quand elle rebondissait sur mes phrases. "Si oubli, je passe pour un gros dégueulasse alors en plus je dirais pas ce que je pensais." Mais au point ou j'en étais, je me rendais compte que si j'étais obligé de lui dire alors c'est presque dans un murmure inaudible que je balançais ma phrase. "Il rapporte la crème dessert." Salace, coquin, Anya avait surement comprit ce que je voulais dire par là maintenant je pouvais mourir en paix contre elle-même si mon corps subissait de sacré soubresauts à cause de mes rires légers contre sa peau. "Oublie." Dis-je encore une fois. "Oublie ou je fais une grève du câlin." Oui au singulier fallait pas pousser, renoncer à plusieurs câlins c'était pas envisageable.